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 now if we're talking body you've got a perfect one so put it on me (eryk, 6.02, 02h21)

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Jessica

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MessageSujet: now if we're talking body you've got a perfect one so put it on me (eryk, 6.02, 02h21)   now if we're talking body you've got a perfect one so put it on me (eryk, 6.02, 02h21) EmptyJeu 4 Déc 2014 - 19:43

+ Ça me travaille déjà depuis presque une semaine entière cette histoire. Je tache de ne pas trop le montrer parce que ça ne regarde que lui et moi, et en aucun cas les autres, mais c'est tout de même assez compliqué quand on partage la même chambre. J'aurais bien voulu me faufiler au grenier pour passer la nuit sur le matelas bien moelleux de la loveroom mais on m'a devancée. Je suis donc obligée de dormir dans mon lit, si près, trop près, du sien dans lequel il dort déjà, je peux l'entendre respirer. Enfin, j'imagine que c'est lui mais ça pourrait être n'importe qui d'autre qui dort dans cette chambre, même si je ne crois pas qu'on soit encore nombreux, mais avec tous les retours, je sais plus vraiment qui dort où, quand et avec qui. Comme si je l'avais su un jour. Faut dire que je m'en fiche un peu, les autres font ce qu'ils veulent, je suis pas flic, j'ai pas besoin de savoir où ils ont passé la nuit. Bref. Il est déjà plus de deux heures du matin et j'ai toujours pas réussi à trouver le sommeil. Je suis restée là, toute seule dans mon grand lit, en position fœtale sous mes draps, les yeux tantôt fermés, tantôt grands ouverts. Comme là. Je roule sur le dos jusqu'au bout du matelas et m'assoit finalement. Je me mordille les ongles, les doigts, la lèvre inférieure. Je pose mon regard un peu au hasard dans la direction où se trouve son lit, quelque part dans l'obscurité. Et c'est alors comme si une force mystique m'avait poussée à me lever et à m'en approcher, tout doucement. Plus j'avance et mieux je distingue son corps, massif, étendu sur toute la longueur du lit. Je m'arrête tout près et je m'accroupis un peu. Je sais pas trop ce que je fais là, mais je suis là et ça me gênerait pas de rester comme ça jusqu'à ce qu'il se réveille, ou juste un peu avant, histoire que j'ai le temps de me sauver avant qu'il ne se rende compte que la grande folle que je suis est du genre à aimer le regarder dormir. En même temps, il a l'air si paisible, doux, gentil, et il est tellement beau. Je soupire en calant mon menton dans ma main, mon coude posé sur mon genoux. « Hey... » Je murmure tout doucement. « ... Eryk. » J'ose à peine hausser la voix, en fait je ne suis même pas sûre d'avoir envie qu'il se réveille. J'approche ma main de sa joue puis je change d'avis et cela à deux reprises. « Eryk. » Je répète jusqu'à ce qu'il ouvre les yeux à moitié. Je m'en veux un peu, il était tellement adorable, mais on me l'a déjà dit, je suis une mauvaise personne, je vais même jusqu'à réveiller les grands costauds pendant la nuit, sans en craindre les conséquences. « Je... Hm, j'ai... » L'air totalement ridicule, je ferais mieux de m'en aller et demain je te dirais que t'as tout imaginé. « En fait, j'allais te sortir le truc du "j'ai fait un cauchemar, je peux dormir avec toi ?" mais c'est vraiment trop cliché. » Je souris brièvement en pensant que ça m'a jamais plus dérangé que ça, d'être clichée, mais c'est vraiment du réchauffé, du déjà vu, vu et revu, surtout dans ce genre d'émissions. Mais ça reste tout de même mignon, alors que là, moi, j'ai juste l'air un peu con.
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MessageSujet: Re: now if we're talking body you've got a perfect one so put it on me (eryk, 6.02, 02h21)   now if we're talking body you've got a perfect one so put it on me (eryk, 6.02, 02h21) EmptyJeu 4 Déc 2014 - 22:00

Voila quelques jours que je suis de retour dans le jeu. Une des choses qui a changé est que je dors à présent tout seul. Avant, je devais partager mon lit avec Ana. Tous les soirs. Je l’aime bien hein, mais disons qu’on est quand même mieux tout seul… Je peux m’étaler comme je veux. Pas de crainte de virer qui que ce soit du lit, ou de donner des coups. Le pied. Alors j’ai passé de bonnes nuits de sommeil. Faut dire que je ne suis pas compliqué comme mec. Y en a qui ne dorment jamais aussi bien que dans leur lit, chez eux. Moi je m’en fou…je peux pioncer n’importe ou, ou presque. Quoi qu’il en soit, en cette nuit du 3 décembre, je fais tranquillement dodo. Enfin…jusqu’à ce que j’entende une personne m’appeler. Gné, qu’est ce qu’on me veut ? « Hm… » Je garde les yeux fermés, peut être que la personne s’en ira. Sauf que de nouveau, mon prénom est prononcé. Arf, c’est qu’elle est coriace. Finalement j’émerge lentement. J’ouvre un œil. Ah mais c’est Jessica. Malgré la pénombre j’aperçois sa silhouette. Je me demande ce qu’il se passe pour qu’elle vienne me tirer ainsi du sommeil. Elle a un souci ?  « En fait, j'allais te sortir le truc du "j'ai fait un cauchemar, je peux dormir avec toi ?" mais c'est vraiment trop cliché. » Ah, je vois. Qu’est ce que je suis censé répondre ? « Et puis cela ne serait pas très subtil n’est ce pas… » Parce que là, ça l’est vraiment hm. « Je suis pas sur que… » …cela soit une très bonne idée. L’inviter dans mon lit. Est-ce bien raisonnable ? Dormir avec Ana, ça allait, il n’y avait aucuns problèmes. Aucuns risques. Pas la moindre ambigüité entre nous. Entièrement platonique. Mais Jess… Ce n’est pas la même chose. Je la regarde. Je vois ses yeux briller dans la nuit. Je n’ai pas le courage de la rembarrer. Et puis en ais je vraiment envie ? « D’accord, viens… » Je me pousse un peu sur le côté pour lui faire de la place, tout en ouvrant les bras, pour qu’elle vienne s’y engouffrer. Ce n’est pas grand-chose. C’est complètement innocent. C’est juste pour dormir. Un homme et une femme dans un lit, à moitiés dénudés…Qu’est ce qu’il pourrait arriver n’est ce pas ? Rien.   « Mais tu te tiens tranquille hein, tention…Comme je sais maintenant que t’es folle de moi… » Que je ne peux m’empêcher d’ajouter. Désolé, c’était obligé.
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MessageSujet: Re: now if we're talking body you've got a perfect one so put it on me (eryk, 6.02, 02h21)   now if we're talking body you've got a perfect one so put it on me (eryk, 6.02, 02h21) EmptySam 6 Déc 2014 - 14:04

Je suis affreuse de le réveiller en plein milieu de la nuit. Si ça se trouve il faisait un rêve merveilleux et je viens de tout gâcher, pour rien en plus. Je devrais avoir honte, oui, mais en fait pas du tout. J’aurais certes pu me la jouer pauvre petite chose qui vient de faire un cauchemar, bouh, prend-moi dans tes bras, mais c’est d’un cliché, et d’un subtil en effet. Enfin, ça l’aurait peut-être plus été que de lui dire cash ce que j’avais l’intention de faire à la base. Bref. Il commence un bout de phrase, dont je devine la fin sans trop de difficulté même s’il ne la termine pas. Il doit se dire que c’est pas une bonne idée, lui et moi dans le même lit, hm, et au fond je pense la même chose. Mais je me sens trop seule là-bas dans mon lit, sans personne pour me tenir chaud, ni même sans sa veste à laquelle je me suis tant, et peut-être même un peu trop, attachée mais que j’ai fini par lui rendre lundi. Et puis après tout, je suis comme tout le monde, j’ai besoin d’un minimum de contact, de proximité avec d’autres êtres humains, or j’ai l’impression que je me suis un peu éloigné des autres depuis quelques temps et ça fait une éternité que je dors seule, trop seule dans un grand lit vide, et ça pas que depuis que je suis ici je parle, dans le nid. Il accepte finalement et me fait un peu place pour que je puisse m’installer à ses côtés. Je me redresse lentement, je prends le temps de rabaisser ma nuisette dont une partie est remontée au-dessus de ma hanche quand j’étais accroupie au pied du lit et je m’assois délicatement au bord du matelas. Il a beau m’ouvrir gracieusement les bras, je n’ose pas m’y réfugier, pas tout de suite. C’est que mine de rien, ça m’intimide un peu d’être assise-là près de lui alors que je n’ai semble-t-il rien à y faire. Je souris quand il me demande de me tenir tranquille, surtout qu’il se doute que je ne suis pas venu ici en toute innocence, après tout je suis "folle de lui". Et c’est toute une chorégraphie de petites mimiques qui commence au rythme des battements de mon palpitant. Je baisse la tête. Mes prunelles dégringolent de son visage à mes doigts qui s'entortillent nerveusement dans les draps. Je passe ma langue sur mes lèvres avant de mordiller celle du bas. Et je pose un regard plein d'envie sur son corps. « Je crois que j'ai aucune envie de me tenir tranquille. » J'ai surtout aucune envie qu'on reprenne la conversation qu'on a eu lundi, ce qui pourrait arriver d'une minute à l'autre. Alors j'avance à quatre pattes pour aller me blottir dans ses bras à la manière d’un félin, d’un chat plutôt que d’une bête sauvage qui lui sauterait dessus sans attendre. Je suis en manque mais quand même pas à ce point. Puis je laisse glisser mes mains sur lui, l'une de son épaule à son cou, l’autre de son torse à sa joue. Nos regards se croisent un instant, pendant lequel un tas de pensées me traversent l'esprit, jusqu'à ce que mes lèvres viennent subitement et inévitablement rejoindre les siennes. Et alors c'est comme si tout le reste avait disparu.
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MessageSujet: Re: now if we're talking body you've got a perfect one so put it on me (eryk, 6.02, 02h21)   now if we're talking body you've got a perfect one so put it on me (eryk, 6.02, 02h21) EmptyDim 7 Déc 2014 - 1:03

Je dors d’un sommeil paisible. Enfin ça, c’était jusqu’à ce que je sois réveillé par une candidate. Bon je ne me souviens plus de mon rêve – comme la plupart du temps – mais c’était surement un truc bien. C’est quand même bizarre les rêves… Pourquoi ne sommes-nous pas capables de s’en souvenir ? Ou alors très rarement.  N’empêche que ça serait surement très intéressant si on pouvait filmer les scènes qu’on se fait dans notre tête. Parfois je suis sur que ça pourrait être digne d’un scénario de films. En tout cas de mon côté, vu que j’ai une imagination débordante, c’est souvent du grand n’importe quoi. Mais bref, je crois que c’est pas le sujet là, y a plus important à se préoccuper. Jessica. Sa présence dans mon lit. Ou en tout cas sa présence souhaitée. La meilleure attitude à avoir serait celle d’un gentleman : l’éconduire gentiment. Retourne donc filer dans ton lit ma cocotte. Pourtant j’opte pour une toute autre direction… Je l’invite à prendre place à mes côtés, dans le lit. Sachant dans le fond ce que cela sous entends comme invitation…Parce que bon, je ne suis pas con. Je me doute bien que ses intentions sont loin d’être chastes envers ma personne. Nier l’évidence serait stupide. Alors que je l’invite finalement, au lieu de sauter tout de suite sur l’occasion qui s’offre à elle, je la vois hésiter au bord du lit. Bon, tu veux venir ou pas ? Je vais pas rester le bras ouvert pendant dix ans. V’la qu’elle finit par me déshabiller du regard. Enfin je suis déjà pas très habillé mais. « C’est embêtant… » Ou pas. Elle se ramène vers moi à quatre pattes, en mode félin. Pas l’attitude de quelqu’un qui a envie de dormir ça. La vérité, c’est que je prends sur moi et fait des efforts pour rester sage. Mais pas sur que ça dure très longtemps. Faut savoir que même si je ne laisse rien paraître, je suis en vrai conflit intérieur. Entre ce que la raison voudrait et puis mon corps. Deux choses différentes. J’ai dis qu’il ne se passerait jamais rien dans ce jeu, sur le plan sexuel. J’ai fais des promesses. Que je comptais tenir, jusqu’à ce qu’elle dépose ses lèvres sur les miennes. Mon conflit intérieur disparait à ce moment là.  Partie ma conscience, envolée. Je réponds immédiatement au baiser. Je suis faible. En manque. Mais cela n’explique pas tout. Je suppose que ce n’était qu’une question de temps avant que ce moment n’arrive…Indubitablement. Je ne pense plus à rien, si ce n’est à l’instant présent. Et autant vous dire qu’il est très plaisant. Je sens la chaleur monter en moi. J’ai envie d’elle, c’est une certitude. Mes lèvres dévient dans son cou, alors que mes mains, baladeuses, se faufilent lentement sous sa nuisette.
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MessageSujet: Re: now if we're talking body you've got a perfect one so put it on me (eryk, 6.02, 02h21)   now if we're talking body you've got a perfect one so put it on me (eryk, 6.02, 02h21) EmptyDim 7 Déc 2014 - 13:15

Si je dois passer la nuit à ses côtés, je sais d'avance que je n'arriverais pas à me tenir tranquille. De toute façon, je n'en avais pas vraiment l'intention à la base et encore moins après qu'il me l'ait demandé. C'est embêtant, d'après lui. Peut-être, mais je suis pas le genre de filles à obéir bien sagement et à attendre sur le bord du lit trop longtemps. Je suis plutôt du genre à me laisser aller à mes pulsions, de la jalousie malsaine au désir ardent, quitte à reconnaître plus tard que c'était peut-être une connerie finalement. Et alors c'est comme si j'avais lâchée la bête, déterminé et un peu dangereuse d'ordinaire mais aussi douce et docile une fois domptée. Je viens me coller à lui pour lui offrir les premières caresses fébriles, le premier baiser brûlant. Et je me laisse aller quand je sens ses lèvres se poser dans mon cou, sa respiration sur ma nuque à m'en faire frissonner de plaisir alors que ses grandes pattes s'aventurent sous le fin tissu superflu de ma robe. Je mêle mes doigts à ses cheveux avant de me lancer aussi dans une exploration minutieuse de son corps. Je le découvrir pour la première fois, bien différemment qu'avec mes yeux qui ne pouvaient pas vraiment le toucher. Je n'essaye même pas de compter le nombre de muscles sous sa peau que j'effleure pour garder un semblant de contrôle sur la situation, je me perds trop facilement entre les battements frénétiques de mon cœur et les soupirs d'excitation qui s'échappe de ma bouche entrouverte. Nos poitrines se pressent l'une contre l'autre alors que je remonte ma jambe jusqu'à sa hanche avant de l'obliger à se mettre sur le dos. Une fois allongée sur lui, je croque sa joue du bout des lèvres, puis sa mâchoire, son cou, son torse, presque tout son abdomen jusqu'au nombril. Mes mains ont suivies le mouvement avec délicatesse à la perfection jusqu'à ce que je me redresse. Assise au-dessus de son bassin, j'ai pour la première fois l'occasion de lui prouver que je suis douée dans mon métier en ôtant lentement ma nuisette tout en ondulant au rythme d'une musique suave et imaginaire. Et c'est un feu d'une chaleur encore plus intense qui se répand dans mes veines quand ma peau découverte rencontre à nouveau la sienne alors que je remonte presque en rampant comme un serpent le long de son corps puissant. Je retrouve le chemin de ses lèvres que j'embrasse encore et encore, accueillant furtivement sa langue dans ma bouche à quelques reprises et inversement. Je sens qu'il est temps d'enlever le bas mais j'ose pas le faire moi-même, je lui ai déjà imposé ma présence, je vais pas en plus lui imposé mon rythme. Et puis je veux que ce soit lui qui le fasse, qui prenne les commandes à partir de maintenant. Qu'il fasse ce qu'il veut de moi, je suis prête à me donner toute entière, à lui appartenir toute la nuit, et tellement plus encore, malgré moi, s'il savait.

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