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Maha

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MessageSujet: » next to me    » next to me  EmptyMar 9 Fév 2016 - 22:27

@Léo

On a échoué dans le bar dans un grand hôtel de Rio. Nous avons avons été invités à l'occasion d'une grande soirée, on sert un peu de pub depuis que je tiens un blog qui n'est plus simplement destiné à mes écrits cinglants et sarcastiques mais qui est maintenant tourné vers le lifestyle. C'est ce qu'on dit apparemment. J'ai l'impression de ne pas pouvoir profiter de la soirée comme je le veux. Le téléphone vissé à l'oreille, je parle de manière très agressive en hébreu et à voix basse parce que je suis en public. Je ne peux pas faire ma drama queen comme je le sens. Parfois mes prunelles noisettes se posent sur un Léo assis sur un haut tabouret du bar, seul, comme si j'avais peur qu'on me le vole. Oui, je le surveille quand même, je suis multitâche. Je croise de temps en temps son regard qui me dit que j'ai trop traîné, je lui offre un sourire aussi tiré que forcé avant de lui dire éternellement que je n'ai que pour deux minutes. Il n'a pas l'habitude que je passe plus de cinq minutes au téléphone, même avec mon frère que j'engueule actuellement parce qu'ils ont décidé de définitivement s'installer à Jerusalem sur ordre de ma mère. J'ai l'impression qu'ils ont peur de tout quitter pour l'Europe, ou n'importe où, et ça m'énerve parce que je l'ai déjà fait et que cela fait bientôt dix ans que je ne les ai pas vu. Je perds rapidement patience, encore plus lorsqu'il me demande si c'est à cause de Léo que je ne les rejoins pas. Non, c'est juste que ma furieuse envie de vivre est surement plus importante que l'amour que je porte à ma famille. Mon instinct de survie prend le pas sur tout. Je dois être en haut parleur parce que j'identifie plusieurs voix chuchotant en arabe, seconde langue maternelle, chose qu'ils semblent avoir oublié. Excédée, je raccroche enfin pour tendre mon téléphone à Léo, n'ayant pas de poche dans ma longue robe de soirée, il doit gérer. Mon visage retrouve sa contenance la seconde d'après et j’enchaîne sans transition, n'ayant pas forcément envie de l'accabler d'un conflit à la fois familial et religieux qui le dépasserait. « Tu veux un sex on the beach ? » je lui demande de ma voix narquoise parce que je ne sais pas combien de fois il m'a dit que c'était un cocktail de nana. J'en commande deux auprès du barman qui semblait attendre ma venue, il doit avoir compris d'où émanaient les décisions du couple, quel bon sens ! Debout, je me cale entre ses deux genoux en posant les mains dessus. Je lui vole d'autorité un baiser. « Bon j'espère que l'homme entretenu que tu es profite bien, on ne va rester que quelques jours » je lui lance en haussant les épaules, on va dire que c'est normal, l’hôtel ne peut pas nous assurer deux semaines tout frais payées pour sa promotion. Cela lui reviendrait cher. « Bon en revanche si tu vois un brun de deux mètres, en costard, respirant l'argent, la vanité et l'arrogance, répondant au prénom de Rhuan, tu me préviens » je l'informe parce que je ne tiens pas spécialement à me retrouver nez à nez avec une de mes anciennes de victimes, surtout qu'il me semble bien qu'il est plutôt rancunier. « Parce que ça me gênerait qu'il m'arrive quelque chose et que tu te retrouves tout seul, dans le pays hostile qu'est le Brésil, livré à toi même » je ronronne alors, l'une de mes mains frôlant la sienne. Les boissons finissent enfin par arriver, on a eu le temps de mourir trois fois et de refaire le monde entre temps, c'est sympa. Ils ne sont pas pressés ici. Je place l'un des verres en délicatesse entre les mains de mon compagnon. « Tu veux trinquer à quoi ? » je minaude avant qu'un sourire railleur ne s'installe sur mon visage.
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MessageSujet: Re: » next to me    » next to me  EmptyMer 10 Fév 2016 - 5:39

Ca fait combien de temps que je suis là ? Vingt minutes ? J’ai l’air d’un con tout seul au bar. Personne pour me tenir compagnie, pas même le serveur qui se la joue mec de la haute alors qu’on est au même niveau… à l’exception que lui a un job. J’ai le temps d’analyser les horizons, je tente même plusieurs fois de rappeler à Raïssa que je l’attends mais en vain. Je ne peux même pas l’admirer dans sa longue robe qui flatte sa fine silhouette tant je crains qu’ici ce ne soit déplacé. J’essaie de faire les choses bien, dans un excès de doutes j’ai même appelé Hugo pour chopper ses conseils. Dans sa bouche ça semble facile, en application je n’ai définitivement pas son assurance dans ce genre d’endroits. Finalement ma belle me rejoint et passe sous silence les détails de son coup de téléphone, ainsi soit-il. Mes doigts viennent entourer les bords du verre que je penche par automatisme pour vérifier sa contenance. « Non ça ira j’ai trouvé de quoi patienter en t’attendant. » Mais son niveau est déjà bien attaqué puisque j’étais presque sur le point de m’en commander un autre, seul et abandonné pour son appel de « deux minutes », c’est sympa de sa part de relever que je vais bientôt être à sec cela dit. Elle sait très bien en demandant que ma réponse sera négative pourtant elle ne m’écoute pas et commande pour deux. Je me fais vraiment respecter, c’est cool. « Déjà que j’ai pas l’air crédible en costard là c’est bon tu viens de m’achever. » En plus d’un pingouin je vais être mixé avec un canard, non vraiment c’est génial. La technique du bisou pour balayer tout ça et elle en remet une couche. Dans ce genre de situation j’ai pris l’habitude de ne rien dire, je suis dans un environnement qui m’est totalement étranger et inconfortable et mon seul point d’attache est cette brune au regard de biche. Autrement dit je me contente du statut de cavalier, c’est pour la bonne cause on gagne de la thune. Enfin, elle gagne de la thune. Moi… j’ai pas toujours pas trouvé, il faut dire que je suis beaucoup moins malin qu’elle en la matière -et plus novice, aussi- donc je suis plus perdu qu’autre chose. Tant qu’il y a des églises pas loin tout me va, pour le coup le Brésil c’est mon paradis. J’ai déjà fait mon caprice pour qu’on monte jusqu’au pied du Christ Rédempteur, mon quota de concessions pour elle est tellement énorme qu’elle n’a pas pu me le refuser. Je fais plus dans le touristique, elle dans le business m’voyez. Mon prochain objectif c’est de la convaincre d’aller visiter un bidonville, j’ai pas encore attaqué mais j’ai trouvé mon argument de choc : ça détonnerait pour son blog. Il faut que je me dépêche puisqu’elle ne compte pas s’éterniser ; ô surprise. « Je m’éclate. » Cette soirée m’ennuie déjà à mourir, on se fait chier comme pas possible tant l’ambiance est à la frime. L’avantage dans tout ça c’est que l’hôtel claque. On est à huit échelons au-dessus de Fake Lover en terme de confort, et dieu sait que c’était déjà un must. Incomparable avec mon appart’ miteux de Grenoble, donc. Mes doigts, de ma main la moins exposée au public, remontent jusqu’au creux de ses hanches en frôlant sa robe. Admirant un temps son visage de poupée, tout se brise soudainement lorsqu’elle évoque son Ruan, Rhuam, qu’importe. Reculant mon visage qui s’était instinctivement rapproché du sien, je choppe mon whisky de façon à reporter mon attention ailleurs. « Ouais pas de soucis je l’inviterai même à boire un coup en souvenir du bon vieux temps si tu veux. » Non vraiment, je rêve de sympathiser avec ses ex issus des classes sociales supérieures. Je suis ravi d’apprendre que le brésilien de la bande a des chances de se pointer ici. Ma jalousie soudaine s’évapore au souvenir de la relation qu’elle a pu entretenir avec ces hommes au compte en banque mirobolant. Boulette. « Tu serais étonnée de ma capacité de survie, et de celle d’affronter ce Ruam aussi. » J’ajoute en portant mon whisky à mes lèvres pour en boire la dernière gorgée, les cocktails arrivant dans la foulée. Un « Merci. » de politesse franchit la barrière de mes lèvres alors que je sens déjà mon quota de masculinité descendre à 0. Déjà que je ne devais pas avoir l’air super à l’aise là c’est le pompon. On dirait un gueux essayant de s’adapter. « A ta reconversion ? C’est grâce à toi si on est là. » Aller, je sens que c’est le moment de lui balancer l’idée. « Ou à notre prochaine sortie, demain on va visiter un favelas. » Un long sourire fend mon visage tant j’attends sa réaction avec impatience, une gorgée du cocktail s’ensuit tout naturellement pour mieux me délecter du spectacle.
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MessageSujet: Re: » next to me    » next to me  EmptyMer 10 Fév 2016 - 21:57

Je remarque que Léo ne m'a pas attendu pour attaquer l'alcool. Monsieur serait donc assez mal à l'aise dans son costard. J'arque simplement un sourcil septique avant de reculer de quelques pas pour faire miner de l'observer. « Je te trouve super bien » je proteste parce qu'il est de nature publique que je suis d'une objectivité déconcertante lorsqu'il s'agit de Léo. La paume de mes mains effleure ses épaules, comme pour chasser des poussières imaginaires. « En plus c'est moi qui te l'ai choisi» je rappelle l'air de rien, en sifflant, aller quoi, je sais le mettre en valeur, qu'il arrête. Pour une fois en plus qu'il ne porte pas un vêtement trop large, ça se fête. « Tu comptes être comme ça toute la soirée ? Que je sache combien de verres je vais devoir me commander » je taquine simplement avant de l'embrasser. Il faut croire que j'ai un peu le don depuis tout à l'heure de mettre Léo de mauvaise humeur, ou je ne sais pas. Il aurait préféré passer la soirée dans la chambre et moi ici ? Aucune idée. Je me contente simplement de l'observer avec une attention accrue sous mes longs cils. Je lui demande de m'avertir si jamais Rhuan débarque parce que je n'ai pas envie de mourir si jeune, mais il ne semble pas vraiment bien le prendre, il s'écarte immédiatement de moi. Euh ? On ne peut pas dire que j'ai partagé quelque chose avec le brésilien si ce n'est lui qui s'est délesté de quelques millions, effectivement. Sa réaction me fait à la fois rouler des billes et esquisser un sourire narquois. Bon, je vais passer sur le fait que je me suis faite un peu rejeter pendant quelques secondes. « Y a que toi qui comptes » je précise en me marrant quand même en attrapant son menton entre mes fins doigts pour le forcer à me regarder et l'arracher à la contemplation de son verre. Je ne sais pas si ma réflexion lui fait penser qu'il est un choix par défaut ou quoi, mais après presque un an sans 24h de séparation, j'ose espérer que non. En tout cas, je vois mal comment Léo pourrait être jaloux une seconde de ce type. Mes frêles bras se glissent autour du cou de mon asiatique que je force donc à se rapprocher de moi, calant simplement mon front contre le sien avant que la venue de nos verres nous interrompt. On n'a même pas le temps de trinquer que mon verre reste en lévitation lorsque je réalise ce qu'il m'annonce. Quoi ?! Mon sourire s'immobilise sur mon visage lorsque j'entends le mot favelas. C'est une blague ? Je laisse quelques secondes de silence, comme pour lui laisser la possibilité de se corriger lui-même. Je retiens une mine de dégoût et je mets une seconde pour préparer mon plan. Phase 1: surprise. Je cille, armée de mon plus regard de biche. « Ah bon ? Je me souvenais pas que c'était prévu, attends, je regarde » je commence alors en feignant une douce surprise de ma voix sucrée. Je m'empare de mon téléphone en glissant furtivement ma main dans la poche de la veste de Léo. Je fais mine de regarder le calendrier et de me concentrer. Phase 2: prendre par les sentiments, mais je l'ai tellement fait que je ne suis plus sûre que cette étape du plan marche encore. « J'avais marqué pour demain, journée spéciale Léo: ne rien faire» je ronronne alors en levant mes prunelles noisettes sur sa personne pour l'attendrir mais il a un coeur de pierre ce soir ou comment ça se passe. Le pire, c'est qu'il semble bien s'amuser. Je fronce les sourcils une seconde, presque un peu contrarié. Phase 3: colère, déni. « Je savais que tu n'allais pas aimer la soirée, mais ce n'est pas une raison pour vouloir me punir !» je m'outre alors en lui lançant un regard un minimum courroucé, les lèvres pincées. Bon bah phase 4: acceptation. « Tu as vraiment envie d'y aller ? » je lui demande dans un soupir désespoir parce que je sais que je n'ai pas vraiment le choix en réalité. On fait déjà suffisamment ce que je veux que je n'ai pas tellement le coeur a refuser ses rares demandes. Phrase 5: la défaite. « La prochaine fois, tu me préviens à l'avance quand même, imagine que je ne sois pas à jour dans mes vaccins et que je chope un truc là-bas» je grogne pour la forme avant de commander un nouveau verre auprès du barman qui nous observe d'un air curieux. Un simple regard de la tête aux pieds de ma part finit par le calmer. Je ne préfère même pas penser a ce qui pourra m'attendre demain, sinon je vais faire un petit malaise je sens.
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MessageSujet: Re: » next to me    » next to me  EmptyLun 15 Fév 2016 - 16:31

Raïssa devrait se reconvertir dans le conseil à l’image. Elle est plutôt bonne dans le genre car en plus d’arriver à faire enfiler n’importe quoi à n’importe qui elle a bon goût. Si le mec tiré à quatre épingles apparaissant dans le miroir n’était pas moi je trouverais ça génial mais là ça me dérange. Je ne suis absolument pas dans mon élément. Le pire c’est que je la soupçonne vraiment d’avoir caché mes Vans pendant que je me douchai. Parce que c’était notre deal : le costume de pingouin ok seulement si je me chargeais des chaussures. Encore une fois elle m’a obéi au doigt et à l’œil. J’ai quand même tenu à garder les cheveux naturels y a des limites, elle ne peut pas m’imposer la cire de force. De toute façon je crois qu’elle a conscience que ça serait trop pour le négligé que je suis. Mon sourire en coin traduit ma pensée lorsqu’elle avoue me trouver en pompes, rien d’étonnant puisque c’est elle qui est à l’origine de ma transformation ; je commence à connaître la bête et ses auto-compliments lancés à la volée. « T’as bien choisi. » Je concède tout de même puisque tout cet excès de mauvaise foi ne me correspond pas et lorsqu’elle s’approche pour déposer ses lèvres sur les miennes j’en oublie mes reproches. J’aurais réussi à passer à autre chose si elle n’avait pas mis son ex sur le tapis. J’ai toujours du mal avec le sujet « j’ai vécu onze vies avec onze mecs différents », c’est quelque chose que je préfère encore éviter. En tant que roi des lâches je suis comme ça : je préfère esquiver les problèmes plutôt que de les confronter ; autant dire que si l’autre millionnaire se ramène j’aurais l’air hyper malin. De toute façon je prône la non-violence, il suffira de s’éclipser discrètement. J’en ai pas l’air à rejeter mon attention sur mon whisky mais je réfléchis au sujet. Les doigts délicats de la brune me forcent à me tirer de ma contemplation pour tomber dans ses grands yeux de biche qui me pointent. « J’en attendais pas moins. » Je glisse dans un sourire en coin, défaisant doucement ses doigts sur mon menton. Ca la fait rire en plus. C’était une inquiétude très présente au début de notre relation mais à force elle s’est dissipée. Il faut dire que depuis Fake Lover on ne s’est plus jamais vraiment quittés, je me demande encore comment on fait pour se supporter autant sans se plaindre. Avec d’autres je me serais rapidement lassé, elle est pareil sur ce point-là, pourtant ce n’est pas le cas. J’y ai souvent réfléchi, j’en suis venu à la conclusion qu’on était complémentaires. La prière ça vous ait réfléchir à plein de trucs, j’vous jure. Fronts collés, mes bras viennent entourer sa taille tandis que je rapproche légèrement mon visage pour frotter mon nez au sien. Imiter sa vieille manie fait glisser un sourire sur mes lèvres alors que le serveur apporte nos… cocktails. C’est le moment de lui annoncer la bonne nouvelle : j’ai mis au point notre programme de demain. Elle ne dit rien et je me contente de patienter, sa réaction va forcément arriver il faut simplement qu’elle réalise que je suis sérieux. Mademoiselle sort son téléphone de femme d’affaires et dans un sourire amusé je contemple son soi-disant agenda par-dessus son épaule en sachant pertinemment qu’elle n’a rien écrit de spécial dedans. « Hmhm. » Dingue comme c’est vide. Je fais mine d’être étonné lorsque ses prunelles remontent sur moi. « Mais c’est parfait ça ! » Je me moque doucement mais ça n’a pas l’air de lui plaire, de là à insinuer que je me venge pour cette soirée de coincés du cul elle abuse. « Prend pas ça comme une punition ! » Le pire c’est que je rentre dans son jeu mais j’aimerais qu’elle voit elle aussi un peu du paysage. Franchement même si on est très différents sur ce genre de choses je suis sûr qu’elle pourrait apprécier l’expédition. « Oui. » Je laisse entendre solennellement puisque je la sens sur le point de céder. En fait je crois que c’est bon : j’ai obtenu raison. Evidemment elle fait sa diva mais ça ne me choque même plus maintenant. Elle exagère à peine. « On les a déjà tous fait avant de partir. Il y en a pas de spécial « favelas » ou anti-crasse. » Ca m’amuse de me moquer d’elle, j’ai parfois l’impression d’avoir affaire à une bourgeoise n’étant jamais sortie au-delà de son quartier mais c’est ce qui fait son charme. « Aller, ça va être sympa. » Mes deux mains sur ses hanches je l’attire vers moi pour l’enlacer, mon menton passant par-dessus son épaule. Je tente un petit câlin histoire d’effacer son air bougon, c’est dingue comme en deux minutes les rôles se sont inversés. « Je ferai attention à toi. » Susurrant à son oreille je me veux rassurant avant de glisser un de mes doigts sous le collier qu’elle porte ce soir. Un truc qui vaut une fortune, ça me dépasse. Les mômes du quartier un peu moins je pense. « Evite de mettre ça demain ou ils vont te l’arracher. » En y pensant tout ce que porte Raïssa de manière générale sont des fringues de qualité qui surpassent le prix des miennes. « En fait demain je m’occuperai de ton relooking histoire qu’on passe inaperçu set qu’ils nous pensent pas aussi riches qu’on l’est. » J’ironise parce qu’on est loin de rouler sur l’or non plus mais en posant simplement le regard sur Raïssa il est impossible de le deviner. Je suis sûr que l’idée va l’enchanter en plus.
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MessageSujet: Re: » next to me    » next to me  EmptyLun 22 Fév 2016 - 21:47

Je sais que j'ai très bien fait mon job ! « Parfaitement bien choisi même » je siffle pour le corriger, Léo fait super classe, cela le change de ses .... choses habituelles. On dirait un autre homme, et ce qu'il n'aime précisément pas, mais bon, je ne lui impose pas cette tenue tous les jours non plus. Il est chanceux en fait ! C'était peut-être pas l'idée du siècle de lui parler de Rhuan, mais il est fortement probable qu'il soit là, je préfère que Léo soit prévenu. Je le rassure même si j'estime qu'il n'y a pas de raison que je le fasse. On ne sait jamais, dans le doute ... Mais je ne suis jamais restée aussi longtemps avec quelqu'un et encore moins lorsque la personne était fauchée, si ce n'est pas une preuve de ma sincérité s'il vous plait ! Ça prouve bien que je ne l'utilise pas comme je l'ai fait avec Rhuan et ses billets. Le bout de son nez se frotte contre le mien, un sourire s'esquisse sur mes pulpeuses parce que je sais bien qu'il a capté ce tic apaisant que je lui impose aussi souvent ... que je le veux. Mes lèvres s'écrasent en délicatesse contre sa joue, mais ça, c'était avant qu'il m'annonce sa nouvelle lubie sinon, vous vous imaginez que je ne lui aurai pas offert ce baiser. Pourquoi ? Pourquoi veux-il me traîner la-bas ? C'est bon, je sais à quoi m'attendre. Je transpose les bidonvilles de Beyrouth, plus précisément le camp de Chatila où on nous a emmené quand notre maison a explosé, en version latine et c'est bon, je ne visualise que trop bien. J'esquisse déjà une grimace d'écoeurement qui vient tordre pendant une seconde mon minois. Je tente de lui faire croire que je suis occupée mais évidemment il guette, il est très attentif pour le coup. Je plaque mon portable contre ma poitrine en mode: oh ma vie privée merde ! Mais personne n'y croit parce que ma vie privée se résume à Léo tout simplement. Je le laisse me faire un câlin comme si ce dernier allait pouvoir effacer, gommer cette contrariété. Tant qu'il y a de la vie, y a de l'espoir non ? « Je me sens beaucoup plus en sécurité maintenant que je sais que tu vas me défendre » j'ironise alors en roulant des billes, c'est vrai que Léo a un gabarit qui impose tellement. Il inspire la crainte et le respect dès qu'on le voit. Il me parle de mon collier, j'arque simplement un sourcil septique. « Tu as raison, je vais le mettre dans le coffre, si jamais je dois payer ta rançon après la visite de demain, tu sais, les enlèvements c'est courant au Brésil » je lance l'air de rien, en croisant ses prunelles. Non, je ne cherche pas à le dissuader, mais simplement à le parer à toutes les éventualités. Où est le mal ? De toute façon, il a gagné, je capitule pour de bon. Je me contente de l'écouter distraitement jusqu'à ce que la douce et mélodieuse voix de mon amour prononce le délit mot de "relooking". Suis-je crédible ? Il récupère toute mon attention, mais clairement pas pour une bonne chose. Mes sourcils se froissent tout naturellement lorsque je lui laisse quelques pour réaliser l'énorme de portée de ses mots. « Je ne ressemblerai jamais à une sdf » je grogne alors parce que non je n'aime pas ressembler à rien, c'est à dire à 99% de la population quoi, encore moins pour me fondre dans la masse, être une parmi les autres. « J'ai trop de grâce pour ça » je siffle alors en plissant les yeux, amusée, un léger sourire sur mon minois alors que je finis mon cocktail. « Bon vu que l'on risque surement de se faire attaquer ou quoi demain, profitons de ce soir » je souffle, je sais que j'en fais des tonnes mais tant pis. « On va danser » je murmure en souriant parce que je sais qu'il n'est pas fan mais j'ai bien cédé pour les favelas, s'il vous plait. Je lui attrape le bras pour l’entraîner plus loin, il n'a le choix que de suivre le mouvement. Je n'entends pas ses possibles protestations, mon écoute est assez sélective quand je veux. « Lent, guindé et formel, tout ce que tu adores ! » je me moques parce que j'ai déjà essayé de lui apprendre la valse mais il n'était pas tellement réceptif. En l’occurrence, il ne s'agit pas de cela, ils nous ont mis un slow, enfin, un truc qui s'en rapproche, c'est clair qu'ils n'allaient pas nous mettre de l'electro pendant une telle réception. Il n'y a que des couples qui bougent lentement sur le rythme de la musique. « Je n'ai jamais eu le temps de faire de "boom" » je commence tranquillement alors que mes bras se glissent autour de sa nuque. Non, j'étais déjà clairement occupée à sauver désespérément le monde, mon monde. Enfin quelque chose me dit que je n'ai rien perdu non plus. « Mais niveau ambiance de folie, je suis sûre que cela devait être quasiment la même que maintenant » je ne peux m'empêcher de relever curieusement alors que mes prunelles noisettes croisent les siennes.
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MessageSujet: Re: » next to me    » next to me  EmptyLun 23 Mai 2016 - 13:00

Je lui offre une petite crise de jalousie, je dois bien l’admettre, concernant son fameux ex dont le simple prix de la montre doit dépasser le montant que j’ai amassé pour survivre ces deux dernières années. Je suis toujours sur le qui-vive m’voyez, Raïssa est trop belle pour être ignorée et encore plus par tous ces types qui transpirent l’argent. De un parce qu’elle semble être dans son élément et de deux parce que je ne suis pas à l’abris qu’un jour l’odeur du flouz l’attire vers d’autres contrées. Bon, théoriquement elle gagne plutôt bien sa vie d’elle-même compte tenu de l’endroit où on se trouve ce soir et de la tenue dont je suis affublé mais ne sait-on jamais. C’est que dans la catégorie chômeur sans ambition je suis plutôt bien classé mais je lui ai promis que j'aurais de quoi l'emmener en voyage sur une île paradisiaque un jour. En attendant je me contente de la prendre en photo c’est tout aussi cool. Et comme tout parfait petit ami que je suis, n’ayons pas peur de la niaiserie, je suis aussi apte à la défendre en cas d’attaque spontanée demain puisque bien évidemment on va y aller, elle n’a pas le droit de me le refuser. Comme d’habitude Raïssa ironise, elle a de la chance que je ne sois pas susceptible car la façon qu’elle a de remettre ma virilité en cause pourrait être très vexante. « Tu devrais. Mais t’as raison vas-y ne me prends pas au sérieux comme ça le jour J t’en prendras plein les yeux je t’assure » J’hausse les sourcils en écartant les doigts de mes poings positionnés devant mes billes. J’imite une explosion de paillettes puisque c’est ce qui se produira lorsque le jour viendra. « Tu devrais d'ailleurs faire attention je pourrais prier pour ça ce soir tu sais. » Le ciel ne m'a jamais laissé la chance de prouver mon héroïsme le Bon Dieu me doit bien ça après tout le temps que j'ai passé à l'église. Et, par conséquent, un héros ne se fait pas enlever; just sayin. « Tu crois qu’entre une BCBG aux allures de princesse d’Arabie et un chinois ils prendraient le noich ? Moi perso je prendrais la fille. » J’annonce d’un air aussi innocent que le sien tout en affrontant paisiblement ses prunelles noisette. Un maigre sourire finit par fendre mon visage tandis que mademoiselle, elle, fronce ses sourcils. C’est pas faute d’insister avec le fait qu’elle sera envahie de rides d’ici peu mais bon, à vrai dire elle le fait tellement que je n’y prête presque plus attention la plupart du temps. Enfin là j’ai l’air d’avoir dit quelque chose de mal quand même. SDF. Tout de suite. La diva est de retour. Je pourrais lui sortir le même discours hein ”Je ne ressemblerai jamais à un riche. J’ai pas de grâce pour ça.” J’te jure. « Quoi? Tu doutes de mes capacités à te styliser en toute circonstance ? Alors là honnetement je suis piqué à vif. » Je fais semblant de m’outrer en portant la main sur mon cœur. Ce serait crédible si je n’avais pas un large sourire collé sur les lèvres. Enfin pas pour longtemps puisque je me fais trainer au goulag, à savoir la piste de danse. « C’est vraiment une vengeance de merde. » Je grogne dans le vide à sa destination puisque de toute façon elle à l’air bien décidée à ignorer mon opinion… bah comme la plupart du temps en fait. Ses mots me ramènent à la fois où elle s’était mis en tête de m’apprendre la valse. Une vraie catastrophe. « T’avais bien calculé ton coup en disant que ca me resservirait plus tard. » Mes prunelles se joignent aux siennes tandis que tout à coup, au milieu de cette réception coûteuse et à des années lumières de mon appartement grenoblois l’aventure Fake Lover se met soudainement à clignoter tel un warning dans ma tête. « Si t’es nostalgique t’aurais pu le dire plus tôt on aurait pris un bain. » Même après pratiquement un an je m’en souviens comme si cétait hier, du moins de mes précieux moments avec Raïssa; le reste un peu moins. A vrai dire je m’en fou tellement je n’ai gardé aucun lien avec les autres, à l’exception d’Hugo et son emploi du temps hyper chargé. Mes mains se glissent dans le dos de Raïssa, mes doigts frôlant les parcelles de sa peau duveteuse dévoilées par sa robe.. Gardant volontairement une certaine distance afin de tenter d’avoir l’air distingué. « Vraiment ? » Je m’étonne en écarquillant légèrement les yeux, fruit de ma spontanéité puisque, oui, évidemment, elle n’a jamais eu le temps pour ça. Nos enfances respectives convergent tellement que j’arrive à peine m'imaginer l'horreur qu'elle a pu vivre et les atroces images qui doivent lui revenir en tête lorsqu'elle songe à son enfance. « Nan pas du tout. T’imagines même pas, c’était le moment qu’on attendait tous comme s’il s’agissait d’un concert de Michael Jackson. Est-ce que la fille qui me plait va accepter ma demande En fait il valait mieux sinon c’était la honte devant tous les potes. » J’esquisse un sourire au souvenir de ces stupides demandes lancées en fin de boum avant d'aller se coucher malgré la décennie qui s’est écoulée entre temps. Mes pieds se stoppant dans leur tentative de danse hors-rythme, mes mains quittent la chaleur du dos de Raïssa et je m’éloigne d’un pas. Suffisamment pour reprendre toute cette situation à zéro. « Salut Raïssa tu es très belle et intelligente, est-ce que tu accepterais de danser un slow avec moi? » Je lui tends ma main, une valeur ajoutée à la réalité des faits, prêt à lui offrir un fragment de mon enfance, un extrait de ce qu’elle a raté. Tout est corrompu compte tenu de l’endroit et de nos âges mais pour une fois je suis prêt à mettre un peu d’effort en danse. « Là tu prends ma main et tu me sautes dessus en disant Oui je le veux. » Je lui murmure l'air de rien juste pour l'aider. Un petit tip quoi.
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MessageSujet: Re: » next to me    » next to me  EmptySam 4 Juin 2016 - 1:34

On va dire que Léo me protège mentalement, ce qui est déjà bien en soit. On ne peut pas tout avoir, la nature est obligée de faire une certaine sélection pour un minimum d'équité entre les individus. Je préfère qu'il ne prouve pas l'inexistence de ses muscles demain. Bon j’exagère un peu, certes, mais l'idée est présente. « Évite de nous porter la poisse » Je lui demande tout de même en lui offrant un regard de biche innocente pour le faire taire simplement par le regard. Ça ne marche qu'une fois sur deux. Je sens bien que Léo est entrain de me préparer mentalement pour la journée de demain, alors je me sens obligée bien évidemment de lui faire part de tous les scénarios catastrophes possibles qui défilent à l'instant dans mon esprit bien encombré. Il souligne que mes vêtements et mes habits font de moi une cible de choix. Il a tellement raison que je suis contrainte de rouler des billes pour essayer d'effacer mon absence d'arguments face à cela, de mauvaise foi. C'est bien triste, néanmoins je refuse de capituler pour autant. « Tu choisirais la fille dans n'importe quelle circonstance, toi » je lui rappelle simplement en lui glissant un regard aussi lucide qu'amusé. Il n'est pas une référence qu'on se le dise. Je décide de ne pas penser au fait qu'il risque de jouer au styliste demain et de profiter de la soirée comme il se doit. Évidemment Léo râle mais je n'affiche qu'un sourire encore plus satisfait en faisant comme si je n'avais rien entendu. « Totalement, j'ai prévu de te garder alors il fallait bien que je t'enseigne les basiques » Je lui réponds avant de l’entraîner sur la piste de danse ou alors l'endroit qui s'y ressemble. J'ai déjà essayé d'inculquer à Léo les bases de la valse mais il n'est pas un élève très appliqué ni très consciencieux qu'on se le dise. Cela n'étonne personne, cela dit, mais je crois bien que j'ai un faible pour les causes perdues. Je réprime vaguement un air presque mais presque attendri lorsqu'il évoque l'épisode du bain, cela me paraît tellement loin désormais. Plus d'un an. Il faut dire que depuis le début de Fake Lover, Léo et moi ne nous sommes pas séparés une seule journée. Je crois que personne ne misait sur nous. Même moi, c'est pour dire. On est vraiment l'un sur l'autre, je me demande encore parfois comment cela peut fonctionner aussi bien parce que pour le coup, les conflits sont inexistants ou alors très rares et ne durent que dix minutes, pour la forme surtout. « Même à cette époque, tu étais trop amoureux, c'était gênant » Je glisse en feignant une expression supérieure aussi contrite que désolée pour lui. A l'époque, il n'arrivait déjà pas à résister à mon charme ravageur. Je le comprends tout de même et excuse largement sa faiblesse face à ma divine et charmante personne. Léo tente de m'expliquer le genre de soirée où il devait sûrement rentrer avant minuit afin de rassurer ses parents, j'imagine. « Et tu as déjà essuyé des réponses négatives ? » Je lui demande amusée en tentant de m'imaginer un Léo gosse du genre clairement insupportable avec un humour déjà un peu vaseux, là, je n'ai aucun doute là-dessus. Il s'écarte, je lui lance simplement un regard perplexe avant de capter qu'il tente de faire les choses dans l'ordre. Mon visage s'illumine d'un sourire bien évidemment radieux. « J'accepte étant donné qu'il n'y a personne de mieux à proximité pour le moment » je souffle narquoise, je me sens obligée de préciser, avant de lui tendre gracieusement ma main comme si elle était un joyau inestimable dont il devait prendre absolument bien soin. Je me rapproche de Léo pour finir le slow. On s'offre quelques danses malgré les vaines protestations de mon cavalier mais je lui rappelle que j'ai accepté les favelas, il me doit une vie de slow rien que pour ce geste. On ne tarde pas à rejoindre notre suite luxueuse afin de se préparer pour un lendemain bien trop chargé à mon goût. Je tente de réprimer mon envie de râler permanente face à l'idée simplement pour ses beaux yeux d'asiatique, pour effectuer quelques efforts au sein de ce que l'on appelle pompeusement notre vie de couple. Je me dois de prendre en compte un minimum ses envies et ne pas les écraser avec les miennes. Je colonise Léo avant de sombrer, une jambe enroulée autour de son bassin, mon buste collé à son dos, j'estime m'être suffisamment installée comme une reine pour dormir. (…) Le réveil s'excite alors que j'ai l'impression de m'être reposée que quelques minutes. Je suis tentée de faire croire à Léo qu'il ne s'agit que d'un rêve, de l'éteindre pour nous laisser nous rendormir, mais ce plan n'est absolument pas viable, je ne vais pas gaspiller mes forces pour le mettre à l'exécution. Je me redresse prestement, escaladant le corps d'un Léo pas forcément très réactif le matin afin de calmer l'engin un peu trop strident pour l'heure. J'enfile des sous-vêtements avant d'ouvrir en grand mon dressing fourni malgré le peu de jours prévus au Brésil. Je finis par me poster pas trop loin de Léo, tendant les deux bras sur les côtés pour former une croix, je penche légèrement la tête en arrière. « Je suis prête pour la transformation » j'annonce clairement, un brin théâtrale. Je donne vraiment de ma personne aujourd'hui, juste pour lui, j'espère qu'il note bien la chose dans son esprit. Il a intérêt à apprécier la visite sinon il va en entendre parler pendant longtemps, je ne me sacrifie pas vainement tout de même.

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