+lylou
Après avoir souhaité rapidement un joyeux anniversaire à Myles, je porte Lylou comme elle me l’a demandé. Un truc de princesse j’ai pas trop compris pourquoi, mais enfin bon elle veut que je la porte jusqu’au lit alors je le fais, surtout que bon moi j’ai des muscles quand même. Et puis je suis content d’avoir quelqu’un pour dormir avec moi, même si c’est que pour une nuit, ou pour plusieurs nuits je sais pas trop ce qu’elle a prévu de faire non plus je suis pas dans sa tête. Enfin peut-être que Peyton a prévu de revenir dormir dans son ancien lit, mais enfin puisqu’il est même pas venu me dire bonjour, je vois pas pourquoi il viendrait dormir dans son ancien lit hein. Alors tant mieux si j’ai quelqu’un d’autre pour dormir avec moi. Ainsi, je la porte jusqu’à mon lit, et je la dépose dessus. « Et voilà c’est ici ! » Bon je suis quand même content qu’on soit arrivé, parce que je commençais à avoir un peu mal aux bras en fait. Elle est pas très lourde non, mais c’est quand même pas très confortable comme position. Puis je sors mon pyjama que je mets toujours sous mon oreiller. « Ferme les yeux je mets mon pyjama. » Oui j’ai pas envie qu’elle me voit, même si j’ai quand même des sous-vêtements, mais bon voilà ça se fait pas trop quand même c’est tout. « Et il est où ton pyjama à toi ? » Oui parce qu’elle va pas dormir toute habillée quand même. Enfin je sais pas mais moi je trouve quand même pas ça très confortable, mais bon si elle reste pour toute la semaine j’imagine qu’elle doit avoir emporté une valise, oui elle va pas porter les mêmes habits toute la semaine quand même.

Le prime touchait donc à sa fin. Inutile de vous dire qu'hormis Mason, les autres candidats de cette saison me semblaient tous être des abrutis finis, rien à voir avec ma saison à moi où la plupart restaient cools et avec un semblant de caractère. Mason lui, était particulier, et de ce que j'avais pu en juger, se détachait clairement du reste du lot que je trouvais qu'on se le dise plutôt banal. Mais bon, je suppose qu'il était tout bonnement impossible d'égaler ma saison. Non pas parce que je m'y étais trouvé, mais simplement parce qu'à première vue, elle me semblait bien plus mouvementée que la leur. Mais soit, je me laissais guider par les bras du jeune homme dont j'avais de toute évidence sous estimer la force. Oui, il me semblait soudainement bien plus costaux que je ne l'aurais jamais imaginé. Peut-être que ce côté enfantin n'était qu'une façade après tout, bien que j'en doutais encore quelque peu. Un de mes bras était placé derrière la nuque du jeune homme alors que ma seconde main elle, s'était déposée à plat sur le torse du jeune homme, comme pour marquer une certaine stabilité dans ma chevauche. Là dessus, nous passions le pallier et il ne tardait pas à me redescendre de mon carrosse, avant de reprendre la parole. « Et voilà c’est ici ! » mes grands yeux verts détaillent ainsi la grande pièce quelque peu en bazar, ce qui a tendance à m'amuser. Une chose était certaine, que ce soit cette saison ou une autre, les habitants avaient toujours autant de mal avec le rangement, aux grands regrets des mère au foyer regardant l'émission. Mason se dirigea vers un lit que je présumais être le sien. Enfin, le notre. Et retira des vêtements, un pyjama, de sous son oreiller. Une moue amusée s'esquissa sur mes lèvres. « Ferme les yeux je mets mon pyjama. » je m'exécutais donc, plaçant mes mains sur mes yeux, en laissant juste une petite fente filtrer la lumière, afin que je puisse tout de même observer le jeune homme sans qu'il ne s'en rende compte. Ou du moins, pas sans s'approcher de très très près. Cependant, sa prochaine remarque vint rapidement chasser ces deux protectrices, mes pupilles émeraudes se déposant sur le visage du jeune homme. « Et il est où ton pyjama à toi ? » je jette un coup d'oeil autour de moi, remarquant qu'ils ont de toute évidence oublié de livrer mon sac « Bonne question... » lâchais-je pensive, un doigt placé sous ma lèvre inférieure avant de finalement avoir un éclair de génie. J'observais un instant le haut du pyjama du jeune homme qui me semblait plutôt large et décidais de reprendre la parole. « Ça te dérangerait de partager ? » dis-je en désignant les vêtements « Me prêter ton haut juste pour une nuit, histoire que je ne meure pas de froid... » bon, j'exagérais peut-être un peu « Et puis quelqu'un d'aussi costaux et mignon que toi ne devrait avoir aucune gêne à dormir torse nu le temps d'une nuit. »

C’est vrai que je commence quand même à être assez fatigué, parce que bon moi d’habitude je vais me coucher à vingt-trois heures trente maximum, et ce soir le prime a duré un peu plus longtemps que d’habitude. Déjà que tous les dimanches je vais me coucher tard mais là il doit être au moins deux heures lorsque le prime se termine et je sens déjà mes yeux qui me piquent. Par contre j’oublie pas de souhaiter l’anniversaire de Myles ah ça non, j’oublie jamais son anniversaire moi. Et puis je dois encore combattre ma fatigue pour porter Lylou jusqu’à mon lit. Je vais pas me défiler ah ça non, j’ai dit que j’allais la porter, alors je vais le faire et puis de toute manière j’ai assez de force pour le faire hein ! Alors une fois arrivé dans la chambre je dépose Lylou sur le lit. Quand même heureusement que y’avait pas encore cent mètres de plus, parce que mes bras commencent à avoir mal. J’espère que je vais pas avoir des courbatures en tout cas, et puis bon de toute manière ça m’aura permis au moins permis de faire un peu de sport ! En tout cas il est hors de question que je dorme sans mon pyjama, c’est vraiment pas trop confortable. De toute manière mon pyjama comme tous les soirs il est sous mon oreiller, parce que c’est toujours là où je le mets. Mais enfin bon j’aimerais bien qu’elle ferme les yeux quand même parce que bon même si j’ai un sous-vêtement en dessous, j’ai pas envie qu’elle puisse voir. Elle met ses mains devant ses yeux alors je commence à me changer, et j’enfile mon pantalon rapidement ainsi que mon t-shirt. Voilà j’espère qu’elle a rien vu. Mais du coup je lui demande où est son pyjama à elle parce qu’elle va pas dormir habillée je pense non plus. « Bonne question... » Ah … Bon elle va faire comment alors ? « Ça te dérangerait de partager ? » Euh, comment ça je comprends pas trop où elle veut en venir en fait. « Me prêter ton haut juste pour une nuit, histoire que je ne meure pas de froid... » Elle veut que je lui prête mon t-shirt ? Alors là. « Et puis quelqu'un d'aussi costaux et mignon que toi ne devrait avoir aucune gêne à dormir torse nu le temps d'une nuit. » Non j’imagine que ça me dérange pas. « C’est vrai tu trouves que je suis costaud ? » je lui demande d’abord fièrement. « Mais enfin oui je veux bien te le prêter. Mais tu me le rends après hein ! » Bah oui je lui prête quand même, je lui donne pas non plus, c’est mon pyjama à moi pas le sien, et puis c’est un pyjama pour garçons en plus. « Mais .. tu vas dormir sans pantalon ? » je lui demande en m’asseyant sur le lit. Oui parce que si elle dort sans bas, même avec sa culotte quand même c’est un peu gênant moi je trouve.

Oui, à vrai dire je m'attendais à ce que Mason s'arrête en cours de route pour me faire descendre à bouts de forces, mais non, ce n'était de toute évidence pas comme cela que ça devait se passer. Et j'étais étonnée, clairement. Agréablement même. Alors, il m'avait déposé sur le lit alors que je m'étais amusée une nouvelle fois de la situation. Pensait-il vraiment que j'étais une princesse ? Dans ce cas, je voudrais être Marie Antoinette. A vrai dire je ne savais pas bien si il s'agissait d'une princesse mais puisque le film sur elle m'avait semblait drôlement cool et perché, je m'étais évidemment tout de suite identifié au caractère de la jeune femme. Je ne voulais pas être une de ces princesses banales à la Cendrillon, qui se languissent sagement en attendant que leurs princes charmants viennent leur passer le soulier au pied. Non, j'étais une femme, et une femme active. Une femme qui aimait avoir un certain pouvoir sur les événements et situations, et qui n'hésitait pas à mettre toutes les chances de son côté pour arriver à ses fins. Manipulatrice ? Peut-être. Mais cela ne faisait pas tout. Non, je crois que j'étais surtout joueuse. Je déclare alors au jeune homme que je le trouve costaux, certainement plus pour le mettre en confiance, afin qu'il me passe son tee shirt plus que pour lui dévoiler la vérité. Certes il est musclé, mais j'avais clairement eu affaire à mieux. « C’est vrai tu trouves que je suis costaud ? » une certaine fierté pouvait se lire sur son visage, comme cette expression qu'un gamin prendrait lorsqu'il aurait accompli quelque chose d'incroyable à ses yeux. Comme faire une coloriage sans dépasser d'une trace. « Enfin oui, je suppose. » dis-je en haussant les épaules, pensive « Peut-être que si tu retirais ton tee shirt, j'en serais définitivement convaincue. » et cela sans aucune arrière pensée, non absolument pas. Et puis de toute façon, moi ce qui m'intéressait, c'était son tee shirt. J'avais déjà réussi à gratter une place dans son lit, alors un simple tee shirt ne devrait pas poser de problème. Remarquez qu'il était toujours drôlement facile de se faire une place dans le lit d'un homme. « Mais enfin oui je veux bien te le prêter. Mais tu me le rends après hein ! » « Ah ça, je n'sais pas, c'est qu'il est canon ce tee shirt quand même ! » banal aurait été le terme plus approprié mais il pouvait clairement noter l'humour et l'ironie dans ma phrase, lui faisant comprendre qu'il lui reviendrait de toute façon une fois la nuit passée. Là dessus, il prit place sur le lit, tout en reprenant la parole. « Mais .. tu vas dormir sans pantalon ? » j'hochais la tête de façon affirmative « Ouais. Enfin, ne t'inquiètes pas, je garderai ma culotte, bien que je pense qu'il n'y ait plus aucune partie du corps d'une femme qui te soit inconnue. » cela me semblerait improbable, il devait certainement déjà avoir eu des petites amies. Ou au moins une. Je faisais donc glisser mon pantalon le long de mes fines jambes, jouant légèrement avec celles ci, et ce sans même demander au jeune homme de se cacher à son tour les yeux. Je faisais bientôt subir le même sort à mon haut me retrouvant de ce fait en sous vêtements devant le regard du jeune brun. Je me retournais un instant, et reprenais la parole « Si tu pouvais juste détacher mon soutien-gorge en déclipsant le bouton, dans mon dos, ce serait cool, c'est pas très confortable de dormir avec. » quelques instants plus tard je sentais finalement le bout de tissu lacher, et le retenais encore quelques instants contre ma poitrine à l'aide d'un bras étendu sur celle ci. Je me retournais ainsi face au jeune homme et, amusée, lui demandais. « Bon, et si tu me le passais ce tee shirt ? » Maintenant, il n'avait plus vraiment le choix.

Moi ça me dérange pas de partager mon lit, pas du tout même. Même que je suis bien content de plus avoir à dormir tout seul. J’aime pas ça, parce qu’ici en plus avant bah j’étais le seul à dormir tout seul en plus, enfin je crois je passe pas mon temps à vérifier où dorment les autres quand même, surtout que je vais souvent me coucher plus tôt qu’eux alors bon. Moi je trouve ça plus rassurant d’avoir quelqu’un à côté de soit la nuit, comme ça on se sent moins seul et puis si je fais un cauchemar et bah je peux toujours réveiller quelqu’un. Enfin je le faisais avec Peyton mais je pense pas qu’elle apprécie trop si elle je la réveille, tant pis je suis quand même content de pas avoir à dormir tout seul cette nuit ! Du coup je tarde pas, je mets mon pyjama qui est toujours comme chaque soir sous mon oreiller. Sauf que Lylou bah elle elle a pas de pyjama, parce qu’on lui a pas apporté son sac. Du coup … Elle voudrait que je lui prête mon t-shirt. Moi je veux bien oui tant qu’elle me le rend, je vois pas pourquoi je dirais non. Par contre si elle me demande que mon t-shirt, ça veut dire … qu’elle aura pas de pantalon pour dormir. Et moi ça me gêne un petit peu quand même. « Enfin oui, je suppose. Peut-être que si tu retirais ton tee shirt, j'en serais définitivement convaincue. » Roh elle est pas très patiente quand même ! Surtout que moi je le suis costaud un petit peu, pas autant que Myles mais j’ai des muscles oui, elle peut toucher même si elle veut vérifier hein. « Ah ça, je n'sais pas, c'est qu'il est canon ce tee shirt quand même ! » Roh je sais bien qu’il est pas super beau mais quand même, c’est juste un pantalon de pyjama ! « Et ouais c’est un pyjama de haute couture ! » je réponds sur le même ton qu’elle. Ouais comme si on avait les moyens, et puis même je vois pas à quoi ça sert d’avoir un pyjama de marque hein. « Ouais. Enfin, ne t'inquiètes pas, je garderai ma culotte, bien que je pense qu'il n'y ait plus aucune partie du corps d'une femme qui te soit inconnue. » Encore heureux qu’elle garde sa culotte quand même, même si ça me met mal à l’aise de me dire qu’elle aura pas de pantalon quand même. « Euh … Bah … C’est-à-dire … » Je sais pas trop quoi lui dire, je sens que je me mets à rougir, mais bon elle croit quoi elle ? Bien sûr que non j’ai jamais vu une fille toute nue quand même oh. Mais bon du coup je sais pas trop quoi lui dire, surtout qu’elle enlève son pantalon et son t-shirt comme ça devant moi. Je sais pas trop ce que je suis censé faire moi, j’essaie de pas trop la regarder mais bon. Et puis elle se retourne comme ça, en sous-vêtements devant moi. Bon ok je voudrais bien fermer les yeux mais c’est difficile de lui parler en la regardant si j’ai les yeux fermés. « Si tu pouvais juste détacher mon soutien-gorge en déclipsant le bouton, dans mon dos, ce serait cool, c'est pas très confortable de dormir avec. » Hein … Quoi ? Je sais pas trop quoi dire, je sens que je deviens encore plus rouge. Je fais quand même ce qu’elle me demande sans trop oser parler, heureusement elle retient son soutien-gorge avec ses mains. « Bon, et si tu me le passais ce tee shirt ? » Hein ? Ah oui le t-shirt. Je l’enlève et je lui donne. « Tiens voilà. Tu vas pas dormir sans ça quand meme non plus ? » je lui dis en parlant de son soutien-gorge que je pointe légèrement du doigt. Oui parce que bon c’est dans mon t-shirt qu’elle va être alors bon … Je sais plus trop où me mettre moi en attendant.

« Et ouais c’est un pyjama de haute couture ! » Oui, je supposais qu'il avait certainement du avoir au moins une copine avec qui hm... expérimenter certaines choses ? S'envoyer en l'air, en gros. Mais bon, je pense qu'il avait bel et bien cerné mes pensées. Et sa prochaine réponse me parue d'ailleurs plutôt évasive, mais pas forcément dans le sens que j'aurais imaginé. Non, à vrai dire, c'était comme s'il nier avoir un jour partagé un quelconque plaisir charnel avec une femme, et qu'il n'en connaissait de ce fait pas vraiment le fonctionnement. « Euh … Bah … C’est-à-dire … » mon sourcil droit s'arqua un instant, pourtant je décidais de ne rien dire. Oui, j'avais tout de même des réserves sur certains points, et puis peut-être ne voudrait-il simplement pas en parler. Je n'étais pas là pour le juger. Ou juste un petit peu. C'est vrai qu'il était quelque peu affreux ce pyjama. Mais soit. De toute façon je n'étais pas là pour être le canon du siècle, me préoccupant que très peu -comprenez absolument pas- de ce que pouvaient penser les autres de moi. Oui, je pouvais être une peste. Oui, je n'étais pas tout le temps agréable. Oui, il m'arrivait de changer d'humeur, mais vous savez quoi ? Je crois que c'est en partie pour ces raisons que les gens apprenaient à m'apprécier, à s'attacher à moi. J'étais leur peste. C'est très certainement pour cette raison que j'avais réussi à atteindre la finale de ma saison, avant de finalement décider de quitter le jeu, laissant ainsi ma place à Vadim. Je ne voulais pas gagner. Ça ne m'intéressait pas. Je n'étais pas le genre de fille à aimer attirer les spotlights sur elle. J'étais compliquée. Et je crois que quelque part, cela n'était pas plus mal. Je restais Lylou, et non pas une énième finaliste, peut-être gagnante d'une émission télévisée. L'argent ne m'intéressait pas. J'étais juste là pour vivre, prendre le tout à la dérision, passer simplement du bon temps, rencontrer les bonnes personnes, quitte à les envoyer se faire foutre par la suite. Et puis en rire quelques années plus tard un verre à la main. Mason détacha sans broncher mon soutient gorge avant que je ne lui fasse signe de me refiler son tee shirt, ce qu'il s'exécuta en un éclair. « Tiens voilà. Tu vas pas dormir sans ça quand meme non plus ? » j'enfile tout d'abord son tee shirt, me glissant à l'intérieur de celui ci avant de finalement retirer le bras de ma poitrine pour le passer dans une des manches, une fois celle ci cachée par le bout de tissu, abandonnant mon soutient gorge près de mes autres vêtements. « On voit clairement que tu n'en as jamais porté. » lâchais-je amusée en m'asseyant à ses côtés, sur le bord du lit « Alors comme ça, tu n'as jamais eu aucune prétendante ? » peut-être me trouverait-il un peu trop curieuse, mais j'm'en fichais, je demandais ce que je voulais demander, qu'il aime ou non. De toute façon ce n'était pas bien honteux. « Au moins, tu pourras te vanter d'avoir dégrafer un soutien-gorge. Et le mien en plus. » un léger rire s'échappe de mes lèvres « Et crois moi que peux d'hommes ont la chance d'arriver jusqu'à ce stade. » mes pupilles émeraudes se déposent ainsi sur le visage du jeune homme alors que je m'assois en tailleur sur le lit, pour lui faire face, le tee shirt bien trop grand pour moi, recouvrant une bonne partie de mes jambes. « On a presque le même age. T'as conscience que t'es un homme, n'est ce pas ? Tu peux faire ce dont tu as envie. Demander à une fille si tu peux la fréquenter, l'embrasser, et même plus. » je marque une légère pause avant de reprendre « Ou un homme d'ailleurs, je ne juge pas. » mon sourire s'étira un peu plus « Il serait dommage que tu ne profites pas pleinement de ta jeunesse, t'as autant le droit d'y accéder qu'un autre. »

Bon … Elle se retrouve en sous-vêtements devant moi, clairement ça semble pas la gêner, moi beaucoup en tout cas, je sais pas si elle s’en rend compte. Surtout qu’elle me dit que je dois déjà avoir vu toutes les parties du corps d’une femme. Bah non pas vraiment quand même, je trouve ça un peu dégoûtant, mais j’ose pas lui dire clairement parce que j’ai peur qu’elle se moque de moi. Apparemment c’est pas normal à mon âge de jamais avoir vu une femme nue, ni d’avoir eu envie d’en voir une, alors bon du coup maintenant je préfère me taire. C’est pas vraiment de ma faute moi. Pour le coup ça me met encore plus mal à l’aise. Je sais plus trop quoi dire, j’aime pas parler de ça. J’aime vraiment pas ça, parce que c’est pas quelque chose que je connais et que en plus bah ça me dégoûte un petit peu. Surtout qu’elle est là devant moi, à moitié nue, alors je crois que mon visage doit être super rouge. J’ose plus trop la regarder, et je sais plus trop quoi dire, surtout qu’elle me demande de lui dégrafer son soutien-gorge. Alors là je sais vraiment plus quoi dire, et à vrai dire j’ai même un petit peur qu’elle l’enlève comme ça devant moi, et là je suis pas vraiment sûr de pouvoir le supporter. Heureusement, elle décide de le tenir et de pas l’enlever. Ouf, mais bon en tout cas elle va quand même l’enlever sous mon t-shirt, que je lui donne, je suis pas sûr d’avoir envie de le remettre après du coup. Elle enfile alors mon t-shirt en enlève son soutien-gorge en même temps, au moins on a évité la catastrophe quand même. « On voit clairement que tu n'en as jamais porté. » Hein ? Mais pourquoi elle me dit ça ? « Bah non je vois pas pourquoi j’en porterais, j’ai pas de seins quand même. » Enfin je crois pas, j’espère pas, je suis un peu trop mince pour avoir des seins quand même. « Alors comme ça, tu n'as jamais eu aucune prétendante ? » Une prétendante ? Non je crois pas. « Bah non. » je lui dis comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, parce que ça l’est quand même. Je vois pas trop où elle va chercher ça quand même, c’est un petit peu n’importe quoi. « Au moins, tu pourras te vanter d'avoir dégrafer un soutien-gorge. Et le mien en plus. » Ouais enfin j’irai pas le crier sur tous les toits non plus. « Et crois moi que peux d'hommes ont la chance d'arriver jusqu'à ce stade. » Je suis pas sûr d’avoir envie de le savoir en fait. « Ah … C’est bien alors ? » Oui je sais pas, j’imagine … « On a presque le même age. T'as conscience que t'es un homme, n'est ce pas ? Tu peux faire ce dont tu as envie. Demander à une fille si tu peux la fréquenter, l'embrasser, et même plus. » Bah je sais bien que je suis un homme quand même oui ! Pourquoi elle me demande ça hein ? « Je suis pas sûr d’en avoir envie en fait. Et même si je voulais je suis pas sûr que j’oserais. » Non ça c’est clair, et puis pourquoi je lui dis ça en fait ? Je la connais que depuis le prime. « Ou un homme d'ailleurs, je ne juge pas. » N’importe quoi. « Ah non moi j’aime pas les hommes. » Oui ça c’est clair. « Il serait dommage que tu ne profites pas pleinement de ta jeunesse, t'as autant le droit d'y accéder qu'un autre. » Je comprends pas trop ce qu’elle veut dire en fait. « Moi j’en profite de ma jeunesse, pourquoi tu dis ça ? »