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 01/12 - 17h, who run it.

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Khadija

Khadija
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MessageSujet: 01/12 - 17h, who run it.   01/12 - 17h, who run it. EmptyLun 30 Nov 2015 - 11:48

WHO RUN IT
@lawrence
Elle s’était précipitée à la salle de sport après une douche glacée de bon augure. Echec dont elle aurait du se douter, évidemment : une « salle de sport », Khadi, sérieusement ? Tu es dans une prison, chérie. Au mieux, tu auras droit à ce préau digne d’une école maternelle, ce terrain de basket sans ballon, et quatre altères pouvant être soulevées par un taulard, un vrai, mais pas par toi. Elle contemple la zone « sport » d’un air maussade, déjà prête à aller prendre un café au chaud dans le réfectoire en tirant un trait sur la partie « entretien physique » de sa journée. Des pas résonnent dans la cour et Khadi se retourne. Un homme est là, dans l’éternelle combinaison orange, mais qui ne masque pas son maintien élégant. Le ciré criard ne va pas à cet homme-là, qui semble plus habitué à porter un costard trois pièces qu’une tenue d’inmate. Justifiant sa présence sur les lieux, Khadi désigne les altères posées au sol. — L’utopie d’un tapis de course m’a poussée jusqu’ici. Une moue déçue sur la bouche, elle hausse les épaules. L’homme se rapproche naturellement, et elle craint soudain qu’il lui fasse le même coup que l’autre : un baisemain foireux. Légèrement sur la défensive, elle se crispe malgré elle et attend. — Tu es aussi dépité que moi ou tu comptes bien soulever ces … morceaux de plomb ? Son visage désigne les altères métalliques qui gisent à ses pieds. Lui, avec son gabarit, pourrait sans aucun doute les soulever, contrairement à elle. Et pourtant, elle a l’habitude de porter sa planche de deux mètres, de parcourir de longues distances avec sur le sable brûlant, de résister aux assauts des vagues… mais là, non. Pas les altères en plomb.
Lawrence

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MessageSujet: Re: 01/12 - 17h, who run it.   01/12 - 17h, who run it. EmptyLun 30 Nov 2015 - 17:10

Lawrence entendait bon nombre de ses camarades d'infortunes se plaindre de l'ennui et du peu d'activités mises à leur disposition, et il ne parvenait pas à décider s'il en était amusé ou agacé. Il ne niait pas l'ennui, pour lui qui avait toujours un emploi du temps plein à ras bord et peu d'occasions de se poser pour profiter de l'envie de ne rien faire tourner en rond dans un espace aussi restreint n'était pas foncièrement intéressant, mais malgré tout il savait s'en accommoder et se souvenir qu'à chaque situation on pouvait trouver pire. Il pourrait n'y avoir ni livres dans la salle commune, ni café en libre service au réfectoire, ni même coin d'extérieur dédié au sport. Ils pourraient aussi être reclus dans leurs cellules respectives et n'en sortir qu'aux heures de la douche et des repas, hors on leur avait laissé accès à l'extérieur ... bref, il y avait toujours pire, et Lawrence se faisait une obligation de ne pas l'oublier. Ça ne l'empêchait pas bien sûr d'avoir un petit pincement au cœur en songeant au gâteau d'anniversaire que son équipe ne préparerait pas en secret (croyaient-ils) pour lui cette année, et au coup de téléphone de Rosie qu'il ne recevrait pas pour lui chanter joyeux anniversaire ... Mais c'était ainsi, et ce ne serait ni le premier ni le dernier anniversaire qu'il passerait loin de chez lui, surtout. Quelques heures ici lui avaient en tout cas été suffisantes pour savoir qu'il passerait une grosse partie de son temps à faire du sport, seule façon probablement de se dépenser suffisamment pour être fatigué le soir et pouvoir trouver facilement le sommeil. Aussi, bien qu'il ait déjà passé son début d'après-midi à se disputer le ballon de basket avec d'autres codétenus camarades, le voilà déjà de retour sur les lieux du crime où une fois n'était pas coutume il venait à nouveau de tomber sur une silhouette inconnue. Utopie, c'était bien le mot adéquat si elle espérait trouver un tapis de course ou quoi que ce soit d'autre d'automatisé ici. « Ces "morceaux de plomb" seront probablement peinés de savoir que tu ne comptes même pas leur donner une petite chance. » avait-il finalement fait remarquer tandis qu'un air amusé se dessinait discrètement sur ses lèvres et qu'il délestait l'une des haltères d'un de ses poids et le faisant tourner un instant entre ses mains avant de reprendre « Mais si je comprends bien c'est plutôt le souffle que la masse musculaire, ton objectif ? » Et c'était son droit, après tout. Mais si elle avait vraiment envie de courir à ce point-là elle n'avait pas besoin d'un tapis de course ... La seule chose indispensable pour courir en définitive, c'était d'avoir deux pieds. Et encore, la technologie faisait des merveilles en terme de prothèses, maintenant. « Lawrence. » avait-il achevé de se présenter tout en reposant le poids près de son haltère, pour relever les yeux vers la jeune femme et lui tendre la main en guise de salutation. Il était presque certain d'en avoir vexé une hier en lui serrant la main alors que ce n'était pas ainsi qu'elle avait l'habitude d'être saluée, mais il se perdait un peu en manières et habitudes des uns et des autres et préférait maintenant s'en tenir à ses habitudes à lui. Tant pis si elles ne passaient pas toujours bien.
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MessageSujet: Re: 01/12 - 17h, who run it.   01/12 - 17h, who run it. EmptyLun 30 Nov 2015 - 17:33

Sourire en coin, mi-séduisant, mi- réservé, cet homme a l’habitude des éternels jeux de séduction discrets de la bourgeoisie, non ? Pas elle, dramatiquement fille du Pays Basque aux origines arabes, elle ne s’embarrasse jamais, même lorsqu’elle devrait (c’est l’avis de sa bookeuse parisienne). Une petite chance ? Elle a une moue dubitative tandis qu’elle lui montre son biceps, tout petit. Ça l’excuse, non ? Elle penche la tête sur le côté et lui offre un sourire.  Elle acquiesce à sa conclusion, c’est en effet plutôt le souffle, et elle compte même lui expliquer la manière dans le détail. — Oui, tu vois, sur un tapis de course, je travaille énormément mon équilibre, dit-elle en se lançant, une expression sérieuse sur son minois. — Je suis surfeuse professionnelle. Je cours sur le tapis à l’envers, je m’entraine également aux pas chassés en mettant la vitesse à fond pour entrainer mes jambes au contre-courant, tu vois ? En clair, le tapis de course est sa machine préférée quand il s’agit de muscler ses cuisses et d’aiguiser son sens de l’équilibre. En effet, le tapis, lorsqu’il avance rapidement, peut être utilisé comme un perturbateur d’équilibre – un peu comme une vague qui fait uniquement ce qu’elle veut. On n’apprend pas la signalisation de l’océan comme on passe son code de voiture. Mieux vaut être prêt à tout, même à sauter, et pour ça, le tapis de course est votre ami. Elle finit par soupirer. — Je vais devoir trouver une autre astuce. Peut-être jouer à l’équilibriste sur les murs de la prison, elle ajoute dans un nouveau sourire, avant d’observer sa main tendue vers elle avec surprise, et de la serrer chaleureusement. — Khadija, mais on m’appelle Khadi. Enchantée Lawrence, c’est un prénom anglais ? Américain ? Elle réalise soudain que Lawrence n’avait peut-être strictement aucune intention de faire sa connaissance, et sans doute plutôt celle de faire son sport en paix. — Veux-tu que je te laisse t’entrainer ?
Lawrence

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MessageSujet: Re: 01/12 - 17h, who run it.   01/12 - 17h, who run it. EmptyMar 1 Déc 2015 - 18:10

La voilà qui arborait son biceps de poids plume, comme si cela suffisait à justifier sa décision de bouder les seules haltères mises à leur disposition. Excuse à demi valable seulement aux yeux de Lawrence, parce que tout n'était que question de volonté et d'entrainement selon lui. Mais plutôt que de le faire remarquer et de risquer, par la même occasion, de vexer la jeune femme ou même de s'attirer ses foudres, il avait préféré se renseigner sur ses objectifs véritables. Elle lui faisait l'effet d'une personne qui ne s'était pas perdue jusqu'ici par hasard, et qui espérait sincèrement faire travailler son organisme ... ce n'est donc qu'à moitié étonné qu'il l'avait écoutée tandis qu'elle révélait être sportive de profession. Surfeuse, pour être tout à fait exact, et donc oui, il voyait tout de suite un peu mieux pourquoi elle espérait tellement après ce tapis de course qui n'existait pas. « Il y a un vieux ballon dans la cabane du jardin, si tu y tiens. Je ne me risquerais personnellement pas à exercer mon équilibre dessus, mais avec ton gabarit c'est peut-être envisageable. » Il avait haussé vaguement les épaules, beaucoup plus sérieux dans sa proposition qu'on ne pouvait le penser. Selon lui il y avait toujours moyen de se débrouiller avec les moyens du bord lorsqu'il s'agissait d'entrainement physique. « Ce serait dommage d'être accusée à tort de tentative d'évasion après seulement deux petits jours parmi nous. » Et si on la retrouvait à escalader les murs c'était probablement l'impression qu'elle donnerait, quoi que désespérée puisqu'au fond Lawrence n'avait entendu nul part qu'ils n'étaient pas libres de s'en aller s'ils le souhaitaient ... Il était presque étonné qu'une ou deux chochottes ne se soient pas déjà détachées du groupe, à vrai dire. « De même. » avait-il répondu en lui adressant un sourire, tandis qu'elle se présentait à son tour et se disait enchantée tout en lui serrant la main. « Alors va pour Khadi, si tu y tiens. » Il ne se serait pas permis de lui trouver lui-même un surnom aussi rapidement, mais si elle prenait les devants il n'allait pas refuser. Pour ce qui était de son propre prénom en revanche ... « Je ne sais pas trop ... peut-être anglais. Venant de mes parents ils souhaitaient probablement surtout que cela fasse pompeux. » Après tout son géniteur ne s'était déjà jamais caché d'avoir prénommé son aîné en référence à Robert - Bobby - Kennedy. Quand on choisissait un candidat à la présidence comme référence, on se prenait assurément très - trop - au sérieux. Pour en revenir à son interlocutrice, elle semblait avoir l'impression de déranger. « Je ne serais pas contre un peu de compagnie, au contraire. Si la mienne ne te dérange pas. » Il était un peu là faute de mieux à vrai dire, il avait déjà eu l'occasion de suer ici plus tôt dans la journée, avant de s'octroyer une seconde douche froide, et il revenait sur ses pas pour la simple et bonne raison qu'il n'avait rien de mieux à faire et qu'un terrain de sport quel qu'il soit finissait toujours par avoir sa préférence, bien qu'il n'ait que peu d'occasions de s'ennuyer au quotidien. « D'où est-ce que tu viens, Khadi ? » Remettant finalement en place le poids dont il avait délesté une des haltères, il s'en était saisi avant de diriger à nouveau ses iris sur la jeune femme.
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MessageSujet: Re: 01/12 - 17h, who run it.   01/12 - 17h, who run it. EmptyJeu 3 Déc 2015 - 11:15

La présence d’un vieux ballon, sans doute à moitié dégonflé, dans la cabane du jardin,  lui offre un sentiment d’excitation très modéré. Une moue peu convaincue sur le visage, elle penche sa tête sur le côté. — Je jetterai un œil… Ou pas. Sérieusement, même dans les prisons les plus minables du fin fond des USA, on trouve des salles de sport, pourquoi avoir absolument tenu à reproduire Guantanamo ? Il faut sans doute toujours en faire des tonnes pour impressionner les spectateurs. Elle sourit, et acquiesce à la remarque de Lawrence concernant l’idée de jouer les funambules sur les murs de la prison. La pire idée qui soit, avec celle de l’évasion spectaculaire – bien qu’elle ne refuserait pas de jouer le jeu si Cupidon venait à lui demander de s’évader pour créer le buzz. « Comme il est sage », elle songe en l’écoutant et l’observant s’exprimer. Qui lui a appris à être aussi sérieux, si… militaire ? Il semble à la fois doux et intéressé, son humour pince-sans-rire très « anglais », mais aussi hautain et pourvu d’une haute estime de lui. Ce n’est pas elle qui ira juger cela, mais elle se pose des tas de questions à son sujet. Si seulement les Hommes étaient comme des livres : les ouvrir et lire en eux pour les découvrir, assister à leur histoire comme devant une parfaite frise chronologique. Elle ne peut s’empêcher de rire avec légèrement à sa remarque – très critique – sur le choix de prénom qu’ont fait ses parents. — Ton prénom me fait penser à Lawrence d’Arabie, dit-elle dans un sourire. — Et j’avoue que l’officier britannique volant au secours des Arabes n’est pas mon personnage favori. Elle se mord la lèvre inférieure en espérant ne pas l’avoir vexé. C’est seulement qu’elle a horreur du cinéma « première guerre » dans lequel toute population colonisée est considérée comme incapable de se sauver sans l’aide généreuse des meilleurs européens qui soient. Elle a emporté, dans sa valise, un essai qu’elle relit pour la seconde fois, « L’Orient créé par l’Occident », d’Edward Said. En tout cas, le côté « pompeux », s’il aurait pu être entièrement évité en fonction de la personnalité de Lawrence, n’a pas été un échec complet : on sent l’éducation bourgeoise chez cet homme accompli, ce qui n’a rien d’un jugement critique. Elle secoue négativement la tête à sa question. Non, sa présence ne la gêne absolument pas, elle qui a l’habitude de fonctionner en tribu, tout en creusant au sein du groupe son indépendance, et y trouvant sa solitude. Elle ne peut s’empêcher de le regarder en biais s’emparer d’une altère. Il va soulever ces engins… Admirative, elle attrape simplement une corde laissée à terre et envisage de s’en servir de… corde à sauter. — Je te préviens : je vais avoir l’air ridicule. N’en tiens pas compte, d’accord ? Elle demande en commençant un premier saut. La corde est trop molle pour être efficace, mais au moins, elle peut sauter par-dessus, c’est déjà ça. La question de ses origines a été abordée tant de fois en France, notamment au Pays Basque, que Khadi a toujours tendance à répondre sur la défensive, comme c’est le cas maintenant, sans même s’en rendre compte. — De France. Anglet, entre Biarritz et Bayonne, elle ajoute, avant de se rendre compte que les intentions de Lawrence n’étaient sans doute absolument pas celles qu’elle imaginait. Il y a tant de nationalités différentes réunies ici que la question de Lawrence était neutre. Ainsi, elle décide d’aller plus loin avec lui. — J’ai des origines iraniennes. Et toi, si tu n’es pas Anglais, tu es… Américain ? Elle est profondément nulle pour reconnaître les différents accents des langues anglo-saxonnes. Elle serait sans doute incapable de différencier un Irlandais d’un Ecossais.
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MessageSujet: Re: 01/12 - 17h, who run it.   01/12 - 17h, who run it. EmptySam 5 Déc 2015 - 4:48

Elle ne semblait pas particulièrement emballée par cette histoire de ballon, et après tout Lawrence ne l'avait envisagé que dans le cas où elle serait carrément désespérée mais au fond elle se débrouillait bien comme elle le souhaitait. Tout comme elle pouvait aussi, si elle le désirait, s'illustrer par des cabrioles qui donneraient faussement l'impression qu'elle jouait un remake de La grande évasion ... Mais elle semblait plus intelligente que ça, et aux yeux de Lawrence saboter ses chances de ne pas repartir bredouille à la fin de cette semaine relevait de la betise pure et simple. A défaut de sport le barbu en avait profité pour faire les présensations, trouvant d'une part très impoli de ne pas se présenter à quelqu'un avant de poursuivre une discussion, et d'autre part plus intéressant de savoir un minimum à qui il avait affaire. Il n'avait pas la moindre idée de l'origine de son prénom en tout cas, puisque c'était une question que la brune venait de soulever, et si de son point de vue à lui ses parents avaient surtout du écumer les prénoms acceptables pour des bambins élevés dans le milieu qui serait celui de leur progéniture, elle en revanche y voyait une  référence cinématographique qui ne semblait que moyennement lui plaire. « Je suis à peu près certain que ma mère n'était assez calée ni en cinéma ni en histoire britannique, alors il y a peu de chance que l'idée vienne de là. » La réflexion de la jeune femme l'avait un peu dérouté, sans qu'il ne comprenne vraiment si la précision était là à but informatif ou bien si elle était en train de lui reprocher quelque chose ... « Et m'appeler Lawrence et avoir été officier ne m'a jamais donné le moindre désir de colonisation, si ça peut te rassurer. » s'était-il alors permis de rajouter, d'un ton léger mais non sans cacher un fond de vérité. Il avait le mauvais prénom, et de toute évidenc embrassé par le passé une carrière qu'elle ne portait pas dans son coeur ... Et il venait de lui montrer patte blanche, pourtant, il espérait que cela suffirait, d'autant plus qu'il n'était jamais contre un peu de compagnie. Cherchant toujours désespérément un moyen de faire travailler ses muscles elle s'était saisie - l'air un peu dépité et en prévenant d'avance du possible ridicule de ce qui allait suivre - d'une corde abandonnée là pour tenter de sen servir de corde à sauter « Si elle est là c'est probablement que tu n'es pas la première à avoir eu cette idée. » Autrement dit il n'y avait pas de ridicule qui tenait. Plus intéressé en fin de compte par ce qu'elle faisait que par sa propre occupation, il s'était contenté de la suivre des yeux, risquant une nouvelle question à son égard sans comprendre pourquoi à nouveau cette pointe de méfiance tandis qu'elle répondait ; Il avait l'impression de s'y prendre de travers, sans savoir ce qui clochait dans sa manière de faire. « Je ne savais pas que l'on pouvait surfer en France. » avait-il alors simplement fait remarquer, d'un ton peut-etre plus prudent qu'il ne l'aurai envisagé à la base. Pour lui comme pour beaucoup de monde le surf était surtout une affaire d'australiens et de californiens, quoi que d'avoir grandi en Californie n'en avait pas fait un afficionado de ce sport pour autant. Sans qu'il ne demande - et vu les circonstances il ne s'y serait sans doute pas risqué - elle lui avait également confié ses origines iraniennes avan de se renseigner sur les siennes, et tachant de garder le ton placide avec lequel il s'exprimait au début de leur conversation il avait répondu « Américain. Originaire de Californie, mais je vis au Nouveau Mexique. » Et pas d'origines autres suffisamment récentes pour qu'elles ne doivent etre mentionnées.

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MessageSujet: Re: 01/12 - 17h, who run it.   01/12 - 17h, who run it. Empty

 

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