( you can blow what's left of my right mind. ) ft. @Salvador / le 19/01 à 23h
Ah ! L’heure du couché ! Gael avait le corps endoloris à cause du rhume qu’elle semblait se taper depuis la veille. La brune s’étira en arrivant dans la chambre. Elle était déjà passée par le dressing, pour se changer. Etant donné qu’il faisait vraiment très froid en ce moment, la candidate avait opté pour le pyjama pas vraiment sexy : un jogging qui lui tombait sur les hanches, et un sweat un peu trop large. Confortable, mais ce n’était pas ça qui lui attirerait les regards. Elle s’en fichait complètement, d’ailleurs. Surtout que dans la maison, au final, ceux qui lui plaisaient vraiment étaient partis. Gael allait s’installer dans son lit quand elle vit que plusieurs vêtements étaient étalés sur sa couette. Trop grands pour être ceux de son partenaire. « Ah pu… ! » Elle se retint de justesse de ne pas jurer. « Est-ce que c’est trop dur de ranger dans cette maison ! » Sa voix était légèrement cassée à cause de son rhume, et elle balança un vêtement juste… A la tête de Salvador qui entra. « Oops, pardon. » Fit-elle avec une grimace.

Suite à ma discussion dans la chambre secrète avec Greta, je pars manger un bout tranquillement. Puis je décide d’aller me divertir un peu dans les arcades en jouant au flipper. Une fois que je suis lassé, je me dis qu’il est peut-être temps de songer à dormir. Je débarque alors dans la chambre guimauve encore éclairée où ne se trouve qu’une seule personne. Mais à peine le seuil de la porte dépassé, je me retrouve avec un tissus sur le bout du nez. Evidemment, il tombe de lui-même par terre. J’affiche une tête dépité avant d’identifier l’auteur du crime. C’est Gael. Je la fusille du regard avant qu’elle ne s’excuse. « Si c’est ma tête ou mes cheveux qui te dérange, y’a d’autres moyens de t’exprimer. » Je lâche ça sur un ton sérieux et intimidant alors qu’au final, la situation m’amuse plus qu’autre chose. Il n’y a pas mort d’homme après tout et j’imagine que c’est que pure hasard. J’étais là au mauvais endroit et au mauvais moment. Ça me rappelle d’ailleurs étrangement une situation qui m’est déjà arrivé dans le jeu. Sauf que c’était pas moi la victime. « Avoues que c’est Enola qui t’as demandé de la venger ! » Je fais évidemment référence à ma première rencontre avec ma partenaire avant même qu’on soit partenaire en fait. Il me semble bien que c’était dans les douches de la prison. J’ai l’impression que ça fait des années lumières alors que ça doit faire quoi… deux mois ? Un truc du genre. « C’est à qui ce truc-là ? » Je ramasse du bout des doigts le tee-shirt blanc et surement sale qui se trouve dorénavant par terre en me demandant qui peut bien porter ça. La logique voudrait que ça ne soit pas à Gael puisque je l’ai entendu se plaindre du bordel de la chambre. J’examine vite fait le bout de tissu ne sachant pas s’il est féminin ou masculin. « Soit on le brûle, soit on affiche le propriétaire via les réseaux sociaux. Tu choisis quoi ? » J’offre deux options à la demoiselle qui semble toujours contrarié par le bordel causé par l’un des habitants de la chambre. Je suis sûr que c’est Colin tiens ! Les jeunes de nos jours...