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 there's nothing like you and i {25/07, 22:00}

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Malo

Malo
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MessageSujet: Re: there's nothing like you and i {25/07, 22:00}   there's nothing like you and i {25/07, 22:00} - Page 2 EmptySam 28 Juil 2012 - 13:43

Il avait peur. Peur de la déception et de l'échec. Et de la souffrance, par dessus tout. Il avait peur de la faire souffrir, de la décevoir, de ne pas être la hauteur. Il avait été tellement déçu de ses relations passées. D'abord son mariage, puis AJ et d'autres conquêtes avant cela. Il s'attachait trop vite, il précipitait les choses. A être trop fleur bleue, on finit par attendre trop de l'autre : la déception en est encore plus grande. On se rend alors compte que les sentiments ne sont pas équivalents. L'alchimie n'y est pas. Vient s'installer la routine. Une routine qui vous accable. On cherche à combler le vide ailleurs. Avec d'autres personnes. Puis, la rupture et la trahison. Quelque chose en vous se brise tel un éclat de verre. On se referme sur soi-même pour ne plus souffrir. Malheureusement, la vie n'est pas ainsi. L'existence a ses propres lots de souffrance. Malo ne le savait que trop bien. Il entrevoyait à travers les yeux de Sochanna un avenir plausible, possible. La relation durable qu'il rêvait sans y croire vraiment. A présent, c'était réalisable. Il s'en rendit compte en plongeant son regard bleuté dans celui de la jeune femme. Il comprit qu'il ne pourrait pas vivre sans elle, qu'il ne lâcherait jamais cette main qu'il serrait dans la sienne. Cette main qui réveillait ses sens d'un simple toucher, d'un doux effleurement. Ce qu'il ressentait pour elle était plus intense qu'il ne le croyait. Cette attraction se transformait lentement en un attachement indéniable. Il s'était épris d'elle. On attend parfois des autres qu’ils nous servent de miroir, qu’ils nous cernent, nous disent qui on est. Chaque reflet nous réconcilie un peu plus avec nous-même. Il savait qu'elle l'acceptait tel qu'il était malgré les défauts qu'il venait de lui énumérer. Son cœur tambourinait contre son poitrail. Une sensation agréable le parcourut. Elle ne voyait pas son côté maniaque comme un défaut. Elle parlait de leurs bureaux de travail respectifs. Des différences qui les séparaient. Elle rajouta d'une voix sensuelle : - Je dois dire que jusqu’à présent j’apprécie que … tu prennes les choses à cœur. Elle vint déposer doucement ses lèvres sur les siennes tandis qu'elle jouait avec les boutons de sa chemise. Il frémit. Il n'eut pas le temps de les savourer qu'elle rompit le contact. Elle le charmait de son timbre de voix, de sa doucereuse sensualité faisant monter la température de la pièce. Son rythme cardiaque s'accéléra. Elle le captivait d'une facilité déconcertante. Il ne parvenait pas rester insensible à sa beauté et à ses tentatives d'ébranler sa conscience. - Je n’imagine pas ce que tu as du traverser étant enfant. Mes parents sont tout ce que j’ai de plus chers sur cette planète. Je n’imagine pas les perdre … J’aurai aimé te connaitre à cette époque. Mais je te préviens, j’encaisse les coups une fois ensuite, je rends coups pour coups. Il parlait très peu de son enfance. C'était un sujet qu'il ne préférait pas aborder. Cette femme connaissait déjà cette partie de son passé. Certainement la plus douloureuse. Il s'était confié à elle lors de la confrontation dans le confessionnal. Comme ce jour-là, elle était parvenu à chasser sa tristesse. Elle était son catalyseur. Celle qui lui faisait oublier ses soucis. Sa main sur sa joue, son visage près du sien. Il avait mentionné sa jalousie envers ses homologues masculins. Elle rétorqua : - Non, ça n’aurait pas pu être Sami ou Hamad, ça n’aurait même jamais dû se produire avec Andréas… Il n’y a que toi avec qui cela compte. Un sourire béat naquit sur les lèvres. Cela le confortait dans l'idée qu'il n'avait rien à craindre des autres hommes. Elle lui était fidèle. Il n'y avait que lui et personne d'autre. Des mots qui le touchèrent droit au cœur. Ils avaient énormément de points communs. Des vies semblables consacrées et vouées à leur art. Il se retrouvait en elle. Cette sensibilité maladive, cette passion prenant par tout ce qui touche à la beauté des choses. La beauté des êtres. Ils avaient une vision de la vie semblable. Ils se ressemblaient plus ce qu'il pensait. Il eut une pulsion irrépressible. Celle de l'embrasser encore, encore et encore. Le geste était plus parlant que les mots. Son affection se consolidait dans ce baiser qu'il lui offrait. Non pour la faire taire. Juste pour le plaisir de lui faire part de ses sentiments grandissants. Elle se mit à califourchon, le dominant complètement. Ils se dévisagèrent. La main du couturier se posa sur son dos, un sourire carnassier au coin. - Très bien monsieur le grand couturier je vais me taire si tu as quelque chose de plus intéressant à proposer. Une sorte d'invitation à la concupiscence. Elle était la tentation incarnée. Il se mordit la lèvre inférieur ne la quittant pas du regard. Il avait envie d'elle. Une partie de sa personne le suppliait de ne pas fléchir. Son visage se ferma. Il essayait de ne pas entrer dans son jeu en tentant de maîtriser le flot des émotions qui étaient en train de le submerger. Le visage de la blonde s'arrêta à quelques millimètres du sien. - Tu cherches à me faire céder, n'est-ce pas ?, demanda-t-il d'un air ravageur en murmurant. - Si je n'étais pas quelqu'un de sensé et de réfléchi, je t'aurai déjà ôté ce haut depuis longtemps. Sa main glissa pour arriver au pan de son t-shirt. Ses doigts vinrent en dessous, touchant sa chair. Ses phalanges caressèrent ses côtes délicatement. Sa main vint effleurer son ventre et descendit pour arriver à la limite de son short. - Je t'aurai déshabiller. Vêtement après vêtement ... , lui susurra-t-il à l'oreille. - Puis, j'aurai embrassé chaque parcelle de ta peau douce. Il souleva le bas du t-shirt et ses lèvres rentrèrent en contact avec la chair. Son autre main continua son chemin à l'intérieur de son haut pour arriver au sommet de épaule. Le corps de la reporter se cambra. Il parsema son corps de baisers ardents. Il s'arrêta avant qu'il ne perde le contrôle. Il se redressa et la rapprocha de lui encore plus. - Mais ce ne serait pas raisonnable. Il rit. Il avait fait le choix de tenir jusqu'au bon moment pour eux de s'abandonner à l'un et l'autre. - As-tu conscience de l'effet que tu as sur moi ? Je me retiens ... Mais pour combien de temps ? En te faisant l'amour, je risquerais de faire ressurgir de mauvais souvenirs. Nous le savons tous les deux. Essayons de ne pas trop à s'emporter, d'accord ? Ce n'était pas un reproche, mais une constations. Elle ne s'était pas complétement rétablie de ses traumatismes.
Sochanna

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MessageSujet: Re: there's nothing like you and i {25/07, 22:00}   there's nothing like you and i {25/07, 22:00} - Page 2 EmptySam 28 Juil 2012 - 20:32

Elle souffrait, elle souffrait de ne pas pouvoir être ce qu’elle désirait être pour lui. Elle souffrait qu’il n’eut pas connu la femme qu’elle avait été autrefois, si en harmonie avec son corps, sa sexualité, ses choix de vie. Elle avait été une autre, plus assurée, plus confiante, plus ouverte. Naïve, innocente en quelque sorte. Ses tortionnaires avaient brisés cette femme, ils lui avaient ôté cet épanouissement, cette confiance en l’être humain, elle ne faisait pas confiance aux hommes, encore moins lorsqu’ils la touchaient, l’effleuraient. Prendre le métro lui était impossible. Elle ne pouvait se déshabiller face à un médecin du sexe masculin. Elle voulait l’aimer, être pour lui plus qu’une chimère, qu’une femme blessée, traumatisée, elle voulait le rendre heureux mais, elle ne pouvait pas. Ils le savaient tous les deux. Si je n'étais pas quelqu'un de sensé et de réfléchi, je t'aurai déjà ôté ce haut depuis longtemps. Elle frissonna lorsque la main fraiche du couturier se glissa sensuellement sous son débardeur, effleurant sa peau, remontant lentement le long de ses côtes, caressant révérencieusement la chair qu’il parcourait. Lorsque sa main effleura son ventre, descendant toujours plus bas, taquinant le satin de sa peau la respiration de la jeune femme s’accéléra et le désir embrasa ses reins, sa peau se tendait au passage de sa main sur elle, elle frissonnait, grisée elle ploya la nuque à l’arrière, prenant appui de ses mains sur les genoux de son compagnon pour ne pas chavirer. Je t'aurai déshabiller. Vêtement après vêtement ... Puis, j'aurai embrassé chaque parcelle de ta peau douce. Sa voix grave, sensuelle, sa bouche effleurant le lobe de son oreille, il exerçait sur elle une attraction, un magnétisme dont elle ne pouvait se défaire, elle l’écoutait fascinée, dans un état second alors qu’il lui faisait l’amour en n’employant que des mots, se contentant de l’effleurer, de torturer sa peau en parcourant de ses lèvres son ventre. Et lorsqu’il souleva encore plus son débardeur elle désira de toutes ses forces qu’il ne s’arrête pas, qu’il brise les défenses dont elle avait entouré son âme, son corps. Elle voulait ressentir. Sentir chacune de ses caresses, elle voulait qu’il applique ce qu’il chuchotait à son oreille, elle le voulait lui. Elle se cambra, tendant son corps à celui qu’il la torturait si doucement. Et lorsque sa bouche abandonna son exploration, lorsque la main dans son dos se fit soutien et persuasive pour la rapprocher plus encore de lui, redevant brusquement sage ses sourcils se froncèrent, elle aurait désiré qu’il continue, elle sentait contre elle la force de son désir, elle lisait dans ses yeux la frustration et l’envie. Elle ... Mais ce ne serait pas raisonnable. Elle ne voulait pas être raisonnable, elle oubliait tout contre lui ce qui aurait dû l’inquiéter, la retenir. Elle n’avait jamais poussée l’intimité physique aussi loin depuis sa libération, elle ne pouvait deviner l’attitude qui serait la sienne s’il mettait à exécution les paroles qu’il lui avait susurrées à l’oreille un peu plus tôt. Elle ne voulait pas y penser. Pas maintenant. La nuit leur appartenait. Elle l’aimait... Elle l’aimait mais il n’était pas encore temps de le lui avouer. Elle le sentait. Elle ne pouvait lui témoigner ses sentiments verbalement, elle pouvait pourtant lui offrir un peu de ce à quoi il aspirait... As-tu conscience de l'effet que tu as sur moi ? Je me retiens ... Mais pour combien de temps ? En te faisant l'amour, je risquerais de faire ressurgir de mauvais souvenirs. Nous le savons tous les deux. Essayons de ne pas trop à s'emporter, d'accord ? Elle encadra son visage de ses paumes, se noyant dans son regard d’océan. Elle voulait.... « Tu n’imagines pas ce que tu provoques en moi Malo... Pas du tout, souffla-t-elle en déboutonnant légèrement la chemise du jeune homme. Ne bouge pas, murmura-t-elle en terminant de dénuder son torse. Elle glissa les doigts dans l’ouverture du col et fit légèrement glissé le vêtement sur les épaules de Malo. Elle suivait son instinct, les élans de son corps. Elle n’était pas encore prête, il avait raison mais certaines étreintes, caresses lui semblaient accessibles. Ce qu’on lui avait pris... elle pouvait le récupérer. Ne bouge pas. » Répéta-elle en s’écartant légèrement de lui... « Je... Tu .... » Préférant ne pas analyser la situation elle dégagea doucement le débardeur qu’il avait soigneusement replacée dans son dos, lentement elle se délesta du soutien-gorge qui masquait sa poitrine. Egaux. « Ne bouge pas. » Elle savait que s’il posait les mains sur elle, Sochanna pourrait s’affoler, s’emballer... « Je veux juste... Te regarder. Te sentir... » Souffla-t-elle après de longues secondes d’immobilité. Elle détaillait son torse des yeux. Se blottissant contre lui, peau contre peau, elle se pressa doucement contre sa poitrine, le visage enfouit dans le creux de son épaule, tremblante, non pas d’appréhension mais de désir. « Je ne peux pas te donner ce qu’une femme normale t’aurais donné ce soir... » Murmura-t-elle contre son oreille, sa poitrine pressée contre son torse ferme, musclé. « Pas comme elle aurait pu le faire mais essayé à ma façon de... de te montrer combien tu... te montrer l’effet que tu as sur moi. Tu réveilles la femme en moi, Malo... »
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MessageSujet: Re: there's nothing like you and i {25/07, 22:00}   there's nothing like you and i {25/07, 22:00} - Page 2 EmptyDim 29 Juil 2012 - 19:28

Son corps était animé par un élan de désir qu'il avait désormais du mal à occulter, à contrôler surtout. Le simple fait d'effleurer sa peau de satin le poussait au vice, à la luxure. Il voulait la faire succomber sous une pluie de baisers sur sa chair ensorcelante. Les pulsions persistaient. L'avidité se lisait dans le bleu de ses pupilles. Il n'en pouvait plus. Il était arrivé à ses limites. Des limites qu'il ne pouvait pas franchir ou plutôt qu'il ne voulait pas. Il était en proie d'insidieux penchants tandis qu'il tenait dans ses bras l'initiatrice de son trouble. Il la dévisageait avec intensité. Son regard plongea dans le sien. Il était comme ensorcelé. Ses mains vinrent épouser parfaitement les contours du visage du couturier. - Tu n’imagines pas ce que tu provoques en moi Malo... Pas du tout., murmura-t-elle en commençant à déboutonner le haut de sa chemise. Il ne bougea pas, il ne broncha pas. Il se laisse faire. Hypnotisé, il n'arrivait pas à se mouvoir. Son corps suivait la moindre instruction provenant de la bouche de la blonde. - Ne bouge pas. Il ne bougeait plus un muscle de son anatomie. Il était fasciné par la façon dont elle pouvait prendre le contrôle des événements. Ses doigts passèrent dans sa chemise, effleurant la peau de son cou au passage. Ce qui le fit frissonner. Son torse était exposé aux yeux de tous. Il ne dit mot et se contenta de la suivre du regard. Il se pliait à la moindre de ses envies. Elle parvenait à le faire languir, prolongeant davantage le supplice et renforçant l'attraction qu'elle exerçait sur lui. Il en oubliait les caméras, les murs de la cabane. Elle lui répétait de ne pas bouger. Il n'était plus le maître de son corps. Elle pouvait faire de lui ce qu'elle voulait. Sa voix voluptueuse continuait à le captiver tandis qu'elle balbutia : - Je... Tu .... Elle se recula légèrement pour finir par enlever le haut à son tour. Ils étaient maintenant à égalité. Tous les deux à moitié nus. Il aurait préféré lui ôter le soutien-gorge lui même. Elle lui avait enlevé ce plaisir. Néanmoins, elle lui avait exaucé un de ses vœux. Elle lui offrait son corps tout entier. Il n'osait pas la toucher tellement que tout cela semblait irréel. Il se retenait de la caresser, bien qu'il en avait très envie. - Je veux juste... Te regarder. Te sentir... Un aveux qui résonnait tel un doux murmure. Elle examinait toutes les parties de son poitrail raide et solide. Elle revint se coller à lui. Elle tremblait, son visage contre son épaule, peut-être du à l'effort considérable pour se déshabiller. Ou étaient-ce les frémissement d'un désir réprimé ? Il était perdu. Il ne savait pas comment la toucher désormais. Si la touche, il avait peur qu'elle se braque. Il ne tenta rien pour le moment. Sa poitrine se pressait contre son torse. C'en était trop pour lui. Il commençait à étouffer. Il serrait les poings très fort. Il tremblait également de désir. - Je ne peux pas te donner ce qu’une femme normale t’aurais donné ce soir... A ses yeux, elle n'était pas une femme comme les autres. Elle était unique et authentique. C'était cela qu'il aimait en elle. Elle lui faisait revivre des instants de bonheur qu'il n'avait plus éprouvé depuis longtemps. - Pas comme elle aurait pu le faire mais essayé à ma façon de... de te montrer combien tu... te montrer l’effet que tu as sur moi. Tu réveilles la femme en moi, Malo... Ses mains vinrent se poser sur ses joues. Il la ramena à lui. Leurs lèvres s'effleurèrent. Il s'abreuvait de son souffle. Elle avait les lèvres légèrement entrouvertes. Leurs lèvres se rencontrèrent enfin en un baiser langoureux. Dans ce baiser, il y véhiculait tout ce qu'il ressentait pour la jeune femme à cet instant. Des émotions agréables l'envahirent. Il recula un peu. Leurs lèvres étaient à quelques centimètres des unes et des autres. Il souffla : - Je me sens tellement bien avec toi. Je crois que je ne pourrai plus vivre sans toi désormais. Il la serra contre lui. Ils restèrent dans les bras de l'un et de l'autre quelques minutes en silence.

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