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 fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45

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Fitz

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MessageSujet: fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45   fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45 EmptyLun 18 Mar 2013 - 3:03

W/MICKEY
20 MARS A 11H45

Il y avait comme du suicide culinaire dans l'air car pour la première fois, ou presque, depuis le début de l'aventure, Fitz s'était mis aux fourneaux et ça, vraiment, c'était une très très mauvaise idée. Il avait voulu faire simple pourtant et reprendre la recette que lui avait si gentiment appris Carmen lors de leur cours de cuisine il y a quelques semaines, avant qu'elle ne soit malheureusement éliminée mais il était clair que sans prof pour le superviser, Fitz était nul. Vraiment nul. Il avait réussi à faire cuire les pâtes déjà, ce qui était un exploit, quoique pas trop, ça il gérait avant en fait mais le problème, c'était la sauce. Et la viande. La viande qu'il était entrain de faire revenir dans une poêle mais il avait comme l'impression que vu la quantité astronomique de pâtes qu'il avait commencé à faire cuire, il n'allait pas avoir assez, pour la garniture, et la sauce. Hum. Bon, tant pis, au pire, le reste, ce sera pâtes au beurre et c'est tout, hein. En tout cas, Carmen, si elle le regarde, devait bien se marrer, ou pleurer, c'était possible. Concentré dans sa préparation, Fitz ne fit donc pas attention qu'on s'approchait de lui. Il ne reconnut Mickey que lorsqu'il se retourna manquant de se brûler au passage. Oui, avec une poêle, un exploit magistral donc. Il ne savait plus où donner de la tête, complètement perdu dans les étapes et devait faire tout de travers mais tant pis, ce serait mangeable au pire, avec du ketchup, beaucoup de ketchup. Même si bon, il faisait une sauce. Ah oui, mince la sauce. - Mickey tu me passes la crème fraîche s'il te plaît ? Lui demanda-t-il, assez urgemment. - J'espère que tu as faim, y'en a pour cent. Et que t'as pas peur de tomber malade aussi. Chose qu'il ne fallait peut-être pas dire à Mickey, vu que la dernière fois, les œufs, c'était pas top...
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MessageSujet: Re: fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45   fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45 EmptyLun 18 Mar 2013 - 4:16

Une drôle d'odeur émanait de la cuisine, et pouvait se faire sentir jusque dans les escaliers. À l'étage, Mickey ne manqua pas d'être alerté par celle-ci. Pas que ça sentait mauvais, non non du tout. Il était juste surprenant de constater que de temps à autres, les candidats pouvaient eux aussi se mettre aux fourneaux. Néanmoins il décida de descendre voir ce qui se tramait dans la cuisine. De toute évidence un candidat concoctait un bon petit plat et il passa donc la porte de la pièce, avant de tomber sur Fitz. Ah, voilà que la tatoué était en pleine préparation de ce qui semblait être des pâtes... avec de la viande, oui, apparemment. Mickey approcha, et c'est à cet instant que Fitz remarqua sa présence. Avant cela, il ne l'avait certainement pas entendu entrer et c'était bien normal, Mickey était de ces hommes arrivant toujours quand on ne les attendait pas, et dont les pas se posaient au sol comme une feuille de papier sur du bois. Bref, ça c'était pour l'image. Mais son camarade allait avoir besoin de lui. « Mickey tu me passes la crème fraîche s'il te plaît ? » Oh et bien, oui, voilà qui était dans ses cordes. Et puis il semblait débordé, alors s'il pouvait le décharger un peu, il s'y emploierait bien volontiers. Chose qu'il n'aurait pas été prêt à faire pour tous les candidats ici, sachez-le. Il se saisit donc du pot de crème fraîche, posé sur le plan de travail près de là, et le lui tendit. « Voilà chef. » C'était quand même agréable de voir quelqu'un cuisiner, et puis il ne semblait pas trop mal se débrouiller qui plus est. Quoi que... il se perdait facilement, visiblement. « J'espère que tu as faim, y'en a pour cent. Et que t'as pas peur de tomber malade aussi. » Dieu du ciel, tout mais pas ça. Cette remarque l'intrigua, et le poussa à jeter un coup d’œil du côté des pâtes qui étaient en train de cuire. Mince ! Il y en avait pour tout un régiment. C'était une habitude chez Fitz. « Avec tout ça, je tiens un an d’ordinaire. » Oui bon, il exagérait certainement, mais il mangeait si peu que si ce gueuleton n'avait été que pour lui par exemple, il n'en aurait même pas avalé un tiers. Il ne pouvait que convier l'ensemble des candidats à déjeuner avec lui là, c'était bien trop pour un seul homme. « Tu as décidément un sacré problème avec la quantité. L'autre jour le déjeuner, maintenant les pâtes... » Il avait dû mettre quatre, voir cinq sachets dans l'eau, ce n'était pas possible autrement. « Ta viande Fitz, surveille ta viande. » qu'il ajouta, tout en désignant celle-ci en pointant la poêle du doigt. Non parce que converser était une chose, mais tout brûler restait tout de même à éviter. « Mais hum oui, ma foi, j'ai faim. » Lui qui ne savait pas quoi manger ce midi, et bien voilà, il avait désormais la réponse.
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MessageSujet: Re: fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45   fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45 EmptyLun 18 Mar 2013 - 14:24

C'était réellement une drôle d'idée qu'avait eu Fitz en cette fin de matinée de se mettre à préparer un repas pour le nid. Déjà d'une, parce qu'il était nul et de deux, car il était fort possible que la moitié ne se déplace pas et préfère manger son truc dans son coin autant que possible. Tant pis ou alors tant mieux car peut-être que tout ça allait être immangeable au final et qu'ils auront pris la bonne décision en voulant jouer cavalier seul. En tout cas, Fitz lui, y mettait du cœur et malgré les étapes qu'il avait du mélanger de manière totalement incongru, il essayait tant bien que mal de s'en sortir. L'arrivée de Mickey aurait alors pu être un coup du sort mais l'écossais avait décidé de l'utiliser à bon escient en le mettant à contribution. Il pouvaii refuser, certes mais cela aurait été impoli quand même, non ? Lui demandant la crème fraîche, Mickey s'exécuta cependant en agrémentant le tout d'un 'Chef' qui fit sourire Fitz. Il y avait encore du chemin à faire pour ça mais pour le moment, il devait bien avouer qu'il ne s'en tirait pas trop mal, hors le fait qu'il soit totalement débordé. Ce qui était sûr néanmoins, c'est qu'il en avait assez pour nourrir un régiment et donc, Mickey qui n'était pas fan de sa cuisine cependant et il avait bien raison. Il alla d'ailleurs observer les pâtes qui cuisaient et sa remarque fit sourire Fitz, à nouveau. - C'est vrai que tu n'es pas bien épais, ça en m'étonne pas... Dit-il pour le taquiner, aucunement pour se moquer. Il devait avoir une appétit d'oiseau en tout cas, pas comme Fitz qui lui, mangeait comme quatre, certaines jours, d'où le problème de quantité. - En effet, mais les pâtes c'est plus compliqué, ça gonfle alors on se rend moins compte, tu comprends. Oui oui, il se cherchait des excuses, c'est vrai. Mais il était également exact que les pâtes gonflaient, il aurait du s'en rappeler avant, c'est tout. Encore une étape de tronquée. Mickey lui parla alors de sa viande et en effet, il fallait qu'il s'en occupe, étant donné qu'elle commençait déjà cramer, légèrement. Ça donnera du goût, on va dire. - Merci ! Dit-il avec hâte alors qu'il la retournait. Puis il alla vérifier la cuisson des pâtes avant de les mettre à égoutter. - Jamais je ne bosserais dans un restaurant, c'est officiel ! Dit-il en soupirant, complètement dépassé. - Plus que quelques minutes je pense. Et après, Mickey pourra manger. Décidément, il était arrivé au bon moment.
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MessageSujet: Re: fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45   fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45 EmptyLun 18 Mar 2013 - 15:45

Le reste du groupe allait être ravi à coup sûr. Les candidats adoraient ça ici, arriver et n'avoir plus qu'à mettre les pieds sous la table. Oh et puis, une fois le repas de Fitz dégusté, Mickey aurait bien évidemment à nettoyer la grande majorité des assiettes puisque depuis le temps, tout le monde avait saisi que chez lui, c'était systématique, car même si l'envie de passer derrière les autres avait fui depuis belle lurette, il ne reculait jamais devant une vaisselle, jamais. Et donc, avant la vaisselle, le déjeuner. Fitz se trouvait en pleine préparation de celui-ci lorsque l'anglais pénétra dans la cuisine. Dès lors qu'il eut remarqué sa présence, il lui demanda de lui passer la crème fraîche ce qu'il fit sans rechigner. Il pouvait bien rendre service de temps à autres tout de même, il ne risquait pas de se froisser un muscle en tendant le bras pour saisir un pot de crème alors bon, il ne pouvait pas refuser cela à Fitz qui semblait débordé. Il faisait cuire une multitude de pâtes, à tel point que Mickey aurait eu assez de réserves pour des mois et des mois avec tout ça. « C'est vrai que tu n'es pas bien épais, ça en m'étonne pas... » Oh oui, il s'alimentait peu, donc bon c'est sûr avec un tel gueuleton l'écrivain aurait rendu l'âme - et son estomac aussi par la même occasion. D'ailleurs, le tatoué avait encore mis le paquet sur la quantité aujourd'hui. Déjà l'autre jour sur la terrasse, il avait ramené de quoi petit-déjeuner pour douze. « En effet, mais les pâtes c'est plus compliqué, ça gonfle alors on se rend moins compte, tu comprends. » Hm, bon. De toute façon Mickey n'allait pas non plus l'enguirlander pour ça. Sauf s'il y avait à l'arrivée du gâchis de nourriture, auquel cas il ne se ferait pas prier pour intervenir. Mais l'autre jour il avait bien remédié à cela en lui proposant de lui tenir compagnie, alors ce midi il y aurait bien quelques candidats prêts à se faire exploser la panse. « J'espère qu'elles seront plus que mangeables, ces pâtes. » En référence à ses œufs brouillés, qui étaient corrects, mais pour lesquels Mickey ne se serait pas non plus réveillé la nuit. Oh à son tour de le taquiner un peu. Il ne pouvait que la réussir, la cuisson de ses pâtes. Il n'avait pas droit à l'erreur surtout, Mickey veillait et ne laisserait rien passer. Tenez, comme cette viande qui risquait de cramer si Fitz ne s'en occupait pas. « Merci ! » Une nouvelle bonne action pour Mickey aujourd'hui. Voilà qu'il venait de sauver la viande, maintenant. Quel homme bon. Les pâtes étant cuites, Fitz les mit à égoutter. « Jamais je ne bosserais dans un restaurant, c'est officiel ! » Oh mais c'est qu'il semblait complètement submergé. Il ne fallait pas le prendre comme ça, ce n'était qu'un repas de groupe. Et puis personne n'attendait de lui que ce soit digne d'un chef cinq étoiles - personne, excepté Mickey peut-être. « Mais hm, ça t'a pris comme ça de vouloir cuisiner pour tout le monde ? Ou bien tu as écopé d'un gage, je ne sais pas... » Oh vous savez, ici, toutes les hypothèses étaient bonnes à émettre croyez-le. « Plus que quelques minutes je pense. Et après, Mickey pourra manger. » Et cela tombait bien puisque le ventre de Mickey faisait présentement des siennes. « Et est-ce que je peux faire quelque chose en attendant ? » Dire qu'il se proposait pour aider, une nouvelle fois. Cette aventure était entrain de le rendre serviable, qui l'eut cru.
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MessageSujet: Re: fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45   fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45 EmptyLun 18 Mar 2013 - 17:34

Concentré, Fitz réussit tout de même à alimenter une conversation avec Mickey qui venait tout juste de le rejoindre. Ce dernier l'aidait même, en quelque sorte, dans sa préparation ce qui n'était pas malvenu vu la difficulté que rencontrait l'écossais à gérer toutes les étapes, aussi simples soient-elles. Pourtant Mickey se permet de le taquiner mais en soit, ce n'est pas tellement grave car Fitz est bien conscient de ses compétences culinaires pour le moins inexistantes mais il fait de son mieux et ça on ne peut pas lui enlever, vraiment. Du coup, oui, il y a beaucoup de pâtes, trop de pâtes, certainement bien plus qu'il n'en faudrait pour nourrir tous les candidats encore présents dans l'aventure mais Fitz compte sur les mecs pour tout manger, ils doivent être affamés non ? Alors ils auront de quoi faire, largement, et il restera toujours une petite part pour Mickey, quoiqu'il en pense. - Ce sont des pâtes, ça cuit dans l'eau, c'est tout à fait mangeable, j'en suis sûre, tu as peur Mickey, c'est ça ? Demande-t-il en riant parce qu'après tout, s'il avait fait un gâteau, il aurait pu être en droit de se poser des questions et d'avoir des réticences mais là, quand même, des pâtes, le danger est écarté, non ? Par contre, pour la viande, c'est autre chose et encore une fois, heureusement que Mickey est dans les parages pour le prévenir, Fitz évitant ainsi une catastrophe culinaire. Au pire, tant pis, ils auraient mangé le tout sans viande, ça n'aurait pas été dramatique, non ? Le plus important étant les pâtes, qu'il s'empresse alors de faire égoutter tout en assurant à Mickey que jamais, ô grand jamais il ne bosserait dans un restaurant. Et tant mieux, car personne ne voudrait de lui, gagnant-gagnant donc, c'est parfait. - Non c'est pas un gage, j'avais envie, c'est tout, je m'ennuyais aussi et j'avais pas envie de manger un truc vite fait. Au moins, j'aurais pris le temps d'essayer, c'est déjà ça. En espérant que le résultat soit bon, bien évidemment. C'était quand même le but quand on cuisinait, que le résultat soit bon, sinon, ça ne servait pas à grand chose. Fitz coupa le feu en dessous de la viande, puis replaça les pâtes égouttées dans un plat vide affirmant à Mickey que ce ne serait plus très long. Juste le temps de terminer la sauce tout au plus et lui, Mickey, et bien... il pouvait... - Tu peux mettre la table si tu veux. Ou peut-être juste sortir des assiettes vu qu'il est fort probable que tout le monde ne se pointe pas. Merci. Fitz termina alors la sauce et vérifia qu'elle était assez sâlée, et chaude avant de déverser le tout sur les pâtes, avec la viande. Il mélangea le plat et puis s'approcha de la table où Mickey venait de sortir quelques assiettes. - Voilà, c'est prêt ! Annonça Fitz, pas peu fier de son œuvre. - Alors Mickey, verdict ? Si Mickey aimait, c'était le principal, non ?
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MessageSujet: Re: fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45   fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45 EmptyLun 18 Mar 2013 - 18:50

En général le midi, au déjeuner, Mickey n'avalait franchement pas grand chose. Il se concoctait par exemple une salade, et c'était amplement suffisant. Seulement aujourd'hui, il ne mangerait pas dans son coin. Non, Fitz préparait gentiment à manger alors la moindre des choses était, quand même, de se mêler au groupe pour le repas n'est-ce pas ? Oh, il pouvait bien faire cet effort. Par contre il ne fallait pas attendre de lui qu'il se resserve trois fois, puisqu'il aurait probablement du mal à finir son assiette. Il avait un appétit d'oiseau, tout le monde le savait, Fitz le charria même sur ça d'ailleurs. Dans un autre contexte le fait de souligner sa maigreur l'aurait mis mal à l'aise mais là, ça passait. Maintenant, au vu de la quantité de pâtes qu'il avait mises dans l'eau, le tatoué n'avait plus le choix, il devait en réussir la cuisson. Sinon il compromettait le déjeuner de tout le monde, en gros. « Ce sont des pâtes, ça cuit dans l'eau, c'est tout à fait mangeable, j'en suis sûre, tu as peur Mickey, c'est ça ? » Alors oui, il savait quand même que les pâtes cuisaient dans l'eau. Et puis bon, mangeable, mangeable... il suffisait qu'elles soient trop cuites donc collantes, ou pas assez et donc crues, pour que ça n'est plus rien de mangeable, justement. « Tu apprendras que je n'ai peur de rien. » qu'il rétorqua tout à fait sérieux. Oui, à part des microbes, des contacts physiques forcés... de rien, quoi. Une fois encore il faisait celui que rien ne pouvait atteindre, mais à l'heure d'aujourd'hui ça n'était plus tout à fait vrai. Pour vous dire, il se sentait bien plus vulnérable qu'au début de l'aventure mais ne l'admettrait probablement jamais. Il avait malgré tout bien fait de passer la porte de cette cuisine, et donc de suivre l'odeur en émanant. Car sans lui, cette viande aurait certainement mal fini. Mais on ne pouvait pas non plus jeter la pierre à Fitz, qui se démenait en cuisine. Le pauvre ne savait plus où donner de la tête, et il signifia à l'anglais qu'il ne travaillerait jamais dans un restaurant. Oh bah oui, espérons qu'il avait plus d'ambition que cela quand même. Mais hum, pourquoi préparer à manger pour tout le monde au fait ? L'avait-on contraint à le faire, avait-il perdu un pari et écopé d'un gage ? Qu'on lui explique, car là pour le coup il ne comprenait pas cette peine qu'il se donnait. « Non c'est pas un gage, j'avais envie, c'est tout, je m'ennuyais aussi et j'avais pas envie de manger un truc vite fait. Au moins, j'aurais pris le temps d'essayer, c'est déjà ça. En espérant que le résultat soit bon, bien évidemment. » Il avait la foi d'améliorer ses compétences culinaires et c'était tout à son honneur. Maintenant, c'est sûr, encore faillit-il que ce soit bon tout ça. Mais il s'efforçait de faire les choses du mieux qu'il le pouvait donc au moins, on voyait qu'il ne lésinait pas sur les efforts. Tandis que Fitz égouttait les pâtes, Mickey proposa son aide pour entreprendre quelque chose, histoire de le décharger un peu. « Tu peux mettre la table si tu veux. Ou peut-être juste sortir des assiettes vu qu'il est fort probable que tout le monde ne se pointe pas. Merci. » Mettre la table, donc. C'était tout à fait faisable. Il ouvrit un placard au-dessus de lui et en sortit quatorze assiettes - une pour chaque candidat en somme, et il posa le tout sur la table derrière lui. Mais il souhaitait néanmoins rebondir sur les propos de Fitz, oui, il y tenait. « Oh et bien je peux te dire qu'ils ont tout intérêt à se pointer. Je les ramènerai par la peau des fesses sinon. » Et il le ferai. Que Fitz ne se soit pas donné du mal pour rien. Ça, et bien entendu le gâchis qu'il comptait à tout prix éviter, vous l'avez compris. « Voilà, c'est prêt ! » Déjà ? Ah mais oui, voilà qu'il disposait tout juste un grand plat de pâtes mélangées à de la viande, le tout agrémenté d'une sauce. Vraiment, ça donnait envie. Aussi, Mickey ne se fit pas prier pour se saisir d'une fourchette, qu'il planta dans le plat, avant de reporter la bouchée à ses lèvres. « Alors Mickey, verdict ? » Et bien une nouvelle fois, le verdict était sans appel. Et Fitz n'avait pas à trembler, car aujourd'hui c'était un Mickey agréablement surpris qui reprit la parole. « Ma parole Fitz, tu cuisines mieux que ma mère. » Qui de son vivant, était quand même une pointure dans le domaine. Donc ça, c'était du compliment. La seule chose dont elle était capable d'ailleurs, hein. Bon attention, la maman de Mickey était peut-être une bonne cuisinière, mais il était bien meilleur qu'elle tout de même. Mais Fitz pouvait s'estimer heureux d'avoir atteint un tel niveau malgré tout. « Cette sauce, oh mon dieu... tu m'as ouvert l'appétit, n'appelons pas les autres finalement, tu es d'accord hm ? » Oh le gourmand. Ça ne lui ressemblait pas pourtant. La sauce préparée par le tatoué faisait la différence, cela paraissait beaucoup moins lourd avec. Du coup il avait bien envie de garder cela pour eux deux. Au pire, tant pis pour le reste du groupe n'est-ce pas ?
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MessageSujet: Re: fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45   fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45 EmptyLun 18 Mar 2013 - 22:23

Oh ça oui, Mickey avait le droit d’émettre des réserves, peut-être même qu'il aurait été préférable pour tout le monde d'empêcher Fitz de s'approcher des fourneaux pas il était trop tard. Les pâtes étaient cuites, la viande quasiment, bien qu'un peu cramée sur les bords, et la sauce terminait de chauffer, peu à peu. Il n'était donc plus possible de faire demi tour et c'était certainement mieux ainsi. Pourtant, Mickey émettait des réserves, oui et Fitz s'amusa à le taquiner en lui rappelant qu'au final, les pâtes, ce n'était pas si compliqué à faire que ça. Dans le pire des cas, elles seraient trop cuites et donc collantes, ce qui ne voulait pas dire immangeable. Pour autant, Mickey lui apprit qu'il n'avait peur de rien et cet excès de témérité de la part de l'écrivain surpris Fitz. Non pas que cela le dérangeait, bien au contraire, mais il était seulement étonné. Il rit donc légèrement, toujours concentré dans la fin de sa préparation, affirmant suite aux questionnements de Mickey qu'il ne s'agissait absolument pas d'un gage. Il pouvait aussi se donner des défis à lui-même, Fitz, quand même et ce même si oui, quand il était gosse, il avait une cuisinière (bien que c'était sa mère qui s'occupait des desserts toujours). Chose qu'il n'avait pas chez lui, comme il l'avait dit à Carment lorsqu'elle lui apprenait cette recette d'ailleurs. Mickey proposa ensuite son aide et l'écossais lui demanda de mettre le couvert, poliment, ce qu'il fit même si de son côté, Fitz n'était pas sûr de els voir tous arriver. Ce serait rare et puis, avec les tensions qu'il y avait, ici et là, c'était certainement mieux comme ça, qu'ils viennent pas petites vagues. Mickey lui cependant, n'était pas de cet avis. - Je suis sûr qu'avec toi, ils rappliqueraient illico, en effet ! Dit-il en souriant même si au fond, elle n'était pas absolument sûr que les candidats le suivraient. Tant pis pour eux, ils manquaient cette facette de Mickey, celle qui était agréable et que Fitz appréciait. Le plat terminé, l'écossais le ramena sur la table et servit Mickey à qui il demanda son verdict. Il ne s'attendait pas à grand chose en réalité alors il fut assez étonné d'entendre Mickey s'exclamer. Il passa outre le fait que sa surprise laissait sous entendre qu'il n'avait pas grand espoir, la question importante étant, - Et ta mère, elle cuisinait bien au moins ? Non parce que si ça se trouve, c'était une piètre cuisinière et tout d'un coup, le compliment n'avait plus vraiment le même impact. Fitz se servit à son tour, commençant à manger et découvrant avec fierté que ce qu'il avait fait seul n'était pas si éloigné de la leçon avec Carmen. Et puis Mickey reprit la parole. - Et bien je vois ça ! Tu penses réellement pouvoir manger tout ça ? Il ne faudrait pas que tu sois malade après... Ca serait dommage. Quant à la sauce, je n'ai pas trop de crédit, c'est Carmen qui m'a appris ça. Même si elle a un goût un peu différent, j'ai du mal faire un truc à un moment donné, certainement. Et c'était même plus que probable.
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MessageSujet: Re: fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45   fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45 EmptyLun 18 Mar 2013 - 23:38

Ce n'est pas tout le monde qui en aurait fait autant, qu'on se le dise. Fitz s'était mis en tête de cuisiner pour tout le groupe ce midi et ce, juste parce l'envie lui avait pris... et parce qu'il s'ennuyait vraisemblablement mais ça n'en restait pas moins généreux. Les autres candidats apprécieraient sans doute qu'on ait fait à manger pour eux, mais Fitz semblait douter du fait qu'ils viendrait tous. Ah oui, vraiment ? Et bien ça ne se passerait pas comme ça, soyez-en surs. Car si c'était nécessaire, Mickey n'hésiterait pas à intervenir. Bon certes, quand il tentait d'avoir un minimum d'autorité sur le groupe, au final, il n'obtenait jamais l'effet escompté et d'ailleurs, en huit semaines, il avait essuyé bon nombre de refus après avoir demandé à tel candidat de faire son lit, ou tel autre de ranger ses vêtements dans sa penderie au lieu de les laisser trainer. Alors oui, personne n'écoutait plus Mickey depuis le temps quand il demandait quelque chose, et d'ailleurs il n'avait pas tellement foi en l'impact de ses propos mots. Néanmoins il préférait croire que s'il s'y employait, il parviendrait véritablement à faire venir tous les candidats dans la cuisine. « Je suis sûr qu'avec toi, ils rappliqueraient illico, en effet ! » Mouais. Il y en avait quand même certains qui ne bougeaient que très rarement, et qui passaient le plus clair de leur temps dans leur lit, ou sur un fauteuil. Donc bon, ces candidats-là déjeuneraient sans doute plus tard. Et puis mince, Mickey ne sonnerait pas la cloche non plus. Viendrait qui aurait faim, et puis c'est tout. Bien, le plat concocté par Fitz était officiellement prêt. Alors ce dernier demanda son avis à Mickey, qui entreprit de le goûter. Et bien on pouvait dire que c'était tout à fait réussi. La cuisson des pâtes avait été maitrisée, et était parfaite, la viande était caramélisée et la sauce... ah cette sauve, tout bonnement exquise figurez-vous. Tenez, Mickey dans un élan d'enthousiasme en vint à comparer les prouesses culinaires de son camarade à celle de sa défunte mère. Oui c'est vrai, il cuisinait aussi bien que la vieille femme du temps où elle pouvait encore tenir quelque chose entre ses mains, c'est-à-dire avant qu'elle ne termine au fond de son lit, agonisante. « Et ta mère, elle cuisinait bien au moins ? » Ah oui, il voulait probablement s'assurer de ne pas être comparé à quelqu'un qui ne savait pas cuisiner. « Oui, on pouvait au moins lui reconnaitre ça. » rétorqua-t-il, dans un haussement d'épaules. La cuisine était à peu près la seule chose qu'elle savait faire, tandis que son père avait d'autres aptitudes. Mais bon, le débrouillard de la famille avait toujours été Mickey. À part ça Mickey se régalait, à tel point qu'il envisageait déjà de garder tout cela pour Fitz et lui. « Et bien je vois ça ! Tu penses réellement pouvoir manger tout ça ? Il ne faudrait pas que tu sois malade après... Ca serait dommage. Quant à la sauce, je n'ai pas trop de crédit, c'est Carmen qui m'a appris ça. Même si elle a un goût un peu différent, j'ai du mal faire un truc à un moment donné, certainement. » Ah Carmen. Elle ne lui manquait pas celle-là. Au début il avait pensé qu'il parviendrait à s'entendre avec l'italienne, mais il avait découvert la vipère qu'elle était vraiment et ne voulait plus jamais en entendre parler. Non, ce genre de personnes ne méritaient pas de côtoyer des hommes comme Mickey. Il était trop bien pour elle. « Bah tu vois, Carmen passait le plus clair de son temps à cracher son venin et donc, je suis certain que personne ne se souviendra du fait qu'elle cuisinait. C'est un détail qui n'a pas dû marquer grand monde. » Et elle cuisinait bien apparemment, puisqu'elle avait appris à Fitz comment faire cette sauce et que ça n'était pas mauvais du tout. Mickey n'était pas méchant en affirmant une telle chose, il était réaliste. Tout le monde savait que Carmen n'avait pas sa langue dans sa poche. Mais elle avait été trop loin, notamment en débitant des atrocités sur Ezra et ce, à sa propre sœur. Inadmissible pour Mickey.
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MessageSujet: Re: fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45   fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45 EmptyMar 19 Mar 2013 - 22:37

La partie la plus compliquée terminée, il est temps maintenant pour Fitz de déguster le fruit de son travail et quoi de mieux, en prime, de le partager avec un candidat qu'on apprécie. C'était une bonne chose que Mickey soit là. D'une, parce qu'il avait sauvé le déjeuner, vraiment et de deux parce que manger seul, c'était quand même un peu déprimant alors oui, l'écossais était content de le trouver là. Encore plus d'ailleurs si c'est pour l'aider à ramener les candidats à table et surtout si c'est pour lui faire des compliments sur la nourriture. A moins que ça n'en soit pas un, de compliment. Peut-être que la mère de Mickey était une horrible cuisinière et que donc, même si Fitz était meilleur qu'elle, il était toujours aussi nul. Moins nul que la nullité, c'est quand même nul, non ? Bref. Il lui demande donc des précisions, histoire de rassurer son ego. Après tout, il a préparé le déjeuner, non ? Et heureusement, il est rassuré. - Tant mieux alors, enfin, sans vouloir dénigrer ta mère bien évidemment ! Oui, il ne faudrait pas qu'elle le prenne mal ou qu'il le prenne mal, ce serait bête, il ne critique personne, il est juste content Fitz, d'avoir fait à manger. Wow. En tout cas, ce qui est plus que sûr, c'est que Mickey a bon appétit et apprécie tellement le plat de Fitz qu'il dit vouloir tout garder pour lui. Fitz rit, étonné et il rend à César ce qui est à César. Cette sauce, elle n'est pas vraiment de lui, baby steps hein. Il informe donc à Mickey qu'il tient cette recette de Carmen et la réaction de l'écrivain ne se fait pas attendre. Fitz savait que Carmen n'était pas vraiment en odeur de sainteté dans le coin mais bon... - Oui enfin, loin de moi l'idée de vouloir me prendre la tête avec toi mais bon, si on l'avait traitée un peu mieux, à un moment donné... Mais bref, ça sert à rien de revenir là-dessus. Non, ça ne sert à rien et Fitz n'avait pas non plus envie de se prendre la tête avec Mickey, vraiment pas.

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Mickey

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MessageSujet: Re: fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45   fuyez, pauvres fous, le 20/03, 11h45 EmptyMer 20 Mar 2013 - 2:14

Quand il venait de Mickey, un compliment était toujours bon à prendre. Et puis il était si rare qu'il en vienne à complimenter qui que ce soit, qui plus est... Fitz avait donc de quoi être enchanté là, surtout que Mickey venait de le comparer à sa mère qui, quand même, n'était pas la pire cuisinière qui eut été de son vivant. Loin de là même, après tout, c'est elle qui avait initié l'anglais à la cuisine, et il tenait de Mrs Kimball quelques vieilles recettes qu'il lui arrivait de réaliser, de temps à autres. Fitz pouvait donc se rassurer, présentement la comparaison était tout à fait flatteuse. « Tant mieux alors, enfin, sans vouloir dénigrer ta mère bien évidemment ! » Comme si Mickey allait la défendre, ou sauver l'honneur de sa génitrice. Non non, on pouvait bien dire les pires horreurs la concernant, non seulement elle n'était plus là pour les entendre, mais en plus il s'en fichait complètement. En grand insensible qu'il était, Mickey n'avait jamais affectionné sa mère comme n'importe quel fils l'aurait fait avec la sienne. Il n'y avait jamais eu la moindre complicité entre eux, et il n'avait pas le souvenir de bons moments passés ensemble. Il était un fils dont elle avait trop attendu, et qui l'avait déçu en empruntant une voie différente de celle qu'elle avait voulu pour lui. Au-delà de ça, elle ne s'était jamais véritablement intéressée à lui, il avait dû apprendre les choses par lui-même et rapidement car il n'avait jamais véritablement pu compter sur elle. Mais il n'avait pas souffert du fait d'avoir été un enfant délaissé, sur lequel on ne s'attardait pas. La solitude faisait partie de sa vie depuis toujours, il s'en était accommodé dès le début. Pas le moindre ami à l'école, dans le secondaire... et pas de maman attentionnée prête à tout pour la prunelle de ses yeux. « Oh ne t'en fais pas pour ça, va. » qu'il rétorqua simplement. L'anglais avait par ailleurs sous-estimé les aptitudes culinaires du tatoué. Si les œufs brouillés de la dernière fois ne lui avaient pas laissé un souvenir impérissable, il avait fait un sans faute avec ce plat-là. Mention spéciale à la sauce, qui se mariait aussi bien à la viande qu'aux pâtes. C'était, d'après ses dires, Carmen qui lui avait appris à la faire. Hm, l'italienne cuisinait ? Première nouvelle. Peut-être qu'elle en trouvait le temps quand elle n'était pas entrain de jouer les garces peu farouches. Mickey ne mâchait pas ses mots quand il était question de Carmen. Peut-être parce qu'il avait fondé pas mal d'espoir en cette jeune femme, et qu'elle n'avait pas hésité à le piétiner. Ça et d'autres choses. C'était un tout, un ensemble, il avait toujours eu un peu de mal à blairer le personnage. « Oui enfin, loin de moi l'idée de vouloir me prendre la tête avec toi mais bon, si on l'avait traitée un peu mieux, à un moment donné... Mais bref, ça sert à rien de revenir là-dessus. » Oh aux yeux de Mickey, l'italienne avait été traitée de la façon dont elle le méritait. Maintenant, certaines personnes avaient peut-être été un peu dures avec elle... mais lui ne se sentait pas le moins du monde concerné. « J'ignorais que vous vous entendiez bien tous les deux. Remarque, ça en fait au moins un. » qu'il lâcha, l'air de rien, avant de reprendre une bouchée du plat concocté par Fitz. « Hm, je vais relever tout ça. » Et sur ces mots, il vint se saisir du poivrier et en parsema son assiette. Ce n'était pas fade, non, il voulait juste que ce soit un peu plus fort en bouche voilà tout. « J'ai la conviction que cette semaine, tu échapperas à la nomination. » lui fit-il alors savoir, quasiment sûr de lui. Autant aborder un autre sujet, hein. Pourquoi celui-ci et non un autre ? Et bien, il venait de se souvenir que l'annonce de Cupidon aurait lieu demain soir. Et donc non, il ne voyait pas Fitz nominé un seul instant. Certes il était nominable en solo, mais si Mickey y avait échappé quand Harlow s'était trouvée immunisée, il n'y avait aucune raison que Fitz soit de nouveau sur la sellette. Par contre ça pendait au nez de l'écrivain...

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