J’ai cru un temps aux histoires d’amour, mais depuis que le père de mon fils m’a quitté, je ne pense plus qu’à m’amuser et à profiter. Je n’ai pas envie de me prendre le chou pour des hommes qui n’en valent pas la peine. De toute façon, je suis à des années lumières de savoir ce qu’est l’amour éternel puisque mes parents se sont séparés lorsque j’étais gamine. Un mauvais souvenir. Je suis bien contente que l’autre ce soit barré avant qu’Erick ne pointe le bout de son nez. Ma chère petite tête blonde en souffrira certainement moins. Je l’espère. Mon corps déformé après la naissance du bébé. Qu’elle grosse blague. J’espère qu’il est devant sa télévision à cet instant précis est qu’il est en train d’admirer la scène en se touchant et en rageant de la nana qu’il n’aura plus jamais dans son lit. Zoran en revanche il est plutôt bien parti pour que je termine dans ses bras aujourd’hui. Je l’ai un petit peu provoqué, mais ce n’est pas moi qui lui ait demandé de venir m’embrasser et de poser sa main sur mon entrejambe. Les choses s’enchaînent assez vite. Changement de position, mes mains qui remontent le long de son torse, ses mains qui viennent se perdre dans le bas de mon dos, mes doigts effleurant son intimité. Personnellement, je ne m’occupe même plus des caméras dans un tel moment. Je n’aime pas être observé durant ce genre de chose, mais tant pis. Il en arrive enfin à m’ôter mon haut ainsi que mon soutien-gorge avant de venir laisser ses lèvres s’aventurer sur ma poitrine. Je dois avouer que ceci est assez plaisant et le bref soupir de béatitude que je laisse échapper est là pour en témoigner. Pendant ce temps, l’une de mes mains glisse dans son caleçon, caressant du bout des doigts son membre. Sa bouche remonte jusque dans mon cou et alors qu’il parsème ma peau de baiser je commence tout doucement à effectuer de petits gestes de va et vient autour de son pénis, à l’aide de ma main. J’échange les rôles. Mes lèvres viennent retrouver les siennes un instant avant qu’elle ne descende s’aventurer dans son cou, sur son torse, peut-être même un petit plus bas pour finir par remonter lentement, mais surement vers sa bouche.