Eibhlin s’emmerde un peu profondément. Elle vient de fumer une clope. Elle revient dans le grand salon dans lequel elle était depuis un bon moment déjà. Elle est habillée comme une loqueteuse. Normal, c’est elle la plus pauvre du nid. Il faudrait franchement que quelqu’un lui dise comment gagner de la tune, parce que c’est la dèche. Mais bon, pour une fois qu’elle est pauvre, ça change de sa condition initiale de fille de bourge. Au mieux, elle pourra battre le record de pauvreté du jeu, non ? Et puis Cupidon aura pitié d’elle, c’est certain. Il ne pourra pas la laisser ainsi. Elle s’allonge doucement dans l’un des fauteuils, quand elle voit une ombre se dessiner sur le sol. Indiquant que quelqu’un arrive. Evidemment. Elle bondit. « Ah t’es là ! J’avais besoin d’une copine !.. » Qu’elle dit, en attrapant le bras de Pavel qui passait pas là et qui n’avait en soit rien demander. Mais elle l’aime bien Paquito. À sa manière évidemment, alors certes ce n’est pas comme tout le monde, mais elle l’aime bien quand même. Non, elle n’ira pas lui faire de mamours, des câlins, parce qu’elle l’aime bien. Peut-être même que le fait de lui prendre son bras est le plus gros rapprochement qu’elle pourra opérer avec lui. Elle l’avouera sans honte. Et puis elle se dit que le jour où il sortira, elle sera sûrement aussi triste que lorsque Antwon est partit, voire même un peu plus. Parce qu’elle part évidemment du principe qu’elle va gagner. Alors qu’elle invite Pavel à continuer de marcher puisqu’il ne semblait pas souhaiter rester là, elle s’agrippe à sa manche et elle se laisse portée par lui, patins aux pieds. C’est plus simple comme ça et moins fatiguant. Elle reprend alors : « Pour aller au ‘salon de beauté’ ! Je te coiffe, tu m’coiffes… » en souriant, alors qu’ils sortent à deux du grand salon pour arriver dans le hall. Elle n’a jamais été au salon de beauté, pour tout dire. Elle n’en a rien à faire de se faire belle, de se coiffer. Finalement, sa déprime concernant sa presque dernière place au sondage de beauté est passée. Même si elle est considérée comme l’une des moins belles, ou la plus moche des moches, elle s’en branle. Elle sait bien que c’est parce qu’elle est lesbienne. D’ailleurs, en parlant de ça, Eibhlin a justement un petit truc à faire remarquer à Pavel. Oh pas tout de suite, parce qu’ils montent là les escaliers. Ca ne lui fait évidemment pas peur. Elle sait autant monter des escaliers en patins que les descendre, que de sauter assez haut et autres encore. C’est une pro, il ne faut pas l’oublier. Elle suit le chevelu, toujours, qui se dirige vers la chambre bucolique. Allez savoir pourquoi… Oh Eibhlin s’en fout. Une fois arrivée dans celle-ci, Eibhlin le lâche pour refermer la porte derrière eux. « J’étais pas là au prime, la flemme d’y aller pour rien, mais mon petit doigt ma dit que… » Elle marque une pause, en levant justement son petite doigt pour le lui montrer. Une fois fait, elle reprend avec un sourire en coin : « Que tu semblais triste que je sois portée sur les nanas… » Oui, son espion lui a rapporté les adjectifs dit sur elle lors du prime et il semblait assez déçu de la savoir lesbienne. Elle a aussi compris que son lesbianisme était un défaut pour Cian… Peut-être qu’il aurait bien envie d’elle lui aussi…

Eibhlin ni va pas par quatre chemin, mais ça Pavel à l’habitude. Ils ont tous l’habitude, mais ça ne doit pas le déranger lui comme une petite poignée de candidat. Elle parle de ce qu’il a pu dire lors de la chronique classique des adjectifs. Evidemment elle exagère parce qu’elle est toujours dans l’exubérance. Elle sait bien qu’il n’est pas triste pour ça, mais elle aime le croire. Il explique ce qu’il voulait dire sous sa réponse. Qu’elle manquait quelque chose. Evidemment, il se lance des fleurs au passage, ce qui la fait sourire. Quand elle disait à Nicola que Pavel et elle, c’était la même chose… Ils sont pareils. Vantard tout les deux. En tout cas, elle ne pense pas manquer quelque chose. Non, enfin il doit bien la comprend lui, qui adore les minettes. Et bien elle est pareille. Elle aime tellement ça, que tout plaquer pour une bite, ce n’est pas possible. C’est comme si lui disait basta aux nanas pour tourner gay. Pas possible. À moins qu’il le soit en vérité… « Tu crois ça ? Pourtant Zoran à l’air de pas mal se défendre… Tu t’es fait sucer toi ? » Qu’elle lance comme ça, une moue moqueuse sur le bout de ses lèvres. C’est vrai quoi, Zoran oui. Ca fait un point pour lui. « Et tu t’es tapé qui d’autre que Kinga ? » Parce que bon, elle est un peu facile à avoir celle-là. Même elle, Eibhlin, elle a eu un moment coquin avec Barbie-Pute-Gros-Cul. « Enfin… J’aime les chattes – comme toi – on ne peut rien y faire… » Qu’elle lâche, fataliste. Faignant le fatalisme plutôt. Ca doit être horrible pour lui de se dire qu’il n’aura pas une nana juste parce qu’elle est une lesbienne convaincu. Enfin, ça, ça serait un peu mal connaître Eibhlin. Parce qu’autant elle est lesbienne convaincu, autant elle n’a jamais été totalement repoussée par les mecs. Sans pour autant dire qu’elle soit bi, non, ça jamais. Elle se détourne de la porte qu’elle a fermé derrière pour se déplacer jusqu’à la balançoire qui trône au milieu de cette chambre. Il se montre un peu curieux, lui demandant si elle ne s’est jamais tapé un mec. Elle ne perd pas de temps et lui répond vivement : « Bien sûre que si… J’suis pas du genre à dire ‘j’aime pas’ sans goûter… » Elle esquisse un sourire. Elle ne dit pas combien ni dans quelles condition. Pour tout dire, elle n’a pas eu temps de « partenaire » sexuel. Non pas qu’elle en ait honte, mais il ne le demande pas. Elle a eu un petit ami et une petite amie. Assez longtemps pour ne pas à avoir d’autres coups. Si, quand même, mais elle s’est juste un peu consolée durant le mois de liberté qu’elle a eu, entre sa rupture et le début du jeu. Un mois pour baiser, c’est court… Elle n’est pas tout le temps sortie… Mais sa vraie et seule expérience sexuelle avec un mec remonte donc à ce fameux petit ami. Trop sain d’esprit pour rester avec elle qu’il l’a largué. Presque sans ménagement en plus. Juste parce qu’elle était trop chiante. On ne peut qu’être d’accord avec lui, mais quand même… Dire que sa petite amie l’a aussi quitté pour ça. Et puis il lance un truc, qui la fait sourire. Même rire. Il sort quand même qu’il est certain de pouvoir la rendre bi. Elle tourne sur sa balançoire pour lui faire face. Communiquer l’amusement qu’il vient de provoquer sur son visage. Il est trop confiant. Il ne devrait pas. Elle attend de pouvoir se calmer un peu, avant de lui rétorquer. Fièrement. « Toi ? Me rendre bi… Et comment j’te prie ? » Bon elle sait comment dans les faits, mais avec quelle « arme » ? Dans le sens, comment il va réussir à lui faire réellement aimer les mecs, quand déjà son premier et seul mec à lamentablement relayé les mecs au pieu à un stade d’amateur. Elle est sûrement très mal tombée, certes, mais ça lui a suffit à tout casser en elle. Elle ne précise pas non plus ce qu’elle a déjà dit à Betty hier. C’est que lorsqu’elle sent qu’elle ne peut pas tirer un coup et qu’elle se sent franchement seule sentimentalement parlant, elle pense aux mecs en premier… Oui, même avant les nanas. Et que le premier qui pourrait passer lui suffirait. Paquito lui irait amplement, mais lui laisser ce plaisir est devenu, maintenant, impossible à réaliser. Pas si facilement. « Non, parce que t’as déjà réussi à rendre bi une lesbienne ? » Qu’elle lui demande. C’est bon à savoir non ? Pendant qu’il répond, elle enlève ses patins, qu’elle jette un peu plus loin. « Parce qu’au contraire, j’aurais tendance à dire que tu me rendrais encore plus goudou… » Un clin d’œil. « Et toi au fait, t’as déjà eu une expérience homo ? »

Elle sourit. Elle ne doute pas qu’à l’extérieur, elles doivent être très nombreuses à vouloir le sucer, mais ici, c’est une autre paire de manche. Elle est même certaine que personne ne le fera, ça non. Personne ici ne voudrait se dévouer pour le faire, pas même Danaé. Apparemment elle donne tout à Zoran… Elle sourit de plus belle lorsqu’il dit que ça n’a pas vraiment aboutit en baise, soyons clair, malgré les occasions apparemment nombreuse. Ca fait encore plus mal que s’il n’avait aucune occasion du tout. « Certaines ? Qui ça ? » Qu’elle lui demande, pas curieuse du tout, non. Oui, c’est vrai que ça prend la forme d’un interrogatoire, mais c’est drôle. Autrement, pendant ce temps, on ne parle pas d’elle et puis elle a quelques petites infos croustillantes. Malheureusement pour elle, il n’y a pas beaucoup de goudou par ici. Il a plus de chance de serrer qu’elle. Elle pense même qu’il aura plus de chance de la rendre bi, qu’elle de rendre bi une autre nana. La vie parfois est injuste, mais elle l’a choisi aussi… Parce qu’on dit qu’on ne choisi pas, mais parfois si… Elle révèle alors que oui, elle a déjà goûté de la saucisse. Un petit peu et ce n’était pas vraiment terrible. Même pas terrible du tout. Alors, dans un sens elle est rapidement passée aux chattes en assimilant la bite comme étant toutes pareilles. Peut-être bien que si elle avait goûté à une autre, différente dans la foulée, elle aurait aimé ça. Et là, elle se taperait des mecs à tour de mains. Du coup, il en profite pour placer sa façon de voir les choses : autrement dit qu’elle devrait essayer avec un mec avec plus d’expérience et plus compétant. D’accord. Ce n’est peut-être pas une mauvaise idée, mais elle pense déjà que c’est trop tard. Elle a déjà trouvé son côté… « Ah. Et tu me recommandes quelqu’un en particulier ? » Qu’elle dit, sourire amusé aux lèvres. Elle sait pertinemment qu’il se pose en expert, en ce quelqu’un de plus compétant. Apparemment oui, il semble le plus apte à la sauter, le plus capable, le plus culoté pour « draguer » une lesbienne. Mais elle veut vraiment savoir comment il compte si prendre. Parce que oui, selon lui, il pourrait rendre toutes les lesbiennes du monde bisexuelle. C’est étonnant qu’il n’ait pas carrément dit hétérosexuelle. Il est devenu raisonnable ? Peut-être pas, parce qu’il semble croire qu’il ait bien rendu des homo, bi. Le problème, c’est qu’elle n’a aucun détail de sa part. Non, parce qu’elle doit passer par cet acte de baiser avec lui en fait, pour s’en rendre compte. Et en prime, elle ne regrettera pas. « Je ne regrette jamais rien. » Qu’elle lâche avec un sourire de coin, avant d’ajouter : « Mais t’as peut-être raison… Il ne faudrait pas rester sur un échec, c’est ça ? » Elle n’a pas précisé si c’est avec lui qu’elle souhaiterait le faire, même si sa manière de le regarder et de se pincer les lèvres pourrait dire le contraire. Autant taper dans le top du top que de se faire un mauvais coup et passer d’un truc assez bien. Mais Eibhlin casse une première fois le truc. Elle lui demande s’il a déjà eu des expériences homo. Ou au moins une. Ca ne lui semblait pas bizarre à dire, pourtant en regardant l’expression de Paquito, ça semble incongru. Et apparemment il tient à ce que ce soit clair : il est hétéro, il ne veut pas tenter, il ne tentera jamais. C’est bête. Ca pourrait révéler des choses chez lui… « Oh pourtant je t’aurai cru plus ouvert d’esprit… Que sous tes airs de macho se cache un petit amateur de nouvelles sensations plutôt fun… J’suis sûre que tu kifferais… » Littéralement il kifferait se prendre une bite dans le cul quoi… Il sait déjà qu’en matière de nana, ils ont un peu les mêmes goûts. En ce qui concerne les mecs ? Être objective c’est dur, parce qu’elle aurait tendance à dire qu’elle voit à peu près qui est qui et qui a tel caractère. Elle marque un temps de pause, avant de lâcher quelques trucs comme ça… « Je trouve que Celse est plutôt pas mal. Ivan a un petit quelque chose aussi… Mais honnêtement, ouai, j’trouve que c’est toi le plus canon. » Elle lui sourit. Il ne s’attendait peut-être pas à ce qu’elle lui dise ça et pourtant c’est vrai. Elle ne lâche pas son prénom parce qu’il est devant elle. C’est juste parce qu’il a un physique atypique et bien plus attirant que les autres. Elle frotte ses jambes entre elle, et commence à papillonner des cils. Sans parler de sa langue qu’elle passe sur ses lèvres. Apparemment c’est ce genre de signes qu’il faut faire pour attirer les mecs, un truc du genre. Pourtant, elle casse rapidement le truc en insistant un peu plus : « Et toi ? Le mec qui te ferais devenir gay… Si hypothétiquement tu devais en choisir un pour te dépuceler le cul, ça serait qui ? » Qu’elle lance comme ça, sans aucune honte, ni gêne. « Akela est gay j’crois, ça peut aider j’penser… » Qu’elle siffle, se levant de sa balançoire pour se rapprocher de Pavel.

Il ne veut pas dire les noms de ces fameuses futures conquêtes. Merde. Elle veut du potin elle, savoir qui veut, va ou a baisé avec qui. Quitte à ne pas le faire elle-même, savoir si les autres le font, mais Paquito ne joue pas le jeu. Ca craint. Il pourrait la tenir au courant, parce qu'à l'inverse, il sait qui elle a dans son viseur, elle. Même si bon, tout le monde est un peu au courant. Elle fait une moue boudeuse, bien qu'elle pense et qu'elle passe rapidement à quelque chose d'autre. Grâce à Pavel quand même, parce qu'il semble mettre un point d'honneur sur le fait qu'il peut la faire changer partiellement d'orientation sexuelle. Qu'elle ne peut pas rester sur un échec, sur un mec qui ne sait pas se servir de sa queue, et qu'un petit coup avec un specialiste pourrait radicalement changer sa vie... Ca la fait sourire évidemment, mais en même temps, cette idée lui plaît bien. Comme elle l'a dit durant son casting, elle a un faible pourcentage, mais un pourcentage quand même, d'amour pour les mecs. Qui ne doit pas s'élever au dessus des 4/5%. Ce qui est déjà pas mal. Ce qui revient à un petit coup, justement... D'ailleurs, il se propose : il est là au besoin, il est volontaire vaillant. « Oh t’es vraiment trop sympa, toujours prêt à rendre service ! C’est noté ! » Quand elle en aura envie, elle sait vers qui se tourner alors… Au moins elle sait qu'elle ne se prendra pas un vent de sa part. De la part d'une seule personne dans le château, ça le fait quand même pas mal... Mais s'il venait à la repousser au moment venu, elle risque de s'énerver pas mal... Parce que sa proposition, elle la prend pour une non périssable, valable pour toujours... Enfin à échelle du jeu, parce qu'elle ne compte pas non plus s'en faire un ami durable. « Donc à t’entendre, t’es un merveilleux coup… Pourquoi tu galères un peu avec les filles, ça craint pour toi... » Elle peut bien parler, mais comme dit à Lewis, elle a des circonstances aténuantes pour ne pas réussir à obtenir ce qu'elle veut des nanas sexy du jeu... Il est dur d'être une goudou ici... D'ailleurs, en parlant de goudou, ça lui fait penser à l'homosexualité et donc à une éventualité pour Paquito. Elle lui parle donc d’une expérience homosexuelle. Non pas qu’elle veuille absolument qu’il en est une, mais elle veut bien se faire promoteuse de ce genre d’expérience. Pour une ouverture d’esprit plus large. Ca n'a rien de choquant il puisse aimer ça même pour lui. Au contraire, aimer toute sorte de corps et se lancer dans des orgies de dingue... Ouai, c'est un peu comme ça qu'elle le voyait, mais il faut croire que non. Il est plus enfermé dans une ligne de conduite par une société très puritaine. Il s'est quand même insurgé dès qu'elle a dit homo. Pourtant, d'après lui, il aurait pu être à deux doigts de connaître ce genre d'expérience... « T'as déjà été approché par des gays ? Ouch, je sais pas si c'est bon signe pour toi du coup... » C'est qu'il paraissait lui-même un peu gay, non ? Elle esquisse un sourire en coin tout en le regardant malicieusement. Moqueuse même. Elle ne peut que se résoudre à dire que c'est lui, le plus canon. Bon ce n'est pas une horrible résolution puisqu'elle le pense. Tout de même, elle n'a pas non plus un avis qui compte, puisqu'elle préfère mater des cul et des seins. Comme lui d'ailleurs. Il est tout fier là, il fait le beau. Elle en sourit. C'est fout comme les mecs à l'égo sur-dimensionner peuvent agir comme des nanas. Et puis regardez-le être tout fière d'être considéré comme le plus canon des mecs par une lesbienne. Quoiqu'il a de quoi être fière ou peut-être que non... Mais rapidement, elle en revient à cette histoire d'homosexualité. Elle aime tellement ça … « Bah c'est dégueulasse, mais tu m'réponds quand même et c'est pas juste parce que je veux un prénom... C'est que l'idée que Camille te mette un coup dans le cul ne te soit pas si horrible que ça... » Elle parle crûment, mais ça il le sait déjà. Pavel ne va pas s'offusquer pour ça. « C'est marrant, j'vois plutôt Camille faire la fille dans un couple homo... » Non pas pour son prénom, mais si on met Camille et Paquito l'un à côté de l'autre, ce dernier fait beaucoup plus masculin que l'autre Camille. Qu'il trouve beau gosses quand même. Elle grimace. Avant de sourire en le voyant légèrement en panique. C'est trop tard pour penser à ça... « J'vais pas lui dire c'est clair, j'peux pas te faire ça... Mais ne t'inquiète pas, ça va être diffusé au prime assurément... » Et cette idée lui plaît vraiment beaucoup. Attendez, là, elle n'a rien dit de compromettant ou de gênant pour elle... Alors que lui... Montrer au monde entier, si ce n'est déjà fait, qu'il voudrait bien s'faire prendre par Camille... Maintenant c'est à lui de s'intéresser à la vie « sexuelle » d'Eibhlin et comme elle n'a pas vraiment de secrets mis à part le sien... Et bien elle parle normalement : « Nan, c'est fini Danaé. Ok elle reste toujours aussi canon, mais elle préfère avoir des queues, j'peux plus rien faire contre ça... Donia... J'en sais trop rien. J'suis un peu paumée quand même. J'ose pas passer le cap d'un baiser. J'ai l'air d'une pucelle avec elle... » Une timide, une qui n'ose pas, alors qu'avec n'importe qui elle serait moins coincée. « C'est pour ça que j'vais finir par m'envoyer en l'air avec toi... J'arrive à rien avec les nanas... » Ca sera elles qui me rendront bientôt bisexuelle à ne pas répondre à son charme... « Non parce que j'en connais une qui aime bien un peu de tout... Betty... Mais bon tu seras d'accord avec moi : elle est affreuse ! Si seulement elle avait été canon, j'aurai sauté sur l'occasion un truc de dingue, mais c'est pas possible... » Qu'elle dit avec une grimace, limite d'imiter un vomissement. Avant de penser...   « Quoique y'a toujours Kinga... Comment je kiffe son cul... » Qu'elle dit, un peu songeuse...