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 J'imaginais qu'il y avait toujours un moment dans une vie où on se pose de genre de questions. 9/01 à 18h45.

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Charlie

Charlie
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MessageSujet: J'imaginais qu'il y avait toujours un moment dans une vie où on se pose de genre de questions. 9/01 à 18h45.   J'imaginais qu'il y avait toujours un moment dans une vie où on se pose de genre de questions. 9/01 à 18h45. EmptySam 8 Jan 2011 - 15:12

    Alceo J'imaginais qu'il y avait toujours un moment dans une vie où on se pose de genre de questions. 9/01 à 18h45. 90482

    Les jours ici se faisaient parfois longs. Je n'avais pas mon petit groupe de personnes approprié comme chacun avait. A ce stade du jeu, il y avait déjà des clans, et bien distincts. Personnellement, je n'avais pas l'impression d'être dans un clan et d'un côté c'était positif, comme négatif. Positif, car au moins, même si j'avais mes affinités, je n'étais fâchée avec personne (ou presque) et je n'étais détestée de personne. Du moins, ils n'avaient pas eu le courage de me le faire comprendre. Du coup, aujourd'hui, je me retrouvais légèrement seule. Mais ce n'était pas grave: parfois, la solitude, ça me plaisait. Me traînant jusque la chambre, je me laissais tomber sur le lit de Matthew et moi. Soupirant, je fixais le plafond, repensant à tout ce qui avait pu se passer ces dernières semaines. C'était effrayant, oui. Mais il fallait que je me fasse une raison: j'avais vécu, jusqu'ici, dans un monde de bisounours. Pour moi, la méchanceté gratuite, la violence gratuite n'existait pas. Mais je m'étais vite rendue compte que si. Je m'étais rendue compte de tellement de choses, d'ailleurs, depuis que j'étais enfermée ici. C'était terrible. J'avais peur. Terriblement peur de ma sortie, de la suite de ma vie. Comment j'allais continuer d'avancer ? Comment pourrais-je encore me complaire dans cette vie minable que j'avais ? Je ne pourrais jamais reprendre ce que j'ai laissé comme avant. C'était impossible. Ici, j'avais ouvert les yeux. J'avais juste cherché à m'amuser en venant ici, mais j'avais l'impression que tout partait en fumée. Tout mes espoirs, tout mes sourires, mes rires, mes délires. Peut-être qu'au fond, je n'avais jamais été heureuse. Que ce n'était qu'une impression. Je me sentais terriblement vide depuis quelques jours. Mais je ne montrais rien, je restais souriante, vivante, aimable. Mais j'en avais marre de jouer la comédie. Quoi ? J'en avais marre de jouer un rôle ? Mais qu'est-ce que je pensais, disais, devenais ? Pourquoi je repoussais tout ce dont j'avais le plus cher, mon art, ma passion, jouer mon rôle ? Pourquoi est-ce que je me laissais de ce que j'étais, ou de ce que je faisais paraître ? J'imaginais qu'il y avait toujours un moment dans une vie où on se pose de genre de questions. Et puis, on surmontait ça et on arrivait enfin à vivre comme on le voulait, on était enfin heureux. Ce n'était qu'un mauvais moment à passer. Peut-être. Je ne savais pas. La porte s'ouvrit et je me redressais, posant mes yeux sur lui.
Alcéo

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MessageSujet: Re: J'imaginais qu'il y avait toujours un moment dans une vie où on se pose de genre de questions. 9/01 à 18h45.   J'imaginais qu'il y avait toujours un moment dans une vie où on se pose de genre de questions. 9/01 à 18h45. EmptyDim 9 Jan 2011 - 19:34

    Ma fierté blessée était refoulée, tandis qu'après avoir quitté le salon suite aux excuses dûment demandées, je montais tranquillement sur l'escalier, dans le but simple de m'asseoir quelques secondes près de la tapisserie révélant la pièce où mon secret était enfouie. Enfouie si profondément que personne ne parvenait à le découvrir. Soupirant faiblement, je posais ma tête sur l'une des marches, fermant les yeux quelques secondes, songeant à la semaine que j'avais passé dehors, près de miens. Bien que le seul proche qu'il me restait désormais comptait bien plus que je ne saurais jamais le définir, j'étais conscient que ma vie n'était pas non plus avec lui. Il m'était désormais clair que ma solitude m'était vital, tant je n'aimais pas m'attacher et dépendre de quelqu'un d'autre que moi même. La vie et le destin avait fait que je n'étais destiné qu'à être seul, du moins dans mon univers sentimental direct. Ma main glissa sous ma nuque, tandis que je glissais une cigarette entre mes dents, sans pour autant l'allumer. Je m'amusais simplement à la mordiller en douceur, avant, par un coup d'œil sur le côté, remarquer une peluche. Levant un sourcil, je restais quelques secondes sans bouger avant de me redresser lentement, sans pour autant comprendre par quel coup du hasard il avait bien pu atterrir, un sourire sur son facial comme pour narguer la personne en face. Ce que je pouvais trouver ce genre de jouet infantile et inutile. Me redressant, je le pris d'une main avant de le retourner, cherchant à tout hasard un prénom inscrit sur l'étiquette blanche, le fabriquant inconnu apparaissant plus clairement que son propriétaire. Plutôt que de chercher l'aiguille dans une botte de foin, je me redressais, m'aidant de ma paume posée sur le sol, tout en essayant d'imaginer l'une des femmes de la maison se promenant avec ce genre de consolations. A moins qu'il n'appartienne à Austin. Remontant les marches souplement, je poussais pour la première fois, la chambre de Deirdre et Noise. D'un coup d'œil, je la jaugeais rapidement avant de remarquer une jeune femme sur un lit, à moitié allongée. Lui lançant la peluche, je souris amusé. « Je ne sais pas si cela t'appartient, mais je l'ai trouvé dans l'escalier. »

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MessageSujet: Re: J'imaginais qu'il y avait toujours un moment dans une vie où on se pose de genre de questions. 9/01 à 18h45.   J'imaginais qu'il y avait toujours un moment dans une vie où on se pose de genre de questions. 9/01 à 18h45. EmptyLun 10 Jan 2011 - 22:59

    La peluche retomba près de moi... Un cochon rose en peluche ? En plus, avant un nœud rouge dans les cheveux ? Fixant cette chose, je levais le regard vers lui. Pour qui il me prenait ? Quitte à avoir des peluches, je n'aurais pas des trucs aussi laids. Haussant un sourcil, je me redressais correctement, avant d'attraper la peluche, l'examinant. Puis, je lui renvoyais, le cochon tapant contre son torse.

    « C'est pas à moi ! Ca va pas, non ?! Ma seule peluche c'est une Minnie... Qui fait de la musique quand tu tires le truc derrière. » lâchais-je en faisant une petite moue. Et c'était vrai. Je ne savais pas pourquoi j'adorais cette poupée.Car en réalité, c'était plus une poupée qu'une peluche. Enfin bref. Je me laissais retomber sur le lit, avant de reposer mes yeux sur le plafond. Je ne savais pas vraiment comment se sentait Alcéo après ce qui venait de se passer. Mais je supposais qu'il devait sans doute éviter le sujet et moi ausi d'ailleurs. Enfin, si jamais il voulait m'en parler (ce que je doute vraiment venant de lui), alors je serais prête à écouter et parler, il n'y avais pas de soucis. Poussant un long soupire, je repris la parole:

    « Viens t'assoir, là, si tu veux. » lançais-je en tapotant la place près de moi. Non ce n'était pas une invitation malsaine, n'allait pas voir le mal partout. C'était juste pour dire de parler. Je n'avais pas trop envie de rester seule et puisqu'il était là, autant que j'en profite, non ? J'aimais beaucoup Alcéo, parce qu'on rigolait bien avec lui. Enfin, moi, je rigolais bien. On n'avait qu'à se souvenir de notre dernière rencontre dans le jardin: c'était amusant. Je redevenais presque une enfant près de lui et j'adorais ça. Me redressant encore une fois, je m'asseyais avant d'appuyer mon dos contre le mur.

    « Fais pas ton timide. J'dirais à personne que tu as essayé de me refiler ta vieille pelche, va. »

    J'abordais un léger sourire avant de lacher un rire enfantin. J'aimais bien l'embêter, aussi, même si là ce n'était peut-être pas le moment. Ce que je compendrais. Ce devait être difficile pour lui, tout ça. Mais ce devait l'être tout autant, si ce n'est plus pour BJ. Quant à Leone, je ne savais vraiment plus quoi penser de lui. C'était horrible. C'est vraiment désagréable quand on n'arrive pas à avoir une idée fixe sur une personne,, vous ne trouvez pas ? Comme si, on ne pouvait ni l'aimer, ni le détester mais qu'on ne pouvait pas non plus être indifferent. Ah! C'est tout une torture. M'enfin, bref. J'allais m'en remettre, ce n'était pas ça qui allait miner mon moral.

    « Comment tu vas ? »
Alcéo

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MessageSujet: Re: J'imaginais qu'il y avait toujours un moment dans une vie où on se pose de genre de questions. 9/01 à 18h45.   J'imaginais qu'il y avait toujours un moment dans une vie où on se pose de genre de questions. 9/01 à 18h45. EmptyMer 12 Jan 2011 - 11:27

    Je retins un sourire à ses dires, sans pour autant désirer me moquer quoique … Je ne m'attendais certes pas à une telle réponse, quelques mots me prenant de cours. Finalement, je laissais un sourire amusé éclairé mes traits. « Une Minnie qui parle.... intéressant. Tu dors avec? » Je trouvais la situation comique, bien que ce n'était pas un motif à la moquerie mesquine, qui ne m'intéressait pas. Je préférais de loin la taquinerie, et il était clair que je ne m'en privais que très peu souvent. Son geste attira mon attention, alors qu'elle m'invitait près d'elle. Poussant la porte totalement, je pénétrais la pièce avant de stopper légèrement, l'observant en levant un sourcil moqueur. « Moi timide? Ma peluche? » Visiblement elle n'était pas en reste, et c'était quelque chose qui me plaisait chez elle. Qu'elle réponde à mes tentatives par d'autres, ou vice versa. Attrapant un coussin sur mon passage, je le plaquais à sa tête, la laissant tomber en arrière sur son lit avant de m'asseoir confortablement et sans gêne, suite à son invitation. « C'était trop aimable. » Me tournant légèrement vers elle, je récupérais le coussin avant qu'elle n'ait la mauvaise idée de s'en servir contre moi et l'observais pensif avant de déclamer. « Je me porte comme un charme. » Hormis l'incident avec BJ et l'accident de mon proche, tout allait bien. « Et toi? » J'étais certain que la jeune blonde n'était pas seul dans cette chambre par hasard, semblant ressasser je ne sais quel événement ou question. Je doutais qu'il s'agisse de Léone, l'événement ne devait être connu des autres, du moins pas encore, à moins que le coup de point reçu et son nez ensanglanté ne l'ait dévoilé. Peu importe. J'assumais parfaitement le fait de lui avoir éclater le visage, avec trop de douceur cependant pour ne pas lui avoir littéralement péter le nez voir bien plus. Revenant sur le visage de Charlie, j'attendis donc sa réponse, la tête légèrement penchée.
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MessageSujet: Re: J'imaginais qu'il y avait toujours un moment dans une vie où on se pose de genre de questions. 9/01 à 18h45.   J'imaginais qu'il y avait toujours un moment dans une vie où on se pose de genre de questions. 9/01 à 18h45. EmptyMer 12 Jan 2011 - 20:34

    « Elle parle pas d'abord, elle fait de la musique. Et oui je dors avec... Elle est cachée sous les couvertures. » lançais-je avant de lui tirer la langue. Non, parler, c'était nul. Les gens parlaient toujours trop, je n'allais pas en rajouter une couche avec une Minnie qui dit des trucs inutiles. J'en disais moi-même de toute façon, c'était inutile. Mais avant que je ne puisse réagir, je me prenais un coussin dans la figure. Non, mais sérieux, ile me provoquait pour la... Je ne comptais même plus ses provocations: chaque fois qu'on se voyait, il me provoquait. J'étais persécutée, vraiment ! Affichant une mine outrée, je croisais les bras avant de m'installer correctement (même si Monsieur prenait une bonne partie de la place, se vôtrant sans gênes... Non mais vraiment).

    « J'ai connu mieux, mais ça va. » dis-je dans un sourire. Un petit coup de mou, une mauvaise phase à passer, ça ira vite mieux de toute façon. Je sopupirais légèrement avant de le toiser du regard. « Par contre, toi, ton charme, tu ne vas pas le porter longtemps. » Ha.Ha.Ha. J'étais drôle quand je voulais, c'était fou. Affichant un léger sourire je me mis alors debout sur le lit les mains sur les hanches: « Encore une fois mon brave, vous allez payer votre affront. » dis-je d'un air sévère avant de me jeter sur lui et de lui ébouriffer les cheveux. J'ignorais si il détestait ça, mais j'espérais vraiment; ben oui, sinon ce n'était pas drôle. Mais au pire, j'avais des plans B et même C. Je prevoyais tout, il ne pouvait échapper à ma vengeance !

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MessageSujet: Re: J'imaginais qu'il y avait toujours un moment dans une vie où on se pose de genre de questions. 9/01 à 18h45.   J'imaginais qu'il y avait toujours un moment dans une vie où on se pose de genre de questions. 9/01 à 18h45. Empty

 

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