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 DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20

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Salvador

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MessageSujet: DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20    DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20	 EmptyMar 5 Jan 2016 - 16:52

Une nouvelle semaine démarre. Je suis encore là, dans le jeu, sauvé à 15% par le public. Je suis clairement pas serein quant à la suite car j’ai conscience que j’suis de loin pas le candidat le plus populaire mais je n’en reste pas moins content de poursuivre l’aventure. J’espère y rester encore quelques temps et prouver à tous que j’ai ma place ici puis surtout dire ce que j’ai à dire ou du moins raconter mon histoire. Pour beaucoup, je ne suis qu’un mystérieux pirate soit sympathique et agréable soit sauvage comme cela a pu être dit lors des adjectifs. En vrai, tout le monde est à côté de la plaque mais personne ne le réalise. Ou alors ils ont peut-être raison et c’est moi dans ces cas-là qui le suit. Allez savoir. En attendant, nouvelle année ou pas, je n’en reste pas moins gourmand. Comme très souvent, je me munis d’une grosse doudoune épaisse puis de mes godasses de montagnard puis je file affronter le vent Irlandais avec pour intention de me rendre au stand de confiseries. Une fois sur place, je demande à Margaret, l’ancienne cuistot de la prison de me filer une barbe-à-papa. En fait, je n’ai même pas besoin de parler pour qu’elle me la serve. Disons que j’ai mes petites habitudes et que Margaret en a conscience. Du coup, une fois celle-ci faite, je reprends le bâton puis je commence à marcher dans le parc. Je me rends assez vite compte que j’ai oublié de prendre une serviette. Du coup, je fais marche arrière et je retourne au stand. De là, je tombe à nez-à-nez avec un candidat. L’indien de la saison. « Salut. » Je le regarde alors sans pour autant me déplacer. Je pourrai l’ignorer mais c’est pas dans mes intentions. J’ai rien contre lui-même si ses mots il y a plus d’une semaine maintenant ont pu me toucher. « Félicitations pour ton sauvetage. » Naveen a fini premier des votes en plus. On peut dire qu’il est très populaire ici. Je l’avais déjà un peu compris et je n’ai pas été étonné des résultats à son sujet. « T’en veux ? » Je lui tends alors mon bâton de barbe-à-papa pour qu’il se serve. Je suis peut-être susceptible mais je suis pas rancunier et encore moins quelqu’un de méchant.
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MessageSujet: Re: DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20    DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20	 EmptyMar 5 Jan 2016 - 19:56


Pour la première fois depuis plusieurs semaines, c'est avec le sourire que Naveen repensait au prime, et tout particulièrement à l'issue de la soirée. Son sauvetage lui valait d'afficher une mine sereine, parce qu'il n'y avait pas que la continuité de son aventure qui s'était jouée hier soir, au moment où il avait espéré entendre son nom, parmi ceux des candidats repêchés. Il y avait aussi des choses que son élimination aurait compromises, qu'elles aient besoin d'être dites ou bien d'être faites, et qu'elles soient en rapport avec certains de ses liens dans le jeu, ou avec ce qu'il avait de plus intime. Marchant le long des stands, il se promenait au sein du parc d'attractions depuis quelques minutes , tandis qu'il réfléchissait à tout ça, et à d'autres choses encore, avant que ses yeux ne se posent bientôt sur une silhouette reconnaissable. Salvador était là, près du stand de confiseries, et l'indien lui adressa un sourire, un peu timide, mais néanmoins chaleureux. « Bonjour. » Il souffla alors, en s'approchant de quelques pas, avant que Salvador ne le prenne légèrement de court en le félicitant pour son sauvetage, une attention tout à fait honorable. « Merci. » Son regard se fit aussi reconnaissant que ses mots, tandis que son sourire s'élargit un peu plus. « Félicitations à toi aussi. Je suis content pour toi, sincèrement. » Il ne savait pas encore vraiment ce que Salvador avait pu se mettre en tête lorsqu'il s'était retrouvé nominé par la faute de l'indien, mais ça lui tenait à cœur de lui assurer qu'il se réjouissait tout à fait sincèrement de son retour, parce que c'était le cas. « Oh. Oui, je te remercie. » Il reprit bientôt, en osant lui prendre un peu de sa barbe-à-papa, un délice qu'il connaissait encore peu mais au goût duquel il s'était plus facilement habitué qu'à certaines autres friandises. Reportant son regard sur Salvador, sa mine se fit un peu plus sérieuse lorsqu'il se décida à lui confier ce qu'il avait sur le cœur. « Tu sais, j'ai beaucoup pensé à ce moment, et à ce que je pourrais te dire. Mais la seule chose que je veux que tu saches, c'est que je n'ai rien contre toi, et que … je n'ai absolument pas donné ton nom parce que je voulais te nuire, ou te faire payer quoi que ce soit. » C'est vrai, leur échange de la dernière fois lui avait laissé une drôle d'impression, mais jamais il ne se ferait une mauvaise opinion de quelqu'un aussi facilement. Si personne ne l'avait jamais réellement déçu dans la vie, c'est bien parce qu'il avait toujours su accorder des secondes chances, et voir plus loin que ce qu'on lui montrait. « J'ai procédé par élimination, et si j'avais su avant de répondre que ça te vaudrait une nomination d'office … j'aurais refusé de donner le moindre nom. » Il se pinça les lèvres et afficha une petite moue amusée, réalisant qu'il n'était peut être pas tout à fait crédible quand il jouait les apprentis rebelles. « Ou disons que je me serais enfui, comme un lâche. » Ce n'était certes pas son genre de se défiler, mais quand il était question de faire du tort aux autres, la fuite lui semblait toujours être la meilleure solution. Et oui, c'était certainement d'une lâcheté sans nom, mais il avait le mérite de le reconnaître, au moins. « Je ne demande qu'à apprendre à te connaître, et ... si tu me donnes cette chance, je te promets qu'il ne sera plus jamais question de tes cheveux, entre nous. » Cette fois, c'est un sourire teinté d'un réel amusement qu'il destina à Salvador, tandis qu'il lui tendit une main, peut être dans l'espoir qu'il la saisirait, comme une nouvelle chance de se découvrir, l'un et l'autre, et de laisser derrière eux ce qui ne devait pas les empêcher de s'apprécier, même si ça devait prendre un peu de temps.
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MessageSujet: Re: DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20    DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20	 EmptyMer 6 Jan 2016 - 19:25

Muni de ma barbe-à-papa du jour, je tombe nez-à-nez sur Naveen quand je pars chercher une serviette. C’est que ça colle les doigts le sucre et que j’veux pas en avoir partout. Je salue le candidat puis en profite pour le féliciter quant au fait qu’il ait été sauvé par les votes du public la veille lors du prime. Mes mots semblent plaire à l’Indien qui me remercie aussitôt en m’adressant un sourire. Si je ne lui retourne pas car ça n’est pas vraiment dans mes habitudes, mon ton est assez chaleureux et surtout sincère. « C’est sympa. » Je ne sais pas si je dois le croire ou non quant au fait qu’il me félicite à mon tour d’être toujours parmi les candidats mais je prends le risque de le croire. Le dernier mot prononcé par l’Indien pesant dans la balance. Du coup, je lui propose la confiserie que je tiens dans les mains peut-être en signe de paix car après tout, il m’a pas l’air bien méchant comme candidat. Et puis, si tout le monde l’apprécie ici c’est qu’il doit y avoir du bon en lui. L’impression de gars étrange qu’il m’a laissé la dernière fois n’était surement pas la bonne. Il s’y est peut-être mal pris avec moi tout simplement et a surement enchaîné les maladresses. Je lui laisse ainsi le bénéfice du doute et une chance de se rattraper. Une chance qu’il semble saisir puisqu’il se justifie de lui-même quant au choix qu’il avait fait lors du prime où je me suis retrouvé nominé d’office. Il m’affirme qu’il n’a rien contre moi et j’hoche la tête laissant comprendre que je n’en doutais pas. Puis, il explique pourquoi il a donné mon nom comme le candidat n’ayant pas sa place ici. Il a simplement procédé par élimination parmi les candidats de sa liste. Il affirme même qu’il aurait donné son nom s’il avait su auparavant la sanction qui m’était réservé. « C’est le destin. De toute façon, si tu n’avais pas cité mon nom, j’aurai tout de même été nominé. » Comme j’ai pu le dire lors des interviews de Rowan, je ne lui en ai pas voulu pour la nomination mais par le fait qu’il puisse penser que je n’ai rien à faire ici. J’ai trouvé ça très blessant et vexant mais apparemment, le candidat ne le pensait pas. Il s’agissait simplement d’un choix de dernier recours. « Tu ne penses donc pas que je n’ai pas ma place ici ? » Je décide de mettre les choses au clair une fois pour toute et de tester un peu la sincérité du candidat. Il se joue peut-être de moi après tout simplement dans le but de se faire mieux voir, qui sait. Mais bon, j’en ai pas franchement l’impression. Je trouve sa démarche assez sincère. En revanche, ses derniers mots me restent un peu de travers. « Fuir c’est forcément être lâche ? » Simple question. J’aimerai connaître son avis sur la question. Je reprends un bout de barbe-à-papa puis il m’annonce qu’il ne demande qu’à apprendre à me connaître et il me fait part aussi qu’il n’évoquera plus mes cheveux. C’est clair que c’est pas plus mal. Il m’a sérieusement fait peur la dernière fois avec ça. « Je ne sais pas si je suis la personne la plus intéressante à découvrir. Parle-moi de toi plutôt. » Je ne refuse clairement pas la proposition du brun, juste que j’ai pas grand-chose à lui raconter sur moi. Du moins, pour l’instant. Je suis certainement pas suffisamment encore en confiance avec lui pour en dire plus à mon sujet. Peut-être que s’il me parle de lui d’abord je serai plus apte à me dévoiler.
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MessageSujet: Re: DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20    DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20	 EmptyMer 6 Jan 2016 - 22:20

Durant des jours, l'indien n'avait eu de cesse de se demander ce qu'il pourrait bien dire à Salvador, une fois qu'il se retrouverait face à lui. Il avait besoin de lui expliquer certaines choses, mais il ne pouvait pas être certain que Salvador aurait autant envie que lui de faire table rase du passé, et de repartir sur des bases plus agréables, parce qu'il serait en droit de lui tenir rigueur de son choix de l'autre soir, après tout. Alors oui, il avait retardé le moment où se tiendrait cette discussion, pour autant il le regretta à la seconde où Salvador s'adressa à lui et fit preuve d'une bienveillance inattendue. Il le félicita pour son sauvetage, ce qui incita l'indien à faire de même, d'autant plus qu'il se réjouissait sincèrement du retour de Salvador et aurait culpabilisé s'il avait du sortir par sa faute. Et lorsque le candidat lui proposa un peu de sa barbe à papa, il eut tendance à penser que leur échange s'annonçait décidément bien mieux que prévu. Tenant tout de même à éclaircir certaines choses, il le rassura quant au fait qu'il n'ait jamais eu l'intention de lui faire du tort, grimaçant à la remarque de son camarade, qui effectivement avait été doublement nominé si ses souvenirs étaient bons, avant de mouver la tête à la question qu'il lui posa.  « Bien sûr que non, je n'irais jamais prétendre une telle chose. D'abord parce que j'estime ne pas être en droit de le faire, et ensuite parce qu'ici personne ne m'a jamais donné aucune raison de penser qu'il n'était pas à sa place dans ce jeu. » L'indien ne savait pas poser un regard critique sur les autres, il se concentrait toujours sur leurs bons cotés, en occultant plus ou moins consciemment ce qui pourrait lui poser problème. « Entre nous, j'ai trouvé qu'Allen dramatisait un peu notre échange, l'autre soir. Parce qu'en ce qui me concerne, je ne l'ai pas aussi mal vécu qu'il l'a laissé entendre. » Il esquissa un sourire et haussa doucement les épaules, avant d'ajouter. « Et même si ça ne s'est pas très bien passé, je n'avais pas l'impression d'être en mauvais termes avec toi. » Il pourrait difficilement prétendre que Salvador était le candidat dont il se sentait le plus proche, mais parler de « légères précipitations » ou même d'un « clash », c'était à ses yeux un peu exagéré. De toute façon, tel qu'il se connaissait, il aurait trouvé n'importe quel stratagème pour ne pas avoir à donner le moindre nom, s'il avait su dès le départ qu'il handicaperait quelqu'un. « C'est ce qu'on m'a souvent répété. Enfin, c'est ce que pense mon père, qui sait être aussi tolérant qu'il sait parfois être inflexible. » Son père croyait parfois en des idées contraires, si bien que ses idéologies ne manquaient pas de paradoxes. Mais c'était un homme qui se souciait surtout un peu trop de son image, ce qui influençait beaucoup de ses points de vue. L'indien, en tout cas, finit par proposer à Salvador d'apprendre à le connaître, lui promettant au passage que ses cheveux ne seraient plus évoqués, histoire d'éviter tout malaise. Son camarade semblait toutefois penser que Naveen avait des choses un peu plus intéressantes à raconter, et bien qu'il ne le pense pas, lui, il se lança. « Très bien, alors … tu dois savoir que je viens d'Inde, de Pondichéry plus précisément. C'est une ville dans le sud du pays, bordée par la mer, où il fait chaud presque toute l'année. » Même en période de mousson, il n'était pas rare que les températures restent supérieures à vingt degrés. Le climat était en tous points différents de celui d'ici, c'est certain. « J'ai trois frères, et huit sœurs. Celle dont je t'ai parlé l'autre fois est la plus jeune, et elle s'appelle Rhea. On est très proches, elle et moi, parce que j'ai quitté la maison de mes parents il y a seulement quelques mois, quand beaucoup de nos frères et sœurs étaient partis depuis longtemps. » Ce qui expliquait qu'il ait développé une relation privilégiée avec Rhea, mais aussi avec Kareena et Sonali, qu'il avait vu grandir et atteindre l'adolescence. « Oh, une chose que je n'ai jamais vraiment évoquée, ici. Je parle couramment tamoul, hindi et anglais. Et j'ai quelques bases en kannada, qui est une langue très parlée à Bangalore, où je vis aujourd'hui. » Ça devait lui faire une belle jambe, à Salvador, de savoir tout ça. Mais ça faisait partie des choses qui avaient une certaine importance, au quotidien. Il ne parlait par exemple pas la même langue quand il s'adressait à ses parents, qu'à Sunil. Et ici, il parlait une langue que la plupart des membres de sa famille ne maîtrisaient pas, ou peu. « Yah aapakee baaree hai. » Il souffla d'ailleurs, après quelques instants, en adressant un regard partiellement amusé à son camarade. « Ça veut dire « à ton tour », en hindi. » Il ne le forçait à rien, mais ça lui ferait plaisir d'en savoir un peu plus sur son compte, lui aussi. Parce que contrairement à ce que Salvador semblait dire, l'indien était persuadé qu'il devait avoir toutes sortes de choses intéressantes à partager.
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MessageSujet: Re: DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20    DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20	 EmptyJeu 7 Jan 2016 - 1:08

Naveen semble avoir eu des regrets quant à son choix et avoir appréhendé ce face à face avec moi. Pourtant, il n’y avait pas vraiment de quoi. Si j’ai été un peu déçu et attristé de son choix, j’ai vite tourné la page quant à ma nomination. C’est le jeu et si je n’avais pas été nominé d’office par Naveen, je l’aurai été involontairement par Jade. C’est comme ça. Ça sert à rien de lui rejeter la faute. J’ai en revanche droit d’être déçu qu’il me considère comme un candidat n’ayant pas sa place au sein du jeu. S’il m’explique dorénavant qu’il ne le pensait pas, je me dis qu’il aurait tout de même pu le préciser sur le coup que c’était un choix par défaut. Ça aurait peut-être évité ma déception.  M’enfin c’est de l’histoire ancienne. Il y a pas mort d’homme non plus. J’apprécie grandement le fait que le candidat ait tenu à s’expliquer et exprimer ses regrets. « Je n’ai pas eu cette impression-là non plus. » Je m’exprime alors une fois que le brun évoque la rubrique des météos d’Allen et notre échange que l'animateur a vite catalogué comme tumultueux. Certes, j’ai réagis un peu sur le vif quand Naveen a évoqué la possibilité de me couper les cheveux, mais ça s’est tout de suite arrangé. Du moins, de mon point de vue. J'ai jamais perçu le candidat comme un ennemi. « Et toi tu penses comme ton père ou tu as ta propre opinion ? » C’est bien beau tout ça mais la question, je l’ai posé à lui et non à son géniteur. J’estime qu’il est en âge de se forger sa propre opinion sans pour autant se faire influencer. Il peut être d’accord ou non, peu importe, je voulais simplement un avis quant à ce sujet. En tous les cas, c’est pas vraiment important. Le candidat veut en apprendre plus sur moi. Je ne suis pas contre mais il va falloir tout d’abord qu’il me parle de lui. Je préfère être en confiance avant de me livrer et puis, j’aime écouter les histoires des autres, surtout quand elles sont bien racontées. L’Indien se dévoile alors en évoquant d’où il vient, sa famille et les langues qu’il pratique. Pas les plus connues et les plus utilisées dans le monde mais certainement les plus pratiques dans son pays où il y a de multiples dialectes. « Tu préfères vivre auprès de ta famille ou être indépendant à Bangalore ? » Je lui demande cash. J’suis pas doué pour le tact et je préfère y aller franco. J’imagine que ma question est pertinente. En tout cas, la réponse m’intéresse grandement. Il parle beaucoup de sa famille mais ce qui m’intéresse au final c’est lui. Qui il est lui. « Je parle anglais et espagnol. Quand j’étais petit, j’ai vécu quelques années à Monterrey au Mexique et puis, je suis retourné avec mes parents au Texas à San Antonio. J’ai un frère un peu plus jeune avec qui je m’entendais plutôt bien et… maintenant je vis à Los Angeles chez Eli. Mais c’est provisoire je crois. » Je passe une main dans mes cheveux tandis que mon regard est perdu dans le rose bonbon de la barbe-à-papa. « En fait, j’en sais rien. C’est un peu le bordel ma vie. » Je finis par conclure ne réalisant pas sur le coup que c’est la première fois que j’en dis autant sur moi et sur qui je suis. Ou du moins qui j’étais.
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MessageSujet: Re: DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20    DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20	 EmptyJeu 7 Jan 2016 - 19:55

Le plus difficile finalement, dans la question qui lui avait été posée l'autre soir, c'était ce qu'il avait du laisser entendre en y répondant. Parce que jamais, dans d'autres circonstances, il n'aurait associé le moindre nom à l'idée que quelqu'un puisse ne pas être à sa place au sein du jeu. Comme pour tout ce qui impliquait un jugement, il estimait ne pas être en droit d'émettre un avis, parce qu'il n'avait pas la prétention de penser qu'il était à même d'estimer que quelqu'un n'était pas légitime en tant que candidat. Et puis, il était de toute façon bien incapable de porter un regard critique sur qui que ce soit. Alors non, il ne pensait pas que Salvador ne méritait pas sa place ici, et il avait même tendance à penser que leur échange de la dernière fois avait été présenté d'une façon un peu trop dramatique, notamment dans la météo des relations. Car il ne dépréciait pas Salvador, et le fait que son camarade semble rejoindre son avis lui valut d'esquisser un sourire rassuré. « Ça fait aussi partie de leur rôle, j'imagine, d'exagérer un peu quand il est question de ce genre de choses. » De tensions entre les candidats, d'échanges un peu houleux. Oui, les animateurs y voyaient sûrement des occasions de noircir un peu le tableau, et dans le fond il ne pouvait pas leur en vouloir de faire leur travail. Quant à ce qu'il avait pu laisser entendre ensuite, il semblerait que c'eut intrigué Salvador, qui à présent se demandait si l'indien partageait l'opinion de son paternel. « On m'a appris à toujours me ranger à l'avis de mon père. » Il énonça dans un premier temps, parce qu'il portait à cet homme un respect tout particulier, que c'était ce qu'on lui avait intimé de faire, toute sa vie. « Mais je suis le premier à reconnaître qu'il a parfois des idées un peu trop arrêtées … alors, peut être pas, non. » Il admettait pour autant que les points de vue de son père avaient pu influencer les siens, à bien des occasions. Ici, par exemple, c'était plus par réflexe qu'autre chose qu'il avait laissé entendre que la fuite impliquait forcément d'être lâche. Son père le pensait, et il avait ses raisons. Et l'indien, lui, avait ses raisons d'avoir longtemps accordé beaucoup de crédit à ses idées. Comprenant par la suite que Salvador ne lui parlerait de lui que s'il ouvrait la marche, l'indien évoqua alors plusieurs choses qui d'après lui pourraient l'aider à le cerner un peu mieux. L'endroit où il avait grandi, sa famille, et quelques autres détails qui lui valurent bientôt de se voir poser une question inattendue. Les lèvres pincées, il prit un petit instant pour réfléchir à la meilleure réponse qu'il pourrait donner à son camarade. « Je … J'ai envie d'être indépendant, parce que je sais qu'il est temps que je vive ma propre vie, sans plus dépendre de personne. » Il arrivait à un âge où il était normal de vouloir prendre son envol, et c'était d'ailleurs ce qu'il avait fait en s'associant à Sunil. Pour autant, il nuança ses propos. « Mais j'ai un peu de mal à me détacher de ma famille, parce qu'on a toujours été très fusionnels, et que j'ai longtemps vécu pour eux. » Il aurait peut être du quitter le domicile de ses parents un peu plus tôt, comme la plupart de ses frères et sœurs, ce qui lui aurait peut être facilité la tâche. Mais sa famille avait été le centre de son univers pendant près de trente ans, alors ça n'avait pas été simple de réfléchir à faire sa vie loin d'eux. Salvador se confia en tout cas à son tour, et l'indien lui prêta une oreille des plus attentives. Le candidat avait visiblement beaucoup voyagé, peut être pas toujours par envie, si bien qu'une fois qu'il eut terminé, l'indien fut tenté de lui poser une question, à son tour. « Ton frère et toi, vous ne vous voyez plus ? » Il espérait ne pas raviver des souvenirs douloureux, mais ça le rendait forcément curieux, lui, que deux frères puissent ne plus être en contact. « Je vis avec quelqu'un, moi aussi. Eli, c'est un ami ? » Il s'intéressait tout autant à ce détail parce qu'il semblerait que Salvador et lui aient un point en commun, ce qui lui donnait inévitablement envie de creuser, avec l'espoir que ça tendrait à les rapprocher. « Est-ce qu'il te manque quelque chose, pour être épanoui dans la vie que tu mènes ? » Il ne prétendait pas savoir à quel point la vie de Salvador pouvait être compliquée, mais il voyait bien qu'elle ne lui apportait pas énormément de satisfactions, alors il avait envie de lui offrir une occasion de se confier, à lui, peut être parce que depuis qu'il était ici, il avait pu constater que se confier à des gens qu'on connaissait peu, c'était parfois plus simple que de ses confier à sa propre famille.
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MessageSujet: Re: DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20    DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20	 EmptyVen 8 Jan 2016 - 3:07

Il est vrai que les animateurs sont forts pour grossir les traits et noircir le tableau ou en d’autres termes exagérer les faits. Mais c’est leur boulot. Ils font ça probablement pour rendre leurs rubriques plus attrayantes. Car si c’était lisse et plat, ça marcherait moins. C’est comme la presse, il faut que le titre soit accrocheur pour que l’article soit lu. Du coup, je peux concevoir que mon précédent échange avec Naveen ait été mal perçu par l’animateur Allen. « S’il te demandait d’égorger un lapin, tu le ferais ? » Je demande alors à l’Indien le plus naturellement du monde comme pour lui faire comprendre que son opinion ne doit pas forcément dépendre de celle de son père. Il n’a pas toujours à lui donner raison sous prétexte qu’ils sont liés par le sang à mon sens. Le candidat semble avoir conscience que ce dernier a des idées un peu trop arrêtées mais je ne suis pas sûr pour autant qu’il soit du genre à les contrer. La famille semble être un point essentiel pour lui au point de leur vouer un sacre et j’en ai la confirmation quand je lui demande de se présenter. Une de premières choses qu’il évoque ce sont ses proches. Une famille très nombreuse vivant dans la pauvreté, ce qui semble assez représentatif de l’idée que je me faisais de la population Indienne. Mais une famille vraisemblablement soudée et qui compte plus que tout aux yeux du candidat. Je peux le comprendre. Néanmoins, j’en viens à me demander s’il est prêt à voler de ses propres ailes ou s’il est encore trop dépendant de ses parents. Il me répond qu’il a envie d’indépendance mais que ça n’est pas forcément simple. Je le conçois une nouvelle fois tout en me disant que c’est la même chose pour tout le monde ou presque. « Ils ne t’en voudront pas, de partir. » A un moment, il faut savoir voler de ses propres ailes et se détacher des personnes qui nous ont mis au monde. C’est certainement ingrat mais c’est la vie qui veut ça. A son âge, il ne peut plus vivre aux dépends de ses parents. Du moins, c’est ma pensée. Mais je n’ajoute rien de plus à ce sujet. J’ai pas à lui infliger mes idées. D’ailleurs, le candidat préfère en savoir plus sur moi plutôt que de surenchérir sur ce point. Je me dévoile alors me basant sur un modèle de présentation semblable à celui que le candidat a utilisé quelques instants auparavant. A savoir : mon lieu de vie, ma famille et les langues dont je sais parler. Le quasi-trentenaire tilt sur l’emploi d’un verbe que j’ai utilisé qui a du sens. Est-ce que je vois toujours mon frère ? « Non. » Je réponds aussitôt d’un ton ferme en baissant la tête sans en dire plus. J’imagine que le candidat comprendra qu’il ne faut pas aller plus loin sur ce terrain-là. D’ailleurs, il évoque le fait qu’il vive avec quelqu’un lui aussi tout comme moi. « Oui, c’est un ami. » Il est bien plus que ça en réalité mais j’peux pas trop en parler. Son importance pour moi est significative. « Et toi ? » Je ne sais pas si lui aussi vit également avec un ami ou s’il a une relation toute autre avec cette personne. Il me semble que le candidat est célibataire alors j’imagine que non et qu’il s’agit tout simplement d’un ami. « Ta question... » Je commence alors en la retournant dans tous les sens et en me la répétant à plusieurs reprises. « Elle est pas simple. » Je finis ma phrase tout en y réfléchissant de plus belle. C’est une vraie question philosophique qu’il me pose là et moi-même, j’aurai pu me la poser. C’est tout à fait pertinent. Si bien que je pourrai lui donner tout un tas de répondes différentes. « Je crois que oui, l’homme est un éternel insatisfait. Il lui manquera toujours quelque chose pour être heureux. » Je déclare d’une manière générale avant de me reprendre. « Ou alors non, il a l’impression qu’il lui manque quelque chose mais ça n’est qu’une impression. » J’en sais trop rien en fait. On dit souvent que le bonheur est à portée de main.
Naveen

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MessageSujet: Re: DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20    DO I WANNA KNOW, LE 04/01 À 16H20	 EmptyVen 8 Jan 2016 - 20:46

Le rôle des animateurs, il le connaissait depuis le départ. Et c'est pour cette raison qu'il arrivait toujours à leur pardonner leur tendance à grossir les faits ou à fouiner un peu partout. Ça ne l'empêchait pas de se désoler du fait que les rubriques existent surtout pour créer des complications, mais la façon dont les animateurs traitaient les informations restait assez bon enfant, sinon il est certain qu'il aurait d'autant plus mal vécu les fois où il s'était retrouvé dans leur viseur. Et si Salvador semblait d'accord avec lui à ce sujet, il le fut un peu moins lorsqu'il fut question du père de l'indien, auquel ce dernier avait toujours accordé un certain crédit, bien qu'il admette que ses idées ne soient pas toujours les siennes. Et à la question de son camarade, l'indien afficha une mine un peu déconfite. « De … d'égorger un lapin ? » Il releva, un peu pris de court, avant d'ajouter. « Non, bien sûr. » Égorger un lapin, non, personne ne pourrait a priori de convaincre de faire une chose pareille. « J'ai un libre arbitre, mais … c'est parfois difficile de donner tort à quelqu'un qui a fait beaucoup de choses pour nous. » Son père, en l'occurrence, avait travaillé dur pour que ses frères et sœurs et lui vivent dans un minimum de confort et puissent bénéficier d'une certaine éducation. Il n'était pas parfait, ça l'indien en avait beaucoup plus conscience qu'il ne voulait bien le dire, mais ça n'en restait pas moins un homme qu'il respectait pour beaucoup de raisons, et à qui il essayait de pardonner ses fautes. Évoquant en tout cas par la suite certains détails de sa vie qui devraient aider Salvador à savoir à qui il avait à faire, l'indien fut amené à répondre à une nouvelle question, encore assez inattendue, et laissa cette fois entendre qu'il aimerait être pleinement indépendant mais que se détacher de ses proches n'était pas chose facile. A la remarque de Salvador, il esquissa un fin sourire. « Seulement, il y a « partir » et « partir ». » Il souffla, forcé d'apporter à son camarade quelques nouvelles informations. « Si j'étais parti pour fonder une famille avec une jeune et jolie hindouiste, on m'aurait probablement organisé une grande fête puis conduit directement à Bangalore. » Oui, il imaginait d'ici son père appeler Vishal et Surinder pour qu'ils conduisent leur petit frère chez sa fiancée. Et sa mère passer toute une après-midi derrière les fourneaux afin d'organiser un copieux repas, pour fêter la nouvelle. « Mais j'ai quitté mes parents pour ouvrir un site matrimonial et pour m'installer en collocation avec un homme, alors on ne peut pas dire qu'ils aient été ravis. » Il se rappelait encore de la façon dont son père l'avait regardé, quand il lui avait annoncé qu'il allait fonder ce genre d'affaires, avec quelqu'un qu'il connaissait à peine. Il était toujours passé pour un rêveur auprès de lui, mais ce jour-là il savait qu'il l'avait profondément déçu. Ce fut par la suite au tour de Salvador de lui parler un peu de lui, et tandis qu'il évoqua aussi bien les endroits où il avait vécu que certains de ses proches, l'indien crut noter qu'il parlait de son frère au passé, ce qui l'amena à lui demander s'ils ne se voyaient plus. Mais à la façon dont son camarade lui répondit, il comprit qu'il valait sans doute mieux qu'il n'insiste pas. Ainsi, il se contenta d'esquisser un sourire un peu triste, avant de s'intéresser à la personne avec qui vivait Salvador. Un ami, donc. « C'est un ami, et c'est aussi mon associé. Il s'appelle Sunil. » L'indien confia à son tour, croyant décidément voir en cette coïncidence une sorte de point commun qu'il avait visiblement avec le candidat. Et puis, face à un Salvador un peu perdu, l'indien se risqua à lui demander s'il ne lui manquait pas quelque chose, pour être épanoui dans la vie qu'il menait. Et tandis que sa question sembla le faire réfléchir, c'est par un léger hochement de tête que l'indien accueillit la réponse de Salvador. « Je suis d'accord, moi-même je pourrais difficilement prétendre qu'il ne me manque rien, même si je ne pense pas être à plaindre. » Le bonheur, l'amour, voilà des choses qui lui manquaient pour être pleinement épanoui, aujourd'hui. C'était des quêtes dont il ne faisait pas une obsession, mais qui l'empêchaient d'atteindre un plus haut niveau d'épanouissement. « Mais toi, tu sembles te demander où tu vas. » Il reprit, en posant un regard bienveillant sur son camarade, parce qu'il croyait à présent le cerner un peu mieux. « C'est d'être ici qui t’amènes à cogiter, ou tu parlais déjà de ta vie comme d'un « bordel » à l'extérieur ? » Il était probable que l'enfermement le pousse à se poser toutes sortes de questions, l'indien était bien placé pour savoir que c'était l'environnement idéal pour initier des questionnements personnels, parce qu'ici ils n’avaient que trop de temps pour réfléchir à leur vie à l'extérieur, face à laquelle ils avaient inévitablement plus de recul.

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