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 we're far from the shallow now (mardi, 15h20)

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César

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MessageSujet: Re: we're far from the shallow now (mardi, 15h20)   we're far from the shallow now (mardi, 15h20) - Page 2 EmptyMar 1 Jan 2019 - 22:04

César eut un sourire très doux lorsqu'Anouchka sembla emballée par la perspective qu'il lui apprenne à réaliser d'autres recettes et l'initie en quelques sortes à son monde et à sa passion, parce qu'il se rappelait comme si c'était hier de ce jour dans la salle de l'espion où elle lui avait confié avoir très envie de goûter à sa cuisine et qu'il s'était dit ce jour-là que ce que lui aimerait encore plus, c'était cuisiner à ses cotés. On n'en prenait pas forcément conscience, mais la cuisine était une activité qui nécessitait une grande confiance en l'autre et c'était d'autant plus vrai lorsqu'on était aveugle et qu'on avait appris à cuisiner grâce à d'autres repères que ses yeux. A l'extérieur, il cuisinait essentiellement avec les membres de sa famille, ses amis et ses collègues, alors ce serait particulièrement naturel et agréable pour lui de partager ça avec Anouchka, d'autant plus que les doutes dont elle lui faisait part quant à ses capacités lui donnaient d'autant plus envie de lui apprendre. Elle pourrait être ses yeux, et il pourrait lui montrer comment lui avait appris à s'en passer pour faire ce qu'il aimait. Et en attendant, il avait toute confiance en elle pour trouver un modèle de maison pour leur construction en pain d'épices, jugeant l'idée de s'inspirer de la datcha dans laquelle elle avait grandi excellente, en plus de ressentir l'envie de s'imprégner de la culture qui l'avait bercé. Ça faisait quelques temps qu'il se disait qu'il aimerait découvrir la Biélorussie pour voyager encore davantage, mais le faire avec Anouchka aurait énormément de sens et c'était sa façon de le lui avouer. L'idée sembla lui plaire, et pourtant il décela une pointe de trouble dans sa voix. « Enfin, tu sais... tu peux encore prendre le temps de réfléchir, je proposais ça parce que ça me ferait plaisir mais... c'est toi qui décideras. » Il souffla doucement, comme pour désamorcer quelque chose qu'il avait l'impression d'avoir lancé malgré lui, avant qu'un détail ne lui revienne à l'esprit et ne le fasse se sentir un peu bête. « Je suis désolé, j'avais oublié qu'avec ta famille c'était un peu compliqué... alors je comprendrais que tu n'aies pas forcément envie de retourner là-bas pour l'instant. Y'a aucun problème, tu sais. » Et il saisit doucement sa main pour le lui faire sentir un peu plus clairement, parce qu'il culpabilisait un peu de lui avoir fait part de cette envie avec ce qu'il savait de ses relations avec certains membres de sa famille. Il imaginait que sans forcément aller leur rendre visite en Biélorussie, retourner là-bas pouvait être une perspective un peu déstabilisante et il n'avait aucune envie qu'elle se sente obligée de quoi que ce soit ou replonge dans des souvenirs difficiles à cause de lui. Leur discussion au sujet des nominations de cette semaine alourdit légèrement l'ambiance, et c'est pour ça qu'ils tombèrent d'accord pour laisser ça de coté pour l'instant, César n'ayant pas très envie de s'imaginer face à elle sur le banc des nominés à cet instant. Sa confession étira quant à elle un sourire très tendre sur ses lèvres. « Tu l'es pour moi aussi, j'espère que tu le sais. » Il souffla avant de renforcer légèrement leur étreinte pour la rapprocher de lui et déposer un baiser au coin de ses lèvres. Généralement, « indispensable » était un mot qu'il avait un peu peur d'utiliser parce qu'il craignait toujours que les gens se méprennent sur le sens qu'il lui donnait et pense qu'il avait besoin des autres pour l'aider et non pas parce qu'il aimait être avec eux, mais il savait qu'Anouchka comprendrait qu'il voulait dire qu'elle était infiniment importante pour lui et qu'il aurait beaucoup de mal à imaginer un futur où elle ne serait pas là, dans ce jeu bien sûr mais aussi à l'extérieur. C'est aussi pour ça que ça le rendait particulièrement nostalgique de repenser à leurs premiers échanges, et notamment à cette rencontre assez inattendue dans la laverie et qui avait été le commencement de beaucoup de choses pour eux. Il plaisantait à moitié quand il en parlait comme d'un endroit propice aux rencontres amoureuses, parce que si sur le moment cette idée ne lui avait pas effleuré l'esprit, aujourd'hui il reconnaissait qu'il devait une fière chandelle à cette laverie et aux difficultés qu'il avait d'abord rencontré pour y prendre ses marques. Quant à cette histoire de distance de sécurité, il s'en rappelait avec amusement parce qu'il n'avait jamais été très sérieux à ce sujet, n'ayant pas forcément eu envie de se tenir à distance d'Anouchka même au début lorsqu'ils sympathisaient simplement et n'avaient pas encore entamé un véritable rapprochement. La serrant contre lui tandis qu'il sentit sa tête se déposer contre son torse, il lui proposa à demi-mot d'aller chercher le cadeau qu'il avait prévu de lui offrir, devant admettre qu'après avoir découvert le sien il était curieux de savoir ce qu'elle en penserait. Il appréhendait un peu, mais il sentit à la façon dont Anouchka changea d'avis qu'elle était très impatiente. Alors il l'abandonna quelques minutes le temps d'aller récupérer une petite enveloppe dans sa chambre, et revint aidé de sa canne pour la lui remettre avec une pointe d'angoisse dans la gorge. Il espérait tellement que son attention lui ferait plaisir, et qu'elle comprendrait combien ce cadeau était symbolique maintenant qu'elle pouvait découvrir une feuille de papier sur laquelle figurait un dessin parfaitement identique à celui qui était tatoué dans son cou. Ce dessin, il avait été le point de départ de beaucoup de choses pour lui et elle le savait depuis qu'il s'était confié sur le sens et le symbole autour de ce tatouage, l'autre soir dans la loveroom. Ce n'était donc pas un cadeau anodin ou qu'il aurait pu offrir à n'importe qui, parce qu'il savait qu'elle avait été très sensible à ses explications, et que c'était sa façon de lui dire qu'il serait heureux qu'un jour elle ressente peut être l'envie de se faire le même tatouage que lui avec ce que ça pourrait signifier. Un sourire très touché étira ses lèvres lorsqu'il l'entendit réagir à son cadeau, et il sentit monter en lui une émotion véritable. « Je suis ravi que ça te plaise. Ça fait des années que cette feuille de papier me suit partout, et j'avais envie de te la confier parce que je sais qu'avec toi elle sera entre de bonnes mains... » Il susurra d'un ton troublé, prolongeant le baiser qu'elle déposa sur ses lèvres avant qu'elle ne lui confesse avoir effectivement l'intention de se faire le même tatouage que lui, ce qui eut pour effet d'élargir son sourire. « Ce sera ta décision et je veux pas te forcer la main, mais... ça me plairait beaucoup. » Et plaçant ses mains de part et d'autre de son visage pour laisser ses pouces caresser la peau de ses joues, il reprit doucement. « Dans le cycle de la lunaison, le premier croissant laisse progressivement place au premier quartier, et à ce moment-là la lune est beaucoup plus facile à observer. Alors à nous deux, on formerait en quelques sortes une demi-lune. » Il sourit paisiblement à cette idée, parce qu'en plus d'être très intéressé par la question depuis des années il trouvait l'idée très séduisante et était persuadé qu'elle plairait aussi à Anouchka. Il lui avait déjà parlé du rapport entre son tatouage et sa tâche de naissance en forme de nuage, et c'était d'autant plus agréable d'y repenser maintenant qu'ils mettaient des mots sur leur relation et officialisaient ce qu'ils partageaient avec le désir commun de rendre tout ça encore plus limpide, non pas pour les autres mais bien pour eux. Le baiser qu'elle lui offrit eut un goût encore plus particulier, et il profita plusieurs secondes de cet échange qui signifiait encore davantage de choses maintenant qu'ils savaient ce qu'ils étaient l'un pour l'autre. Il fut donc d'autant plus troublé d'entendre une sorte de gêne dans la voix de la jeune femme lorsqu'il fut question de Penny et qu'il comprit que quelque chose la mettait un peu mal à l'aise dans son partenariat avec la jeune femme. Et c'est à la fois attendri et gêné de n'avoir rien perçu qu'il l'entendit lui confier ressentir une forme de jalousie à l'égard de l'américaine, ressentant aussitôt le besoin de la rassurer pour qu'elle sache qu'elle pouvait avoir confiance en lui et qu'il était prêt à l'écouter pour mieux apaiser ses doutes si elle en avait. Il sourit tristement à ses paroles parce que ça le troublait beaucoup qu'elle ait gardé ça pour elle jusqu'ici, puis sentit son ventre se tordre à l'idée qu'elle dise penser ne pas faire le poids face à Penny, qui était effectivement une fille géniale mais ne voudrait probablement pas non plus qu'Anouchka se fasse autant de souci. « Eh, je ne veux pas que tu puisses penser ce genre de choses... » Il souffla doucement tandis qu'un de ses bras se resserra tout autour d'elle pour la garder contre lui. Son autre main glissa dans ses cheveux tandis qu'il déposa un baiser sur sa tête dans un geste qu'il espérait apaisant et rassurant. « J'aime beaucoup Penny, mais ça n'a rien de comparable avec ce que je ressens pour toi. Et tu sais que j'ai besoin de me sentir totalement sur la même longueur d'ondes pour être attiré par une fille et m'y attacher sentimentalement... Elle et moi on s'entend bien, mais c'est avec toi que je ressens ce genre de choses. C'est avec toi que j'ai envie d'être depuis plusieurs jours, et avec toi que je suis à présent. Juste avec toi. » Baissant doucement la tête pour l'orienter vers la sienne et simplement lui faire voir combien les traits de son visage reflétaient sa sincérité, il reprit un peu plus bas. « Je vais te dire quelque chose que j'attends de te dire depuis quelques jours et parce que je ne veux pas que tu l'apprennes autrement... » Il se pinça les lèvres et garda le silence un court instant, avant de souffler. « On s'est embrassés la semaine dernière, à la demande de Cupidon. Penny m'a dit qu'on n'y était pas obligés, mais je lui ai assuré que tu comprendrais que je veuille le faire pour le jeu et pour ne pas la pénaliser, et que sinon je te rassurerais. Je ne pensais pas à ce moment-là que tu te faisais du souci, je... je suis désolé... » Il baissa la tête et renforça doucement leur étreinte, parce qu'il se sentait mal maintenant qu'il savait qu'Anouchka nourrissait la peur qu'il finisse par lui préférer Penny et alors qu'il pensait sincèrement que ce baiser lui paraîtrait anodin. A présent il se demandait comment elle le vivait, si elle risquait de lui en vouloir ou de se sentir encore plus inquiète, mais il préférait le lui dire maintenant plutôt que de prendre le risque qu'elle l’apprenne de la bouche de quelqu'un d'autre et s'imagine qu'il avait voulu le lui cacher. Ce n'était pas le cas, et tout ce qu'il espérait c'est qu'elle le lirait dans ses gestes et dans sa voix. Ils prirent finalement la direction du garde-manger sur une note plus amusante, l'occasion d'y chercher de quoi décorer leur future maison en pain d'épices, mais pas seulement. Parce que cette malice qui l'animait depuis qu'il lui avait demandé de fermer la porte était due à son envie de se retrouver un peu seul avec Anouchka, dans un endroit certes exigu mais qui serait comme une petite bulle pour eux en cette semaine un peu compliquée où les nominations étaient dans tous les esprits. Anouchka s'installa contre lui et l'étagère et il la sentit bientôt guider ses mains jusqu'à ses hanches et sa poitrine qu'il redécouvrit avec malice avant de ressentir l'envie de lui faire vivre une expérience un peu différente. Il lui intima alors de fermer les yeux, et se fia entièrement à elle pour savoir qu'elle l'avait fait, avant de faire glisser ses mains jusqu'aux bords de son haut et de les laisser s'aventurer sous celui-ci avec douceur et précaution tandis que ses doigts flirtaient cette fois avec sa peau, celle de son ventre, de ses flans, de sa poitrine. Son sourire s'étira face à la surprise qu'il perçut dans sa voix, et il continua sa lente exploration tout en la sentant parfois frémir sous ses mains. Il voulait qu'elle ressente ces contacts d'une manière différente, en se concentrant sur les sensations qu'ils lui procuraient et sur la réaction en chaîne qu'une simple caresse pouvait avoir sur un corps tout entier. Elle lui confirma que ça lui était agréable, avant qu'il ne l'embrasse avec une passion non dissimulée et l'envie de se laisser simplement porter par ce moment. Anouchka souffla quelques mots à son oreille, et il rit silencieusement contre sa peau. « Je dis souvent que je ne serais pas celui que je suis aujourd'hui si j'avais toujours été raisonnable... » Il murmura d'un ton aussi malicieux que sérieux, peinant presque à terminer sa phrase lorsqu'il la sentit déposer ses lèvres contre son cou pour le recouvrir de baisers. Il se pinça les lèvres et ferma instinctivement les yeux pour ressentir et profiter, n'oubliant pas qu'elle ne le voyait toujours pas elle non plus et éprouvant des sensations d'autant plus troublantes à l'idée qu'elle apprenne à se passer de ses yeux pour le découvrir. Il sentit ses mains parcourir son dos, son cou et se perdre ensuite dans ses cheveux, étirant un sourire béat sur ses lèvres. « On devrait envisager de te bander les yeux régulièrement à l'avenir... » Il souffla à son oreille, laissant ses lèvres glisser à leur tour contre la peau de son cou et y apposer de multiples baisers qu'il éparpilla du commencement de sa mâchoire jusqu'à la surface de sa gorge. « Je plaisante. » Il reprit dans un léger rire, ses bras la soulevant tout à coup pour que sa jambe qui était venue encercler les siennes enserre cette fois sa taille et lui permette de la garder au plus près de lui, ses mains glissant sous ses fesses pour la retenir. Il retrouva longuement ses lèvres avant de déposer son front contre le sien, et lui sourit. « Anouchka, c'est pas comme ça qu'on va terminer notre maison en pain d'épices... » Il rit contre ses lèvres avant qu'une de ses mains ne remonte doucement dans son dos et contre sa chute de reins, caressant la surface de peau apparaissant sous son haut et remontant jusqu'aux bords de celui-ci cette fois pour le lui retirer. Il le fit lentement passer au dessus de sa tête, avant de se débarrasser de son propre pull, frissonnant un instant. Il colla sa peau à la sienne, sentant le rythme de leurs battements de cœur s'accélérer et produire une chaleur qui les enveloppa complètement.
 

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