Lylou

Si on m'avait dit que j'allais fréquenter le jacuzzi aussi souvent, je ne l'aurais sûrement pas cru, je détestais prendre du temps à lézarder. A vrai dire, bien qu'il ne s'agisse que d'un vulgaire bain chaud avec des bulles, c'était vraiment très agréable. Cette après midi, n'ayant trouvé aucune activité intéressante j'avais donc choisis de rejoindre le toit pour me prélasser une nouvelle fois dans le jacuzzi. En arrivant vers le bassin, j'aperçus une crinière brune, une jeune femme avait déjà pris ses aises apparemment puisque de là où j'étais je ne pouvais rien voir d'autre. Avançant à pas feutrés, Lylou était présente, un large sourire se dessina sur mes lèvres. Je n'avais pas vraiment d'avis sur la jeune femme avant le prime de vendredi mais notre échange m'avait tellement fait rire que je n'étais pas contre le fait de passer un peu de temps en sa compagnie. « bonjour sale peste ! » Avais-je lancé pour annoncer ma présence, alors qu'un immense sourire trônait sur mes lèvres. « Allez bouge ton énorme fessier de là que je m'installe. » Avais-je lancé à la brune sans me départir de mon sourire radieux, tandis que je grimpais dans le jacuzzi.

Un peu de repos n'a jamais tuer personne. Certes dire que nous arrêtions pas de glander toute la journée et qu'en plus nous étions regardés et admirés pour ça était loin d'être un euphémisme. Le peuple était réellement stupide, à croire qu'ils n'avaient rien d'autre à faire ? Mais après tout personne n'est parfait et je faisais bel et bien partie des spectateurs de la saison passée, enfin par spectateur j'entends un épisode tous les six jours, histoire que les têtes de certains candidats ne me gonflent pas comme mes parents pouvaient me gonfler à longueur de journées. Et comme un jeune homme n'allait pas tarde à le faire. En effet Micah venait de pointer ses énormes tétons sous mon nez, comme s'il en était fier. « bonjour sale peste ! Allez bouge ton énorme fessier de là que je m'installe. » « Je voudrais bien pouvoir te répondre par une phrase cinglante mais tes énormes tétons viennent de me couper la parole, je savais bien qu'il y avait un truc qui clochait chez toi ! » dis-je en haussant les épaules, le tout sur un ton plus qu'ironique alors que le jeune homme s'installait face à moi.