La chapelle, ce n’était pas la première fois que j’y mettais les pieds, j’étais déjà venu ici la semaine dernière avec Zhara, néanmoins je faisais plus attention cette fois-ci, il y avait encore quelques morceaux de verres incrustés dans le reste de ce qui devait être une fenêtre quelques années auparavant. Je sautais pour atteindre la fenêtre, retrouvant ce petit morceau de pierre qui me servirait de prise pour rejoindre l’intérieur de la chapelle. Une fois à l’intérieur je me retrouvais surpris, si on m’avait dis un jour que Moore, la candidate la plus vulgaire de la maison, serait ici j’aurais surement rigolé et pourtant… C’était elle qui était assise sur l’un des bancs, dans le silence le plus complet. Amusé je m’approchais d’elle, brisant ce silence religieux pour lui faire une petite réflexion ironique. « Si on m’avait dit que tu serais là un jour je ne l’aurai pas cru… Tu t’es perdue ? » A présent je m’attendais au pire, elle allait surement m’allumer et j’allais grave prendre mon pied à ce moment là.

Depuis ma dernière visite à la chapelle, que j'avais passé en compagnie de Syssoï j’étais inexorablement attiré par ce lieu. J'avais l’impression que seul dans cette endroit je pouvait être plus honnête me comporter plus comme je devrais me comporter. J'avais donc avaliser rapidement quelque chose ce midi et je m'étais dirigé automatiquement vers le lieu saint. J'étais vêtu de manière plus chaude que la dernière fois je n'avais pas envie d'attraper un rhume, au pire je le guérirais a coup de médicament et de shoot de téquilla. Je me hisse sans problème par la fenêtre cassé et retombe sur mes pieds. C'est silence absolu, parfait c'est exactement ce que je recherche. Je m'assois sur le banc bien connu du postérieur de Syssoï, et reste dans un silence absolu. Je suis pas doué pour ça, les trucs de prière et tout mais peu être que ça marche vraiment, peu être que si je l'avais fait plus tôt je ne serais pas si... meurtrit. Quelqu'un à la mauvaise idée de me dérangé, je l'entend entrer dans la Chapelle, je ne bouge pas d'un poile j’attends d'entendre la voix de cette personne. « Si on m’avait dit que tu serais là un jour je ne l’aurai pas cru… Tu t’es perdue ? » C'est mal parti pou lui, je lui jette un regard noir j'avais reconnu le son de sa voix insupportable. « Dans le genre casse couille y a pas mieux que toi. Ferme ta gueule maintenant. » dis-je scrutant de nouveau devant moi. Je ferme les yeux, mais je n'arrive plus à me concentrer maintenant qu'il est là et que je sens son regard qui me juge je ne peux plus me concentrer. Je veux me lever pour lui botter le cul mais je reste assise, je suis bien assise. « Ne me dis pas que tu fais parti de la secte des cul bénit toi aussi ? Vous êtes tous vraiment désaxé, ça fait peur. » dis-je d'une voix neutre et blanche. Je prend pas la peine de le regarder dans les yeux.

Peut-être qu'en y repensant il aurait été plus judicieux d'être plus sympathique, je ne voulais pas qu'elle se braque, mais elle avait une manière de se comporter qui m’insupportai. J'étais pourtant persuadé que Moore n'était pas une si mauvaise fille, pas la garce qu'elle tentait d'être au quotidien avec nous. Nous étions dans un jeu, elle avait décidé de prendre le rôle vacant de la chieuse et franchement... Qui pouvait lui en vouloir ? En attendant d'apprendre à connaitre la vrai fille qui se cachait derrière cette vipère je me contentais de l'emmerder. Je savais qu'avec ce que je venais de dire elle partirait au quart de tour, je m'impatientais. « Dans le genre casse couille y a pas mieux que toi. Ferme ta gueule maintenant. » Laissant s'échapper un petit rire énervant de ma bouche, j'approchais lentement d'un des bancs. Ôtant la poussière qui stagnait sur ce dernier depuis des mois. « Zut, je m'attendais à pire... T'es décidément pas en forme aujourd'hui ! » Je savais qu'elle allait très vite montrer les crocs, je voulais qu'elle le fasse. Je devais être en quelque sorte fétichiste des insultes, j'adorais voir les gens s'énerver pour rien. « Ne me dis pas que tu fais parti de la secte des cul bénit toi aussi ? Vous êtes tous vraiment désaxé, ça fait peur. » Esquissant un brève sourire, je m'approchais. Décidant de m'asseoir sur le même banc qu'elle. « Je ne te le dirais pas... Plus sérieusement, je ne crois pas trop en tout ces trucs sur la religion. C'est une perte de temps, les gens pensent que tout s'arrangera en priant alors qu'il faudrait plutôt agir au lieu d'attendre. »

« Zut, je m'attendais à pire... T'es décidément pas en forme aujourd'hui ! » Quel pauvre tache il ose venir me déranger. Mais il genre en manque d'insulte ou quoi ? Depuis le coup qu'il a fait à Wini il semble avoir besoin de recevoir des claques le salle gosse. Et il s'approche de moi en plus mais il a peur de rien le petit c 'est bien... ou pas. Il s'assoit sur le même banc que moi je lui jette un regard assassin avec un peu de chance ça va le faire bouger son cul. Mais non.« Je ne te le dirais pas... Plus sérieusement, je ne crois pas trop en tout ces trucs sur la religion. C'est une perte de temps, les gens pensent que tout s'arrangera en priant alors qu'il faudrait plutôt agir au lieu d'attendre. » Je suis assez d'accord avec lui mais je vais pas le lui dire. Ma question n'en était pas vraiment u j'attendais pas une confession de sa part. Je prend un sourire aguicheur et lui lance accompagné d'un regard presque lubrique. « En parlant d'action... » Je glisse mon cul sur le banc pour me rapprocher rapidement de lui. D'une main délicate je viens caresser ses cheveux. « J'ai toujours rêver de faire des choses pas catholique dans un lien comme celui-ci. » dis-je laissant un petit rire s’échapper de ma bouche. Une fois qu'il a toute mon attention. Je lui donne un bon coup de cul accompagné d'un poussé faite par mes jolies mains e le voilà le cul à terre. Un rire sadique s'échappe de ma bouche. Je me lève pour marcher sur son cadavre, façon de parler je ne l'ai pas tué rassuré vous. Alors qu'il est toujours sur le sol je le toise de mes grands yeux bleus. « Ne viens pas me faire chier, je te préviens un insecte dans ton genre est facile à écraser. » dis-je d'une voix sèche. Je prend mes distances et m’adosse à un mur du bâtiment. Je sors de ma veste un paquet de clope, je m'allume une cigarette et commence à la fumer d'une manière désinvolte. Je suis pas une grosse fumeuse loin de là, de temps en temps ça fait du bien. J'oculte la présence du nabot laissant mes pensées allez où bon leurs semblent.

Je savais très bien à quoi m'attendre en venant m'asseoir prêt d'elle, elle n'allait pas me laisser longtemps en plan avant de passer à l'attaque. Pourtant, elle se montrait étonnement calme après que j'ai répondu d'une manière un peu trop détaillée à sa question concernant la religion. Je m'étais un peu emballé, mais bon... Au moins elle remarquerait que je n'étais pas un petit chrétien, j'étais trop déluré pour ça de toute manière. Se décidant enfin à briser le silence elle s'approchait de moi avec un petit sourire aguicheur. « En parlant d'action... » Elle passe sa main dans mes cheveux, étant bien conscient qu'elle ne compte pas me chevaucher sauvagement dans cette chapelle, je m'attends au pire. Peut-être m'arrachera-t-elle les cheveux ? « J'ai toujours rêver de faire des choses pas catholique dans un lien comme celui-ci. » Un petit rire s'échappe de mes lèvres, je doute qu'elle ait le cran de faire ça, même si elle le désirait. Me contentant d'hocher la tête comme pour lui faire croire que j’adhérais à ses propos je me retrouvais très vite sur le sol. « Ne viens pas me faire chier, je te préviens un insecte dans ton genre est facile à écraser. » La fixant je me mettais à rire, elle était un peu pathétique, elle me comparait à un insecte sans se rendre compte qu'elle était l'insecte, je n'étais pas faible au contraire. Tout le monde me sous-estimait, pour mon plus grand avantage. « Je suis pas sur que tu aies les épaules suffisamment solides pour m'écraser honey. » Ajoutant volontairement honey pour l'emmerder je m'approchais. Lui piquant sa clope qu'elle avait sur la bouche. L'écrasant au sol en ne quittant pas son regard je me justifiais d'une manière très ironique. « On ne fume pas dans un lieu de prière voyons. »

« Je suis pas sur que tu aies les épaules suffisamment solides pour m'écraser honey. » Je rêve ou ce mec me sous estime carrément ? Il a dut entendre parler de qui c'est passé das al Chapelle avec Syssoï je fronce les sourcils. C'est pas un petit merdeux dans son genre qui va me sous estimer de cette manière. « Dude, ces épaules c'est moi qui les ai construites alors je peux te dire c'est du béton. Et ton petit honey tu peux te le mettre ou je pense.» lançais-je avant de tirer une nouvelle taffe de ma cigarette mais malheureusement je n’eus pas le temps d’exécuter ce geste. Le petit merdeux venait de me la piquer et de l'écraser au sol tout en continuant de me défier de son regard. Il a oser faire ça ? « On ne fume pas dans un lieu de prière voyons. » Mais quel con ce type. Je plante mon regard dans le siens, j'ai les yeux qui sont devenu presque noir. Il va pas me faire chier longtemps le gamin. « Sérieux ? Tu crois que tu m'impressionne ? Non franchement t'es pathétique mon petit gars. T'es qu'un pauvre petit merdeux en manque d'attention retourne dans les jupons de ta mère ça vaudra mieux. » dis-je avant de le pousser de mes deux mains. « Et putain les clopes c'est précieux quoi! » dis-je avant de l'éloigner pour m’asseoir sur l’accoudoir d'un banc. Je ressors une nouvelle cigarette. Je lui jette un regard noir. « Tu la touche et je te crame le cul avec. » dis-je tout à fait sérieuse si il crois que j'en suis pas capable il se met le doigt dans l’œil. J'allume de nouveau mon précieux sésame et tire une bonne grosse taffe, ça fait du bien. Je lève les yeux au ciel et concentre mon attention sur le plafond du bâtiment. »

Bon, peut-être qu'en y réfléchissant bien j'étais prétentieux, c'était en tout cas l'image que je lui laissais le plaisir de voir me concernant. Elle était tellement grotesque comme fille qu'il fallait vraiment que je puise au plus profond de la nullité pour trouver la force de lui répondre des trucs pourris dans son genre. « Dude, ces épaules c'est moi qui les ai construites alors je peux te dire c'est du béton. Et ton petit honey tu peux te le mettre ou je pense.» Ne baissant pas la tête une seule seconde, je continuais à sourire amusé. Il lui en faudrait bien plus pour me faire faiblir, j'étais bien trop intelligent et... Le plus important, je parvenais à réfléchir même si mon impulsivité m'empêchait de le faire tout le temps. « Tu crois peut-être que tu es la meilleure ici, mais tu seras surprise de voir que tu n'es rien... Tu es secondaire, comme nous tous et il suffit de trouver ton point faible pour que tu deviennes complètement inutile et inintéressante. » Je la fixais, un petit regard très amusé par la situation, je n'avais pas tort. Elle était très bonne pour faire le show, mais lorsque quelque chose d'autre lui serait demandé elle se retrouverait surement bien embêtée. « Sérieux ? Tu crois que tu m'impressionne ? Non franchement t'es pathétique mon petit gars. T'es qu'un pauvre petit merdeux en manque d'attention retourne dans les jupons de ta mère ça vaudra mieux. » Mon sourire disparaissait totalement. Je n'aimais pas trop ce genre de réflexions, peut-être parce que ma mère était morte en me mettant au monde et que j'avais grandi sans avoir une vraie famille, mon père était mort quelques années plus tard, pendant ma cinquième année de vie. N'appréciant plus du tout ce jeu, je m'apprêtais à sortir, ne voulant pas être désagréable. « Tu la touche et je te crame le cul avec. » Lui adressant un regard plus que noir, je m'approchais de la fenêtre, me retournant vers elle. « Il n'y a pas de risque, je m'attarde sur ce qui a un minimum d'intérêt et... Tu viens de perdre tout l'intérêt que je pouvais te porter. »

« Tu crois peut-être que tu es la meilleure ici, mais tu seras surprise de voir que tu n'es rien... Tu es secondaire, comme nous tous et il suffit de trouver ton point faible pour que tu deviennes complètement inutile et inintéressante. » J'ai jamais dis ça ou laisser penser ça, d'ailleurs je ne le pense pas une seule seconde. Comme beaucoup de gens ici il fait fausse route sur mon compte. Je prend pas la peine de répondre à ses commentaire il est trop puéril comme mec. Je préfère le taclé pour le faite qu'il ai oser réduire à néant ma cigarette ça c'est méchant. Je le vois qu'il s'apprête à dégagez d'ici et j'ai la mauvaise idée de faire une remarque sur ma cigarette et son cul, j'aurais du me la fermer j'aurais été tranquille. « Il n'y a pas de risque, je m'attarde sur ce qui a un minimum d'intérêt et... Tu viens de perdre tout l'intérêt que je pouvais te porter. » Oh que c'est méchant que c'est méchant. Je tire une mine faussement triste et bouleversé. « Bouhouu... tu viens de me briser le cœur. » Qu'est ce que j'en ai a foutre que ce trou duc me trouve inintéressante si encore il avait le moindre intérêt à mes yeux j'en serais presque offusqué et j’aurais tout fait pour qu'il me trouve intéressante mais là franchement il ne vaut pas la peine que je répète les même schéma. Ce type est un gros nul. « T'as finis de jouer t'es pire qu'un gosse, tu t'ennuie vite. Hein... il a suffit d'une réflexion pour que tu foute le camp d'ici. Tu peux me dire c'est quelle phrase que j'ai prononcé qui te fais fuir ? » dis-je me levant pour m'approcher de lui, je tire sur ma cigarette et le toise. « Juste au cas où ton joli petit cul viendrait m'emmerder.. encore. Oh et juste pour info je me prend pas pour la meilleure, mais je peux aisément dire que je suis meilleure que toi. » dis-je dans un petit rire avant de me détourner de ce pauvre naze qu'il fasse comme il veut... Dire qu'il y a pas deux minute il me disait que j'avais pas les épaules assez forte pour l'écraser. « Ha j'adore qu'on me sous-estime. » dis-je dans un dernier regard .

En temps normal, je n’aurais pas été aussi blessé par ce genre de propos. J’avais l’habitude de l’entendre et au fil des années j’avais appris à le prendre comme les autres. La seule explication venait peut-être du fait que j’étais sur les nerfs depuis quelques jours. Je rigolais toujours autant, mais il m’en fallait moins qu’avant pour m’énerver. Peut-être la faute aux insomnies que j’avais, depuis trois ou quatre jours je passais de très mauvaises nuits, ça m’était déjà arrivé par le passé et je m’en fichais, mais comme tout le monde… J’étais à bout, et il m’en fallait vraiment très peu pour que je me renferme. « T'as finis de jouer t'es pire qu'un gosse, tu t'ennuies vite. Hein... il a suffi d'une réflexion pour que tu foutes le camp d'ici. Tu peux me dire c'est quelle phrase que j'ai prononcé qui te fais fuir ? » Elle s’approchait, je me retenais de l’insulter à ce moment-même. En vérité, j’attendais avec impatience de fumer une cigarette pour me calmer. La fixant d’une manière très méchante je daignais enfin lui répondre. « Je sais quand m’arrêter ce n’est pas pareil et puis… Tu es banale, pourquoi perdre du temps avec toi ? Et, si tu veux tout savoir… Je ne risque pas de me réfugier dans les jupons de ma mère puisqu’elle est morte il y a bien longtemps. » Toujours en train de se prendre pour la meilleure j’arrêtais de me prendre la tête. Elle pouvait continuer à parler pendant longtemps, je ne l’écoutais plus. « Tu sais quoi… Je me disais que tu valais mieux que ça, que tu te donnais un rôle, mais enfaite… T’es réellement une garce. » Bon, je ne cherchais pas à la blesser, de toute manière je m’en foutais. Reculant pour monter sur le meuble je sortais. Une fois à l’extérieur je partais m’asseoir sur le banc à proximité, sortant mon paquet de Marlboro et m’allumant une cigarette à toute vitesse.

 « Je sais quand m’arrêter ce n’est pas pareil et puis… Tu es banale, pourquoi perdre du temps avec toi ? Et, si tu veux tout savoir… Je ne risque pas de me réfugier dans les jupons de ma mère puisqu’elle est morte il y a bien longtemps. » Ah d'accord, bon dieu n'importe quoi. C'est qu'une expression si il s'offusque à chaque fois qu'il y a le mot mère ou maman dans une expression il va pas aller loin. Je lève les yeux au ciel dans un soupir. Et je le laisse continuer sans reprendre la parole.  « Tu sais quoi… Je me disais que tu valais mieux que ça, que tu te donnais un rôle, mais enfaite… T’es réellement une garce. » J'ai rien à prouvé et certainement pas à un crétin dans son genre. Je commence à me dire que Syssoï avait raison sur beaucoup de chose. Puis monsieur s'en va je jette un oeil par la fenêtre il part de la chapelle mais reste tout de même dans les environs, il sort une cigarette et se met à la fumer assis sur un banc à l'extérieur. Je soupir, puis dis tout bas rien que pour moi même. « Mec si t'existe vraiment ça me vaudra une place au paradis ce que je vais faire. » Je me déplace donc vers la fenêtre et me faufile à l'intérieur puis atterrit sur mes pieds. J'ai toujours la clope au bec j'ai du lutter pour ne pas la faire tomber en cours de route. Je prend une grande inspiration, une bonne taffe et je reste debout devant lui. « C'est une expression tu vois, j'aurais pu dire rentre chez ta mère aussi. C'est une expression je ne l'ai pas dis pour te blesser je t'assure. » dis-je pour commencer d'une voix qui se voulait des plus douce mais c'était pas gagner. « Si tu te mets à chouiner à la moindre... » j'avais repris une voix forte et on ton méprisant je me coupe alors et prend une voix plus douce. « … Enfin ce que je veux dire tu devrais pas faire attention à tout ce que je dis. » Je prend une autre taffe pour me donner le courage de continuer dans cette direction. J'espère qu'il note tout les efforts que je suis entrain de faire pour pas profiter de ce moment de faiblesse de sa part pour le rouer de coup. « Mon père m'a laissé tombé, bref une longue histoire c'est pas comparable à un décès certes mais ce que je veux dire c'est que j'étais très sensible à ce sujet pendant... longtemps... ça passera. » Je me laisse tomber à coté de lui sur le banc, je lui donne un petit coup d'épaule amicale. « Je suis sûre que c'était quelqu'un de bien, qui t'as appris à ne pas juger trop rapidement les gens... être catégorique sur ce qu'ils sont, comme une garce par exemple, je suis sûre qu'elle t'aurait dit d'aller voir plus loin pour te faire une véritable idée de la personne. J’approuve! » dis-je dans un léger rire. Je m'en fichais qu'il m'insulte de garce j'ai l'habitude. Je laisse un silence s’installer entre nous deux puis finis par souffler d'une manière difficilement audible. « Je suis désolée pour ta mère. » qu'il profite je vais pas rester longtemps compatissante avec lui.