ft. sonny

J'émerge difficilement d'une nuit agitée, il est relativement tôt quand j'ouvre les yeux et la moitié des candidats répartis dans ma chambre dorment toujours. Le moment est idéal pour s'affairer à la "toilette quotidienne", j'entends par là douche, shampoing et tutti quanti qui risqueraient d'impatienter les habitants si jamais je m'y prenais plus tard dans la matinée. Je tâche de m'extirper de la pièce à tâtons, n'osant troubler le sommeil de l'un de mes camarades encore endormis et, après avoir retourné ma valise à la recherche de mon maillot de bain (toujours dans un silence contraint), fini par rejoindre le couloir de l'étage. Je pénètre rapidement dans la salle de bain qui me parait aux premiers regards vides et m'approche alors du miroir de la pièce. Mon reflet m'arrache une grimace de dépit, je ne m'en formalise pas plus longtemps et me penche sur le lavabo pour passer mon visage sous l'eau fraiche. Ce n'est que quand je me redresse que je m'aperçois de la présence de Sonny dans mon dos. Je me retourne dans un sursaut de surprise avant de lui rentrer dedans, n'ayant pas saisi avec quelle proximité il se tenait derrière moi. Je laisse un petit "oh" d'étonnement s'échapper d'entre mes lèvres alors que je rebondis contre son torse. « Bonjour au rescapé! » Je m'exclame finalement dans un large sourire jovial avant de me hisser sur la pointe des pieds pour déposer un léger baiser sur sa joue, en guise de bonjour. « Qu'est-ce que tu fais levé si tôt? Trop excité par cette nouvelle journée qui commence pour rester sagement au lit et faire la grasse matinée? » Je lui demande finalement tout en me re-concentrant sur le miroir qui nous encadre.

Un très bon prime se termine et je pars au lit avec un sourire grand jusqu’aux oreilles. Je reste dans l’aventure et pendant encore deux semaines puisque les nominés ont été annoncés et que je n’en fais pas parti. Enfin un peu de tranquillité. Je dors donc serin. V’là qu’une personne se glisse à mes côtés durant la nuit et me perturbe dans ma phase de sommeil profond. Ma nouvelle partenaire, Siohma, qui est la personne que je déteste le plus au sein du château et avec qui j’ai déjà eu plusieurs embrouilles. Fuck. Elle doit dormir à côté de moi et j’aime pas du tout ça. D’ailleurs, elle n’hésite pas à me donner des coups inappropriés et à tirer la couette à plusieurs reprises. La biatch. Je me réveille, j’ai le nez en sang. Ni une, ni deux, je décide d’aller me nettoyer le visage dans la salle de bain. J’ai reçu un bon coup. Trop occupé à regarder autre chose que mon visage, je percute alors une candidate. Zut. Je lui offre un sourire en guise d’excuse tandis qu’elle me nomme le "rescapé". J’aime. Ce surnom à un côté sexy et aventurier. « Hey Maddie ! » Je ne sais pas trop comment l’appeler autrement. "Mad" ça fait un peu fade à mon goût. Enfin, qu'importe. Elle se hisse sur ses talons pour déposer un petit bisou sur ma joue afin de me dire bonjour. Ses lèvres sont toutes fraiches. C’est mignon. « Non, pas du tout. J’aurais bien dormi d’avantage mais figure toi que je me suis réveillé le nez ensanglanté. Je suis sûr que ma nouvelle partenaire y est pour quelque chose. Elle peut pas me saquer et.. c’est réciproque. » Je fais cette petite confidence à la jolie Madeleine. Elle m’a l’air toute gentille et à mon humble avis c’est une personne à l’écoute des autres. Bref, quelqu’un de bien quoi.

Le jeune homme m'explique qu'il s'est réveillé avec le nez en sang. Je me retourne, doutant tout de même que la blonde dont il parle soit capable de telles violences. Quoi que, en y réfléchissant, cela ne m'étonnerait pas vraiment. Je lève les yeux vers son visage que je saisis entre mes mains froides, fronçant les sourcils. Je suis infirmière après tout, j'imagine déjà la plupart des caméras de la pièce braquées sur nous mais je m'en fiche pas mal. « On a osé s'attaquer à ton minois?! » Je palpe son nez, il est un peu enflé mais je constate qu'il n'y a là rien de très grave. Je lui fais un sourire en lui pinçant délicatement les narines. « Elle a du te donner un coup sans faire exprès, si tu as mal tu devrais passer ton nez sous l'eau froide, ça ira mieux après et tu seras tout beau tout neuf. » Je me saisis ensuite de mon maillot de bain que je sers contre ma poitrine alors que je m'enroule difficilement dans ma serviette pour me changer. Je lui tourne le dos, illusion d'un semblant d'intimité puisque de toute manière même si Sonny se retournait pas politesse, les téléspectateurs eux ne changeraient sûrement pas de chaine si jamais j'en venais à faire un faux pas. « Pourquoi tu penses qu'elle ne t'aime pas? ... Pardon, à question stupide réponse stupide, Siomha n'aime qu'elle. » Je conclus toute seule en riant avec ironie, plus pour combler le silence que faire la conversation. J'essaye de me débarrasser de mon short puis de mon débardeur, pliée dans tous les sens. Exercice quotidien auquel je ne suis toujours pas habitué puisque je préfère en général me changer sous la couette dés que la voie est libre. Je saute à cloche pied, me colle contre le mur et lance un regard gêné au jeune homme derrière moi. « T'inquiète, vas y sans moi, je vais y arriver! » Je lance avec humour avant de pousser du pieds mes vêtements sur le sol.

Siomha, la catin, m’a donné un coup de coude au nez durant la nuit. Ou du moins, c’est ce que je suppose. Elle ne m’apprécie pas. Cela ne m’étonnerait guerre. A moins que ça ne soit pas volontaire. Mouai. Je me vengerai en tous les cas d’une manière plus subtile, du genre la pousser du haut de la falaise. Ah ah ! Je suis tout de même chanceux : Madeleine s’occupe de mon cas avec soin. On dirait qu’elle a fait ça toute sa vie. A moins qu’elle ne soit infirmière. Ouai, c’est bien possible. Il me semble avoir entendu ça quelque part. « Oui. » que je lui réponds d’une petite voix attendrissante face à sa question. Je la laisse palper mon visage et j’écoute son diagnostic. « Ok chef. » J’offre mon plus beau sourire à la blonde et j’exécute ses conseils. L’eau froide me fait le plus grand bien. Je jette un vif coup d’œil dans le miroir et je peux constater qu’on ne voit plus aucune trace de sang. Chouette. La jeune femme en profite pour se changer. Dos à elle, j’exploite vaguement le miroir pour observer sa silhouette. Je constate ainsi qu’elle est vachement bien foutue. Je détourne ensuite mon regard et rigole face à sa remarque. Elle a tout à fait raison sur le compte de ma partenaire. A présent, une bonne douche s’impose. Contrairement à la jeune femme qui galère à se changer en toute intimité, je me dirige d’un pas décidé vers le bac à douche, en enlevant les quelques bouts de tissus restants sur mon corps. Sans m’en rendre compte, je laisse tomber mon tee-shirt et mon caleçon rouge superman non loin de la jolie blonde. « J’espère que ma nudité ne te gênes pas. » Autant annoncer clairement la couleur. J'allume le pommeau de douche, je règle la température puis, comme chez moi, je me mets à fredonner une chanson. « I've got a hangover, ohohohoh. And I've been drinking too much, for suuuuuuure. » Maudite chanson que j'ai dans la tête depuis quelques jours.

Le candidat derrière moi me parle mais je ne l'écoute plus vraiment, trop occupée présentement. « Hum non non. Fais chauffer mon jet d'eau, je te rejoins dans deux secondes! » Qu'est-ce qu'il a dit exactement? J'arrive après quelques minutes de combats à enfin enfiler ma culotte, et finis par jeter un coup d’œil dans le miroir derrière moi pour surveiller Sonny. Il ne semble pas regarder, il s'est même éloigné vers le bac à douche comme je lui ai conseillé de le faire. Je me débarrasse alors de ma serviette d'un geste rapide avant de nouer aussi sec le nœud de mon haut de maillot de bain sur ma nuque. J'ai l'impression d'y avoir passé trois heures et soupire de soulagement avant de me retourner, prête à apostropher le jeune homme avec humour avant que mon regard ne se pose sur ses fesses nues. Oh putain. Je cache aussitôt mes yeux avec mes mains, le geste est idiot mais j'ai l'impression que toutes mes convictions à son sujet viennent de voler en éclats en l'espace de deux secondes. Quelles convictions d'ailleurs? Ridicule Madeleine! Je retire mes mains, il est maintenant de face sous l'eau, j'ai l'impression de participer à une caméra cachée et détourne le regard avant de me pincer les lèvres. Malaise... J'ai envie d'exploser de rire. « Oh. » Je dis bêtement avant de le rejoindre, un sourire idiot plaqué sur mes lèvres. La douche me parait affreusement petite. Je m'avance sous le jet à côté de lui, le dos tourné. « Tu n'es pas très pudique. » Je ne peux m'empêcher de commenter. Je repense à la liste du prime et récite tout haut un passage qui m'avait marqué, sans réfléchir. « Une bombe cette nana! » Eh merde.

Je me dézappe entièrement, je préviens Madeleine de ma nudité, j’entre dans le bac à douche, je mets en marche l’eau, je règle la température, puis je commence à fredonner une chanson. C’est hallucinant comme je me sens à l’aise. Ce n’est visiblement pas le cas de la jeune femme, qui une fois entrée dans le bac à douche, semble gênée face à mes attributs dévoilés. Cela me fait plus sourire qu’autre chose. « Hum.. Non. C’est vrai.» Sa constatation me fait alors réaliser que je ne suis pas pudique pour un sou. Je ne m’en étais pas tellement rendu compte. Pour moi, prendre ma douche nu c’est un acte normal. On est tous constitué pareil après tout. « A vrai dire, je participe à des expositions d’art parfois, tu sais, j’expose mon corps, de jeunes artistes le peigne. Bref. J’ai l’habitude d’exposer mon anatomie. » Autant dire la vérité. Même si ce n’est pas mon principal emploi, je ne le renie pas. Ça paie pas mal et ça me permet d’arrondir les fins de mois. « Mais si la vue de mon pénis t’indispose, dis le moi, hein. » Je vois bien que la jeune femme n’est pas très à l’aise face à la situation. Mais enfoncer un peu plus le clou, je trouve ça rigolo. C'est alors que la candidate me ressort la phrase que j’avais donnée à son compte lors du prime. Après quelques secondes de réflexion, ça me revient. « Je le pense toujours. » Mon esprit sadique frappe à nouveau ; j’espère que la candidate sera encore plus gênée. Quoi qu’à présent, elle risquerait bien de me prendre pour un pervers.

Sonny m'avoue qu'il n'est effectivement pas très pudique, et m'explique expressément pourquoi. Je me retourne pour l'écouter avec attention, prenant soin de le regarder dans les yeux alors que l'eau s'écoule toujours sur mon corps en cascade. Alors il est nu artistique? J'arque un sourcil, surprise par une telle révélation. « C'est marrant, je te voyais plutôt footballer, ou même mannequin. » Quoi que c'est peut-être un peu la même chose, il vend son image au profit des autres et touche de l'argent en retour. Je me demande un bref instant quel effet cela peut-il faire de se retrouver dans le plus simple appareil au milieu d'une assemblée, et me rend compte que la situation nous est presque imposée dans Fake Lover. Les caméras sont les spectateurs, et derrière elles se cachent une foule d'anonymes. Si le jeune homme est prêt à accepter la situation... tant mieux pour lui. Il ajoute néanmoins qu'il peut toujours se rhabiller si la vue me gêne. Je baisse automatiquement le regard sur son anatomie à l'entente du mot "pénis" et rougis un peu avant de le détourner vers mes pieds. « Non, je suis pas stupide au point de te l'imposer. Si tu es à l'aise ainsi je m'en accommode.. et puis, ce n'est pas la première feuille de vigne qu'il m'est donnée d'admirer. » Je conclus en ricanant, espiègle, tout en stoppant le jet pour me saisir du gel douche à nos pieds. Un silence s'installe. Le compliment qui suit colore d'autant plus mes joues que le timbre de sa voix est particulièrement troublant. Je cligne plusieurs fois des paupières, le temps pour moi d'enregistrer l'information, baisse mes iris sur mon propre corps avant de lui sourire bêtement. « Eh bien, merci, je suppose. Inutile d'ajouter que tu n'es pas trop mal non plus, je pense que tu le sais déjà. » Je m'apprête à verser une noisette du liquide dans ma paume, et me stoppe soudainement, braquant vers le candidat le tube en question. Une pression et une substance rose s'éclabousse sur son torse puis son menton. J'éclate de rire. « Tiens, ton odeur laissait à désirer alors maintenant tu sentiras la fraise et la banane. Les filles vont adorer. »

La douche continue en compagnie de Madeleine. Si la candidate a prit soin de garder son maillot de bain pour se nettoyer, moi, j’ai enlevé tout bout de tissu de mon corps. Que je sois seul ou accompagné, ma douche se fera dans le plus simple des appareils. C’est quand même bien plus pratique et propre. Maintenant, la blonde semble gênée par ma tenue d’Adam. Compréhensible. Mon esprit sadique, m’oblige à insister d’avantage sur son malaise. J’y vais fort en employant le terme "pénis". D’ailleurs, la jeune femme n’hésite pas à reluquer mon anatomie. Non mais oh ! Elle n’a qu’à me demander une photo de celui-ci tant qu’elle y est ! Je ne dis rien. Après tout, je n’ai absolument pas honte à ce sujet. Sinon, je ne ferais pas de nu artistique, cela va de soit. « Non. Je suis boucher. C’est pas aussi glamour, désolé.» Là un léger blanc s’installe. Un petit rire sort alors de ma bouche. « J’espère bien pour toi. » Le terme "feuille de vigne" me décroche un sourire. Finalement, la candidate n’est pas du genre coincée. Tant mieux. J’avais un peu d’appréhension à ce sujet à cause de son prénom. Madeleine, ça fait un peu bonne sœur faut l’avouer. Bref. Je n’hésite pas à confirmer ce que j’ai dit d’elle lors du prime. C’est une bombe, ouai. Elle est bien foutue et.. oh, elle me complimente sur mon physique à son tour. « Merci. » Je fixe sa rétine et lui adresse un sourire sincère. Trop d’honneur. Tout à coup, un jet de bulles atterrie sur mon menton ainsi que sur mon torse. Oh la bougresse ! Elle a osé m’asperger de gel douche. Je ne peux m’empêcher de rire alors qu’elle enfonce le cloue en insinuant que mon odeur laisse à désirer. « Là, tu viens de signer ton arrêt de mort ma jolie ! » D’un coup vif, je m’empare du long tube, et appuie de toutes mes forces dessus en direction de la jeune femme. Ah ah. La guerre est déclarée. Et le sol se fait de plus en plus glissant au-fur-et-à-mesure que le liquide jaillit.

Il est boucher? Mon dieu, voilà son sex appeal qui crève dans l’œuf à l'instant même, je l'imagine aussitôt en tenue de travail et me mords les joues pour ne pas rire. Pas de ma faute si le seul boucher que je n'ai jamais connu a soixante-dix aujourd'hui. Je me perds dans mes pensées, et c'est un Sonny moustachu et lubrique qui apparait dans mon esprit, beuglant sur le marché de Sarcelles dans le maigre espoir d'écouler sa promo sur les côtes de porc. Non, ne ris pas Madeleine. Je reviens brusquement à moi quand il me signale que je n'aurais pas dû l'attaquer de manière aussi fourbe. Je le fixe un moment et le défie du regard, fière jusqu'à ce qu'il s'empare de mon arme pour la braquer sur moi à son tour. « Eh non c'est de la triche! » Je tends les bras pour le récupérer et vois un épais jet coloré fuser dans ma direction avant de s'écraser sur mon épaule. J'ouvre grand les lèvres, feignant une expression profondément choquée. « Alors là! » Je n'ai pas le temps d'ajouter quoique ce soit que je reçois un autre jet, cette fois au coin des lèvres. Je manque de m'étouffer et tousse, putain c'est dégueulasse. Un revers du poignet, j'avale une gorgée d'eau et la recrache aussitôt sur sa poitrine, mais le goût ne passe pas. Je fais semblant de m'énerver, saute pour rattraper le tube mais il lève le bras et je n'ose pas me coller à lui. « Ah ouais?! » Très bien. Je me penche, me saisis d'une savonette que je lui balance dessus. Je m'accroupis de nouveau, cette fois c'est une tube de shampoing que je lui lance sur l'épaule, puis une éponge qui s'écrase sur son front. A la guerre comme à la guerre. Je m'apprête à m'agripper à son bras mais glisse alors malencontreusement sur l'éponge en question qui se trouve sous mon talon. Swiiiiiiff. Le sol accueille mes fesses lourdement, je l'entraine dans ma chute sans pouvoir la contrôler, dans un grand cri d'effroi.

Il est à peine sept heures du matin et nous voilà, Madeleine et moi, en pleine bataille de gel douche sous les douches communes. Le but du jeu est simple : asperger l’autre jusqu’à temps que l’un de nous déclare forfait. Jeu puéril mais amusant. Pas de prise de bec et pas besoin de réfléchir. « Alors là quoi ?! » Je ne peux m’empêcher de rire bêtement. J’asperge alors à nouveau la jeune femme en faisant pression sur le tube. Le jet part cette fois au coin de ses lèvres. Mon rire grandit tandis que j’observe la jeune femme manquait de s’étouffer à cause du liquide. Vu la tête de cette dernière, le gel douche semble avoir un goût bien dégueulasse. Bon à savoir. Maddie n’hésite pas à rejeter ce qu’elle a en bouche sur mon torse d’une manière un peu crade. Je ne lui en tiens pas rigueur. Après tout, on est encore sous la douche et notre activité est pour le moins salissante. « Non, non, non. Tu l’attraperas pas. » Alors que je lève le bras le plus haut possible pour empêcher la jeune femme de me piquer le tube, celle-ci semble se résigner et me bouder. Aurais-je gagné la bataille ? Point du tout ! Je me fais aussitôt attaquer par un shampoing, une éponge et une savonnette. La jeune femme ne lâche pas l’affaire. La guerre continue. Je lâche un petit « aie ! » au passage avant de rire à nouveau. C’est alors que, sans comprendre réellement comment, je me retrouve par terre, au-dessus du corps de la jeune femme. Le fou rire continue pendant quelques secondes, j’essaye de nous relever, mais je glisse une nouvelle fois en compagnie de la blonde. Là, un blanc s’instaure entre nous. Je regarde la jeune femme un instant dans les yeux, avant de m’approcher dangereusement de ses lèvres. En position de force, un rictus se dessine alors sur mon visage. Je m’empare, en effet, discrètement d’un gant trempée trainant dans le bac à douche pour l’essorer sur le visage de la demoiselle. La guerre n’est pas terminée. Tous les moyens sont bons pour mener à la victoire.