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 IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (tweedy)

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Finnick

Finnick
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MessageSujet: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (tweedy)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (tweedy) EmptyLun 6 Aoû 2012 - 0:46

A l’instant même où j’avais passé la porte d’entrée, un petit chien vint me sauter dessus, je laisse tomber mes deux valises sur le sol et m’abaisse pour le prendre dans mes bras. « T’es toujours aussi moche. » Je fais en le portant jusque devant ma tête, je secoue la tête avant de m’avancer dans le hall. Je n’avais pas passé la nuit chez moi, je voulais arriver au matin pendant que mes parents prenaient leur déjeuner. Je dépose le chien sur le sol, déjà le majordonne arrive pour prendre mes valises, je lui lance un sourire avant de me diriger vers la salle à manger. La réaction de mes parents ne se fait pas attendre, mon père m’ordonne de m’asseoir et ma mère est manifestement sur le point de fondre en larmes. J’ai le droit à tout, des reproches par rapport à Jamie, par rapport à Tweedy, Anabel, London… Mais au final je réussis a railler ma mère à ma cause. Ce n’est pas elle la fille richissime de la famille, tout vient du coté de mon père. Oh ma mère est une héritière aussi mais elle n’a pas été élevée dans les mêmes principes, elle aime réellement mon père et c’est pour ça qu’ils sont ensemble, même si de son coté à lui, c’est aussi pour être avec une fille de bonne famille qu’il lui a demandé sa main à elle et pas à une autre. De plus ma mère a trop peur de perdre ses deux fils, elle préfère me voir heureux et attendre gentiment que ça me passe, c’est exactement ce qu’elle pense, que ça me passera. Je finis par me lever, j’enrage bien sur mais tout n’est qu’apparence dans cette maison, je retourne de mon coté de la maison et m’endors sur le lit qui vient d’être refait, pour mon arrivée.

Je n’ai pas passé beaucoup de temps sans Tweedy, un peu plus d’une journée en fait, le temps de discuter avec ma famille, comme je le lui avais dis. Elle avait sans doute compris depuis longtemps que j’étais le genre de personne pour qui la famille était primordiale, c’est pour ça que j’en avais voulu à Jamie d’être partit sans se retourner, par exemple. Mais aujourd’hui elle allait enfin venir chez moi et je l’attendais avec impatience depuis plus de dix minutes. Ma mère me lançait des regards exaspérés depuis le salon alors que je faisais les cents pas dans le hall. Et enfin, le son de la sonette retentit, je souris, lance un dernier regard à ma mère pour lui faire comprendre que je m’attends a ce qu’elle soit sympa et vais ouvrir la porte, congédiant au passage le majordome qui voulait le faire. Quand j’ouvre la porte, je vois Tweedy sur le pas toute souriante, je lui prends directement sa main et l’attire à l’intérieur, contre moi. Là je l’embrasse doucement, longuement. « Bienvenue chez moi. » Je fais doucement en la relâchant, je ne lâche pourtant pas sa main. « Je vais te faire visiter, viens ! » Je fais en l’incitant à me suivre. Lorsqu’on passe devant le salon, ma mère ne bouge pas, elle lève les yeux de ses papiers et les pose sur Tweedy, je tire un peu plus sur la main de ma belle pour l’éloigner, on s’occupera de ça plus tard hein, les présentations tout ça, j’ai pas tellement envie de penser à ça maintenant. Je l’emmène d’abord dans la cuisine qui se trouve derrière l’escalier. « Tu veux quelque chose ? A boire, à manger ?» Je ne pense même pas au fait qu’elle puisse être impressionnée par les lieux, pour moi c’est normal tout ça, le luxe, l’argent étalé aux yeux de tous…
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (tweedy)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (tweedy) EmptyLun 6 Aoû 2012 - 8:03

Oh bon sang, c'était terminé. L'aventure Fake Lover était terminée. Définitivement terminée. Une page se tournait, pour qu'ainsi une autre puisse s'écrire. Telle était naturellement la logique des choses. Mais comment reprendre une vie normale après une telle aventure ? Comment se retrouver face à un monde qui ne nous a pas attendu ? A tant de choses que nous n'avons absolument plus l'habitude de connaitre ? Passer plusieurs mois enfermés dans un château, évidemment, ça a tendance à perturber quelques peu, surtout une fois le retour à la réalité enclenché. Car lorsque Tweedy retrouva Dublin, cette ville qu'elle connaissait pourtant si peu, elle ne manqua pas d'être déboussolée. Être lâchée dans la nature de la sorte, après une telle perte de repères, ça déboussolerait n'importe qui. Alors elle était là, paumée comme ça n'était pas permis, à tenter de se souvenir comment vivre, comme agir au sein de cette société. Parce qu'il n'était plus question de vivre en compagnie d'une trentaine de personnes. Non, le Monde était de retour, ses milliards d'habitants également, et le temps de l'aventure de Fake Lover se voulait maintenant révolu. Mais alors qu'elle aurait pu rentrer en France, retrouver Paris mais surtout sa famille, voilà que Tweedy était quelques peu forcée de rester en Irlande. Figurez-vous que Finnick le lui avait personnellement demandé. Finnick, oui, ce jeune homme si important à ses yeux aujourd'hui. Elle ne le connaissait pas quelques mois plus tôt, avant de participer à cette aventure de dingues, mais une chose était maintenant certaine, elle ne voulait plus vivre sans lui. D'accord, peut être leur histoire ne durerait-elle pas trois siècles, mais ça valait sans doute le coup d'y croire quand même, non ? Déjà qu'ils avaient traversé de multiples épreuves au sein du jeu - des sentiments non réciproques de la jeune femme à la petite tromperie de cette dernière - ça n'était certainement pas pour abandonner maintenant. Non, ils s'étaient trouvés, le destin les avait réuni dans cette émission télévisuelle, alors le moins qu'il pouvaient maintenant faire, c'était se laisser une vraie chance. Voilà pourquoi la petite brune accepta de rester sur Dublin lorsque Finnick le lui pria. Il avait semble-t-il besoin d'une petite journée pour retrouver ses proches, mais probablement aussi leur parler de Tweedy. Parce que le jeune homme était issu d'une riche famille, qui ne voyait assurément pas d'un très bon œil qu'il fricote avec une fille de classe moyenne. Ainsi donc, elle comprenait qu'il ait besoin de cette journée pour voir l'état des choses avec ses parents.

Mais justement, un peu plus d'un jour s'était écoulé, et Tweedy était maintenant invitée à rejoindre le domicile de son petit ami. Elle avait peur, extrêmement peur. Car, si ça se trouve, il allait lui annoncer une tragique nouvelle, dans le style "écoute, mon père, ma mère et mon chien ont voté : ils ne veulent pas de toi. Leur sentence est irrévocable". Oh non pitié, pas ça. Ou pas dit de cette manière, hum. Quoi qu'il en soit, maintenant qu'elle était devant la porte, elle n'allait quand même pas se défiler. Quoi que ... Si, elle pouvait partir en courant et ... merde, elle venait de sonner. Quelle nulle, non mais quelle nulle. Trop tard, Finnick venait d'ouvrir. Souris Tweedy, souris surtout. Hop, Finnick lui prit la main, la conduisant à l'intérieur de son impressionnante demeure. Bordel, c'était luxueux. Elle n'était clairement pas habituée, hm. Il disait vouloir lui faire visiter. Hm, d'accord. Oh, la maman de Finnick était là elle aussi. A moins que ce soit ... non, c'était probablement sa mère. En tout cas, elle n'avait pas l'air franchement commode. Ils arrivèrent finalement dans la cuisine, elle aussi incroyablement luxueuse. « Je ... non merci » articula-t-elle péniblement. Bon attendez, on récapitule. Elle était où, là ? Chez Finnick, dites vous ? Bon sang, elle allait s'évanouir. « Je dois dire que je ne voyais pas ton habitat de cette manière ... Je veux dire, bien sûr je savais que tu avais beaucoup de moyens, mais à ce point là ... » Le comptoir ne serait pas en or, par hasard ? Oui bon, tout ça pour dire que ça puait le fric à plein nez par ici. « Je suis sûre que mon studio parisien fait la taille de ta cuisine, et encore, peut être moins ... » Tweedy et l’exagération, une grande histoire d'amour.
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (tweedy)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (tweedy) EmptyMar 7 Aoû 2012 - 0:00

Je n’avais pas pensé une seule seconde que tout ce luxe pouvait rendre Tweedy mal à l’aise. Moi j’avais l’habitude et le château avait été pas mal luxueux dans son genre donc j’étais toujours resté dans mon éléments. Mais elle elle n’avais sans doute jamais vu autant de choses aussi chères en guise de décorations. Ma mère avait encore tout changé, en plus, si bien qu’en rentrant j’avais eu la désagréable surprise de ne plus rien reconnaitre dans le salon. Heureusement qu’elle ne touchait pas à la partie de la maison qui m’était assignée. C’était ma décoration, mes goûts, ma personnalité. Sauf la cuisine bien sur qui était également faite par ma mère mais cette pièce-ci n’avait jamais changé, pas depuis au moins 10 ans en tout cas. « Je ... non merci » Dit-elle finalement. Ma main posée sur la poignée du frigo retombe alors le long de mon flan. « Ok. » Je fais en souriant. « Je dois dire que je ne voyais pas ton habitat de cette manière ... Je veux dire, bien sûr je savais que tu avais beaucoup de moyens, mais à ce point là ... » Je fis la grimace, maintenant je me sentais mal de vivre dans tant de luxe. « Je suis sûre que mon studio parisien fait la taille de ta cuisine, et encore, peut être moins ... » Dit-elle, exagérant surement un peu. Je suis mal à l’aise maintenant, je ne voulais pas lui en mettre plein la vue, je voulais juste l’inviter chez moi, lui faire découvrir ma vie : la vraie. Je prends finalement sa main, encore une fois et l’attire contre moi. « Désolé, je ne voulais pas t’en mettre plein la vue, je… Pour moi c’est normal tout ça. » Mais elle va découvrir un endroit qui pue un peu moins le fric et qui me ressemble bien plus, je l’attire avec moi hors de la cuisine et monte les escaliers. « A gauche c’est zone interdite, c’est réservé à mes parents et on y a même jamais été, avec Jamie. » Ou alors si, une ou deux fois, quand on était gosse et que ma mère tôlerait ce genre d’écart. Je l’emmène sur l’escalier de droite. « Là, c’est à moi. » Je dis en souriant, en fait si Jamie était resté ce serait à nous mais comme il est partit j’ai toute la surface rien que pour moi. Dans le long couloir se trouvent quelques portes, mais je n’ouvre que la dernière qui est ma chambre. Bon c’est juste pour pas lui montrer mon bureau, ma salle de musique et ma salle de bain, rien de très intéressant. Ceci dit un petit clavier électrique trône quand même dans un coin de la pièce, il y en a partout, des pianos, un ici, un en bas, un dans la salle de musique… La pièce est différente de toutes les autres, la décoration est plus épurée, c’est…zen. Ce qui me qualifiait bien avant mon entrée dans Fake Lover. « C’est… Plus… Euh… » Moi. Voilà. Moi ‘hey regardez moi, je suis riche’.
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (tweedy)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (tweedy) EmptyMar 7 Aoû 2012 - 3:50

Gigantesque. Luxueux. Immense. Classieux. Tels étaient les adjectifs qui vinrent à l'esprit de Tweedy lorsque la petite brune pénétra dans la demeure de Finnick. Oui, une demeure. Cela n'était pas seulement une maison, un domicile, c'était bel et bien une demeure. Et même, c'était là un doux euphémisme. Car Tweedy devait bien avouer être particulièrement impressionnée par les lieux. C'était si grand, si beau, si chic. Elle n'était clairement pas habituée à toutes ces choses. A croire qu'elle venait de pénétrer dans un château. Car c'était un peu ça, en fait. Les pièces lui semblaient immenses, la décoration était majestueuse, et tout ressemblait aux endroits que l'on pouvait tout à fait trouver dans de grands films. C'était époustouflant. Peut être un peu trop, d'ailleurs. Car, du coup, Tweedy ne se sentait pas le moins du monde à sa place en cet endroit. Elle qui n'était qu'une petite parisienne aux modestes moyens se retrouvait dans une immense demeure irlandaise, où vit une richissime famille. Elle était qui, elle ? Personne. Tout cela ne lui correspondait pas, et elle avait véritablement l'impression d'être une petite intruse dans cet univers doré. Même dans ses rêves les plus fous, les plus extravagants, Tweedy n'avait jamais rêvé à visiter de tels endroits. Et pourtant, elle était bien là, et son émerveillement ne faisait probablement que commencer. Sa gêne aussi, d'ailleurs. Car Finnick, qui n'avait visiblement pas envie de lui présenter sa mère pour le moment - il faut dire que la bonne femme n'avait pas l'air franchement commode - la convia à le suivre au sein de son habitat. Et au fur et à mesure que Tweedy apercevait les pièces de cette épatante demeure, elle en venait à la douce conclusion que son monde était définitivement différent de celui de Finnick. Et même, il est fort probable qu'il y soit tout simplement opposé. Quoi qu'il en soit, maintenant que Tweedy pénétra dans la cuisine en compagnie de son petit ami, elle put faire le point. Okay, elle n'était clairement pas à sa place ici. C'était beaucoup trop beau, beaucoup trop luxueux. Tellement différent de son domicile, de son modeste appartement parisien. Mais elle comptait rester, malgré la gêne qui grandissait progressivement en elle. Elle comptait rester parce qu'elle était là pour Finnick. Alors, pour lui, elle essaierait de laisser ses ressentis et son malaise de coté. Essaierait, oui. Car c'était pour le moment assez mal parti. Il faut dire que Tweedy avait l'habitude d'être honnête, voilà pourquoi elle ne put faire autrement que de faire savoir à Finnick qu'elle était pour le moins surprise d'avoir à faire à tant de luxe. Ça plus son humour douteux au sujet de la taille de cette cuisine et de celle de son appartement, ça allait forcément mettre Finnick aussi mal à l'aise qu'elle l'était elle même. « Ne sois pas désolé, je suis simplement surprise ... et déboussolée aussi. » Oui voilà. Et de toute manière, elle ne se permettrait pas de critiquer franchement le lieu de vie de celui qu'elle aimait, hein. Finnick la pria ensuite de le suivre à nouveau, ce qu'elle fit. Zone interdite, à gauche, car réservée aux parents ? Hm, d'accord. Un escalier à droite, maintenant. Très bien. Visiblement, Finnick bénéficiait de son propre espace, et celui-ci était plutôt large. Et cette porte qu'il venait d'ouvrir, donnait-elle sur sa chambre ? Et bien oui, visiblement. Et, le moins que l'on puisse dire, c'est que c'était quelques peu différent du reste, hm. Moins bling bling, plus frais. Mieux, donc. « C'est très joli » lâcha Tweedy, le plus sincèrement du monde. Elle prit la liberté d'avancer, d'observer, le tout avec un sourire retrouvé. « Ça ressemble déjà plus à ce que je connais ... Je veux dire, chez moi c'est assez semblable à ta chambre. C'est assaini, épuré ... simple. » Tellement différent de ce qu'elle avait pu voir en arrivant, hein. Entre nous, Tweedy se faisait quelques peu du soucis. Cette chambre avait beau lui correspondre davantage, il est évident que l'univers de Finnick n'était pas tellement compatible avec le sien. « Mais dis-moi, Finnick, tu te plais dans tant de luxe ? » Ce n'était pas un reproche, mais bien une simple question. Les gens riches, elle ne les avait jamais compris. Si richesse elle avait, richesse elle utiliserait pour aider ceux qui en auraient besoin. Mais ça n'engageait qu'elle, évidemment.
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (tweedy)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (tweedy) EmptyJeu 9 Aoû 2012 - 0:04

« Ne sois pas désolé, je suis simplement surprise ... et déboussolée aussi. » Oui ça, je pouvais le comprendre. Pourtant nous avions vécu dans un immense château pendant des mois… Peut être que le fait de savoir que ce château appartenait a une famille dont le fils avait manifestement l’air normal (j’imagine que je lui paraissais normal) avait de quoi être déstabilisant. D’un autre coté je savais qu’elle ne vivait pas dans ce luxe mais j’avais un mal fou à imaginer la taille que devait avoir un lieu de vie normal, qui plus est pour une étudiante qui vit par ses propres moyens. Finalement je l’emmène dans ma chambre en lui lançant au passage une information pas très utile car pour sa propre survie elle ne circulera jamais sans moi dans cette maison, pas en dehors de l’aile droite du moins. J’ai pas tellement envie qu’elle croise mon père sans que je sois là. « C'est très joli » dit-elle en pénétrant dans ma chambre. Je souris et me poste devant la grande fenêtre au fond de la pièce. « Ça ressemble déjà plus à ce que je connais ... Je veux dire, chez moi c'est assez semblable à ta chambre. C'est assaini, épuré ... simple. » Je lui fais signe d’approcher de moi, je veux lui montrer la vue qu’on a depuis ma chambre : vue le parc en fait. Ca ne la changera pas tellement de Fake Lover : un grand jardin avec en arrière plan un foret. Rassurez-vous la foret ne nous appartient pas, qu’est-ce qu’on en ferait, hein ? « J’aimerais bien voir à quoi ça ressemble… » Je dis ça comme ça, si ça se trouve je ne mettrai jamais les pieds à Paris pour la voir elle parce qu’on se sera disputé et séparé avant. Putain à quoi je pense ! En fait le fait d’être dehors me fout la trouille. Comment on est censés faire maintenant, elle et moi ? La distance, tout ça ? « Mais dis-moi, Finnick, tu te plais dans tant de luxe ? » Je me tourne vers elle, on aurait dit une question à la Jamie, tient. Et justement, depuis Fake Lover ma réponse allait être bien différente de celle qu’elle aurait été il y a encore quelques semaines. « Je… Et bien… Je ne connais que ça… » Je passe une main dans ma nuque, je me sens incroyablement honteux d’avoir tout ça alors qu’elle avait participé à fake lover dans l’espoir d’amasser de l’argent pour aider son prochain. Je me sentais égoïste, tellement moins bien qu’elle. « Mais je pense que Jamie avait raison, c’est une prison ici. » Je m’éloigne de la fenêtre, partout où je pose les yeux je me fais honte. Mon macbook sur le bureau en chêne, mon lit dont les draps sont en soie, douce et sans défaut. « Je ne peux pas faire comme lui, tu vois, je ne peux pas partir d’ici et tout abandonner. Prendre le risque de vivre dehors, passer ma vie à travailler pour survivre. Je ne veux pas survivre alors que je peux avoir tout ça ! » Il en est hors de question, j’ai de la chance et je ne vais pas lui cracher au visage. « Je ne peux pas partir… Tout de suite. » Parce que j’y pensais, croyez-le bien. Je me posai finalement sur le bord de mon lit, évitant le regard de Tweedy. Au final je n’aurais peut être pas du l’emmener ici. Je me sentais jugé sous son regard et j’aurais préféré éviter ça. J’aurais du l’inviter dans notre maison de campagne, plus petite, plus modeste et lui faire croire que c’était là, mon domicile. Probablement qu’elle ne m’aurait pas cru, mais j’aurais du essayer, ou y aller en douceur.
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (tweedy)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (tweedy) EmptyVen 10 Aoû 2012 - 7:35

Ce n'était pas grand, c'était immense. Ce n'était pas raffiné, c'était luxueux. Ce n'était pas surprenant, c'était impressionnant. Vraiment, le lieu de résidence de la famille de Finnick n'en finissait plus de perturber Tweedy. Il faut dire que la jeune femme n'était aucunement habituée à ce genre d'endroits. D'accord, elle avait vécu plusieurs mois au sein d'un château remarquablement spacieux et on ne peut plus classieux, mais là ça n'était pas pareil. Finnick vivait ici, dans cette splendide demeure, dans cet habitat presque trop beau pour être vrai. Et elle, de son coté, habitait un simple petit appartement à Paris. Le genre de lieux qu'une étudiante peut se payer, en somme. Là, c'était vraiment autre chose. Un peu plus et Tweedy s'imaginait être dans un autre monde, un autre univers même. Là où il serait normal d'habiter dans des lieux tels que celui-ci. Parce que ça n'avait rien de normal, à ses yeux. Pas seulement parce qu'elle n'avait jamais visité une maison comme celle-ci. Non, pas seulement. Aussi parce qu'elle jugeait quelques peu injuste, au fond, que des gens soient aussi bien logés - et là, c'était un bel euphémisme de le dire de cette manière - quand d'autres vivaient dans des taudis ou carrément dehors. Elle ne se plaignait évidemment pas de sa propre situation. Non. Après tout, son appartement était tout à fait confortable et elle avait bien de la chance d'y vivre. Elle pensait simplement à ceux qui n'avaient même pas cette chance, justement. Ceux qu'il lui arrivait de croiser dans le métro, à la porte du bar où elle travaillait ... Ainsi donc, le fait que Finnick vive réellement ici la perturbait très clairement. Elle le savait riche, mais Tweedy avait toujours été à mille lieux de s'imaginer qu'il pouvait l'être à un tel point. Et, très honnêtement, ça avait tendance à la mettre légèrement mal à l'aise. Heureusement, si on peut dire, la chambre de Finnick la rassurait quelques peu. Tout n'était donc pas que luxe et dorure en ces lieux, hm. Et même, cette jolie chance épurée lui rappelait légèrement son appartement, qui bénéficiait du même genre de décoration. Et lorsqu'elle le fit remarquer à son compagnon, celui-ci lui fit savoir qu'il aimerait voir à quoi cela ressemblait. Un petit sourire naquit sur les lèvres de la jeune femme. « Tu le pourras sans doute d'ici peu » fit-elle doucement. Okay, c'était un peu optimiste comme réponse. Parce que rien ne garantissait réellement qu'il descendrait sur Paris et visiterait son appartement. Nul ne pouvait de toute manière prédire l'avenir, hum. Mais voilà que la question de la petite brune sembla gêner Finnick. Ce n'était pourtant pas son intention, croyez-le. Elle voulait simplement savoir comment il vivait tout ça, comment il percevait sa vie. C'est tout. Sans doute l'avait-elle mis extrêmement mal à l'aise. Merde. Et tandis qu'elle l'écouta lui expliquer la situation, Tweedy se mordit la lèvre. Vraiment, c'était la question à ne pas poser. Car à cet instant précis, elle le sentait à la fois fragile et honteux. Alors, lorsqu'il vint s'assoir sur le bord du lit, elle s'approcha de lui, restant quant à elle débout, en passant ses bras autour du cou du jeune homme. « Excuse moi, Finnick » articula-t-elle, elle même quelques peu gênée. « Je ne voulais pas te mettre mal à l'aise avec ma question. » Elle avait voulu savoir, et non le mettre dans un tel état. « Et je ne te demande pas de partir, d'abandonner tout ce que tu as ... » Non, ça n'était pas ce qu'elle voulait. Par contre ... « Mais je dois dire que j'espère "secrètement" que tu le pourras un jour. Ce serait mieux pour toi, pour nous ... » Non, ça n'était pas un ultimatum. Parce qu'elle ne le menaçait pas de le quitter s'il ne laissait pas tomber tout son confort. Elle voulait juste s'assurer qu'un jour ou l'autre, il la choisirait elle, et non tout ce luxe.
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (tweedy)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (tweedy) EmptySam 11 Aoû 2012 - 1:16

J’avais une tendance à penser que, après avoir passer des mois dans une luxueuse demeure, en voir une autre ne poserait aucun problème, surtout si c’est quelqu’un qu’on connait et aime qui y habite. J’avais tendance à penser que Tweedy ne se sentirait pas mal à l’aise car trop bien avec moi. Mais c’était faux, elle ne se sentait pas bien, manifestement je n’étais pas suffisant pour faire passer ce mal-être. Si elle n’avait pas croisé le regard méprisant de ma mère alors, peut être, tout aurait été mieux. Oui maintenant c’était sur ma mère que j’en avais, alors qu’avant d’entrer dans le jeu elle était ce que j’avais de plus cher. Mon père pas, je l’aimais comme un fils aime son père, bien sur, mais pas tellement plus que ça, je le respectais surtout et lui était reconnaissant de m’offrir cette vie. Même si au final lui-même n’avait pas du travailler beaucoup pour avoir tout ça, car tout nous était revenus de loin, très loin dans la famille. Finalement j’avais emmené Tweedy dans ma chambre, une pièce décorée si simplement qu’elle dénotait avec tout le luxe de la demeure, pourtant c’est comme ça que je me sentais bien. Je n’aimais pas les effusions de richesses. J’aimais ma situation, mais je n’aimais pas m’en vanter. Je ne roulais pas dans la plus grosse bagnole d’Irlande, je ne portais pas de Rolex en or et mes chaussures ne valait pas forcément toujours milles balles. Tweedy fit une remarque sur la pièce : elle appréciait et apparemment son appartement ressemblait plus ou moins à ça. Du coup je répliquai que j’avais bien envie de voir à quoi son appartement ressemblait, la décoration reflète la personnalité, non ? « Tu le pourras sans doute d'ici peu » dit-elle doucement, je passai alors un bras autour de sa taille, l’attira vers moi et posa un baiser sur ses lèvres. « C’est quand tu le veux. » Elle n’avait qu’a me dire ‘Finn’ j’ai envie que tu viennes’ et je prenais l’avion, elle s’en doutait surement. Maintenant elle le savait. Mais au fur et à mesure de la discussion, elle en vint a me poser une question quelque peu gênante, si bien que je me séparai d’elle, passant une main dans ma nuque puis dans mes cheveux en lui répondant le plus sincèrement possible, je terminai ma réponse en m’asseyant sur mon lit. Finalement elle s’approcha, passa ses bras autour de cou sans cependant s’asseoir sur le lit ou sur mes genoux, je lève les yeux vers elle. « Excuse moi, Finnick » Je soupire, elle n’a pas a s’excuser ce n’était qu’une question après tout. « Je ne voulais pas te mettre mal à l'aise avec ma question. » Ca, par contre, c’est raté. « Et je ne te demande pas de partir, d'abandonner tout ce que tu as ... » Tandis qu’elle dit ça, je sens le soulagement m’envahir. Certes je parlais de laisser tout ça derrière moi, pas de manière aussi extrême que Jamie mais de prendre un peu plus mon indépendance, ma liberté, mais qui sait si je serai vraiment capable de le faire, hein… « Mais je dois dire que j'espère "secrètement" que tu le pourras un jour. Ce serait mieux pour toi, pour nous ... » Je hausse un sourcil en plantant mon regard dans le sien. Mieux pour moi ? Certes, quoi que ça dépend le point de vue. Mieux pour nous ? Pourquoi ? J’ai peur de la signification de ses paroles, ça veut dire quoi, qu’elle ne m’accepte pas moi et ma richesse, mais juste… Moi ? Dire que mes parents avaient peur que Tweedy ne soit intéressée que par l’argent. Bien sur je n’avais jamais eu cette crainte, je connaissais la jeune femme et contrairement aux jeux femmes vénales que j’avais déjà rencontrés, l’argent ne la motivait pas dans la vie. « Je ne comprends pas… » Je finis par dire, je pose mes mains sur ses hanches et l’attire un peu contre moi. « Je ne vois pas en quoi ce serait mieux pour nous… Avec ou sans cet argent, je reste le même. » Je me lève pour me mettre à sa hauteur et resserre mon emprise autour de sa taille, son visage est si proche du mien que je sens son souffle sur mes lèvres, je baisse les yeux dans les siens. « Et je t’aime plus que tout. » Que tout, vraiment tout, que moi-même, que ma famille, que mon confort. Là je pose, doucement, un baiser sur ses lèvres, j’imagine bien qu’elle va vouloir répondre mais pas tout de suite, après tout je ne l’ai pas eu pendant une journée entière, après avoir été habitué a se voir pendant trois mois tous les jours, c’était dur de me réveiller sans elle.

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