horses of the sun
STARRING ENOCH AND ISMENE

Je finis tranquillement de manger mon déjeuner en compagnie de Ismène. On parle joyeusement de tout et de rien. Une fois le repas terminé, on fait la vaisselle ensemble pour aller plus vite. Je range deux-trois condiments dans le réfrigérateur. Je vois une pastèque que je sors. Je me tourne vers ma camarade, un rictus en coin. - Viens. On va manger cette pastèque sur la fausse plage. Je lui propose de prendre le dessert à la plage, au soleil surtout. En plus, la pastèque m'a l'air bien fraîche. Je mets dans un panier en osier couteau, verres, couverts et assiettes en plastique. Je lui tends le panier. Je prends la pastèque toute ronde entre mes mains. On sort de la cuisine. Une fois dehors, la chaleur est presque étouffante. Heureusement que j'ai pensé à mettre un short. J'ai pris mes lunettes de soleil, car mes yeux sont photosensibles. Je dois les protéger un minimum. On arrive près de la fausse plage. Nos pieds foulent le sable. On s'arrête près des transats. Elle dépose le panier au sol. Elle s'assoit sur l'un des transats. Je fais de même. Je sors le couteau pour couper la pastèque que j'ai entre les cuisses. Je le coupe en deux, puis en quatre. J'en fais des tranches que je pose sur une assiette en plastique. Je la tends à mon invitée. - Voilà pour toi., dis-je en lui souriant chaleureusement. Je me sers également. Je dépose le reste de la pastèque dans le panier. Je prends une bouchée. C'est rafraîchissant et sucré à la fois. Parfait.

Ismène a toujours aimé la compagnie d'Enoch, évidemment. Il est quelqu'un à qui elle tient énormément et maintenant, passer du temps avec les gens que l'on apprécie est un luxe auquel il faut s'attacher. C'est ce qu'elle fait, elle, ne sachant pas vraiment ce que l'avenir peut lui réserver. Si elle sera encore là après le prochain prime. Du coup, elle est absolument enthousiaste de passer un bout de temps avec Enoch, sur cette fausse plage, pour manger leur dessert. La chaleur est telle que même avec sa robe, elle étouffe. Elle porte une chapeau à large bord pour cacher entièrement son visage du soleil et elle porte une paire de lunette sur son nez. Installée sur un transat, elle prend l'assiette que lui tend gentiment Enoch. « Merciiii » Qu'elle lâche joyeusement avec de croquer un gros bout dans le fruit. Elle adore ça, la pastèque. C'est bon, c'est gorgé d'eau. Par une telle chaleur, c'est ce qu'il y a de mieux avec les glaces. Les glaces à l'eau... « C'est vraiment très sérieux avec Avalon... ? » Qu'elle ne peut pas s'empêcher de lâcher, en une petite question timide, avec un petit sourire. Elle ne demande pas ça que par curiosité, mais aussi parce qu'elle s'intéresse vraiment à Enoch. « Elle a beaucoup de chance... » Qu'elle lâche ensuite, en une petite remarque peut-être plus pour elle-même que pour lui en fait. Elle croque dans sa pastèque et puis finalement elle pense à un truc. Un truc qu'elle voulait déjà lui dire au hangar. Un truc assez important pour elle et puis finalement, ça sort... « Jusque là j'ai jamais osé te le dire, mais... T'es un peu comme le grand frère que j'ai jamais eu... J'suis vraiment très contente d'être proche de toi, parce que t'es vraiment super... » Elle parle avec sa tête un peu baissée. Elle sait pas, elle sent que c'est le moment de le dire, quand maintenant les nominations et les éliminations sont de plus en plus rude. Alors évidemment, Enoch n'arrivera jamais à la cheville de Sully, mais quand même... C'est l'une de ses plus belles rencontres...

Je suis content de passer cet après-midi en compagnie de Ismène. Nous prenons notre désert près de la fausse plage. Au menu, de la pastèque. En arrivant sut les lieux, la chaleur est presque oppressante. On se pose sur les transats mis à disposition. Je coupe la pastèque en plusieurs parts. Je sers d'abord ma camarade, puis vient mon tour. Celle-ci me remercie. Je lui souris avant de goûter un bout de mon fruit. Bien frais comme il faut. Est-ce que c'est sérieux avec Avalon ? Je hoche la tête, un sourire béat aux lèvres. Avalon a beaucoup de chance, dit-elle. Je réponds : - Non, c'est moi qui ai beaucoup de chance. Je ris légèrement et reprends une bouchée de mon pastèque. Je me considère chanceux d'avoir une femme comme elle. Je reprends goût à la vie grâce à elle. Je lui suis reconnaissant de m'apporter autant de bonheur. - Moi aussi, je suis content d'être proche de toi. A mes yeux, tu es comme ma soeur. Je tiens vraiment à toi. Je tends ma main vers elle. Mes doigts caressent tendrement ma joue. Ça m'a touché ce qu'elle m'a dit. - T'es trop adorable, tu sais. Je lui fais un bisou sur la joue. Elle est la petite sœur que j'aurai aimé avoir. Elle est devenue une des personnes les plus importantes dans ma vie. J'aimerai la revoir après l'aventure, garder contact avec elle. - Je te rendrai souvent visite au pays. Elle n'habite pas si loin de chez moi en plus.