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 Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful

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Monroe

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MessageSujet: Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful   Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful EmptyMar 13 Aoû 2013 - 5:03

feat sandro

Ça fait plusieurs jours que Fake Lover, s'est terminé que je suis chez moi et le seul truc auquel je pense c'est partir. Partir pour Paris, pour voir Sandro. Limite c'est de l'obsession. Je me demande s'il est aussi impatient que moi. Ça m'étonnerait assez. J'sais pas s'il était impatient il aurait pu venir me voir gagner s'il n'avait pas été lui en fait peut être qu'il serait venu. Mais j'pense que s'il n'avait pas été lui je n'aurais pas été aussi impatiente de le voir. C'est sans doute stupide et assez bizarre à comprendre mais c'est de cette façon que je l'aime je crois. Il m'énerve pourtant parfois à ne jamais rien dire, mais bon c'est comme ça j'crois. J'ai dû régler des tas de choses avant de partir. J'ai fini par conclure un deal avec mon père. J'crois qu'il n'aime pas Sandro avant de le connaître, mais c'est uniquement parce que j'pars au bout du monde ça. Du coup j'vais devoir l'appeler assez régulièrement, lui envoyer des mails des photos, enfin bon au pire c'est pas infaisable. Ils sont civilisés en France. Normalement. J'ai préparé ma valise, un peu au hasard j'sais pas quel temps il va faire, je ne sais pas du tout combien de temps je resterais, je pense que je n'ai pas pris assez de fringues, une bonne raison pour faire du shopping en fait. Mais j'ai pris quelques indispensables, déjà mon ordinateur, mon téléphone. Le must have, les indispensable à toute vie. Surtout quand on en a été privé durant trois mois. Enfin pas d'un ordinateur mais c'est tout comme. Il y a ma vie dans mon mac. J'suis pas vraiment tranquille en montant dans l'avion, déjà parce que ma mère pleurait comme si elle envoyait son enfant se faire tuer à la guerre, parce que je suis légèrement angoissée à l'idée qu'il ait pu m'oublier, ou qu'il se soit lassé, qu'il ai trouvé de quoi l'occuper. Je me dis que c'est con mais c'est pas impossible, c'est pas comme s'il était du genre à se caler avec une fille non pus, enfin bon j'en sais rien, je me dis quand même que je dois être un tout petit peu importante pour lui. C'est le soucis dans l'avion, j'ai le temps de cogiter. Le film était nul et onze heures c'est super long. J'sais pas du tout l'heure qu'il peut être, l'hôtesse l'a dit mais j'étais trop occupée à essayer de regarder par le hublot. La seule fois que je suis venue à Paris j'ai simplement vu Bercy et l'hôtel en fait. Le seul truc que je sais c'est que je me suis mangé onze heures dans la face et que j'vais devoir attendre onze heures presque avant de dormir. Le décalage horaire, j'vais aimer j'crois. Bon en tout cas j'descends de l'avion tranquille pépère, j'prends mon temps de toute façon j'sais pas encore comment j'vais faire pour réussir à sortir d'ici sans me perdre, récupérer mon bagage et trouver un taxi qui va me comprendre, ne pas tomber sur le chauffeur qui va m'emmener dans une ruelle sombre même s'il ne fait pas sombre pour m'égorger, c'est que Sega il m'a vachement rencardé avant de partir, j'crois bien qu'il exagérait mais bon, on est jamais trop prudent. Autant LAX je connais par cœur autant ici, et puis tous ces gens qui parlent français ça me perturbe un peu. Les gens sont tellement pressé que tout le monde bouscule tout le monde. Moi j'suis un peu perdu en fait, rien de bien étonnant. J'suppose que j'dois suivre la foule, j'récupère finalement mes bagages et quand j'vois tous les gens qui attendent ça me fout limite le cafard. Ils en ont de la chance qu'on vienne les chercher et tout. Et puis je regarde l'horloge, quatorze heures cinq. En effet je ne suis pas prête d'aller me coucher. Bon et bien il est temps d'affronter la foule, j'crois que j'suis devenue agoraphobe depuis qu'ils sont tous venus me féliciter dimanche...
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MessageSujet: Re: Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful   Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful EmptyMer 14 Aoû 2013 - 6:42

Bientôt trois semaines que tout ce cirque était fini pour toi. Ton boulot et ton appartement t'attendaient, exactement identique que lorsque tu les avais laissé. La seule différence était les quelques appels pour les interviews. Mais ton agressivité a dû rapidement les refroidir. Tu ne voulais plus te donner  en spectacle, c'était fini maintenant. Hors de question de continuer ces conneries, tu en avais assez. Tu avais déjà fait l'erreur de t'inscrire dans ce jeu de télé réalité, tu ne voulais pas que tout ça te suive. Tu voulais simplement qu'on te laisse tranquille. Les gens, ce n'était pas pour toi. Tu avais compris que fake lover ne t'avait servi à rien. Tu y étais aller pour oublier certaines choses, certaines personnes, mais rien n'y changeait. Tu restais le même Sandro torturé, le même Sandro asociable. En soit, t'en avais rien à faire de ce que les personnes pouvaient bien penser de toi, et tu n'avais pas vraiment l'intention de changer en participant au jeu, mais tu espérais que ce qui s'était passé en Afghanistan devienne comme derrière toi. Mais non. La seule chose qui te manque, peut-être, c'est elle. Monroe. Après tout, tu avais passé plus de deux mois rien qu'avec elle. Tu sais pas trop, c'est bizarre. La seule chose dont tu étais sur, c'était que tu n'arrivais pas à admettre qu'elle te manquait. C'était comme impensable que tu puisses tenir à quelqu'un. Tu n'aimais pas ça, ça te faisait sentir si faible. Tu étais un faible, à cause d'elle. A vrai dire, en rentrant à Paris, tu t'étais fait à l'idée que tu finirais bien par l'oublier, et qu'avec tout ce temps pour réfléchir Monroe finirait par changer d'avis. Parce que c'était insensé qu'elle vienne ici, chez toi. Pour toi. Tu avais simplement accepté parce que t'avais la certitude qu'elle finirait par rester à los angeles, parce qu'elle se serait rendue compte que tu n'en valais pas la peine. Qu'elle méritait mieux que toi. C'était le cas. Malgré tout ça, tu avais tout de même cette folle envie de l'avoir prêt de toi, de pouvoir l'embrasser encore. C'était mal, mais c'était comme ça. Tu avais pourtant l'habitude de ne pas avoir ce que tu désirais, donc ça ne devait pas poser un gros problème. En fait, la seule chose à faire, c'était de faire comme si rien ne s'était passé, comme si tu ne la connaissais pas. Ça marcherait très probablement. De plus, elle avait gagné, elle avait sûrement pleins d'idées de voyage ou quoi ou qu'est-ce pour dépenser cet argent, plutôt que de venir à Paris. Tu ne te faisais pas de fausses idées, et tu savais très bien que ça ne serait pas bien compliqué pour la belle brune de passer à autre chose. Tout était différent ici, dans la vraie vie. Vous n'étiez pas enfermés dans une sorte d'énorme maison. Qu'importe. Tu avais pourtant appris que mademoiselle n'avait pas changé d'avis, et qu'elle venait bel et bien en France. Ce qui était pour le moins perturbant pour toi. Même si sur ton visage et dans ton attitude, l'expression restait toujours la même. On ne te changeait pas si facilement tout de même. Bref. Tu ne l'avais pas appelé, tu ne l'avais même pas contacté durant ces trois dernières semaines, mais tu t'es débrouillé pour connaître l'heure à laquelle elle arrivait. Et bien sur, tu n'as pas fait savoir à l'américaine que tu t'étais informé sur sa venue. Tu ne voulais pas qu'elle pense que tu t'en préoccupais, que tu en avais quelque chose à faire. Et pourtant, malgré toi, ce que tu allais faire allait prouver le contraire au monde entier : la chercher à l'aéroport. Le bon jour, la bonne heure, tu te retrouves avec cette foule de personne attendant les voyageurs. Tu n'es pas aux premières loges. A vrai dire, t'es derrière plusieurs personnes, et Monroe ne te verras sûrement pas du premier coup. Pourtant, toi, tu la vois. Évidemment. Tu reconnais ses cheveux, tu reconnais sa démarche, tu reconnais les courbes de son corps. Elle est dos à toi. Et tu te retiens d'avoir ce petit sourire sur tes lèvres. Pas de sourire. Tu t'approches. Tes mains de posent sur ses hanches, tu l'attires contre toi. Tes lèvres se perdent un court instant sous son lobe d'oreille. - Tu as fait un très mauvais choix.. que tu murmures avant de déposer un baiser dans le creux de son cou. Oh oui vraiment, tu savais qu'elle allait regretter.
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MessageSujet: Re: Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful   Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful EmptyMer 14 Aoû 2013 - 23:20

Je ne sais pas vraiment si j'ai eu raison de venir ici. Pas parce que je pourrais regretter d'être là, j'ai la certitude que ce ne sera pas le cas. Enfin ça c'est seulement si Sandro n'a pas changé d'avis. C'est ma plus grande peur je crois. Qu'il m'ait dit que je pouvais venir juste pour que je le laisse partir sans réticence. C'est ce que j'ai fait. De toute façon c'était évident qu'il n'était pas super à l'aise ici. Je ne pouvais pas jouer l'égoïste en exigent qu'il reste. Il ne l'aurait pas fait de toute façon, la preuve. Je ne me suis jamais dit que c'était un bon moyen de me dégager. Peut être que j'aurais dû, j'en sais rien. Mais bon j'aurais pu aussi rester à Los Angeles, sauf que je suis là, sauf qu'une connasse m'a fait chier à l'immigration pour une connerie de rien du tout, que pendant ce temps là, y'a des gros lourds qui m'ont mâté dans l'avion pendant des heures qui ont osé me demander un autographe, je me suis retenue de ne pas rire d'ailleurs, mais bon je suis un amour je l'ai fait. Et malgré tout j'ai tenu bon parce que mon besoin limite viscérale de voir Sandro est beaucoup plus fort. D'un côté de toute façon ce n'est pas comme si j'avais songé une seule seconde à ne pas venir, je crois même que j'ai saoulé Sun-Hi et Casey a force d'en parler. Même Frances. J'crois qu'elle doit me haïr d'être partie aussi rapidement et de rater la fête pour son anniversaire. Sauf que je ne pouvais pas attendre. C'est stupide parce que son anniversaire est dans quelques jours sauf que j'sais pas c'est plus fort que moi. J'crois que c'est la première fois que je fais passer un mec avant mes amies, mais j'sais pas c'est pas comme si ma relation avec Sandro était classique. Il me manque tellement que c'est insensé, tout est insensé j'pense, j'en sais rien, je m'en fous en fait de ce que peuvent penser les autres. Tout ce que je veux maintenant c'est sortir de ce foutu aéroport, pour pouvoir prendre un foutu taxi et trouver ce foutu appartement. J'suis plantée là dans ce hall, un peu désespérée, je n'ai pas de soucis d'orientation j'suis plutôt débrouillarde sauf que je crois que mes cours de français ont été un peu trop succinct, j'vais galérer à mort. Et sans que je m'y attende je sens des mains sur mes hanches. C'est quoi ce délire, je sursaute légèrement et je suis sur le point de filer un bon coup à l'agresseur sauf que l'agresseur en question m'attire contre lui, il a ce parfum, une odeur que je connais relativement bien pour l'avoir senti pendant plus de deux mois. - Tu as fait un très mauvais choix.. Evidemment ça me fait sourire. Il ne peut pas le voir mais peu importe. Je m'en fous, tout ce que je constate c'est qu'il est venu me chercher à l'aéroport. Je frisonne légèrement lorsqu'il dépose ses lèvres contre mon cou et puis je me retourne pour pouvoir le voir. Un large sourire illumine mon visage. Je suis plus que ravie de le voir, de le voir ici surtout. Je passe mes bras autour de son cou.  « Oh et c'est pour t'assurer que je retourne dans l'avion que tu es venu jusqu'ici ? » Assurément. Je ne lui laisse pas réellement le temps de répondre parce que je ne peux pas m'empêcher de l'embrasser tendrement. Je m'en fous des gens autour, qu'on soit dans un lieu public, on a fait pire sous les yeux des gens. J'caresse ses cheveux et puis je me détache j'en ai pas vraiment envie mais il faut bien. Je souris toujours. J'arrête pas de sourire je crois. J'en prends d'ailleurs la parole, sauf qu'il y a un truc qui m'attire l'oeil. Un flash sans doute. Je détourne légèrement le regard, évidemment. Je reporte mon attention sur Sandro.  « Tu ne voudrais pas qu'on aille dans un endroit plus ... privé ? Y'a un crétin qui nous prend en photo et j'ai peur que ses potes rappliquent. » Evidemment, ça fait un peu chier mais bon personnellement je suis habituée à ces crétins avant Fake Lover ça arrivait souvent mais alors maintenant ça n'arrête pas, j'pensais que ça allait être plus calme à Paris mais vraisemblablement non. Et puis bon de toute façon on allait pas rester éternellement dans cet aéroport n'est-ce pas ?
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MessageSujet: Re: Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful   Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful EmptyMar 27 Aoû 2013 - 0:45

Elle était là. En France. Non, vraiment, tu ne t’y attendais pas. Pas du tout. Tu avais eu la ferme certitude qu’elle ne bougerait pas de Los Angeles pour toi. Et pourtant. Elle était là. Monroe. Et malgré le fait que tu essaies de te convaincre qu’elle ne t’avait pas du tout manqué, tu ne peux pas t’empêcher d’être heureux d’être là, à l’avoir dans tes bras. Monroe t’avait piégé comme il se doit, au final. Parce que toi qui te voulais indépendant, tu étais en train de devenir tout le contraire. Par sa faute, tu devenais dépendant. Dépendant d’elle, de sa présence, de ses baisers, tout ça. Et t’avais du mal à l’accepter. En fait, il était très probable que tu n’arrives jamais à l’accepter. A l’évidence, admettre de genre de choses n’était pas trop ton truc. Mais tout le monde était déjà au courant. « Oh et c'est pour t'assurer que je retourne dans l'avion que tu es venu jusqu'ici ? » Evidemment. Tu hoches la tête tout en la serrant un peu plus contre toi, oubliant complètement l’endroit où vous étiez. Non parce que pour le moment, on pouvait presque dire que tu n’avais d’yeux que pour elle. « Il y a un vol direct pour Los Angeles dans une heure si tu veux. » que tu murmures dans un léger sourire. Le pire, c’était que ce vol existait réellement. Au cas où elle changerait d’avis. Mais qu’importe, puisqu’elle ne tarde pas à t’embrasser et au final c’est le plus important. Une de tes mains autour de sa taille remonte jusqu’à son cou. Ses lèvres, ses baisers, ça te paraissait loin au final. Et comme d’habitude vos lèvres se détachent bien trop vite. Et elle sourit. Elle sourit beaucoup trop, contrairement à toi. C’est un fait. En réalité, vous étiez sûrement le strict opposé l’un de l’autre. M’enfin bref, vous n’avez pas vraiment le temps de dire quelque chose puisqu’un flash vous interrompt. Et ça, ça ne te plaît vraiment pas. Evidemment, tu lances un regard noir au photographe. Et ça ne te poserait pas le moindre problème d’aller le frapper, mais tu avais justement déjà eu quelques problèmes avec des photographes quelques jours auparavant, et la police t’avait conseillé de rester calme si tu ne voulais pas faire un mini séjour entre les barreaux. Alors ton poing reste où il est, malgré ta forte envie de l’envoyer valiser, lui et son appareil photo. Il fallait que tu restes zen. C’est dur mais tu y arrives. « Tu ne voudrais pas qu'on aille dans un endroit plus ... privé ? Y'a un crétin qui nous prend en photo et j'ai peur que ses potes rappliquent. » Oui, certes, c’était une meilleure idée. De toute manière, vous n’aviez plus rien à faire dans l’aéroport, n’est-ce pas ? A moins qu’elle veuille vraiment faire marche arrière. Enfin de toute façon tu n’arriverais pas à te retenir une minute de plus d’aller tabasser ces gars-là, alors il valait mieux partir, et vite. « Suis-moi » que tu dis en attrapant ses valises. Oui, toi, tu portais ces valises. Et elle n’avait pas intérêt à faire de remarque par rapport à ça, puisque tu t’arrêterais aussitôt de les porter. Elle devait commencer à te connaître plus ou moins, de toute manière. Bref. Une fois sur le parking, vous rejoignez ta voiture. Elle n’a rien d’extraordinaire, mais n’est pas non plus la plus miteuse des voitures. Une clio 2 DCI noir. Tu mets les bagages de Monroe dans le coffre et tu montes dans la voiture. Qu’elle ne s’attende pas à ce que tu lui ouvres la portes, hm. Une fois tous deux à l’intérieur, tu démarres, histoire de déguerpir le plus vite possible de cet endroit. « Règle numéro 1, tu ne conduis pas ma voiture. » tu commences. C’est simple, non ? Ça ne devrait pas trop être difficile à comprendre. « Règle numéro 2, tu ne sali pas ma voiture. » Non, tu ne supportais vraiment pas ça. Et ça allait t’énerver si elle le faisait. « Règle numéro 3, tu ne laisses pas d’affaire là-dedans. » Pas de rouge à lèvre qui traîne ou quoi. Rien que ces trois règles pour la voiture, ça devrait suffire, non ? Oui, largement. La connaissant, t’étais presque certain qu’elle allait faire tout le contraire, mais il fallait que ce soit dit. « Je te jure, fais gaffe, j’suis capable de te faire dormir sur le canapé. » En fait, t’en savais rien, mais oui, t’en étais sûrement capable. Hm. Tu conduis plutôt vite, même trop vite par rapport à la vitesse réglementaire, et c’est sûrement pour ça que vous vous retrouvez rapidement en plein milieu de la capitale française. A un feu rouge, tu tournes la tête vers Monroe, et tu te penches sur elle pour l’embrasser longuement, ta main se déposant sur sa nuque. Sur le moment tu te fiches pas mal de l’endroit où vous pouviez être, ta seule envie était de l’embrasser. Et puis, de toute manière, vous étiez à un feu rouge. Sauf qu’au bout d’un certain instant, le son des klaxons se fait entendre. Alors tu te détaches rapidement et à grand regret d’elle, pour redémarrer. Oui, ses lèvres t’avaient définitivement manqué. Mais ça resterait dans ta tête. « Règle numéro 4, tu ne me déconcentres pas quand je conduis. » Oui, bon, tu étais peut-être le coupable, mais peu importe. Qu’importe, vous arrivez finalement à bon port. Une fois garé, vous sortez de la voiture, tu prends ses bagages, et tu te diriges vers le bâtiment. « C’est le dernier étage. » l’informes-tu. Par chance, vous aviez un ascenseur. Enfin, il ne marchait pas toujours. Mais aujourd’hui était un bon jour, apparemment. Tu n’as donc pas à te donner du mal pour faire monter les valises par les escaliers. Vous vous retrouvez finalement dans l’appartement, là où tu finis enfin par déposer les bagages de Monroe. Tu ne savais toujours pas ce qu’il t’avait pris d’accepter à ce qu’elle emménage ici. C’était insensé. M’enfin. Tu n’as pas l’habitude d’accueillir des gens chez toi. Enfin, il y a bien un nombre assez important de femmes qui sont venus ici, mais ce n’était pas vraiment pour regarder la décoration. Décoration qui était d’ailleurs plutôt propre à toi. Les murs blancs étaient retapissés d’un nombre exubérant de photos, de pages de magazines et de dessins. Des photos de toi et ton meilleur ami, toi et tes amis à l’époque, de toute ta famille lorsque toi et ta sœur étiez encore des gosses. Les plus récentes photos avec ta petite sœur, ou encore des photos de tes parents. Bref, il y avait vraiment tout pour te rappeler les conséquences des erreurs que tu avais commises. Quant aux dessins, c’était des paysages, des souvenirs. Douloureux ou non, les souvenirs. Des portraits, aussi. Celui de ta sœur, entre autre, et d’autres personnes. Tu avais même accroché celui de Monroe, que tu avais oublié d’enlever avant de partir vers l’aéroport. Bref, tout ça était disposé pèle mêle sur un mur du salon, mais aussi sur les murs de ta chambre. « Bon.. voilà. Ça c’est le salon puis la cuisine, à droite c’est la chambre. Là les toilettes et puis la salle de bain par là-bas. » Ce n’était pas petit pour un appartement sur Paris, au final. Tu ne prends pas vraiment la peine de te déplacer, tu montres vaguement les endroits du doigt. De toute manière, elle pouvait bien déduire ça toute seule, hm. T’as les fesses appuyées sur le rebord du dossier du canapé. Tu la regardes. Tu la regardes tout le temps, c’est comme ça. « Tu peux encore faire demi-tour, tu sais. » que tu dis tout simplement. Parce que tu restais convaincu que Monroe serait plus heureuse ailleurs. Pas que t’en aies quelque chose à faire… mais voilà quoi.
Monroe

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MessageSujet: Re: Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful   Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful EmptyMar 27 Aoû 2013 - 15:33

Sandro est là, à l'aéroport, mais il n'est pas là parce qu'il est venu me chercher, oh non c'est pas son genre, j'peux pas lui avoir manqué c'est pas possible. Donc j'en conclus qu'il est là pour me remettre dans l'avion. Evidemment il hoche la tête sauf qu'il me sert plus contre lui, c'est pas comme ça que j'risque de partir, pas que j'en ai envie, pas réellement, ce que j'ai envie c'est être contre lui, tout le temps, l'embrasser parce que ça m'a carrément manqué ça. « Il y a un vol direct pour Los Angeles dans une heure si tu veux. » Et il sourit, il n'aurait pas l'air fin si j'disais oui quand même. Je secoue légèrement la tête. « Demain peut être, vingt-deux heures d'avions dans la même journée ce serait pas raisonnable. » C'est bien la seule raison pour laquelle je ne devrais pas repartir dans une heure, et puis on aura pas le temps de s'embrasser suffisamment, d'ailleurs, on ne s'est pas embrassé alors je me dois de réparer cette erreur. Le baiser est trop court, ils le sont toujours, mais la sensation est toujours aussi agréable, je me remémore cette conversation au sujet des papillons dans le ventre qui se confirme, j'suis carrément accro à ses lèvres, à ses mains sur ma peau, mais y'a un putain de flash qui interrompt ce moment, parce que dans ma tête nous étions rien que tous les deux, et vu sa façon de me regarder j'pense que dans la sienne aussi. Evidemment si le flash m'agace c'est rien à côté de Sandro qui se tend immédiatement, ce serait mieux qu'on se casse je n'ai pas forcément envie de visiter le poste de police du coin. « Suis-moi » On est du même avis, d'ailleurs j'suis sur le point de récupérer mes valises sauf qu'il le fait, oh, bon tiens, qu'a-ton fait de mon Sandro ? Mais je me retiens de tout commentaire, je reste muette parce que j'sais bien que j'vais devoir me les coltiner si j'ouvre la bouche et vu que je sais ce qu'il y a dedans je les lui laisse volontiers. On arrive rapidement au parking, devant sa voiture je monte toute seule comme une grande parce que je sais encore ouvrir une portière toute seule, il ne manquerait pus que ça. Je le regarde s'installer, en silence, j'crois que je me suis habituée, je préfère le regarder de toute façon il démarre en trombe, je n'en attendais pas moins mais finalement elle ne serait pas trop perturbée sa petite voiture si je venais à la conduire, mais il semblerait qu'il ait lu dans mes pensées puisqu'il ne tarde pas à ouvrir la bouche.  « Règle numéro 1, tu ne conduis pas ma voiture. » Oui il m'avait semblé qu'il l'est déjà dit ça. « Règle numéro 2, tu ne sali pas ma voiture. » Euh d'accord, j'ai envie de balancer un oui papa là, limite j'ai l'impression d'être une gosse à qui on dit, mets pas tes pieds sur les sièges, ne mange pas dans la voiture tu vas faire des miettes. « Règle numéro 3, tu ne laisses pas d’affaire là-dedans. » Euh c'est tout non ? Je vous jure quel tyran. « Je te jure, fais gaffe, j’suis capable de te faire dormir sur le canapé. » J'suis obligée de me mettre à rire, non plus désolée c'est plus fort que moi, quel châtiment dites-moi. « J'étais sur le point de suggérer de m'acheter une voiture, que je n'allais pas manger ici mais si ce n'est que ça, j'pense que je devrais trouver le chemin de ta chambre seule et si tu ne veux pas me laisser dormir avec toi, j'irais me trouver un autre lit, t'as des voisins non ? » Genre sexy les voisins, un mec seul comme lui qui ne refusera pas ma compagnie par exemple. Non mais il a cru que j'allais obéir au doigt et à l'oeil ? Il a oublié que mon passe-temps favoris consistait à le contredire. Bon après ça il continue de rouler et le silence reprend ses droits. Je regarde un peu le paysage qui se succède, ça change de L.A, et on s'arrête à un feu rouge, logique me direz-vous et là, en fait je le sens me regarder alors je le regarde et il m'embrasse un baiser assez fougueux et particulièrement agréable mais qui ne dure pas parce qu'un feu c'est court quand on s'embrasse, les gens s'impatiente derrière, oui bon ça va. « Règle numéro 4, tu ne me déconcentres pas quand je conduis. » Non mais il est gonflé, je me mets à rire. Et puis glisse sournoisement ma main contre sa cuisse que je caresse doucement. « D'accord, promis je ne le ferais plus. » S'il regardait la route aussi. Mais bon d'un côté c'est juste un baiser à un feu rouge rien de bien dramatique. Bon après cet incident on arrive apparemment, je regarde le quartier tout ça, oui bon je ne m'attendais à rien, Paris, la France j'connais pas. Dernier étage alors. Je prie pour qu'il y ait un ascenseur, j'ai les jambes un peu cotonneuse à cause du vol. Et oui miracle, super, je le suis donc, on rentre et lorsqu'il ouvre la porte je constate que ça a l'air plus grand que je l'aurais pensé, c'est certes beaucoup plus petit que chez moi mais ce n'est pas tellement comparable, j'observe la déco assez... sombre mais je ne m'attendais pas à autre chose de toute façon. Ce qui m'étonne légèrement ce sont les photos et les dessins au mur. « Bon.. voilà. Ça c’est le salon puis la cuisine, à droite c’est la chambre. Là les toilettes et puis la salle de bain par là-bas. » J'écoute sa visite, oui écouter parce qu'il ne bouge pas vraiment, bon d'accord. « C'est pas aussi grand que notre précédente demeure mais c'est sympa.   » On peut difficilement faire plus grand que le nid de toute évidence. Nos vieilles habitudes reprennent le dessus puisque nos yeux ne semblent plus vouloir se détacher. « Tu peux encore faire demi-tour, tu sais. » Je souris, ce n'est pas drôle mais ça me fait sourire qu'il pense continuellement que je serais mieux ailleurs et surtout sans lui. Je secoue la tête et me rapproche de lui, de sorte à passer mes bras autour de sa taille. « Je sais, mais j'sens que je vais me plaire ici, avec toi. En plus il est évident que je t'ai manqué, j'peux pas partir.  » Je souris légèrement, oui j'ai vu le dessin accroché au mur, et étant donné que je n'ai pas envie de l'énerver parce que j'viens d'arriver j'vais éviter de parler des photos. Je glisse ma tête dans son cou m'enivrant de son odeur, et puis parce que sa peau me chante de venir l'embrasser - oui oui- je m'emploi à couvrir sa peau de baisers.
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MessageSujet: Re: Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful   Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful EmptyMar 27 Aoû 2013 - 21:07

A vrai dire, ça ne t’étonnerait même pas si elle reprenait l’avion. Après tout elle venait ici pour toi, et tu n’en valais clairement pas le coup. Peut-être qu’elle s’en rendrait enfin compte. « Demain peut être, vingt-deux heures d'avions dans la même journée ce serait pas raisonnable. » Beh oui, logique. Tu arques un sourcil tout en secouant doucement la tête de droite à gauche. « C’est vrai, ça ne serait pas du tout raisonnable. » Bref. Vous vous embrassez, et y’a ce fichu photographe qui a le don de t’agacer. Genre vraiment. Alors tu te dépêches de l’emmener jusqu’à ta voiture, dans le but de rentrer bien vite chez toi. Tu ne tardes d’ailleurs pas à la mettre en garde sur les règles concernant ta voiture. Non, parce que c’était ta voiture quand même. Et femme au volant rimait avec accident. Bien sûr, elle rit. Au final, ça ne te choque même pas. Même si toi, tu es très sérieux par rapport à tout ça. « J'étais sur le point de suggérer de m'acheter une voiture, que je n'allais pas manger ici mais si ce n'est que ça, j'pense que je devrais trouver le chemin de ta chambre seule et si tu ne veux pas me laisser dormir avec toi, j'irais me trouver un autre lit, t'as des voisins non ? » Et bien sûr, tu lui lances un regard noir. Parce que la seul chose qui a retenu ton attention, c’est le sujet des voisins. Elle était sérieuse ? Ca ne te plaisait pas du tout, mais alors pas du tout. Tu étais abusivement jaloux, c’était plus fort que toi. T’étais très probablement capable du pire. « J’ai des voisines aussi. » Oui, t’en savais quelques choses, puisque toutes celles qui méritaient de l’attention en avaient eu de ta part. En clair, ce n’était pas vraiment compliqué pour toi d’en ramener une chez toi. Donc elle n’avait pas intérêt à faire ce genre de choses. Non, vraiment pas. Parce que ça ne te plairait clairement pas. Hm. Qu’importe. Lorsque vous êtes arrêté à un feu rouge, tu te mets à l’embrasser. Parce que t’en avais envie, parce que c’est comme ça. Sauf que bon sur le coup, t’oublies carrément que vous êtes sur la route, et que du coup t’es censé avancer. Alors tu rajoutes une nouvelle règle, logique. Sauf que Monroe ne tarde pas – encore – à faire le contraire de ce que tu viens dire et pose sa main sur ta cuisse. « D'accord, promis je ne le ferais plus. » Oui, bien sûr. De toute manière elle prend toujours un malin plaisir à faire tout le contraire de ce que tu peux dire. Alors ce n’était pas comme si tu pouvais la croire. Alors tu te contentes de lever les yeux au ciel, tandis que vous vous rapprochez de ton appart. Une fois sur place, tu lui présentes rapidement les lieux sans vraiment le faire en fait. De toute manière, ce n’était pas compliqué de deviner que des toilettes étaient des toilettes. Elle avait qu’à ouvrir les portes, et elle le remarquerait par elle-même. « C'est pas aussi grand que notre précédente demeure mais c'est sympa. » Tu arques un sourcil. Parce qu’elle s’attendait à un truc comme le nid ? Déjà, presque personne n’avait de maison sur Paris, et puis de toute manière tu étais loin d’en avoir les moyens. « Fallait pas t’attendre à tomber dans une des demeures des Rothschild hein. » Non, clairement pas. Si telles étaient ses attentes, c’était normal qu’elle soit déçue. Tu lui fais d’ailleurs comprendre qu’il n’est pas trop tard pour s’en aller si elle en avait envie. Non, parce qu’elle n’avait toujours pas l’air de comprendre dans quoi elle s’engage. Mais elle sourit quand tu le lui dis. Elle sourit beaucoup trop, et pour rien du tout. Si ce n’était pas elle, ça t’agacerait presque. Alors que tes yeux sont scotchés aux siens, elle s’approche de toi pour passer ses bras autour de toi. « Je sais, mais j'sens que je vais me plaire ici, avec toi. En plus il est évident que je t'ai manqué, j'peux pas partir.  » C’est fou ce que tu aimais ça, ses lèvres contre ta peau. Ouais, ça t’avait presque manqué. Presque. Après quelques secondes, tu relèves sa tête vers toi à l’aide de ton index et de ton pouce sur son menton. « Tu ne m’as pas manqué » que tu déclares. Pourtant la manière dont tu l’embrasses la seconde juste après prouve certainement le contraire. Hum. Et puis tes lèvres dévient sur son cou, puis son épaule. Tu peux pas t’en empêcher. Tu relèves finalement la tête pour poser ton regard dans le sien. « Si t’as faim y’a des trucs dans la cuisine. » que tu finis par dire.
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MessageSujet: Re: Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful   Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful EmptyMar 27 Aoû 2013 - 23:35

 « C’est vrai, ça ne serait pas du tout raisonnable. » Bon on est d'accord, ça va, il n'insiste pas, de toute façon, j'partirais pas, il faudrait qu'il m'y foute dans l'avion pour que je le prenne, non mais moi j'reste avec lui, pour lui et même que j'vais plus avoir envie de partir si ça se trouve. Peu importe. On se fait mitrailler, on déguerpi au plus vite parce que c'est plus prudent, il en va de la sécurité du pauvre type qui vient de s'enrichir sur notre dos. J'en viens à me demander quand on va voir nos tronches dans les magazines. On s'en tape, on descends au parking et on monte en voiture, plus on sera loin d'ici mieux ce sera, évidemment j'ai droit à quelques règles de bases. Bon c'est vrai qu'il avait dit que ma vie allait être un véritable enfer, pas dans ces termes mais bon. En gros j'viens de débarquer chez un tyran. C'est beau de rêver en tout cas. J'sais bien qu'il est sérieux, c'est ce qui me fait rire, bon j'tire pleins de conclusions, mais évidemment c'est la dernière partie de ma phrase qui le fait tiquer. J'dormirais chez les voisins s'il me refuse son lit. Enfin de toute façon j'vais pas conduire sa voiture, ils roulent comme des malades ici, j'ai cru qu'on allait se faire rentrer dedans à chaque coin de rue. Il me lance un regard noir, tiens ça m'a manqué ça aussi, non mais comme si j'allais dormir avec j'sais pas qui moi. N'importe quoi, mais j'pense qu'il ne le prend pas bien, certes il est abusivement jaloux, mais quand même.  « J’ai des voisines aussi. » J'suis sûre qu'il les connait très bien ces voisines et même si je préférerais qu'il les oublie j'hausse les épaules. Mais bon j'crois qu'il a oublié un paramètre. « Voisins, voisines c'est pareil, j'suis pas difficile.  » Je réponds nonchalamment, bah oui j'aime aussi les filles, là toute suite moins, mais d'un côté là toute suite je n'aime pas non plus les autres mecs. « Cela dit si j'ai fait tout ce trajet c'est pour dormir avec toi, pas chez tes voisins.  » Il est bête ou quoi ? Il n'a pas cru que j'étais sérieuse, hum. En tout cas il m'embrasse, un baiser exquis, d'ailleurs si j'pouvais je crois que je l'embrasserais toute ma vie c'est tellement agréable. Mais évidemment c'est de ma faute si on se fait klaxonner, mais bon du coup moi je m'amuse un peu, je lui caresse l'intérieur de la cuisse juste l'espace de quelques minutes et je ne glisse pas trop loin, j'voudrais pas réellement le déconcentrer, quitte à rentrer je préfère être entière. Et puis bon on arrive assez rapidement parce qu'il roule beaucoup trop vite malgré la circulation. Bon, la visite est un peu light mais je ne m'attendais pas à ce qu'il joue les guides, il est venu me chercher à l'aéroport et a porté mes valises, j'imagine que c'est déjà bien. Forcément j'fais un commentaire.  « Fallait pas t’attendre à tomber dans une des demeures des Rothschild hein. » Je souris très légèrement, ouais je sais, encore. Mais bon j'vais pas faire la gueule juste pour lui faire plaisir. « Je ne m'attendais pas à ça, à vrai dire je pensais que ça allait être plus petit. Non mais comme ça c'est très bien, j'aurais moins de ménage à faire.   » Oui si je viens c'est juste pour ça, on s'était mis d'accord à ce sujet, la vois où il m'a dessiné, d'ailleurs j'suis accrochée au mur, enfin le dessin qui me représente, alors j'en conclus qu'il m'a manqué. Evidemment il proteste mais ce n'est pas comme s'il était du genre à admettre ce genre de chose. J'suis entrain de parcourir sa peau de baisers, il me relevé la tête du bout des doigts. Je plante mon regard dans le sien. « Tu ne m’as pas manqué » Mais bien sûr. Et puis vu sa façon de m'embrasser ça se sent. Je ne réplique pas du coup, mais je m'en fous qu'il me le dise ou non, il me le montre, c'est mieux. Je savoure ses baisers, je m'accroche un peu plus à lui, c'est fou cette emprise qu'il a sur moi, j'adore ça j'crois même que je laisse échapper un léger soupir. « Si t’as faim y’a des trucs dans la cuisine. » Oh. Hum j'sais pas si j'ai faim, j'sais que s'il continue c'est de lui que je vais avoir faim. Alors du coup je réfléchis. « Qu'est-ce que tu me proposes ? » J'sais pas si j'ai beaucoup faim, pas trop, par contre j'prendrais bien une douche en fait. .« C'est une douche ou une baignoire dans la salle de bain ?  » C'est vrai que j'pourrais aller voir moi même mais j'suis bien contre lui en fait. J'suis tellement fatiguée que j'ai un peu la flemme, mais bon j'vais pas dormir, il est trop tard, ou trop tard, j'sais pas trop l'heure qu'il peut être.
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MessageSujet: Re: Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful   Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful EmptyVen 30 Aoû 2013 - 1:19

T’es jaloux, c’est comme ça. Et si elle ne supportait pas ça, il valait mieux qu’elle s’en aille tout de suite. Clairement. Il suffirait qu’un homme la regarde un peu trop pour que tu t’enflammes. T’avais beau dire pleins de choses à voix haute, Monroe était à toi. Juste à toi. Rien qu’à toi. Personne n’y avait le droit. C’était comme ça que tu voyais les choses, et c’était comme ça qu’était les choses.  « Voisins, voisines c'est pareil, j'suis pas difficile. » Evidemment, elle a encore une fois droit à un de tes regards noir. Ça serait sûrement pire si elle allait chez une voisine, à coup sûr. « J’t’assure qu’elles ne sont pas branchées filles. » Oh bah ça, t’en savais quelque chose. Enfin bref. Qu’elle dorme chez un voisin, chez une voisine, ou dans la rue, tu te mettrais en colère. Très en colère. « Cela dit si j'ai fait tout ce trajet c'est pour dormir avec toi, pas chez tes voisins.  » Mouais, certes. Si ta théorie comme quoi elle finirait bien vite par se lasser de toi, ses paroles pouvaient bien s’avérer fausses. Non, franchement, au final ça ne t’étonnerait pas plus que ça, mais bien sûr ça ne te plairait pas non plus. Pas du tout. Mais bon. « De toute façon je tue la personne qui te touche. » Tu le dis si sérieusement qu’on pourrait croire que tuer les gens est une habitude chez toi. Ce qui en soit n’était pas si faux. Mais bref, ce n’était pas du tout ce que tu voulais dire à la base. « Non enfin.. laisse tomber. » Oui, c’était mieux. Tout ce que tu voulais était de ne pas lui montrer que tu tenais à elle, et tu faisais tout le contraire en disant ce genre de choses. Ce n’était pas réglementaire. C’était idiot. Hum. Enfin bon, en espérant qu’elle n’y ferait pas attention, vous finissez finalement par arriver chez toi. Chez vous, peut-être. Tu sais pas, t’aimes pas te prendre la tête pour ce genre de choses. T’as l’habitude de rester seul, et c’est pour une bonne raison. Et elle avait été prévenu maintes et maintes fois. « Je ne m'attendais pas à ça, à vrai dire je pensais que ça allait être plus petit. Non mais comme ça c'est très bien, j'aurais moins de ménage à faire. » Tu ne peux pas t’empêcher de sourire légèrement. Le ménage. T’avais même oublié que t’avais dit ça. De toute façon, il était clair que le ménage ne prenait pas un temps fou dans un appartement. Alors ce n’était pas une énorme tâche que Monroe avait là. « Je te montrerai où son rangé les balais. » Oui, ça, par contre, tu pouvais te déplacer pour lui montrer. Beaucoup dirons que tu n’es pas un type chic. En même temps, tu ne considérais pas l’être. Ouais, t’étais loin d’être l’homme idéal ou quoi. Tu faisais la gueule, tu souriais jamais, t’étais pas sympa, etc, etc. Et pourtant, elle était là. Tu ne comprenais pas, tu n’arrivais pas à comprendre. Tu finis par l’embrasser, parce que t’en as atrocement envie, et que ça fait longtemps au final. T’avais pas l’habitude de ne pas l’embrasser pendant autant de temps. Trois semaines, c’était pas rien. Enfin bref. Tes lèvres se perdent dans son cou, tu finis par lui proposer à manger. Toujours en la gardant contre toi. Peut-être qu’elle a faim. T’en sais rien, toi, t’es pas dans sa tête. Et dans sa tête, ça doit carrément être le bordel. Attendez, elle est là quand même. C’était forcément qu’il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond chez elle. Et c’était aussi sûrement pour ça que tu l’appréciais autant. Hum. « Qu'est-ce que tu me proposes ? » Tu hausses automatiquement les épaules. Tu ne connaissais pas par cœur ton frigo toi. Clairement pas. « Qu’est-ce que tu veux ? » que tu demandes en l’embrassant encore une fois. De cette manière tu pourrais dire si tu l’avais, ou ne l’avais pas. Sans quoi, tu ne pourrais définitivement rien lui proposer. «  C'est une douche ou une baignoire dans la salle de bain ?  » Une douche ou une baignoire. Sérieusement. « Baignoire. »  Bon, tu t’en servais comme une douche, parce que les bains ce n’était pas vraiment ton truc. Pas du tout ton truc, même, en fait. Mais bon, tu venais sûrement de faire une heureuse, là. Ou peut-être pas.
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MessageSujet: Re: Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful   Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful EmptyVen 30 Aoû 2013 - 4:19

Oui bon je ne devrais sans doute pas plaisanter à ce sujet. Parce qu'il est jaloux à l'extrême, je n'ai jamais vu un mec aussi jaloux qu'il peut l'être, je plaisante et lui non. Bon j'espère qu'il le sait quand même que j'veux pas aller voir ses voisins ou ses voisines, je ne me tape pas le premier venu, bon si en fait, mais pas quand j'suis avec quelqu'un. Quelqu'un que j'aime qui plus est. J'sais pas à quel je pourrais la supporter cette jalousie à vrai dire, pour le moment y'a rien de bien insurmontable, on a pas trop été confronté aux autres, dans le nid c'était plus ou moins facile si on oublie l'épisode Cosmas. Et puis ce n'est pas comme si j'allais vraiment aller me taper ses voisines. Je m'en fous totalement. Sauf que j'fais croire le contraire et j'ai droit à un regard noir, bon et si j'arrêtais de l'énerver à ce sujet au moins ? « J’t’assure qu’elles ne sont pas branchées filles. » Pour le coup ça m'amuse moins là. Je m'en fous de savoir qu'il s'est tapé toutes les nanas de l'immeuble mais à coup sûr, j'vais plus pouvoir les regarder normalement ces filles mais j'fais comme si ça m'était égal, chacun son tour. « Peut être que si, je le suis bien moi » Branchée fille j'entends, et quand on nous voit tous les deux ce n'est pas forcément flagrant que les filles c'est mon truc. Que ça peut être mon truc, pas maintenant, plus maintenant. Sandro par contre c'est vraiment mon truc. J'essaie de le rassurer mais bon sang qu'il est têtu c'est pas possible ça. J'aimerais bien qu'il me fasse confiance un jour. Ce n'est pas trop demandé quand même à lui sans doute, et ça m'énerve mais j'sais aussi que ça me plait toutes ces petites choses imparfaite, notre différence flagrante. « De toute façon je tue la personne qui te touche. » Je souris moins, je crois que je fais une légèrement grimace parce que bon j'suis sûre qu'il en serait capable hors de question qu'on me touche alors. Non mais le moins que l'on puisse dire c'est que ça sort du cœur, il m'a tout autant surpris. « Non enfin.. laisse tomber. » Je me retiens de ne pas sourire. Il ne va pas aimer, j'aime moi au contraire, entendre ce genre de choses. Ce n'est pas comme si ça arrivait souvent. « J'refuse que tu tues qui que ce soit, ça va pas la tête, tu feras moins le malin derrière les barreaux. » Ouais je l'engueule, carrément non mais il est pas bien lui. « Ou alors arrange toi pour bien nettoyer derrière toi. » Tout pour éviter qu'il me soit arraché. « Non mais laisse tomber, tu n'auras pas besoin de tuer qui que ce soit puisque c'est de toi que j'suis amoureuse crétin. » Je lui donnerais volontiers une tape derrière la tête pour que ça lui rentre bien dans le crâne mais non. Après tout ça on arrive chez lui, avec sa déco assez sommaire et c'est tout ce que je verrais de l'appartement pour le moment. Il n'a pas envie de me faire la visite, ouais pour le moment ça m'importe peu. Je n'en oublie pas pourtant la principale raison de ma venue ici, lui servir de femme de ménage. Et ça me fait sourire, c'est fou ce qu'il est encore plus beau quand il sourit. Il devrait le faire plus souvent. « Je te montrerai où son rangé les balais. » Je laisse échapper un léger rire. Bah tiens. Evidemment que pour les balais il se déplacerait. « Oh non ne t'embête pas, je devrais bien trouver. » Puisque j'dois me débrouiller pour le reste ça aussi, j'pense sans doute que j'vais devoir me démerder pour la plupart des choses, mais j'suis pas là pour son côté serviable, je sais très bien à quoi je m'exposais en venait ici, j'imagine qu'il ne va sans doute être facile à vivre mais j'peux aussi être chiante de mon côté alors qu'est-ce que ça peut faire ? Il m'embrasse, parce que ça doit faire cinq bonnes minutes que nos lèvres sont éloignées l'une de l'autres et ce n'est pas tolérable, on a trois semaines de baisers à rattraper alors c'est bien de commencer maintenant. Bon sinon est-ce que j'ai faim, oui un peu du moins j'ai mangé dans l'avion mais je ne sais pas vraiment quand. J'sais pas ce qu'il a aussi, j'connais rien à la culture française, à la nourriture française, j'en sais rien. « Qu’est-ce que tu veux ? »Euh oui bon j'vais devoir balancer des trucs au hasard je crois, mais avant il m'embrasse à nouveau, peut être que je peux me passer de manger alors. « J'imagine que tu n'as pas de beurre de cacahuète... » C'est peu probable, j'sens que j'vais rapidement demander à ma mère de m'envoyer de la bouffe, oh oui. Et puis bon, j'en viens à lui demander s'il a une douche ou un baignoire. Ce n'est pas innocent tout ça. Même si ça semble sans doute venir de nul part. « Baignoire. » Trop cool, je souris instantanément. Malicieusement même parce que comme je l'ai dit ce n'est pas innocent. « T'aurais pas l'envie soudaine d'enlever tes fringues et de me tenir compagnie dans cette baignoire par hasard ? » Je murmure assez malicieusement contre ses lèvres dont je m'empare à nouveau, non parce que j'suis casée de partout, ça ferait du bien d'être dans la baignoire tout contre lui. J'imagine qu'en se serrant on peut rentrer à deux, parce que ce n'est pas aussi cool d'y aller seule, je préfère encore rester contre lui debout au milieu du salon.
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MessageSujet: Re: Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful   Boy, you're so dope, your love is deadly tell me life is beautiful EmptyDim 1 Sep 2013 - 21:07

Non mais sérieusement, il était hors de question que quelque touche à Monroe. Vraiment hors de question. « Peut être que si, je le suis bien moi » Oui et bien… non. D’ailleurs, ça t’étonnerait vraiment qu’elles le soient, tes voisines. Vu ce que tu avais pu connaitre d’elle. Mais bon, on sait jamais. Si Monroe ne t’avait rien dit, tu n’aurais pas cru qu’elle aurait pu être attirée par une femme. Pourtant tu n’avais rien d’une femme. Non, vraiment rien. « Et même si c’était le cas, je suis sûr qu’elles me préféreraient quand même à toi. » Y’en avait une ou deux qui avait déjà rompu avec leur mec pour toi sans que tu demandes rien. Enfin, tu t’en foutais d’elles, donc bon. Ce n’était même pas important, tout ça c’était juste pour avoir le dernier mot. Et pour lui faire comprendre qu’il était hors de question qu’elle dorme avec qui que ce soit d’autre. «  J'refuse que tu tues qui que ce soit, ça va pas la tête, tu feras moins le malin derrière les barreaux. Ou alors arrange toi pour bien nettoyer derrière toi. Non mais laisse tomber, tu n'auras pas besoin de tuer qui que ce soit puisque c'est de toi que j'suis amoureuse crétin. » Moui. Sous le coup de la colère tu pourrais très bien tabasser quelqu’un, ça c’était sûr. Et accessoirement te retrouver derrière les barreaux pour un petit moment. Mais qu’importe. Elle était amoureuse de toi, donc. Ca restait d’actualité, ça. Etrange. « Tu as vraiment un problème dans ta tête. » Oui, c’était toi qui disais ça. Mais c’était la vérité, Monroe avait un problème. Sinon elle ne serait pas là, avec toi dans cette voiture. Non, clairement pas. Mais bon maintenant il était trop tard pour reculer, vu que vous étiez arrivés devant chez toi. Une fois monté, tu ne lui montres pas vraiment les pièces, mais tu veux bien te montrer volontaire pour ce qui était des balais. Bien sûr.  « Oh non ne t'embête pas, je devrais bien trouver. » Tu souris légèrement. Effectivement ce n’était pas compliqué à trouver, c’était loin d’être un labyrinthe ici. Tu ne t’inquiétais pas vraiment pour elle, donc. Après avoir l’embrasser, tu lui demandes si elle veut manger, et quoi. Parce que bon, toi t’étais pas un cuisto. « J'imagine que tu n'as pas de beurre de cacahuète... » Tu ne peux pas t’empêcher de rire franchement. Du beurre de cacahuète, sérieusement ? Tu arques un sourcil et secoues la tête de droite à gauche. « Je te rappelle que tu n’es plus dans le pays des obèses maintenant. » Oui, les Etats-Unis était bel et bien le pays des obèses, c’était connu. Même si tu n’y étais jamais réellement allé. Parce que bon, le nid aurait pu être en Irlande ou à Los Angeles, ça n’aurait rien changé puisque le paysage était indiscernable en dehors. Surtout que, soyons honnête, c’était dégueulasse le beurre de cacahuète. Aucune personne normalement constituée ne pourrait avaler ça. Ce qui confirmait ta théorie comme quoi Monroe avait un certain problème. Ca paraissait évident désormais. Et puis elle te demande si tu as une baignoire ou une douche, ce qui te semble sans importance. Du temps qu’on restait propre, hein. ça restait de l’eau et du savon. Bref. « T'aurais pas l'envie soudaine d'enlever tes fringues et de me tenir compagnie dans cette baignoire par hasard ? » qu’elle murmure contre tes lèvres avant de t’embrasser. Tu souris légèrement, et évidemment tu prolonges ce baiser. Parce que tu ne peux presque plus te passer de ses lèvres. C’est pas bien. Mais c’est comme ça, t’as plus le choix maintenant. Il va falloir t’y faire, malheureusement. Une fois que vos lèvres se détachent, tu glisses tes mains en dessous du t-shirt de Monroe. « Hm.. Je sais pas trop.. » que tu réponds en te dirigeant vers la salle de bain, toujours avec elle contre toi, et tes lèvres se promenant dans son cou. Et puis sur le chemin, tu lui hôtes son t-shirt. Et tu recommences aussitôt les baisers dans son cou.

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