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 turn down for what, le 29/05 à 15:36.

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Sayid

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MessageSujet: turn down for what, le 29/05 à 15:36.   turn down for what, le 29/05 à 15:36. EmptyMar 26 Mai 2015 - 1:01

SAYID & @MYLAH
vendredi 29 mai - 15:36


C’était probablement du au fait qu’il se sentait mal à l’aise depuis le dernier prime et qu’il ne s'était pas attendu à devoir rester ici une semaine supplémentaire, mais Sayid avait la sensation que cette semaine était interminable. Aussi peu à l’aise était-il avec ses semblables il ne pouvait pas totalement nier que l’obligation de sociabilisation qui pesait sur lui depuis qu’il était ici l’avait forcé à faire des efforts, des efforts qui faisaient passer le temps plus vite. Cette semaine il se contentait de prendre son mal en patience, et il se demandait si depuis leur vieil écran de télévision relié à la parabole ses collègues avait conscience du supplice croissant que constituait pour lui le fait d’être enfermé avec tous ces gens depuis si longtemps ? Probablement qu’avant de songer à regagner Kinshasa le britannique s’accorderait quelques jours dans son minuscule appartement londonien, à ne vivre que de programmes télévisés débiles, de bouquins et de nourriture à faire livrer. Il en avait besoin, comme on avait besoin d’un sas de décompression. Mais en attendant d’y être il essayait de prendre son mal en patience, et se rabattait sur n’importe quelle activité capable de l'occuper : cet après-midi c’était la lessive, probablement sa dernière avant de tout ranger dans le sac marin qui lui tenait lieu de valise, en ne laissant sorti que le strict nécessaire dont il aurait besoin le lendemain et dimanche. Il ne s'était pas vraiment posé la question de croiser quelqu’un dans la laverie, il se refermait tellement dans sa bulle ces derniers jours qu’il en oubliait parfois qu’il était toujours susceptible de croiser quelqu’un à n'importe quel croisement de couloir, aussi lorsqu’il avait ouvert la porte et s'était retrouvé face à Mylah il avait été pris au dépourvu. Assez pour en avoir un léger mouvement de recul, ayant toujours en tête le regard noir qu’elle lui avait lancé au dernier prime. Ce regard, lorsqu’il était dirigé vers lui, était rarement de bon augure, et s’il rasait les murs cette semaine c’était aussi pour éviter les situations conflictuelles ... mais il n’avait pratiquement connu que cela, avec Mylah. « Je venais faire ma lessive. » Malgré son envie de bafouiller et de baisser les yeux il s'était obligé à soutenir de regard de la jeune femme, et à emprunter un ton décidé. Il ne voulait pas avoir l’air impressionnable face à elle parce qu’il savait qu’elle ne l’était pas vis-à-vis de lui ... Il n’était pas rassuré, pourtant, et le fait qu’il assimile le métier de la jeune femme à une certaine violence n’y était pas pour rien. Lorsqu’enfin elle s'était décalée pour le laisser passer il s'était d’ailleurs instinctivement dirigé vers l’autre bout de la pièce ; Il n’aimait pas le silence, lorsqu’il était provoqué par son angoisse à lui, mais plus encore que d’habitude il n’avait aucune idée de quoi dire. Déglutissant, il s'était baissé vers la panière de linge qu’il venait de déposer à ses pieds, pour se trouver une excuse qui ne l'obligeait plus à soutenir le regard de la jeune femme. « Maintenant tu as la réponse à ta question. » Il y a quelques semaines elle lui avait demandé pourquoi il n’arrivait pas à s’adapter à elle, pourquoi il ne parvenait pas à arranger une situation qui avait mal démarré. Il ne pouvait pas parce qu’elle non plus n’en avait pas envie, elle avait décidé qu’elle ne l’aimait pas et les signaux qu’il recevait de sa part étaient toujours négatifs, vindicatifs. Il aurait eu besoin qu’elle y mette du sien, ou de trouver un point d’ancrage chez elle, chose difficilement possible quand elle donnait l’air de rejeter en bloc tout ce qu’il était.
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MessageSujet: Re: turn down for what, le 29/05 à 15:36.   turn down for what, le 29/05 à 15:36. EmptyMer 27 Mai 2015 - 2:28

Une fois n’est pas coutume, c’est à la laverie que se rend Mylah en ce milieu d’après-midi. Puisque l’aventure touche à sa fin, il est temps pour elle de commencer à faire ses valises et elle ne peut envisager de glisser des habits sales (qui doivent se compter au nombre de deux) dans celle-ci, raison pour laquelle elle se dirige vers la laverie, panière en main. Elle y reviendra certainement plus tard, et aussi demain, car au final, tous ses habits y passeront, même s’ils ont été nettoyés sans être portés entre temps. C’est une question d’ordre, c’est impensable pour elle de faire passer ses vêtements du dressing à sa valise sans passer par la case laverie. Elle préfère s’y prendre un peu à l’avance, pour boucler ses valises dimanche matin au plus tard, afin d’être certaine de ne rien oublier ici, ce qui serait probablement son pire cauchemar. Prenant ses quartiers dans cet endroit si familier, elle s’affaire à sortir et mettre en ligne (par ordre de taille) les produits qui rendront de l’éclat à ses vêtements qui n’en ont pourtant pas besoin. Mylah n’est dans la pièce que depuis quelques minutes, quand entre Sayid, sur lequel son regard se porte instantanément puisqu’on ne peut pas dire que la révélation de son secret ait aidé la jeune femme à se faire un avis plus favorable sur le britannique. Et son comportement, qui consiste à esquisser un mouvement de recul, n’est pas pour arranger les choses. Fronçant simplement les sourcils, Mylah n’émet pas le moindre mot, laissant à Sayid le soin de débuter une conversation s’il le souhaite. Elle, elle peut très bien se contenter du silence. Et lorsqu’il prend la parole, la blonde hausse les épaules devant une telle évidence. « Je ne m’en serais pas doutée. » Siffle-t-elle entre ses dents, ne consentant plus à faire le moindre effort avec le britannique. Pas depuis qu’elle a appris que s’il est aussi imbuvable à ses yeux, c’est parce qu’il se contente de lui renvoyer l’image qu’il a d’elle. Mylah n’a jamais eu la prétention de penser que son caractère était agréable, au contraire même, mais l’idée de s’être retrouvée devant un miroir lui déplait. Elle a fait des efforts auprès de Sayid, des efforts qu’il n’a pas jugés nécessaire de comprendre et, par conséquent, de prendre en compte. Le silence règne quelques instants dans la pièce, loin de lui déplaire, avant que Sayid ne lui annonce qu’elle a la réponse à sa question. C’est le moins que l’on puisse dire. Mais ce n’est pas parce qu’elle a obtenu sa réponse qu’elle accueille son secret avec plus de sérénité. Si elle est certaine d’une chose, c’est qu’elle ne peut pas assumer l’entière responsabilité de leur mésentente sous prétexte qu’il a calqué ses réactions sur elle. « Donc si tu t’es montré aussi désagréable, c’est parce que je le suis moi-même ? » Lui demande-t-elle justement en fronçant les sourcils, partagée entre l’agacement et l’incompréhension que représente la remarque de Sayid. Agacement, car il semble rejeter la faute sur elle, estimant que s’il s’est souvent montré désagréable à son encontre c’est uniquement par sa faute ; incompréhension, car même en ayant été aiguillée sur son secret et sur sa façon de fonctionner, celle-ci lui semble encore très abstraite. « Tu n’essaies tout de même pas de me faire croire que tu n’as pas ta part de responsabilités dans nos différents ?  » Continue-t-elle sur le même ton. Elle ne va pas prétendre qu’il ne s’agit pas d’une accusation, puisque cela en est une. Simplement, elle ne comprend pas sa façon d’agir et s’il y a une chose qui l’insupporte, c’est qu’on lui prête des intentions ou des actes qui ne sont pas les siens. « Pourquoi ce mouvement de recul, juste avant ? » L’interroge-t-elle en faisant référence à son entrée dans la pièce, sans même lui adresser un regard, trop occupée à remplir une machine avec son linge sale. Elle a déjà précisé, par le passé, qu’elle ne le détestait pas, et cela lui semble donc évident qu’elle ne lui veut pas le moindre mal, alors elle ne comprend pas son acte, car même si elle se montre hostile à cet instant, elle ne rêve pas pour autant de lui éclater la tête contre la vitre d’une des machines. « Et il est comment, le Sayid qui ne calque pas son attitude sur les autres ? » Elle est curieuse, trop curieuse et contrairement à ce que l’on pourrait penser, la réponse l’intéresse réellement. Car si elle est vexée, ce n’est pas parce qu’elle a l’impression que Sayid s’est joué d’elle (elle est capable d’accepter la nécessité de son acte), mais parce qu’elle n’apprécie pas d’avoir eu un aperçu de son caractère.
Sayid

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MessageSujet: Re: turn down for what, le 29/05 à 15:36.   turn down for what, le 29/05 à 15:36. EmptyDim 31 Mai 2015 - 0:02

Il aurait préféré ne pas avoir à croiser qui que ce soit à la laverie, et encore moins Mylah. C’était irrationnel de sa part, au fond de lui il le savait, mais si Mylah avait déjà tendance à l'intimider de part la manière dédaigneuse et vindicative dont elle semblait le considérer, depuis qu’il avait connaissance de son secret les choses étaient pires. Elle maniait les armes, cela suffisait à rendre Sayid méfiant, lui pour qui les raccourcis étaient trop vite faits et qui assimilaient les armes à feu aux braconniers qui menaçaient sans cesse la réserve. Mais il ne voulait pas d’histoires, il voulait simplement faire sa lessive. « Je ne m’en serais pas doutée. » A nouveau ce ton dédaigneux, sans qu’il ne sache ce qu’il avait fait pour le mériter cette fois-ci. Et puis finalement il avait compris à la suite des paroles de la jeune femme que ce n’était pas ce qu’il venait de faire, qui posait problème, mais la façon dont elle prenait son secret. Elle ne réalisait pas que son secret à elle, la rendait plus intimidante mais aussi plus inquiétante aux yeux de Sayid, et que réagir de façon si vive ne l’aiderait pas à obtenir de lui plus de coopération. « Donc si tu t’es montré aussi désagréable, c’est parce que je le suis moi-même ? » C’était elle qui qualifiait cela de désagréable au fond, lui ne savait pas trop comment il aurait appelé ça. Il la trouvait vindicative, mais partagé entre un certain automatisme à vouloir en faire de même, et une volonté de ne pas se créer de situation trop conflictuelle au sein du nid - parce qu’il ne savait pas les gérer sur la longueur et aurait risqué de se faire pincer s’il avait craqué - il s'était retrouvé coincé dans un entre-deux sans grand sens, et qui n’avait pas du améliorer l’opinion que Mylah avait de lui. Ni celle qu’il avait d’elle, du coup. « Tu n’essaies tout de même pas de me faire croire que tu n’as pas ta part de responsabilités dans nos différents ? » Pourquoi, pourquoi se sentait-elle obligé de l’agresser de cette façon ? Est-ce que cela ne lui suffisait pas, de le mépriser quoi qu’il fasse, elle avait vraiment besoin qu’il lui cherche des excuses et qu’il lui fasse croire qu’elle n’avait pas provoqué cette situation ? « Arrête de crier ... s’il te plait. » C’était presque une supplication, murmurée de sa voix nouée tandis qu’il serrait de toutes ses forces le tee-shirt qu’il tenait entre ses mains, dans une frustration silencieuse. Une supplication à laquelle il avait rajouté une formule de politesse parce que Mylah y semblait toujours plus réceptive. « Et c’est pas ... c’est pas ce que j’ai dit. » Il avait dégluti, lentement, et tenté de reprendre un minimum de contrôle sur ses émotions, pour ne pas faire ce plaisir à la blonde. « Mais tu m’as ... je. Je - me suis senti agressé la première fois. Alors je me suis engouffré dans la brèche, sans réfléchir parce que c’est toujours comme ça que je je fais ... et après c’était trop tard. » Et ça n’aurait eu aucune importance s’ils ne s'étaient jamais revus, s'ils n’avaient pas été sélectionnés tous les deux, mais tout comme il détestait être insignifiant aux yeux des personnes qu’il trouvait fascinantes ou intéressantes, Sayid détestait aussi se faire haïr des personnes contre qui il n’avait pas de sentiments vindicatifs ... et Sayid ne détestait que très peu de monde, c’était un sentiment bien trop vivace et fort pour lui, il n’était pas capable de ce genre de sentiments. « J’ai essayé de changer les choses mais j’ai pas réussi ... j’ai pas réussi à te comprendre. Et tu as méprisé toutes mes tentatives. J’ai compris trop tard que cette histoire de porte-clefs était stupide, mais le temps que je m’en rende compte ... tu avais déjà décidé que rien ne serait suffisant. » C’était comme ça qu’il avait compris la façon narquoise dont elle lui avait fait remarquer qu’il valait mieux qu’il ait de la patience, comme si cela ne changeait rien, comme s’il pouvait toujours courir. Mais au fond pourquoi une femme comme Mylah prendrait-elle la peine d’accorder du crédit à un type comme lui ? Elle était comme beaucoup, elle se contentait de la première impression, et chez Sayid elle était souvent mauvaise. C’était la roulette russe, pour lui, tomber juste du premier coup quant à l’attitude à adopter ou bien devoir tout reprendre à zéro. « Pourquoi ce mouvement de recul, juste avant ? » La question lui semblait soudainement presque aussi agressive que le ton employé pour la poser, et serrant tellement fort le tissu du tee-shirt qu'il tenait entre ses doigts que ses mains s'étaient mises à trembler, il gardait obstinément la tête baissée sur sa panière de linge, refusant de se confronter au regard de Mylah qu'il devinait comme tout aussi agressif que son attitude. « Parce que ... les gens qui ont un regard comme le tien me veulent rarement du bien. » Cela devait sonner totalement con, pour elle. Elle devait se demander à quel attardé elle avait affaire, pour qu'il se mette à réagir comme un gamin face à un adulte un peu trop autoritaire, mais c'était tout à fait l'effet qu'elle avait sur lui. Celle d'une personne à l'autorité supérieure à la sienne et qu'il craindrait en se sachant en mauvaise posture face à elle, mais sans les armes nécessaires pour y faire face. Et sa seule arme c’était sa capacité à s’inspirer des autres, alors désormais privé de cela il se sentait totalement démuni, et face à Mylah qui lui était plus hostile que n’importe quel autre candidat c’était particulièrement angoissant. « Et il est comment, le Sayid qui ne calque pas son attitude sur les autres ? » Cela semblait être la grande question, celle qu'on lui avait déjà posé plusieurs fois cette semaine et à laquelle il ne savait toujours pas quoi répondre parce qu'il n'avait pas envie que les gens sachent. Qu'ils sachent à quel point le "vrai" Sayid ne valait pas la peine qu'on s'y intéresse. Toujours sans oser relever les yeux vers Mylah il comme tout juste à relâcher son emprise sur ce tee-shirt qu'il tenait toujours serré entre ses doigts, et la gorge serrée par la frustration et la méfiance que lui inspirait de nouveau la jeune femme il avait murmuré « Il n'existe pas ... c'est juste un type bizarre, qui n'intéresse personne. » d'un ton penaud, parce qu'au fond s'il y en avait bien une ici qui serait d'accord avec ça c'était Mylah, il en était persuadé. Et il comprenait, après tout.

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