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 DON'T WAKE ME UP. 19/05 à 04h40

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Jaileen

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MessageSujet: Re: DON'T WAKE ME UP. 19/05 à 04h40   DON'T WAKE ME UP. 19/05 à 04h40 - Page 2 EmptyMar 21 Mai 2013 - 18:19

Si Jaileen pensait que ses deux petites allusions concernant la vie sexuelle de son partenaire pouvait être drôle et bien elle venait de se mettre le doigt dans l’œil. Sur le moment, n’ayant pas pour habitude de se remettre en question, de se remettre en cause, elle pensait simplement que Valeri n’était peut-être pas aussi drôle qu’il avait bien pu lui paraître au départ, mais finalement, après quelques secondes de réflexion, voilà que la blondinette se tournait pour l’observer et s’excuser en face à face, droit dans les yeux. Enfin s’il voulait bien tourner la tête pour jeter un coup d’œil en sa direction ce serait bien mieux pour des excuses de petite fille capricieuse en face à face et droit dans les yeux. L’anglaise venait même à avouer que ses propos étaient de mauvais gout. Chose qu’il approuvait. « De très mauvais goût, même » Nouvelle petite grimace sur le visage de Jaileen, mais elle ne relevait pas cette réflexion. Pas besoin de continuer à jeter de l’huile sur le feu si c’était pour prendre un mauvais départ avec son partenaire alors qu’ils étaient censés former un couple. Certes un faux couple, mais un couple tout de même. Ils devaient se serrer les coudes, s’entraider et essayer d’arriver le plus loin possible dans l’aventure ensemble, côte à côte. Par la suite, le petit couple presque parfait s’échangeait quelques confidences sur la vie de chacun. La blonde venait confier à Valeri qu’elle avait arrêté ses études pour prendre une année sabbatique et mettre un petit peu de fun dans sa vie. Elle ne voulait pas tout dévoiler d’un coup, préférant garder un petit peu de suspense pour la suite. Par exemple, il n’avait pas besoin de savoir aujourd’hui qu’elle était complétement raide dingue des voyages et qu’un projet humanitaire lui tenait particulièrement à cœur. D’ailleurs, si elle se trouvait ici aujourd’hui, en plus de mettre du piment dans sa vie, c’était aussi pour récolter un maximum de fric pour ce projet qu’elle avait en tête depuis sa plus tendre enfance. Elle en parlerait en temps voulu. Peut-être lorsque sa place allait être en danger dans l’émission afin d’émouvoir les téléspectateurs et ainsi espérer grappiller quelques pourcentages bénéfiques à son aventure lors d’une éventuelle élimination possible. De son côté, Valeri venait lui apprendre qu’il était mime et qu’il espérait grandement que ses parents puisse le voir à la télé pour être fier de lui. Cela faisait sourire la demoiselle qui, toujours aussi curieuse, venait lui demander s’il venait de Paris car il lui semblait que c’était ce qu’elle avait entendu lors du prime. Remarquez, il y avait tellement de français ici qu’elle pouvait avoir confondu. « Pas vraiment, en fait… » Avec l’envie d’en savoir toujours un petit peu plus, elle l’interrogeait du regard. « Je suis à Paris depuis… trois ans à peu près. » Il comptait sur ses doigts, tel un enfant, et cela ne faisait qu’intensifiait le sourire qu’elle portait sur les lèvres. Elle trouvait plutôt mignon, attendrissant. « Avant, j’habitais en Biélorussie, mais franchement… ça fait beaucoup moins ringard de dire que l’on vient de Paris, plutôt que de dire qu’on est Biélorusse. Ca plait déjà plus au gens d’entre parler de Paris, plutôt que de la Biélorussie, entre nous. Ca les fait plus rêver. » Et bien si lui pensait que les gens préféraient largement entendre dire que quelqu’un venait de Paris, la blondinette trouvait que la Biélorussie était plus original que la capitale française et elle n’allait pas manquer de le lui faire savoir. Petite grimace de gamine à l’appui, elle disait : « Personnellement, je trouve que Paris c’est devenu banal maintenant. Certes c’est une ville qui bouge, mais tout le monde veux aller là-bas. Je trouve que cette ville n’a plus la même magie qu’il y a quelques années. J’aurais tellement aimé vivre une soixantaine d’année en arrière, voire même carrèment dans les années 20. Ca devait être vraiment trop cool Paris à cette époque là. » Marquant une courte pause, elle continuait en posant une nouvelle question : « Pourquoi tu es parti de chez toi ? Enfin … si ce n’est pas trop personnel bien entendu. »
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MessageSujet: Re: DON'T WAKE ME UP. 19/05 à 04h40   DON'T WAKE ME UP. 19/05 à 04h40 - Page 2 EmptyMar 21 Mai 2013 - 20:03

Cette nuit allait se transformer en confidences, sur l’oreille. Etait-ce vraiment des confidences ? Peut-être… ou peut-être pas. Il ne savait pas vraiment comment on appelait cela exactement. Peut-être que « confidences » n’était pas le mot adéquat dans ce contexte. Il est évident que Valeri n’évoquerait pas les raisons de sa présence au sein de ce jeu avec n’importe qui. A personne, en fait. Il ne se sentait pas prêt à le faire, même s’il les avait vaguement mentionnées dans ses propos qu’il avait partagés avec Jaileen. Pour se confier, il fallait être prêt. C’était comme sauter dans le vide, avec un élastique, il fallait se sentir prêt pour le faire… là, c’était la même. Ou à peu de chose près, il n’y aurait pas de pont, ni de vide, et encore moins d’élastique autour de son pied. Il avait par la suite évoqué sa situation familiale, et notamment avec ses vieux. Il n’évoquerait pas ces détails personnels à personne, juste à Jaileen. Sûrement parce qu’il devait lui faire confiance. Parce que leur relation devait être basée sur la confiance. Sans ça, leur couple ne tiendrait pas la route bien longtemps. La confiance était la base de cette pyramide relationnelle. Il lui fait part de sa profession, ou tout du moins de ce qui lui permettait de gagner un peu sa vie : mime. Il devait certainement être le seul au sein de ce nid. La plupart devait être des étudiants, ou avait une vie bien rangé. Tout cela n’était guère intéressant. Tout n’était pas aussi beau, ça n’avait rien d’une belle romance. Et pourtant malgré cela, Jaileen se montrait toujours autant curieuse. Parisien, il ne l’était pas. Il lui expliqua alors très brièvement sa situation. Il vivait à Paris depuis trois ans. Ou peut-être quatre, ou deux ans. Personne ne viendra lui jettera la première pierre s’il était trompé sur ce détail temporel. Il mentionna ensuite son pays natal. La Biélorussie. Il n’allait pas épiloguer longuement sur ce sujet, et encore moins sur le village appauvri dans lequel il avait grandi. Paris, ça faisait plus rêver qu’un maigre village biélorusse, n’est-ce pas ? Oui. Tout du moins, c’était comme cela qu’il voyait les choses. Paris était plus beau, plus grand, plus luxueux que son petit village. Paris, c’était un peu la capitale de l’Amour… tout du moins, c’était ce qu’il avait entendu, une fois, assis dans un square parisien. Amour. Et si l’amour n’existait pas. Paris ce serait la capitale de quoi ? De la débauche ? De la luxure ? Peut-être. Après tout, c’était le nouveau concept de l’Amour. Pourtant, Jaileen ne semblait pas voir les choses comme lui. Il fronça les sourcils, en l’écoutant. Quant à elle, elle jugeait la ville de banal. Peut-être, enfin, Valeri trouvait la ville beaucoup moins banale que son petit village, que sa petite ferme qu’il n’avait jamais quitté, jusqu’à il y a trois ans. Elle aurait préféré y vivre dans les années vingt, par exemple. Peu après la Première Guerre Mondiale, donc. Ce fut le premier événement historique qui venait à l’esprit du biélorusse. « Dans les années vingt ? Tu sais qu’à l’époque… il n’y avait pas de IPhone, d’IPad et compagnie ? » souffla-t-il, un peu perplexe. Il est certain qu’à l’époque tous les petits gadgets qui nous étaient vitales et indispensables dans notre quotidien n’existaient pas. Les modes de vie étaient différentes. Différentes des nôtres. Clairement, cette idée de vouloir vivre dans le passé n’était jamais venue à l’esprit de Valeri. Sûrement parce que les histoires de ses arrière-grands-parents et grands-parents ne le faisaient pas rêver. Il était bien dans son époque. Jaileen vint alors à lui demandait les raisons de son départ. Curiosité légitime. Pourquoi était-il parti de chez-lui ? Pourquoi ? Il laissa s’échapper un petit « hum » entre ses lèvres, avant de décider de répondre enfin. « J’avais… » il laissa sa voix en suspens, cherchant alors les mots. « J’avais envie de changement, de changer d’air, peut-être aussi de vouloir reprendre ma vie… c’était un peu comme vouloir avoir une meilleure vie. » souffla-t-il, avant de marquer une brève pause. « Et toi ? Tu viens d’où exactement ? » lui demanda-t-il en retour alors.
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MessageSujet: Re: DON'T WAKE ME UP. 19/05 à 04h40   DON'T WAKE ME UP. 19/05 à 04h40 - Page 2 EmptyMer 22 Mai 2013 - 19:47

« Dans les années vingt ? Tu sais qu’à l’époque… il n’y avait pas de IPhone, d’IPad et compagnie ? » La remarque Valeri sur ce qu’elle venait de dire faisait sourire, encore une fois, la blondinette. Bien évidemment qu’elle était au courant. Ce n’est pas parce qu’elle était blonde qu’elle était stupide. Elle avait déjà pensé à tout ça et du coup, elle était en mesure de répondre, presque immédiatement, à la question de son partenaire. « Oui, dans les années vingt et bien entendu que je suis au courant que je n’aurais pas eu droit à tous les gadgets que j’ai la chance d’avoir aujourd’hui, mais disons que c’est l’état d’esprit de cette époque-là qui me plait énormément. Les gens, en Europe, sortent tout juste d’une effroyable guerre et ils se rendent compte qu’il faut vivre pleinement sa vie sans jamais se poser de question, avancer sans se fixer de limite. Ils sortent, font la fête dans les cabarets, boivent et fument sans même se soucier de l’importance que cela peut avoir sur la santé. Les femmes osent des choses qu’elles n’avaient jamais pensées réalisable pour elles et je trouve ça juste énorme. En fait, je crois bien que, je suis totalement fascinée par cette période de l’histoire. » Un sourire vient illuminer son visage. Ses yeux brillent. Il y a pas de doute, elle était complètement fan des années folles et de toutes les innovations que cette période avait amené par la suite, même si une autre guerre était, encore plus horrible que la première, avait fait surface par la suite. Les petites confidences du couple continuaient et Jaileen venait en apprendre bien plus sur son partenaire. Ainsi il était mime, vivait à Paris depuis trois ans, était né en Biélorussie et avait envie de rendre fier ses parents. Il en était presque attendrissant. Par la suite, voilà qu’elle continuait de jouer les curieuses en lui demandant pourquoi il avait décidé de quitter son pays natal pour la France. « hum » Elle l’écoutait, impatiente. J’avais… » Elle buvait chacune de ses paroles. « J’avais envie de changement, de changer d’air, peut-être aussi de vouloir reprendre ma vie… c’était un peu comme vouloir avoir une meilleure vie. » Sourire à l’appui, voilà qu’elle venait répondre : « Le changement, c’est bien par moment, mais … ton pays ne te manque parfois ? » En tout cas elle, si elle devait s’éloigner de l’Angleterre pour toujours, elle en serait tout de même assez chamboulé. Et puis laisser derrière elle sa famille, ce n’était pas comme si c’était simple dans de telles circonstances. « Et toi ? Tu viens d’où exactement ? » Il venait de se confier à elle donc elle ne pouvait pas se défiler et passer sur autre chose. Poussant un soupir, se tournant à peine pour reposer ses yeux sur le plafond, voilà qu’elle venait se dévoiler dans un murmure : « J’habite à Londres depuis ma plus tendre enfance, je vis avec mon père, enfin avec l’un de mes oncles, mais étant donné que c’est lui m’a élevé et que, je ne connais pas mon géniteur, que tout le reste est assez compliqué derrière aussi, je considère que c’est lui mon père. Sinon et bien je t’ai déjà tout dis, étudiante en journalisme, année sabbatique et passionné de voyage. » Elle préférait s’arrêter là, n’aimant pas trop parler d’elle, mais faisant un effort pour Valeri.
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MessageSujet: Re: DON'T WAKE ME UP. 19/05 à 04h40   DON'T WAKE ME UP. 19/05 à 04h40 - Page 2 EmptyJeu 23 Mai 2013 - 18:31

Valeri avait lancé cette remarque comme cela. Il ne la prenait pas pour une idiote. Après tout, elle avait fait des études, cela était donc bien une preuve d’une part d’intelligence. Oui, parce que dans notre société, les intelligents faisaient des études… et les autres n’étaient rien. Valeri faisait d’ailleurs parti de ces autres, de ceux que l’on pourrait presque juger de bons à rien. Il sait pourtant faire des choses, il n’était pas aussi bête que cela. Pas aussi idiot qu’il ne voulait le laisser paraître par moment. Alors, dans ce dialogue nocturne, il venait juste de lui rappeler de l’inexistence de tous ces objets qui nous apparaissent à présent banal, qui fut un temps semblait être une révolution. On banalise tout maintenant. Internet, le téléphone greffé au creux de sa main, le netbook que l’on transporte dans notre sac, tous ces gestes sont devenus banals, quotidiens. Elle lui disait alors être au courant. Au courant de l’inexistence de ces objets en ce temps-là. Cette remarque-là le rassura presque. Il ne manquerait plus qu’elle lui lance une réplique du genre : « ah bon ? il n’y en avait pas ? ». Il était évident que si elle lui avait dit cela, il l’aurait poussé du lit. Vraiment. Dormir avec une idiote, non merci. Elle évoqua alors l’état d’esprit de l’époque. Valeri dessina une petite moue sur son visage. Il ne savait pas vraiment s’il avait voulu connaitre l’état d’esprit de ses aïeuls communistes, qui préparaient la guerre. Elle en évoquait une d’ailleurs, qu’elle jugeait d’effroyable. « Ils en achèvent une pour en lancer une autre… » souffla-t-il évasif, tant dit que Jaileen continuait. Oui. C’était comme cela. Les conflits s’enlisaient. Ce n’était pas beau du jour au lendemain. Non. Ce n’était pas un dessin-animé qu’ils vivaient à cette époque. Valeri se souvenait des quelques anecdotes de ses aïeuls au sujet de la guerre soviético-polonaise, peu après la Première Guerre Mondiale. Elle continuait de parler. Evoquant à présent les fêtes, les cabarets, l’alcool et les fumettes. Il fronça légèrement les sourcils. « Tu… tu sais que tu peux encore faire tout ça à notre époque aussi ? Et ce, sans même te prendre la tête… » souffla-t-il dans un murmure. Il n’allait pas dire que c’était cela son quotidien. Genre, les cabarets, les soirées beuverie-fumette. Ses soirées n’avaient pas de noms. Se prendre la tête, c’était bien une chose que Valeri ne faisait pas. Se prendre la tête, se prendre au sérieux, prendre les gens de haut… tout cela ne faisait pas parti de son train-train quotidien. Finalement, la conversation dévia alors sur lui. Sur ses raisons de son départ. Du départ de son village natal, de sa famille. Pourquoi était-il parti ? Un coup de tête ? Peut-être. Ou peut-être pas. Une raison sans nom. Tout chez Valeri n’avait pas de nom, vous avez remarqué. C’est beau quand même, c’est beau cette ignorance, vous ne trouvez pas vous ? Moi, je trouve ça fascinant. Ainsi, Valeri expliqua une simple envie, un besoin de changement. Un changement, oui. C’était peut-être cela. Quitter cette ruralité pauvre, et partir. Partir ailleurs. Partir loin. Loin de ce qu’il avait été. Et de ce nouveau point d’arrivée, Paris, il l’avait quitté. Pour un jeu. Il avait quitté Paris, pour partir loin. Loin je-ne-sais-où. C’est une belle contrée l’ignorance, le je-ne-sais-quoi. Il était parti une nouvelle fois. A croire qu’il passait sa vie à partir, et à s’en aller. Une question de Jaileen le fit revenir à la réalité. Est-ce que son pays lui manquait ? Il haussa légèrement les épaules dans le noir. Après tout, il pouvait bien faire tous les gestes, toutes les grimaces qu’il voulait, Jaileen ne les verrait pas, ou presque pas. « Oui…, je suppose que c’est normal qu’ils me manquent. » souffla-t-il alors. Le manque devait certainement être un sentiment normal, un sentiment… humain, n’est-ce pas ? On manquait tous de quelque-chose. A son tour, Valeri se montrait curieux. Voulant alors savoir d’où elle venait. Parce qu’on venait tous de quelque part. Ainsi, elle venait de Londres. Londres, la capitale de l’Angleterre, les derniers Jeux Olympiques, c’est cela ? Tout du moins, ce fut ce à quoi il eut pensé lorsqu’elle lui évoqua cette ville. Elle était anglaise, et vivait avec son père… enfin son oncle. Elle ne connaissait pas son géniteur. « Tu n’as jamais voulu connaître tes vrais parents ? » lui demanda-t-il alors. Elle continua alors de parler. « Tu voyages beaucoup ? » continua-t-il, alors qu’elle venait de mentionner qu’elle était passionnée de voyages.

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