Le prime est fini, et t’es un peu déçu de voir ton pote Tiago partir. Mais c’est Fake Lover, tu savais en arrivant dans l’aventure que semaine après semaine, tu verrais des gens avec qui tu as créé des liens partir pour ne plus jamais revenir. Tu sais aussi que tu vas pas perdre contact avec certaines personnes après l’aventure, et Tiago faisait partie de ces personnes, même si t’as pas eu tant l’occasion de le connaitre à fond. Tu dois retourner dans le nid, et après avoir dit au revoir à ton ami, tu vas rejoindre la salle de bain de l’aile est qui est la plus proche, parce que ce putain de maquillage te saoule. Arrivé dans la pièce, tu enlèves tes talons, poses la perruque à côté des lavabos et commences à fouiller un peu partout. La porte s’ouvre, t’entends des bruits de pas, et tu reconnais des chaussures féminines. Parfait, c’est exactement ce qu’il te fallait. « Dis moi, tu sais pas où j’peux trouver du démaquillant ? » Tu te retournes, et tu remarques que c’est India. Merde. Tu baisses un peu la tête, t’as l’impression qu’elle est prête à partir. « Reste. », dis-tu instinctivement en relevant le regard vers elle. Tu t’appuies sur le lavabo, et tires un peu sur cette fichue robe en cuir qui te colle trop. T’as envie de l’enlever, mais vaut mieux pas, t’as réellement pas envie de la faire fuir. T’as envie de lui parler, d’arranger les choses parce que même si t’as pas digéré ce qu’elle a fait, ça te fait chier de plus lui parler, de l’éviter constamment. Et t’en as marre d’être vu comme le mec qui est dégouté de pas l’avoir comme partenaire et qui fait son susceptible. « J’suis désolé. D’avoir mis les pieds dans le plat la dernière fois et de t’avoir fait pleurer. De t’avoir peut être choqué en te faisant cette révélation aussi. D’avoir mis de la distance entre nous. » Je baisse un peu la tête, et passes une main dans mes cheveux nerveusement. « Le fait est que j’ai pas envie qu’on passe toute l’aventure à s’éviter alors que j’trouvais que le courant passait bien. Et ça me manque de pas discuter avec toi. », finis-tu en haussant les épaules, attendant sa réponse avec appréhension.

 Bon alors j'ai toujours un rituel assez rodé moi au moment d'aller me coucher, et comme il est assez tard je ne traîne pas trop. J'imagine que je ne pourrais pas me changer dans l'immédiat puisque les candidats s'activent encore. Mais je peux au moins aller me démaquiller et toutes ces choses parce que ça me fera gagner du temps. J'ai envie d'aller me coucher et voir si Ivan avait un problème durant le prime alors si je ne veux pas qu'il se soit endormi j'ai plutôt intérêt à gagner du temps. J'entre dans la salle de bain et j'aperçois quelqu'un mais je n'y prête pas la moindre attention c'est la voix qui attire mon attention. Je lève les yeux et croise ceux de Antwon. Et je pivote pour quitter les lieux. Je n'ai aucune envie de lui parler, de le voir alors ce n'est pas pour être dans la même pièce que lui. « Reste. » Je ne suis pas sûre d'en avoir envie. Mais pourtant je reste. Parce qu'après tout j'ai un peu fait la même chose la semaine dernière. Sauf que j'ai l'impression que ça n'a servit à rien donc j'ai un peu peur que ce soit pareil maintenant. Quoi qu'il en soit je reste tout de même, avec la boule au ventre et le regard fuyant. « J’suis désolé. D’avoir mis les pieds dans le plat la dernière fois et de t’avoir fait pleurer. De t’avoir peut être choqué en te faisant cette révélation aussi. D’avoir mis de la distance entre nous. » Je ne dis rien puisqu'il semble encore avoir des choses à dire. Alors je le laisse parler. « Le fait est que j’ai pas envie qu’on passe toute l’aventure à s’éviter alors que j’trouvais que le courant passait bien. Et ça me manque de pas discuter avec toi. », Je lève un peu les yeux et souris légèrement parce que finalement on a  pas discuté énormément. On a presque passé plus de temps à ne pas se comprendre et c'est particulièrement dommage. Je l'apprécie malgré tout, il est touchant, attachant et enfin bon je m'avance vers le meuble, vers mes affaires pour y sortir du démaquillant et du coton.  « Tiens il est doux pour les yeux alors si jamais tu t'en mets partout ça ne devrait pas piquer.  » Que je lui lance dans un murmure. J'imagine que ce n'est pas spécialement ce qu'il attendait comme réponse mais j'y viens il me faut juste réfléchir.  « Tu ne pouvais pas savoir, je pense que tu es le seul à qui je l'ai dit. Et j'aimerais bien que ça reste comme ça...  » Non je n'ai pas spécialement envie de le raconter à n'importe qui. Ou alors que je le fasse, enfin. Bref.  « Et tu ne m'as pas vraiment choqué, c'est simplement que c'était surréaliste, tu m'as pris au dépourvu et j'ai pris peur mais... C'est passé ? Parce que je ne suis pas... Enfin ce n'est pas mon cas, alors j'espère que je ne te vexe pas mais je ne fonctionne pas du tout de la même façon. Mais, mais j'aime bien passer du temps avec toi il ne faut pas que t'en doute.   » En tout cas j'espère qu'il n'est plus trop fâché après moi pour cette histoire de partenaires et tout ça.

Voilà, maintenant, c’est dit. T’as plus qu’à attendre le jugement dernier. T’as l’impression d’être dans un tribunal, face au juge qui va prononcer ta sanction. Tu la regardes, t’espères ne pas être condamné à perpétuité. Ou pire, à la peine de mort. Là, c’que tu veux, c’est être acquitté. C’est qu’on te dise que t’es libre, que tu seras plus derrière les barreaux. Qu’elle te dise que les barrières que vous vous étiez mis ces derniers jours allaient tomber. Parce qu’au fond, même si tu la connais pas des masses, ça te manque de pas discuter avec elle. Et limite, tu préférais quand y avait cette putain de vitre qui vous séparait mais derrière laquelle vous parliez grâce à des calepins, plutôt que cette situation pourrie où vous vous évitez le plus possible.  Même quand vous vous croisez dans une pièce, ça devient le moment le plus gênant du monde, pour une histoire de merde. Du coup, t’as lâché ton discours pour que ce malaise s’arrête. « Tiens il est doux pour les yeux alors si jamais tu t'en mets partout ça ne devrait pas piquer.  » Ok, là, tu te dis que tout est fini pour toi. Qu’elle s’en branle complètement de c’que t’as dit, qu’elle te répond poliment pour la forme mais qu’elle a pas décidé de tirer un trait sur toute cette histoire qui te pèse tellement. T’es dépité, t’as l’impression d’être passé pour un con encore une fois. Sauf qu’elle reprend la parole. Ca y est, ton cœur s’accélère. « Tu ne pouvais pas savoir, je pense que tu es le seul à qui je l'ai dit. Et j'aimerais bien que ça reste comme ça...  » T’es quelqu’un qui parle beaucoup, qui a toujours un grand besoin de s’exprimer et d’avoir des discussions avec tout le monde. T’es aussi quelqu’un qui sait garder des secrets, surtout quand c’est hyper important. T’acquiesce, pour lui faire comprendre qu’elle n’a pas de souci à se faire.   « Et tu ne m'as pas vraiment choqué, c'est simplement que c'était surréaliste, tu m'as pris au dépourvu et j'ai pris peur mais... C'est passé ? Parce que je ne suis pas... Enfin ce n'est pas mon cas, alors j'espère que je ne te vexe pas mais je ne fonctionne pas du tout de la même façon. Mais, mais j'aime bien passer du temps avec toi il ne faut pas que t'en doute.   » Au moins, elle est claire. Puis de toute manière, tu t’fais plus de films à cette heure-ci, tu sais très bien que c’est mort pour toi.  Tu hausses les épaules en la regardant, et lui fais un sourire. « Je sais que c’est surréaliste, mais j’t’avoue que j’ai toujours marché comme ça, et j’crois à fond au coup de foudre. », dis-tu pour expliquer ton cas. Tu tires encore un peu sur ta robe qui commence réellement à te saouler. « Après, t’en fais pas, j’sais très bien que c’est mort et y a pas de souci entre nous, j’me suis fait une raison. J’ai juste envie qu’on reparte de zéro. »

C'est compliqué. Tout ça c'est trop compliqué. Je ne sais pas pourquoi j'ai agis comme je l'ai fait, mais je ne comprends pas non plus pourquoi il m'a dit ça ? Comment il peut éprouver ça. Comment il peut me dire tout ça ? A moi ? Enfin bien sûr il ne me connait pas, il ne peut pas savoir comment je suis à ce sujet. Alors évidemment j'ai paniqué, j'ai pleuré et j'ai dit des choses que je n'aurais jamais pensé dire. Des choses que je ne pensais pas raconter à qui que ce soit. Je crois qu'il est le seul à qui je l'ai dit. Ouais, alors je ne sais pas s'il se rend compte. Par contre je ne comprends pas pourquoi il fait cette tête là quand je lui donne le démaquillant. C'est bien ce qu'il voulait non ? Enfin ça me donne du temps pour trouver ce que je vais lui répondre. Et je le fais, je suis super nerveuse parce que j'ai l'impression qu'à chaque fois qu'on ouvre la bouche on empire les choses. En tout cas je lui demande de garder l'information que je lui ai donné pour lui parce que je déteste en parler, je déteste qu'on me pose des questions, qu'on me prenne en pitié après ça, je déteste vraiment ça. Vraiment. Et après il faut quand même que je lui dise que je n'ai pas eu de coup de foudre, je ne veux pas le blesser mais je ne tombe pas amoureuse comme ça moi. Je peux pas. C'est comme ça. « Je sais que c’est surréaliste, mais j’t’avoue que j’ai toujours marché comme ça, et j’crois à fond au coup de foudre. » Non mais c'est bien je trouve, c'est rare les hommes qui pensent à ce genre de choses. « Après, t’en fais pas, j’sais très bien que c’est mort et y a pas de souci entre nous, j’me suis fait une raison. J’ai juste envie qu’on reparte de zéro. » Je suis un peu gênée de le voir comme ça. Et dans un geste tout à fait naturel je viens passer ma main sur sa joue, ça ne dure que quelques secondes parce que les contacts c'est toujours la même chose. « Je suis vraiment désolée. Je crois aux coups de foudre aussi, mais surtout aux âmes sœurs et, enfin je ne peux pas penser à ça... Je ne suis pas du tout dans cette optique.   » Tomber amoureuse et tout ça. Non vraiment pas. Je ne suis pas là pour ça, je suis là parce que ma soeur m'a inscrite mais rencontrer l'amour ça ne fait pas parti des plans de bases. « Oh et tu as l'air assez embêté là dedans, tu peux l'enlever ça ne me dérange pas... Enfin tu n'es pas nu ? Si tu es nu, je me retournerais...  » Je me souviens du traumatisme quand j'ai vu Cian je ne tente pas réitérer l'expérience

A la base, tu te demandes pourquoi la dernière fois, tu lui as avoué ton coup de foudre. C’est pas un truc que tu fais normalement – du moins, pas à la fille en question. T’en parles énormément à ta sœur, tu la baratines avec tes histoires jusqu’à ce qu’elle ait envie de te couper les doigts pour que t’arrêtes de lui écrire tes péripéties catastrophiques. Ouais, parce que c’est toujours une catastrophe avec toi, t’as jamais eu une relation qui s’est bien déroulé. A chaque fois, y a un truc qui merde, tu te retrouves dans une histoire des plus compliquées. Ta sœur, elle dit que t’es un aimant à problèmes avec les nanas. Et elle a pas tort. T’as un don. Ou on t’a jeté une malédiction peut être. India en était la preuve, clairement. T’es tombé sous son charme, et il se trouve que c’est une nana compliquée, et qui en plus est mariée. Bon, pour l’anecdote, t’as déjà brisé un mariage. Ou du moins, t’en as annulé un, puisque la nana devait se marier avec un mec avant de tomber sous ton charme. Là, c’est quand même différent, parce que tu t’es quand même pris un méga gros vent. Heureusement, pour toi, rien n’a été filmé ou enregistré, puisque vous étiez dans les toilettes. Sauf que là, tout le monde peut vous voir et vous entendre, et comprendre la situation. Comprendre pourquoi vous n’aviez eu aucun échange durant les derniers jours. Pourquoi on pouvait voir une certaine tension entre vous. « Je suis vraiment désolée. Je crois aux coups de foudre aussi, mais surtout aux âmes sœurs et, enfin je ne peux pas penser à ça... Je ne suis pas du tout dans cette optique. » Au moins, elle est franche, et t’apprécies ce côté-là chez elle. Au moins, elle tourne pas autour du pot pour te dire les choses. Pas comme certaines. « Y a pas de souci t’inquiète pas, c’est cool. », dis-tu avec un sourire qui veut la rassurer. Autant mettre cette histoire derrière vous et passer à autre chose. T’es venu dans cet optique de toute manière. « Oh et tu as l'air assez embêté là dedans, tu peux l'enlever ça ne me dérange pas... Enfin tu n'es pas nu ? Si tu es nu, je me retournerais...  » Tu poses ton regard sur ta tenue qui est loin d’être confortable. Putain ouais, faut que tu l’enlèves ce truc. Ca colle, c’est pas agréable. « T’en fais pas, j’ai mon boxer en dessous. Y avait pas moyen que j’me foute un string ! »Tu commences à enlever le soutien-gorge et déposes les paires de chaussettes sur le lavabo. Puis, tu te mets dos à elle, mais gardes tes yeux sur son visage. « Y a moyen que tu m’ouvres un peu la robe derrière par contre ? » Toi-même, tu fronces un peu les sourcils à cette phrase. « J’aurais jamais cru dire ça un jour… »

Il s'est vraiment entiché de la mauvaise personne, vraiment parce que je ne suis pas comme ça, je ne peux pas tomber amoureuse puisque je le suis encore, même si cette histoire est terminée. C'est un problème, je ne peux pas oublier un homme comme ça, lorsqu'un autre me révèle ses sentiments. Bon d'accord ça n'est pas arrivé récemment parce que je fais rien pour non plus mais il est clair que je n'ai pris davantage peur que ça m'a attiré tout ça. Parce que ça me semble insensé, parce qu'on ne se connait pas et qu'il se fit a une première impression. Le coup de foudre c'est bien mais autant connaître la personne pour savoir si on est compatible. Le coup de foudre c'est purement physique, ça se base sur peu de choses, des choses qui me semblent essentielles. Et il ne semble pas s'en préoccuper alors évidemment je ne peux pas lui donner ce qu'il veut, même si je ne sais pas précisément ce qu'il veut. En tout cas j'essaye de le prévenir poliment, de la manière la plus délicate possible, je ne veux pas le vexer ou le blesser, je l'apprécie beaucoup et j'aimerais bien qu'on puisse retrouver notre bonne entente. Ça s'est très bien passé lors de notre rencontre je ne vois pas pourquoi ça ne pourrait pas continuer. « Y a pas de souci t’inquiète pas, c’est cool. » Ça me rassure. Je souris, il n'y a rien d'autre à ajouter. En tout cas je lui dis que s'il veut il peut retirer sa robe, enfin qu'il ne se gêne pas pour moi. Il n'a pas l'air très à l'aise. « T’en fais pas, j’ai mon boxer en dessous. Y avait pas moyen que j’me foute un string ! » Oh bah tant mieux, moi ça m'arrange en tout cas. Je veux dire, je ne doute pas que ça ne lui aurait pas allé mais je n'ai pas spécialement envie de voir son popotin dans un string. « Oh parce que tu sais exactement ce que porte Nicola ? C'est... gênant! Et puis ce n'est pas vraiment confortable tu ne perds rien.   » Pas que je sois une grande adepte de ce genre de sous-vêtements mais j'en ai déjà porté évidemment et la sensation peut être parfois désagréable. Enfin bref, il me fait une demande plutôt inattendue. « Y a moyen que tu m’ouvres un peu la robe derrière par contre ? » Ça me fait rire légèrement alors que je le regarde à travers le miroir. « J’aurais jamais cru dire ça un jour… » Oui ça j'imagine bien. « Bien sûr. C'est aussi la première fois que j'aide un homme a retirer sa robe si ça peut te rassurer.   » Et c'est bizarre. Enfin bon voilà, il va pouvoir la retirer puisque la fermeture est baissée au maximum. « Tu es libre ! Je t'aiderais à te démaquiller après si tu veux.   » Enfin ce n'est pas une obligation mais bon ça ne me dérange pas.

N’empêche que la situation est un peu embarrassante. C’est pas tant la conversation sur votre relation qui l’est, parce que t’as réussi à passer outre vos problèmes à présent. Ce ne sont que des souvenirs lointains et tu es heureux de passer à autre chose, de tout recommencer à zéro en laissant de côté ton coup de foudre, et cette histoire de partenariat. Maintenant, vous effacez tout ça et vous recommencez. Non, ce qui est le plus bizarre, c’est que tu sois dans cette fichue robe devant la fille à qui t’as avoué des sentiments y a une semaine. Crédibilité zéro, elle te verra plus jamais comme un vrai mec là. Quoi que tout le monde t’a vu dans ton costume donc bon. Autant assumer jusqu’au bout. Par chance, elle te propose de retirer ton vêtement, et tu sautes direct sur l’occasion, parce que c’est pas du tout confortable ce truc. Tu te demandes encore comment Nicola a fait le premier soir là-dedans. « Oh parce que tu sais exactement ce que porte Nicola ? C'est... gênant! Et puis ce n'est pas vraiment confortable tu ne perds rien. » Comment passer pour un pervers sans raison. Surtout que tu sais même pas ce qu’elle porte, la Nicola, sous ses robes. S’il faut, elle porte les mêmes culottes immondes que ta grand-mère, celles qui montent jusque sous la poitrine. Non, faut pas que t’aies cette image en tête. Tu te tournes, et lui demandes un peu d’aide, parce que tu peux pas atteindre la fermeture éclair de toi-même. C’est mal fichu leur truc n’empêche, celui qui a lancé le concept devait être un mec. Forcément, elles ont besoin de quelqu’un pour retirer ce truc, et qui est le mieux placé pour le faire ? Un homme, oui. La fermeture éclair d’une robe, c’est un peu comme un préliminaire en fait. Sauf que là, c’est une femme qui dézippe la robe d’un mec. Le monde à l’envers. « Bien sûr. C'est aussi la première fois que j'aide un homme à retirer sa robe si ça peut te rassurer. » Tu préfères ne rien ajouter, laissant ce moment gênant partir aux oubliettes alors que tu laisses glisser la robe le long de ton corps. Tu la ramasses, et la poses délicatement sur un rebord. « Tu es libre ! Je t'aiderais à te démaquiller après si tu veux. » Ca, c’est une bonne idée si on veut éviter le carnage. T’attrapes des cotons et les lui tends. « Ca te dérange pas ? Parce qu’honnêtement, j’ai jamais fait ça et me connaissant, j’vais faire n’importe quoi, j’vais me retrouver avec du dissolvant ou j’sais pas quoi dans l’œil et j’vais être bon pour finir à l’hosto ! » Les catastrophes, c’est de famille, aucun des deux Dubois a été épargné, non.