MaxenceMESSAGES : 2005 AGE : 45 LOCALISATION : BRIANÇON, FRANCE ~ CURRENTLY DAMAS, SYRIA EMPLOI : REPORTER DE GUERRE CITATION : LA PIRE BÊTISE DE L'ÊTRE HUMAIN EST DE CROIRE QU'IL Y A PLUS BÊTE QUE LUI. JUKE BOX : FRANK SINATRA, moon river + LES DEMOISELLES DE ROCHEFORT, la chanson de maxence + MICHEL LEGRAND, les moulins de mon coeur + AEROSMITH, dream on + FIVE FINGER DEATH PUNCH, far from home + GOLD, ville de lumière + JOAN OSBORNE, one of us + MICHEL POLNAREFF, lettre à france + POETS OF THE FALL, war + JOE HISAISHI, mononoke hime + LINKIN PARK, leave out all the rest + STANFOUR, tired again POINTS : 39
LOVER'S LIFE CAGNOTTE: -- RELATIONS: PARTENAIRE: (MICKAEL) TEDDY
| Sujet: unpacking stuff, 04/03 à 10h37 + (becca) Lun 3 Mar 2014 - 4:39 | |
| unpacking stuff ft. Becca & Maxence
J'avais développé avec le temps cette rigueur presque militaire quand il s'agissait de faire et de défaire mon sac. L'habitude et la pratique sans aucun doute, à tel point que je parvenais maintenant à tout caser dans mon sac sans avoir besoin de réfléchir, chaque objet ayant sa place attitrée et l'ordre dans lequel mes affaires étaient empilées à l'intérieur étant réglé comme du papier à musique. Je pense qu'extérieurement je devais avoir l'air d'un maniaque, ou simplement d'un mec super organisé, mais en tout cas puisque j'avais décidé de faire de même avec mon casier dans le dressing, je pense que je pouvais concourir sans aucun mal au titre du casier le mieux rangé du nid. Rien que ça. J'avais terminé avec les fringues et les pompes, faut dire que j'avais tendance à voyager léger et que je préférais faire souvent la lessive que de trop me charger, et je cherchais donc maintenant à ranger le "surplus" ... Quelques bouquins, dont la méthode de malais qui me servait de livre de chevet depuis cinq ou six mois, ma trousse de toilette, et les clefs de mon appartement parce que oui, aussi bizarre que cela puisse sembler je ne m'en séparais jamais, quelque soit l'endroit du globe où je me trouvais. C'était comme un grigri, un lien inconscient avec ce chez-moi où je n'étais que trop peu souvent. Mon sac n'était pas entièrement vide, j'avais laissé quelques trucs au fond pour diverses raisons, et je l'avais aplati tout en bas du casier, que j'avais refermé tout en faisant attention à ne pas coincer accidentellement une patte ou la queue du chat qui trainait entre mes jambes depuis dix bonnes minutes. « T'es vraiment pas une aventurière toi. » que j'avais même fini par lui adresser d'un ton amusé. Parce que fallait bien avouer qu'avoir quatre étages et des extérieurs pour se dégourdir les pattes et passer son temps dans les miennes, ce n'était pas que la preuve que cet animal était plus froussard que téméraire. Mes réflexions à sens unique, puisque je n'avais pas sincèrement espoir d'entendre l'animal me réponse, furent en tout cas interrompue par le grincement de la porte qui reliait le dressing à la salle de bain. Et par là était arrivée une rouquine dont le nom de me revenait pas, là tout de suite ... Je n'avais pas encore vraiment eu le temps de me pencher sur ceux que je n'avais pas retenu depuis avant-hier soir, à vrai dire « Désolé tu veux la pièce peut-être ? J'avais fini de toute façon. » lui avais-je en tout cas demandé tout en faisant déjà un pas vers la sortie. J'avais pas envie de me sentir de trop dans la pièce si elle avait prévu de se changer, par exemple, hm. Et puis, je pouvais bien attendre un autre moment pour lui demander son prénom au pire des cas, ce n'était pas comme si nous étions tous coincés dans le nid pendant au moins une semaine, après tout, ahah. |
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