Logiquement, tout le monde devait se retrouver dans cette… Cellule, après la première soirée. Gael avait demandé de faire passer le mot, au sein de son équipe, pour que les candidats se retrouvent ici le plus rapidement possible. Elle était arrivée la première, bien sûr, et son regard voyageait entre les graffitis et autres inscriptions sur les murs. L’idée même de devoir passer une nuit ici ne l’enchantait pas, alors plusieurs… Elle eut un léger frisson (d’horreur) et fut soudainement ravie d’avoir une équipe avec qui passer les nuits ici. La brune sourit à la première personne qui entra dans la pièce. « Bonsoir. » Elle se voulait avenante, Gael. Ces gens étaient ses co-équipiers, ceux sur qui elle pouvait compter cette semaine. Ceux sur qui elle devait pouvoir compter, tout du moins. La lumière était revenue depuis peu, et elle se doutait bien que tout le monde voulait explorer les environs mais elle tenait à ce qu’ils se voient tous avant. Avant même de dormir, oui. Gael attendit encore un peu et quand tout le monde fut là, elle regarda autour d’elle. « Honnêtement pour les lits : je m’en fou. Vous pouvez prendre celui que vous voulez. Si y’en a qui vont souvent aux toilettes pendant la nuit, je propose qu’on leur garde les lits près de la porte. » Question de logique. « Bref… Moi c’est Gael, pour ceux à qui je ne m’étais pas encore présentée.  J’ai 26 ans et je viens de Chicago. » Elle regarde tout le monde. Gael n’aime pas spécialement diriger des inconnus. Elle pensait que ça ne serait pas difficile, mais là, elle ne les connaît pas du tout. Même pas un peu, elle n’a pas su lire un dossier ou quoi que ce soit avant. « Je suis aussi paumée que vous, je ne sais pas en quoi consiste ce rôle et personne ne m’a demandé de le faire : on me l’a juste donné. » Elle préfère mettre les choses au clair, aussi. « Je pense qu’on peut commencer par se présenter ? La base hein, je ne vous demande pas de nous raconter toute votre vie… » Et sur ce, elle s’installe sur le lit derrière elle, faisant de celui-ci le sien, sans doute, mais elle s’en fout : si quelqu’un le veut, elle peut le lui donner.

La première soirée en enfer touchait à sa fin. Il était pour nous d'aller nous coucher. Je suivais les membres de mon équipe facilement reconnaissable par la fait qu'ils étaient, comme moi, les premiers à mettre les pieds dans la prison. Niveau pieu, je n'avais jamais été très compliqué, un bout de matelas me convenait très bien. Ainsi à la fin du speech de notre chef d'équipe, je prenais à mon tour, la parole.

Bon bah moi, c'est Zélie. 26 ans moi aussi. Je suis parisienne.

Que dire de plus ? Pas grand-chose, je faisais le tour des différents lits en choisissais un et me calais dessus tranquille. Puis continuant de regarder le reste de l'équipe :

Je prend ce lit, mais bon si quelqu'un le veux. Je veux bien le donner sans soucis, je ne suis pas regardante sur ce genre de détails.

Mon regard balayait l'assemblée. Des visages tous plus ou moins sérieux. Afin de ne pas les choquer à l'avenir. Je me permettais malgré tout de préciser :

D'ailleurs, si certain d'entre vous ne l'avais pas remarqué. Je suis quelqu'un d'assez.. libre. Par conséquent si mes dires vous choque, n'hésitez pas à me le dire. Je ne voudrais pas que notre futur cohabitation soit mis à mal par mes manières un peu… particulières.

Oui, j'étais une sans gêne. Mais, comme tout les êtres humains, j'avais mes limites. Je savais me contrôler pour ne pas blesser ou choquer involontairement quelqu'un. On avait pas tous les même manières, les même habitudes et ce genre de jeu était en grande partie, là pour ça, nous apprendre à vivre avec les autres.

Une team ? Ok, ok, c'est cool, moi j'aime bien. Parait-il. Non en fait j'en sais rien, tout ce que je sais, c'est que j'ai eu le temps de les voir quinze secondes tout à l'heure, assez pour savoir qui était avec moi et qui ne l'était pas déduction pas. C'était un bon début non ? C'était une petite brune qui nous dirigeait, elle avait l'air d'avoir du peps alors je trouvais ça plutôt encourageant, de toute façon, j'avais pas franchement l'âme d'un leader alors au final, c'était bien que ça soit tombé sur quelqu'un d'autre. En général, j'étais plutôt du genre à me la jouer solo d'ailleurs, mais ici, ça n'était pas comme si j'avais particulièrement le choix de toute façon. Il devait être tard lorsque notre chef nous convoqua jusqu'à nos appartements. Ouais, appartements, j'aime bien ce mot, ça fait un peu fancy quoi, bien mieux que "cellule", ça c'est carrément flippant. Et puis, j'vais me retrouver dans la même que celle qui voulait nous je cite "enculer" alors autant vous dire que je préférais me rassurer comme j'le pouvais jusqu'ici. « Hey. » lâchais-je en tapant dans la main de ma chef (@gael) sans trop savoir moi-même pourquoi. C'était cool de faire genre j'suis pote avec le leader, vous voyez ? Gael donc, 26 ans, Chicago, c'était noté. Demain j'aurai oublié je crois bien, mais ça, c'est parce que j'ai une mémoire super sélective. Elle parlait de répartition des lits, et comme à mon habitude, je me perdais dans mes pensées, préférant analyser ce que je voyais des murs. Moi, du moment que j'avais un pieu, c'était bien tout ce qui m'importait. Elle nous disait être paumée, et ne pas savoir ce qu'elle fout là en gros. « Ah bah cool, vachement rassurant. On voit que t'as le rôle de big boss dans la peau toi. » riais-je quelque peu, pas franchement sérieux. Parce qu'il valait mieux rire de toute cette situation d'après moi. L'autre brune se présentait à son tour, Zelie, vingt six ans, blabla. « Grey, pareil, agent de police, et hm... j'habite au Canada. » Hyper passionnant. « Et pour ce que ça vaut, je vais prendre le lit dans l'angle. » C'était stratégique voyez-vous. Il était ni trop loin, ni trop près de la porte, aussi si des zombies venaient attaquer notre cellule, ils mangeraient d'abord les lits d'avant, et pendant ce temps, j'aurais une chance de m'échapper. Je sais, je sais.

Autant l'admettre tout de suite, le travail d'équipe n'est pas son fort. Il est bien meilleur seul qu'en groupe, peut-être parce qu'on lui a toujours appris qu'il devait réussir par et pour lui-même. Maintenant, il a Mei à qui penser, et Arthur avec qui travailler en équipe, mais quand on aime les gens de tout son cœur, ce n'est pas vraiment du travail. C'est plus un défi. Et Lloyd aime les défis. Son job est ultra-compétitif, les avocats qui sont à son niveau n'ont qu'une envie devenir deputy. Parce que la paye est meilleure, les affaires à défendre en cour sont meilleures et surtout, surtout on n'est plus en bas de l'échelle. Alors devoir travailler main dans la main avec des inconnus n'est pas tout à fait inscrit dans son adn. Mais il n'a pas le choix alors il fait de son mieux. Quand @Gael se présente il ne peut retenir un « Chicago en force dans la team Rowan ! » Parce qu'il est fier de sa ville d'adoption, celle qui le voit grandir tous les jours, mais il finit par se rendre compte que c'était peut-être un peu trop patriotique. Suivent, Zélie la cochonne, Grey regard d'acier et Lawrence pour qui il n'a pas encore trouvé de surnom mental mais qui ne perd rien pour attendre. Devant le court silence qui s'impose il décide que c'est à son tour de faire son introduction. Ça va devenir vite lassant de répéter tout le temps les mêmes choses, mais c'est un peu comme à la fac les premières semaines, ou comme au boulot le premier jour. « Moi c'est Lloyd-Snö, vous pouvez m'appeler Lloyd ou Snö, ou LS... bref je suis comme un chien tant que je me reconnais je réponds. » Et je remue la queue, a-t-il failli ajouter avant de réaliser que c'est le domaine de Zélie ça. « Ah est j'ai vingt-six ans et je vis à Chicago. » Parce que oui, c'était nécessaire d'ajouter son âge et sa provenance. Une pensée lui vient d'un coup. Gael et lui se sont peut-être déjà croisés, ils vivent dans la même ville, ont le même âge. Les coïncidences sont presque trop nombreuses pour être vraies. Et pourtant, elles le sont. Dans la multitude de personnes ayant participé aux castings, les deux candidats âgés de 26 ans, venant de Chicago finissent dans la même équipe. Mindblowing. « Moi ça me va. Je prends celui du bas si ça te dérange pas. J'ai tendance à mettre pas mal de temps à m'endormir et si tu dors et que je dois escalader pour atteindre ma couchette ça risque de pas être pratique. » répond-il à @Lawrence -ayant conscience qu'il parlait beaucoup trop ce soir-, content de ne pas avoir hérité de la couchette voisine de celle de Zélie. Se faire enculer par une fille, ou dormir sous la menace d'un tel sort, très peu pour lui. « @Grey, @Zélie, en tant que non-américains, vous pensez quoi de Trump notre futur Président adoré ? » Ne lui demandez pas pourquoi. Ne lui demandez pas comment. Ne lui demandez pas dans quel monde il pense que c'est un bon sujet de conversation avec des inconnus. Il avait juste besoin de faire vivre la conversation ou d'aller se coucher. Et il n'allait pas aller se coucher maintenant alors...

Moïra s'était vraiment sentie toute seule au moment de rejoindre la cellule qu'elle partagerait avec son équipe pour la semaine, pourtant les autres faisaient un boucan monstre dans les couloirs. Elle se sentait mal à l'aise, elle n'avait plus de points de repère et avait l'impression d'être la seule dans ce cas. Elle était, semble-t-il, la dernière à prendre part à la petite réunion de la team Rowan, mais était arrivée juste à temps pour entendre la petite chef se présenter. Elle ne saurait pas retenir autant de choses sur autant de personnes différentes en une nuit, quoi que leurs âges étaient plutôt similaires, excepté dans son cas et celui de @Lawrence. Elle avait d'ailleurs tiqué. Est-ce qu'il venait de se tromper sur son âge ou est-ce qu'il faisait bientôt un an de plus ? Elle hésitait à demander, surtout qu'il lui semblait plutôt abrupt. Elle lui trouvait de grands airs. Il l'agaçait un peu, et sa remarque à l'égard de Gael aussi. « Oh, "camarade"... je pensais qu'on était en prison, pas à l'armée. » S'étonna-t-elle dans un sourire pincé en se passant la main dans les cheveux. Parfois elle faisait cela quand elle était énervée, mais elle n'aurait su dire si c'était à cause d'eux, et surtout du terme employé, ou du début de soirée tout entier. Elle aurait mieux fait d'aller se coucher tout de suite, mais ç'aurait été un peu grossier, et puis les lits n'avaient pas fière allure. Quand Jade eu finit de se présenter, très rapidement, elle pris la parole à son tour, un sourire de circonstance aux lèvres. « Moi c'est Moïra, j'ai trente-deux ans et je suis de la région. » D'Irlande, de Dublin, enfin s'ils n'avaient pas compris ce n'était pas bien grave. Elle n'avait pas dit ce qu'elle faisait dans la vie, c'était involontaire mais elle trouvait qu'elle avait bien fait, parce qu'ils devaient s'en moquer comme elle se moquait de leur profession vu l'heure qu'il était. La question de @Lloyd-Snö lui était parvenue aux oreilles, comme à celles des autres vu la taille de la pièce. Elle lui souriait poliment. « Je pense qu'on devrait éviter le sujet pour l'instant. » Elle ne disait pas cela pour l'offenser, c'était vraisemblablement de l'humour, mais il y avait tout de même risque de conflit entre les membres de l'équipe qui ne devaient pas tous avoir les mêmes opinions sur la chose, et ce n'était peut-être pas le meilleur qu'il puisse arriver pour ce premier soir. Et elle était allée se percher sur un lit, celui du haut évidement, parce qu'elle  doutait de la qualité du mobilier et elle préférait de loin qu'un autre qu'elle meurt écrasé.

Tout se passe assez rapidement. Zélie entre à sa suite et se présente. Elles ont le même âge, mais Gael a l’impression d’être plus âgée, peut être parce qu’elle a l’impression d’être plus mature, aussi. Puis c’est Grey qui entre, et il lui tape dans la main. Gael lui sourit, elle aime bien ce genre d’esprit ! Gael allait répondre, quand ce fut encore un autre, Lawrence, qui entra. Tous ces noms, ça faisait déjà pas mal, mais Gael prenait garde à bien les retenir. Sa réflexion ne lui semblait pas tout à fait bien venue, elle haussa un sourcil. « Je n’ai pas l’ambition de commander une bande d’adultes que je ne connais même pas. C’est peut être mieux de donner le "pouvoir" - Gael mima des guillemets avec ses doigts - à ceux qui ne le veulent pas absolument. » Siffla-t-elle presque à son insu. Elle pouvait être gentille, mais elle n'était pas exactement un paillasson. Bref, la jeune femme reporta son attention sur Lloyd, le gars qui venait de sa ville et qui avait son âge. Tout allait vite, la brune les regarda tous les uns à la suite des autres. « Je suis contente de vous rencontrer ! » Et c’était vrai, elle avait d’ailleurs un sourire au bout des lèvres. « Je suis assez d’accord avec Moïra, évitons de parler de politique. Et surtout de Trump. » Qu’est-ce qu’elle pouvait le détester, lui… « Je ne sais pas pour vous, mais pour moi avoir l’esprit d’équipe est important. C’est la seule manière d’arriver à notre but ici : tous intégrer la prochaine saison de Fake Lover. Peut importe si il y en a certains qu’on apprécie moins, on est une équipe et on ne doit pas se tirer dans les pattes. » Elle promena son regard sur l’assistance, le posant un peu plus longuement sur Lawrence que sur les autres. Ils les intriguaient tous, et généralement Gael essayait de ne pas se faire une opinion trop rapidement. « J’espère que vous êtes du même avis. Vous n’êtes pas obligés de me suivre. Tu l’as dis toi-même, Lawrence : ça se mérite. Mais comme ça vous savez à quoi vous en tenir. Ce sera vous d’abord, et les autres n’auront qu’à faire de même. » Pour elle, la compétition et l’esprit d’équipe, c’était dans son sang, ancré en elle. Elle adorait jouait, et gagner était la plus exaltante des récompenses.

Les autres membres de l'équipe avaient fait leurs entrées les uns après les autres. Rapidement, après c'être présenté chacun notre tout, des conversations divers et variées c'étaient lancées. Dont une sur la politique américaine et en particulier Donald Trump. On me demandait mon avis sur la question et même si j'étais d'accord avec les filles sur le fait que ce n'était pas forcément le moment de parler de cela, je me devais de donner quand même mon avis :
Donald Trump, a le don de m'irriter au plus haut point. Mais ne nous lançons pas sur des débats inutiles et recentrons nous sur l'essentiel.
Je m'installais sur mon lit, un lit superposé que je partagerai donc avec une brune de Moïra puisque c'était elle qui avait pris place au-dessus de ma tête. Gael reprenait alors la parole, j'étais absolument d'accord avec elle et je tenais à le faire savoir.
Je pense comme Gaël. On est tous différents, on a tous nos caractères propres mais un objectif commun. Être sélectionnés pour l'aventure et faire honneur à notre équipe. Je pense donc qu'il serait bien qu'on liste ce qu'on sait faire, les domaines de compétences dans lesquelles on pourrait se révéler, si besoin, utile.
Je descendais du lit et avançait au milieu de la cellule.
On doit faire avancer tous ensemble notre équipe. Si l'un d'entre nous traine la patte ou fait preuve de mauvaise volonté, on risque rapidement de se faire dépasser par les autres. On doit montrer notre motivation si on veut passer dimanche. Je ne vous connais pas encore très bien, mais je suis sûr que vous en êtes capable.
C'est bon j'avais tenté d'haranguer les troupes : c'était ma BA de la soirée. Maintenant, il ne me restait plus qu'à voir si cela allait porter ses fruits ou pas. On était une belle bande très hétéroclite, mais j'étais sûr qu'on pouvait se trouver des terrains d'entente. Il nous suffisait pour cela, de faire quelques efforts.

La discussion le lasse assez vite, parce que Lloyd-Snö n'est pas vraiment un bon coéquipier au naturel et surtout parce qu'il ne voit pas le but de celle qu'ils entretiennent à cet instant. Gael semble prendre les mots de Lawrence très à cœur, elle s'attarde vachement sur ses paroles sans que Lloyd n'y voit de raison particulière. Lui, la guerre d'ego ça l'ennuie, presque autant que ménager les sensibilités. Alors il se tait, si certains ont envie de faire un concours sur la taille de leur organe, il veut bien être spectateur mais ne comptez pas sur lui pour baisser son bas de combinaison. Quand @Moïra décide de ne pas répondre à sa question sur l'idiot du village qui pollue l'espace politique américain, Lloyd hausse les épaules. S'ils veulent s'enfoncer dans des conversations sur qui commande ou sur l'esprit d'équipe qu'il trouve un peu surfaite il ne va pas faire de résistance. C'est à ses yeux une occasion manquée de se réunir autour d'un sujet fédérateur : l'idiotie d'un homme détesté. Tant pis. Les autres font de même, Gael d'abord et puis Zélie. La Zélie elle est mignonne, « recentrons nous sur l'essentiel » qu'elle dit avant de déverser sur eux un flot de banalités infini. La fille parle comme s'ils étaient en terre hostile, comme s'ils risquaient de mourir de faim, de soif. « Ce qu'on sait faire ? Les domaines de compétences ? On va être nourri, mal probablement mais nourri quand même, on est surveillé par des caméras, rien ne peut nous arriver. Je crois pas qu'on ait besoin de passer en mode commando. » fait-il avec un sourire amusé. Les gens ont dont de faire une montagne de pas grand chose. Si la Zélie avait été dans les abysses de la saison précédente, elle aurait été super à l'aise, une vraie survivante. Mais, alors que Lloyd-Snö pensait qu'elle avait fini son laïus, la meuf se relance dans un discours... visant à les motiver peut-être ? Lloyd déteste être celui qui casse l'enthousiasme de ses camarades, mais ils en font des tonnes là. Il lui dirait bien que lui, il n'a pas besoin de faire d'effort pour « passer dimanche » mais ce n'est pas la question. Juste parce qu'il est déjà sélectionné, il ne va pas passer une semaine à ne rien foutre. « Tu serais pas coach de vie pas hasard ? » qu'il demande en faisant référence à la façon dont elle essaye de galvaniser, sans grande réussite à son avis, la foule. Il a trouvé un surnom pour elle. Iznogoud. Celle qui voulait être chef à la place de la chef. Reportant son attention sur Gael qui leur avait fait une déclaration presque touchante et qui pour le coup s'avérait vraiment motivante. Preuve que la production ne s'est pas trompée en la choisissant. « Moi je te suis Gael, ça me va parfaitement que tu sois en charge.  » Il a un lit, près de Lawrence ce qui n'est pas la position la plus dégueulasse de la cellule, une équipe qui semblait prête à en découdre. Il est plutôt satisfait.