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 love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.

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Connor
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MessageSujet: love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.    love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.  EmptyLun 20 Fév 2012 - 5:05

feat Sixtine

Il m'arrivait souvent de sortir des choses ahurissantes de ma bouche, comme ce que j'avais pu sortir à Sixtine lors du prime. Un truc du genre, vient dormir avec moi ce soir, je te ferais oublier ton partenaire en un rien de temps, avec moi c'est du lourd. D'accord peut être que si j'avais énoncé les choses de cette façon, elle ne serait pas étendu à mes côtés, simplement parce qu'elle l'avait choisit. Et non parce qu'un bébé en couche culotte, le destin ou une connerie du genre, lui avait imposé. Stupide, con, abruti. Adolescent, c'était exactement le mot que je cherchais. Dans ce lit, je suis revenu à l'âge ingrat et il y a cette jolie fille étendue dans mon lit, qui me plait mais que je n'ose pas touché parce que j'ai de l'acné sur le visage, un sourie d'enfer et ce petit duvet sur le menton qui me donne l'air plus stupide qu'autre chose. Sauf qu'en réalité, je suis proche de l'image que je me fais de Franckie que de la mienne. Je souris, chassant ces idées de mon esprit, mes yeux se sont habitué à l'obscurité, alors je distingue sans mal la silhouette de Sixtine qui par chance n'a pas revêtit le caleçon de Ruben. Elle est calme, ses cheveux en bataille lui obstruent le visage, délicatement, je replace les quelques mèches de cheveux, découvrant ainsi son visage. Mon sourire s'élargit, ses traits sont détendues, elle semble presque fragile ainsi, que s'en est presque déconcertant. Je réalise soudain que mes doigts continuent de courir sur son visage, doucement lorsqu'elle se met à remuer. Pris de panique, je n'ose même pas bouger de peur de la réveiller. Mon visage se crispe légèrement, merde ! Elle se réveille. Ma main, en l'air, j'ai l'air d'un gosse qui aurait été prit en flagrant délit de vol dans une boutique de friandise. Une chance qu'il fasse nuit, mon visage doit être aussi rouge que les fesses de Paris Hilton sous un soleil de plomb en plein moins d'Aout à Hawaï. J'évalue la situation durant une demi seconde, hésitant entre me la jouer, mec cool qui tripote en toute impunité ou, adolescent en fleur. « Salut, bien dormi ? Enfin c'est pas le matin là, donc tu peux te rendormir si tu veux. » Je murmure, j'essaye de me la jouer, moi, cool en somme sauf que je ne récite plus que je ne parle. C'est con. Et puis je me reprends, quitte à réellement passer pour le con. « C'est bon tu m'as eu, je tâtais le terrain, j'étais tenté de commencer directement par les seins, mais quitte à me prendre une baigne, j'préfère que tu sois totalement consciente. » Ok, là, elle doit me prendre pour un barge, enfin je suppose que c'est déjà fait de toute évidence.
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Sixtine
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MessageSujet: Re: love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.    love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.  EmptyLun 20 Fév 2012 - 14:37

J’ai bien du mal à trouver Morphée, même si un observateur attentif pourrait imaginer le contraire. Etre allongée aux côtés du Cro-Magnon n’est pas une mince affaire, alors que ça fait près d’une semaine que je lui pourris ses nuits. Je reste immobile à fixer le plafond comme la première fois, et pas pour éviter de le réveiller par des coups répétés. Je me sens comme une jeune fille en fleur dont les hormones s’éveillent pour la toute première fois, et qui se trouve particulièrement émoustillée par la promiscuité de cette situation. J’ai envie de parler pour rompre ce malaise, de lui balancer une vanne, n’importe quoi. Cependant je reste silencieuse, soufflant entre mes lèvres. Oh mon dieu, un garçon dans mon lit et voilà que j’en perds mon latin. Je lorgne une bonne centaine de fois vers sa silhouette du coin de l’œil, tournant vivement mon regard dès que je sens qu’il bouge, de crainte de croiser ses yeux clairs. Une vraie gamine. C’est ridicule, parfaitement pathétique. De fil en aiguille j’en viens à m’énerver, et j’ai juste envie de lui coller une claque en espérant que ça me calmera. Sauf que ça serait parfaitement inutile, j’en suis convaincue. Au bout de quelques heures mes paupières se ferment enfin, pour m’accorder quelques minutes d’un repos bien mérité. Désormais je suis paisiblement endormie, et pour une fois j’ai l’air d’une candidate ordinaire. Pas de rêve étrange où je suis poursuivie par un Babibel géant, pas d’agitations nocturnes susceptibles d’assommer ce pauvre Connor qui s’est généreusement dévoué afin de prolonger notre partenariat de la semaine, pas de grimaces disgracieuses. Ma poitrine se soulève au rythme d’une respiration régulière, mes lèvres légèrement entrouvertes, et je tourne doucement ma tête de temps à autres. Aucun mouvement brusque, rien d’imprévisible. Je pousse un petit grognement dans la quiétude de la nuit, ouvrant les yeux après quelques battements de paupières difficiles. Je plisse mon nez, distinguant une forme au dessus de mon visage, suspendue dans les airs. Je panique une fraction de seconde, m’enfonçant dans mon coussin pour échapper à cette chose qui plane impunément au dessus de moi, cependant je me rends rapidement compte qu’il s’agit d’une main humaine. En suivant les courbes dans l’obscurité, je tombe évidemment sur le visage de mon compagnon nocturne que j’interroge du regard. Une mèche de cheveux glisse sur ma joue tandis que je me tourne vers lui. Il est en train de me caresser, là ? Genre, pendant que je dors paisiblement ? Oh la honte. Il doit avoir envie de s’enterrer six pieds sous terre, mais comme d’habitude il agit comme si de rien n’était. « T’étais en train de me mater dans mon sommeil comme un vieux pervers là ? » J’esquisse un sourire espiègle, histoire de bien enfoncer le couteau dans la plaie, pouffant quelques secondes. Je me redresse légèrement sur le lit, appuyant un coude sur mon coussin afin de relever mon buste. Je remercie la lumière du jour de ne pas encore filtrer à travers les fenêtres, je suis encore moi-même pour quelques heures. Jolies fesses tente de se rattraper, m’affirmant qu’il n’avait pour unique but que de me sauter dessus après une inspection en bonne et due forme. « Oh, alors si tu t’es gentiment proposé pour veiller sur mon sommeil, c’est en fait pour me peloter pendant la nuit ? » Je prends un air offusqué, ignorant s’il parviendra à saisir la nuance dans la pénombre. Je l’imagine mal glisser ses doigts sous mon t-shirt pendant que je dors, mais puisque c’est ce qu’il prétend, jouons le jeu. « Ben te gêne pas, je suis consciente maintenant. » Je sais, je suis détestable. Mais c’est lui qui s’est collé le masque de l’ignoble tripoteur. J’appuie ma joue sur la paume de ma main, glissant mes autres doigts sur ma hanche. J’attends innocemment, en me demandant jusqu’où il est prêt à aller pour ne pas avouer qu’il était simplement en train d’effleurer mon visage comme un adolescent transi. C’est là que je me dis qu’en fait je ne le connais pas vraiment, et que si ça se trouve je suis carrément en train de me faire mes films. C’est peut-être un violeur en puissance que je viens de provoquer, et mon sourire disparaît rapidement à cette pensée. Oh punaise, c’est vrai que j’ai le chic pour me mettre dans des situations inconfortables.

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MessageSujet: Re: love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.    love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.  EmptyMar 21 Fév 2012 - 17:32

J'aurais dû me douter que d'apercevoir un truc, ma main en l'occurrence au dessus de sa tête allait la faire flipper et ce n'était pas manqué. Je me crispe d'avantage, mais quel abruti, si je reste silencieux, à l'intérieur c'est tout le contraire. Je hurle, m'insulte, et mon coeur s'emballe, il cogne contre ma poitrine à une vitesse folle, j'ai presque l'impression qu'elle va finir par le voir tant il est virulent. J'suis trop jeune pour faire un arrêt cardiaque, surtout pour ce genre de raison. Je mors l'intérieur de la joue, juste pour m'éviter de dire une connerie que j'en ai le goût acre du sang qui doit y couler, dégueulasse. Et pourtant, je sors une réplique digne ... De moi. Et merde, j'aurais envie de m'assommer à l'instant, juste pour avoir osé ouvrir la bouche. Impossible de faire demi-tour à présent. « Pris en flagrant délit. » Je hausse les épaules et souris tel un véritable petit pervers pour lequel je me fais passer, et puis parce que j'ai toujours la main au dessus d'elle, je décide de la passer mine de rien dans ma chevelure. Elle se redresse, nous sommes à présent dans la même position. J'ai envie de sourire face à sa remarque, mais n'en fait rien. Par chance, elle ne m'a pas filé une baigne et en profite même pour me taquiner, ou du moins c'est de cette manière que je le perçois. « Tu ne crois tout de même pas que j'essayais d'être gentil ! Depuis qu'on s'est embrassés dans le jacuzzi, je n'attends qu'une chose : Recommencer, voir plus si affinité. » Adieu adolescent transi au coeur léger, bonjour type sûr de lui à l'esprit malsain. Je suis loin de me douter de ce qu'elle comptait me proposer par la suite, j'ai envie de l'égorger à cet instant. Si bien que j'suis à deux doigt d'arrêter mon cirque et de tout lui avouer, mais en même temps, comment refuser le jeu ? Aller plus loin, encore, toujours plus loin quitte à me brûler les ailes. J'inspire profondément et finis par faire glisser ma main le long de sa hanche, doucement. J'arrive à capter son regard malgré la pénombre de la chambre, je souris plus intensément, et laisse mes doigts glisser sur son ventre, faisant le tour de son nombril. Je m'approche légèrement mon visage du sien, j'arrive à sentir son souffle s'écraser contre mes lèvres. Je laisse ma main remonter légèrement, soulevant son tee-shirt. « Tu veux peut être que je m'arrête là, c'est peut être trop pour toi ? » Dis-je dans un murmure, mes lèvres effleurent les siennes lorsque je parle, je me recule quelque peu et me repositionne sur mon coude, sans ôter ma main de dessous son tee-shirt. Mon sourire persiste même si quelque chose me dit qu'il ne va pas tarder à s'effacer.
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Sixtine
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MessageSujet: Re: love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.    love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.  EmptyMar 21 Fév 2012 - 21:51

Cro-Magnon décide de jouer, de tester mes limites. Aventure-toi petit Connor, si tu l’oses. Il caresse impunément ma hanche, pénétrant en territoire interdit avec légèreté. Je ferme les yeux un instant en me mordant la lèvre, ravalant un soupir provoqué par un simple contact. Décidément, il a le don de me rendre folle, dans tous les sens du terme. Je ne bouge pas d’un cil lorsque sa bouche vient à la rencontre de la mienne, lorsqu’il soulève mon t-shirt pour redessiner le contour de mon nombril, lorsqu’il cesse en suggérant d’aller trop loin. J’éprouve le désir de protester. « Pas assez. » Un autre chuchotement qui brise le silence, accompagné d’un sourire malicieux. Je fais glisser mes doigts sur sa nuque, obligeant son visage à se rapprocher du mien afin de sceller à nouveau mes lèvres aux siennes. Je me colle contre son corps, recouvrant ses hanches de ma cuisse, tandis que je retrouve cette délectable sensation qui me traverse le corps. Un frisson remonte le long de mon dos pendant que ma langue aventureuse recherche sa jumelle, ma main se refermant sur ses cheveux bruns. Mon sang devient une lave brûlante qui enflamme chaque partie de mon corps affamé de lui, de ses caresses, de ses baisers. Je le fais basculer en arrière, me plaçant à califourchon au dessus de sa silhouette, mordillant doucement sa lèvre. J’ai envie de rester comme ça pour le reste de la nuit, j’ai envie de poursuivre cette étreinte au-delà du raisonnable, d’arracher la dernière barrière de vêtements entre lui et moi. Mais à la place, un bruit retentit dans la pénombre : PAF ! Une belle gifle bien sèche sur sa délicieuse petite joue. Mes doigts claquent dans l’obscurité, laissant certainement une trace rouge dans leur sillage. Quoi, il ne pensait pas que ça allait être aussi facile, si ? Ca aussi, j’en ai envie, et je suis bien heureuse d’être encore Sixtine pendant quelques heures, afin de torturer son pauvre esprit. Je suis parvenue à faire d’une pierre deux coups. Répondre à mes désirs primaires, et les empêcher de prendre le dessus. Le cercle des hormones en chaleur anonymes serait fier de moi. Je m’écarte du jeune homme, ancrant mes yeux bleu dans son regard que je distingue désormais clairement dans l’obscurité. « Bon, maintenant que j’ai ton attention on va pouvoir passer aux choses sérieuses. » Pour ceux qui imaginaient que nous en étions aux choses sérieuses, c’est bien mal me connaître. Je ne suis pas là pour m’envoyer en l’air au milieu de la nuit, du moins pas encore, j’ai d’abord un interrogatoire minutieux à mener pendant que je le tien entre mes griffes de lynx. S’il croit s’en sortir à si bon compte, il se fourre le doigt dans l’œil jusqu’au coude. J’aurais pu aussi bien rentrer dans son jeu et espérer des confessions sur l’oreiller, mais je suis davantage du genre bourreau qu’amante mielleuse. En plus ça aurait été l’utiliser, et je suis franche avant d’être fourbe. Je glisse mes mains sur ses poignets que je maintiens au dessus de sa tête, rapprochant mon visage du sien tandis que quelques mèches blondes caressent son front. Je relâche une main, faisant courir mes doigts sur sa tempe, la massant doucement. « C’est quoi ces maux de tête bizarres, et cet air de zombie lors de notre soirée en amoureux ? » Je ne le crois pas malade, genre grippe ou rhume passager. Aussi je m’interroge sur cette particularité qui m’inquiète autant qu’elle m’intrigue. Ce n’est pas la seule question qui me taraude à son sujet, et je ne suis pas décidée à rester dans le flou. Quoi, je ne couche simplement pas avec n’importe qui, c’est normal de faire une petite enquête avant, non ?
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MessageSujet: Re: love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.    love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.  EmptyMer 22 Fév 2012 - 12:00

Le jeu est délicieux, il dépasse même mes espérances et de loin. Je suis tellement persuadé de me faire rembarré d'un instant à l'autre que j'ai du mal à réaliser ce qui se produit. J'suis en plein rêve, oui c'est ça, j'rêve. Je fantasme c'est sûr. Pourtant, tout semble si réel, ses mains dans mes cheveux, son corps collé au mien, sa peau si douce et brûlante de désir. Je le ressens aussi, elle m'obsède, je veux plus, encore plus. J'ai envie d'elle, plus encore lorsque nos bouches se retrouvent à nouveau. Nos langues se cherchent, se trouvent, s'entrechoquent en harmonie. Elle s'est retrouvé rapidement sur moi, ce n'est pas pour me déplaire, de cette manière, je peux laisser mes mains continuer leur route sur son corps brûlant. Son échine, ses hanches, sa chute de rein, rien n'était laissé pour compte. Elle menait la danse, et en un sens, je m'en foutais royalement, mes muscles se tendaient à l'extrême à chaque contacte de sa peau. Je m'apprête à relever son tee-shirt doucement, pour la sentir d'avantage contre moi, jusqu'à ce qu'elle me gifle ! Je reste interdit pendant quelques minutes, imaginant à une divagation étrange de mon esprit, jusqu'à ce que ma joue devienne douloureuse. « Garce ! » Je parle un peu trop fort mais à vrai dire, je m'en fiche de réveiller les autres, putain, je me suis fait avoir comme un bleu. Je la dévisage un instant, avant de sourire. De toute façon, ce n'était pas comme si ça m'étonnait tant que ça. Frustré à souhait, j'ai envie d'hurler néanmoins, putain ! Putain de merde. Elle me rend dingue cette fille, et pas dans le sens où ça m'arrange le plus je dois l'avouer. Elle me fixe de son regard bleu azur, je ne détourne pas le regard non, mais elle va me le payer ça c'est clair. D'ailleurs, elle est toujours sur moi et semble bien décidé à y rester. Je manque de m'étrangler lorsqu'elle affirme vouloir passer au choses sérieuses. Ah oui parce qu'on faisait quoi là ? Du repassage ? Elle se saisit de mes poignets, je ne mes débats pas et la laisse faire, elle les place dernière ma nuque assurant ainsi une position de force, enfin si on veut, je retourne la situation. Je fronce à nouveau les sourcils, mais qu'est-ce qu'elle a dernière la tête. Je remue légèrement la tête lorsqu'une de ses mèches de cheveux vient effleurer mon front, elle se rapproche et se met à me masser les tempes. Je plisse les yeux, quittant ses iris un instant, et soupire. Et puis, l'inspecteur Sixtine se met en marche, immédiatement, j'ouvre les yeux et me met à sourire. Je ne réponds pas, pour l'instant. Au lieu de cela, je la fixe, emmerdeur à souhait. Et puis. « J'suis migraineux et j'ai simplement abusé des anti-douleur. Ni plus ni moins. » Je hausse les épaules, ce n'est pas la révélation du siècle mais au moins c'est la vérité. « Satisfaite ? On en était où déjà ? Ah oui. » Rapidement, je me redresse et trouve ses lèvres que j'embrasse impunément. J'vais me faire rembarrer, une nouvelle fois. A croire que ça m'amuse finalement.

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Sixtine
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MessageSujet: Re: love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.    love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.  EmptyJeu 23 Fév 2012 - 13:42

Jolies fesses me traite de garce lorsque mes doigts rencontrent sa joue, cessant notre petit interlude de plaisir. J’accepte, je ne mérite pas meilleur qualificatif. Je note qu’il ne le prend pas particulièrement mal, un peu comme s’il s’y attendait. Suis-je donc si prévisible ? Il m’observe un moment en silence, jouant volontairement avec mes nerfs, me narguant de son petit sourire. Je libère ses poignets et esquisse une petite moue, comme déçue par sa réponse. Si si, je m’étais attendue à ce qu’il me révèle un cancer en phase terminale, une balle dans le ciboulot, une maladie dégénérative ou autres réjouissances de ce genre. Ceci dit être migraineux n’est pas une partie de plaisir, ma sœur l’est aussi et elle passe des après-midi entières dans le noir, recroquevillée sur son lit. En plus j’aurais détesté qu’il m’avoue son imminent décès, ça aurait été tout simplement horrible. Il faut que je me méfie avec mes questions, dans une émission comme ça, ça peut me retomber sur le coin de la figure. D’un côté j’éprouve un certain soulagement, son secret ne tourne pas autour d’une affreuse révélation, d’une question de vie ou de mort. Ou du moins, pas relativement à cette partie du corps, quoique. Il m’a juste affirmé être migraineux, sans me préciser si cela est un symptôme d’une affliction plus grave. Bon sang, j’ai trop de questions dans ma petite caboche, et j’angoisse sans véritables raisons. Dans ce contexte particulier j’imagine toujours le pire, parce qu’il y a ces putains de secrets accrochés comme des épées de Damoclès au dessus de chaque candidat. Je décide de détendre mes muscles, acceptant cette révélation pour ce qu’elle est. Je hausse un sourcil, mes lèvres s’étirant en un sourire séducteur. « La prochaine fois tu viendras me voir, j’ai un remède très efficace contre les migraines. » Je crois qu’il comprend sans mal à quoi je fais allusion. Les endorphines agissent comme une morphine naturelle, c’est bien connu, une agréable façon de combattre la douleur. Et Connor est visiblement livré à un soudain mal de tête puisqu’il vient réclamer le remède. Il capture à nouveau mes lèvres, ne me laissant pas le temps de réagir, et je me demande s’il n’est pas un peu masochiste sur les bords. Il doit savoir qu’il me rend faible malgré ma détermination bancale, et il tente de me déstabiliser. Le fourbe. Ma volonté s’effrite à nouveau, et je prolonge cette étreinte en agrippant sa nuque. Je m’écarte un moment, juste un peu, restant tout proche de son visage que je détaille en silence. Il doit se demander ce que sera la suite, quel chemin empruntera ma main accrochée à lui. J’hésite, je bouillonne, je réfléchis avant de cesser subitement cet exercice cérébral. Je m’approche alors, faisant courir mes lèvres sur son cou, le parsemant de baisers sensuels avides de sa peau chaude tandis que mes doigts glissent sur son torse dénudé. J’ai les sens en éveil, cet élan passionnel consumant mes bonnes résolutions qui se tordent au milieu d’une flamme brûlante. Ce même feu, devenu faible et crépitant pour un instant, se répand de nouveau dans mes veines, mes muscles, mon cerveau, éveillant mes ardeurs. J’en veux davantage, goûter à son corps, m’offrir à lui sans la moindre limite. Une fois encore je perds le contrôle de mes actes, et je suis à deux doigts de chasser ma bonne conscience. Mes lèvres se calment, je me redresse légèrement, faisant glisser mes cheveux blonds d’un même côté. Ma main continue d’explorer sa peau meurtrie, stoppant son avancée sur une fine cicatrice, obstacle à sa progression. Je la distingue presque dans l’obscurité, je perçois quelques ombres que j’identifie comme d’anciennes blessures qu’il ne pourra jamais oublier par ces marques impérissables. Mon désir s’est apaisé, des gestes doux remplaçant mes étreintes passionnées. J’approche mes lèvres pour embrasser cette plaie désormais refermée que mes doigts effleurent, puis je reprends ma position initiale. Je contemple son regard un long moment, rompant le silence qui s’est installé d’un murmure. « Et ces cicatrices, tu me racontes leur histoire ? » J’ignore s’il est prêt à en parler. Son visage entier l’a trahi lors de notre précédente rencontre, et j’ai compris que c’est un sujet délicat. Mais entre lui et moi, protégés par la pénombre et le sommeil des autres, peut-être se laissera-t-il tenter. De toute façon s’il ne lâche pas le morceau, je suis prête à l’étouffer avec un coussin jusqu’à ce qu’il confesse. Ben ouais quoi, vous ne pensiez pas que je m’étais transformée en gentille petite guimauve, si ?

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MessageSujet: Re: love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.    love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.  EmptyVen 24 Fév 2012 - 2:03

Sixtine est déçue de ma réponse concernant mes migraines, mais je n'ai rien de plus croustillant à lui avouer; de toute évidence. C'est merdique, lancinant et à vrai dire, je m'en passerais bien. Qu'on soit bien clair, j'suis pas douillet, j'ai pas peur d'avoir mal, mais ces migraines c'est pire que de se prendre un mur, littéralement. D'ailleurs j'en aurais presque des douleurs dans le crâne rien qu'à les évoquer. Je me mors la lèvre inférieur lorsqu'elle évoque ce remède que je ne connais que trop bien. Ce n'est pas aussi efficace qu'un bon ibuprofène mais ça a le mérite d'apaiser la douleur, au moins le temps de l'acte. Je profite de l'offre pour tenter un nouveau rapprochement même si de toute évidence je n'ai pas besoin de ça pour l'embrasser. J'en ai simplement envie, et j'sais, je sens qu'elle le veut au moins autant que moi. La gifle ne m'a malheureusement pas refroidie, au contraire. Son corps m'appelle, elle a beau le nier, essayer de repousser ses pulsions, il parle pour elle, et sa façon de répondre à mon baiser la trahis. Et puis elle s'arrête. Mon coeur s'emballe, mêlé d'inquiétude et d'excitation, j'suis prêt à me reprendre un taquet. Qu'elle me frappe si c'est son trip, elle ne doit pas savoir que j'déteste quand tout est lisse, et j'me garde bien de le lui dire. Et puis, finalement, elle se remet à m'embrasser, je ne parviens pas à réprimer un râle de plaisir lorsqu'elle effleure mon cou. J'ai envie de la posséder, de la planquer sous la couette et la garder contre moi jusqu'à temps qu'elle décide de s'offrir à moi. Elle me rend dingue, je ne peux m'empêcher de toucher sa peau, j'effleure chaque parcelle. Lorsqu'elle touche l'un de mes cicatrices, je sursaute légèrement mais ma réaction n'est pas aussi virulente que la dernière fois à croire que je me suis habitué au contact de ses doigts. Alors que je me tends au moindre contact, je m'en moque. J'ai surtout peur que ça la bloque, la repousse, comme ça me bloque moi même. Et puis, une nouvelle question, je souris, quelque part ça ne m'étonne pas. Elle doit l'avoir en tête depuis l'histoire du jacuzzi. Je caresse doucement son visage du bout des doigts, je gagne du temps comme je peux. « Je ne suis... » Je marque une pause, cherche mes mots, sans quitter ses iris bleutés du regard. « Je ne me suis pas battu pour les avoirs, j'vais donc perdre toute crédibilité à yeux en te racontant la vérité. T'y penses à ma panoplie de bad boy ? » Je me redresse subitement, et la fais basculer sous mon corps, je lui souris à la manière d'un enfant qui s'apprête à faire une bêtise. Et me penche sur elle, soulève légèrement son tee-shirt et me mets à embrasser sa peau, doucement. Je n'ai plus envie de parler, je la désire plus encore que lorsque j'ai déposer mes lèvres sur les siennes. Je remonte jusqu'à la limite de sa poitrine qui est toujours couverte par le tissus, me détache doucement et plonge mes yeux dans les siens. « Je te raconterais tout, en détail si ça te fait plaisir. Mais pas maintenant. Je peux pas. » Je murmure, plus sérieux que jamais, j'espère qu'elle comprendra que je n'ai pas tout gâché, de toute façon je ne lui laisse pas le temps de répliquer puisque je fonds une nouvelle fois sur ses lèvres.
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Sixtine
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MessageSujet: Re: love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.    love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.  EmptyVen 24 Fév 2012 - 18:16

Ma question paraît faire oublier à Connor l’inquiétude d’un nouveau contact de mes doigts sur sa joue, et il se perd dans les méandres de sa réflexion. Je penche la tête sur le côté pour profiter de ses caresses, attrapant son poignet pour remonter jusqu’à ses doigts. Sa réponse me fait sourire, il craint de briser l’image de mauvais garçon que je lui ai collée dans le jacuzzi. S’il pense pouvoir me décevoir aussi facilement, c’est peine perdue. Je m’interroge sur ses paroles. S’est-il fait agressé, a-t-il été la victime d’un accident ? J’ai envie de savoir, de toute connaître, néanmoins il me semble que ma curiosité ne sera pas récompensée ce soir. Le jeune homme renverse les rôles et je me retrouve sous son corps, un sourire au coin des lèvres et la convoitise dans mes yeux bleus. Je laisse échapper un soupir de plaisir sous ses baisers aventureux, mes doigts s’égarant dans ses cheveux bruns. Chaque parcelle de mon corps qu’il effleure est au supplice, et je me mords violemment la lèvre afin d’éviter d’éveiller les candidats qui nous entoure. Il remonte et je caresse son épaule, son dos, descends jusqu'à ses reins en faisant glisser mes doigts quelques centimètres au delà de son sous-vêtement. Je veux lui murmurer de continuer, arracher moi-même le t-shirt qui l’empêche de poursuivre, cependant il s’arrête et je soutiens son regard hypnotique tandis qu’il précise sa réponse de façon plus sérieuse. Une petite moue apparaît sur mon visage, celle d’une gamine à qui on vient de refuser une appétissante plaquette de chocolat au lait. Il veut bien me confier tous les détails, mais pas maintenant. Pourquoi ? Parce qu’il craint que quelqu’un perçoive ses mots, parce qu’il n’est pas prêt, parce qu’il a peur de mon jugement, ou bien parce que là il a juste envie de baiser ? Je le soupçonne de rester vague intentionnellement, juste pour provoquer une surchauffe de mes petits neurones. Cependant je hausse les épaules, l’air contrit, acceptant cette fatalité. Je me contente de lui chuchoter quelques mots en réponse, glissant mes bras autour de son torse. « J’attendrai alors. » Je le serre contre moi pendant qu’il m’embrasse à nouveau, encerclant ses hanches de mes jambes, profitant de cette étreinte en fermant les yeux parce que je sais que je vais y mettre un terme. J’exerce une légère pression sur son épaule gauche afin d’écarter le jeune homme de mon visage à contre coeur, tandis que mes doigts libres viennent titiller les draps pour se refermer sur son coussin. PAF. Le duvet s’enfonce dans sa tête. C'est plus subtile qu'une gifle, non ? Je continue de l’étouffer à l’aide de mes deux mains, le poussant sur le côté pour qu’il retombe à l’Est de la frontière. « Et toi aussi. J'ai une semaine super chargée, et t’as vu l’heure ! » Je prends un air faussement surpris alors que je sais parfaitement que de toute façon je ne fermerai pas l’œil de la nuit. Je ne doute pas que rester ainsi sur sa faim va le rendre fou, tout ce que j’espère c’est qu’il me comprendra également. J’ai déjà franchi toutes les limites que je m’étais fixée avant d’entrer dans ce château, et que je pensais bêtement pouvoir respecter. C’est déjà beaucoup pour moi en une seule journée, trop de transgressions à mes résolutions personnelles. Je lui tourne le dos en me couchant sur le flanc, ramenant mes jambes contre mon ventre en les entourant de mes bras. En vérité je n’ai pas envie de faire n’importe quoi, de me jeter dans ses bras pour qu'il me le fasse amèrement regretter la semaine prochaine. Trop de paramètres que je ne peux ignorer rentrent en compte, et particulièrement le fait que je croiserai Connor tous les jours de la semaine, et peut-être encore de nombreuses autres, je l'espère. Peut-être que demain, après-demain, un autre jour, je pourrais lui sauter dessus sans prendre tout cela en considération, mais il me faudra encore un peu de temps. Je préfère être prudente et me préserver tant que je peux encore réfléchir, même si j’éprouve présentement le désir de me frapper la tête contre un mur pour arrêter de cogiter et de poursuivre notre activité. Mais là, je suis juste en train de flipper en espérant qu’il prendra ça pour une volonté de le faire languir, ce qui avouons-le, ne serait pas qu'un prétexte. Eh ouais, je fais tout de suite moins la maligne parce que le salaud, il m'a bien eue.

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MessageSujet: Re: love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.    love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.  EmptyDim 26 Fév 2012 - 4:52

Ma tactique pour gagner du temps se révèle peu fructueuse, de toute évidence, elle s'en moque de ma réputation de bad-boy qui est plus un leurre qu'autre chose. Si j'avais voulu me la jouer bad-boy, j'agirais sûrement comme un enculé de première. Sauf que j'ai beau être un parfait abruti parfois, j'en suis incapable. Surtout pas avec elle. Je reprends mes baisers de plus belle, l'effet que me procure cette fille est assez hallucinant à bien y repenser. Et le pire dans tout ça c'est qu'elle en est consciente, au moins autant que j'suis conscient de l'effet que j'ai sur elle. Ses caresses sont une invitation à la déraison; que dire d'elle de toute manière, elle m'a quitté depuis que j'ai touché sa peau. Je ne peux que sourire, captant son regard azuré lorsqu'elle effleure mes jolies fesses. Je la sens déçu, une nouvelle fois quand je précise ma réponse, je ne peux pas en dire plus. C'est tout bonnement, impossible. Je ne cherche là aucune excuse, ni une quelque conque manière de gagner du temps. Il est clair que même si j'ai presque faillit les oublier, la présence des candidats qui nous entourent ne facilitent pas la confession. Mais ce n'est pas si simple. Elle a éveillé mes faiblesses que j'essaye d'amoindrir en me jetant sur elle, et pour être honnête, ça commence à fonctionner. Je me sens lâcher prise, le désir est si profondément gravé sur ma peau qu'il frappe à l'intérieur de ma poitrine, mon coeur menaçant de rompre au contact de sa peau. Et puis, puis je la sens se dérober, non, tout mon être lui hurle d'arrêter de me résister. Et puis, je ne vois plus rien, elle m'étouffe, du moins, elle me repousse. Encore, à l'aide d'un oreiller cette fois. J'suis tellement déçu que je n'ai pas la force de répliquer. Je soupire, même si je ne lui en veux pas réellement. « Bonne nuit... » Je murmure simplement, elle s'est tourné même si je sais qu'elle n'est pas tombé de sommeil, ça met clairement fin à la discussion. Je reste un moment sur le dos à fixer le plafond immaculé, puisque j'ai au préalable replacé le coussin sous mon crâne. J'espère simplement qu'elle ne se trompe pas sur mes intentions. Après tout, elle ne connait rien de moi que ce que j'accepte de lui montrer, d'autant que j'ai refusé de lui révéler une part de moi. Elle ignore mes motivations, les raisons de mon mutisme. Bon dieu que cette semaine risque d'être longue. J'ai envie de la prendre dans mes bras, simplement sans arrière pensée, simplement pour profiter des derniers instants avant sa prochaine transformation. Sauf que je n'ai pas envie qu'elle s'imagine que j'reviens à l'attaque. Alors je ne bouge pas. J'ai l'impression de redevenir l'adolescent qui m'avait habité lorsqu'elle dormait encore. C'est con.

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Sixtine
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MessageSujet: Re: love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.    love you more than thoses bitches before. ∞ lundi 20 février, trois heures trente-trois.  EmptyDim 26 Fév 2012 - 17:04

C’est là, pendant que je suis en train de me faire mal au crâne à réfléchir, que je me rends compte que je ne pourrais certainement pas apprendre l’histoire ses cicatrices avant longtemps. ‘‘Je ne peux pas’’ signifie peut-être que c’est lié à son secret, et que par conséquent il ne peut pas laisser échapper des informations à ce sujet sous peine d’être sanctionné par Cupidon. Et merde, c’est trop frustrant. Je donne un petit coup de poing discret dans le matelas tandis que mes sourcils se froncent. Ce jeu est vraiment nul. Comment je suis censée apprendre à le connaître si je n’ai pas le loisir de pouvoir m’approcher au plus près de lui ? Bon j’étais assez proche là, mais pas dans le sens auquel j’aspire le plus. J’ai envie de tout savoir de Connor, et ce n’est pas en éludant une partie de sa vie que cela va se faire. Il va falloir que je m’attaque sérieusement à son secret, dans l’unique but de percer enfin à jour ce jeune homme, dans son intégralité. Je ne veux pas me contenter des éléments que l’on me donne, ce n’est pas mon genre. Sa voix brise le fil ténu de ma réflexion et je me mords la lèvre. Il me souhaite bonne nuit, d’un ton qui signifie clairement que toute activité a cessé pour aujourd'hui. Plus de conversation, plus de douces caresses, plus de délicieuse chaleur dans le corps, plus de baisers sauvages et avides de plaisir charnel, plus de souffle brûlant sur ma peau, plus de frissons secouant mes muscles, plus de fièvre à m’en faire perdre la tête. Rien que d’y penser, je retrouve toutes ces sensations qui font rougir mes joues. Je les frotte aussitôt vigoureusement, agacée par ces mécanismes corporels incontrôlables. Je ne vais tout de même pas fantasmer en imaginant la suite, alors que j’avais la possibilité de la connaître. J’hésite longuement, me trouvant bête de rester ainsi recroquevillée de mon côté du lit alors que je viens de l’embrasser fougueusement. Il a conscience des sentiments que je nourris à son égard, mes intentions sont plutôt claires. Je me dis qu’il serait plus judicieux de profiter de cette dernière nuit à ses côtés, plutôt que de me torturer l’esprit afin de démêler sa personnalité qui m’apparaît comme une pelote de laine parsemée de nœuds serrés. Je me retourne doucement, attrapant son bras que je soulève pour venir me blottir contre lui. J’appuie ma tête sur son épaule et dépose mes doigts sur son torse, que je frôle un instant. Je m'y perds un moment, m'enivrant de l'odeur de son parfum en fermant les paupières. Je suis bien là, parfaitement bien. L’une de mes jambes s’introduit entre les siennes dans l’espoir d’y trouver un peu de chaleur. Je ne l'avais pas remarqué tout à l'heure, mais j'ai le bout des pieds gelé. Je pousse un soupir qui s’écrase sur sa nuque, remontant ma main qui vient brièvement caresser sa joue. « Bonne nuit. » Finalement, je vais peut-être parvenir à trouver le sommeil.

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