andreas

Je ne suis pas du genre à traîner sur l’ordinateur en temps normal. En fait, je n’y passe vraiment que très peu de temps. La preuve, depuis une semaine, je n’ai pas mis à jour une seule fois mon blog de cette émission. J’ai écrit quelques commentaires à certains, mais c’est tout. C’est plutôt chiant à faire. Et puis, je ne vois pas ce que j’aurais d’intéressant à aller raconter. Parce qu’en ce moment, je m’emmerde royalement. Mais bon, je ne sais pas exactement pourquoi, mais mes pas me guident vers cette salle peu fréquenté de ma part. Oh tient, elle n’est pas vide. Andreas y est présent. Allez savoir pourquoi je connais son prénom, sérieusement, je n’en ai absolument aucune idée. Il a une belle gueule, c’est peut-être pour ça. Ou c’est peut-être simplement parce que c’est un gros chieur et que j’ai entendu parlé de lui. Mais je vais m’abstenir de lui faire tout commentaire à ce sujet. D’un pas léger, je décide de m’installer à ses côtés, alors que j’aurais pu prendre n’importe quelle autre place. Ça n’aurait pas été amusant si j’avais fait ça. Je me tourne alors vers lui, alors que techniquement, je serais supposé être face à l’écran de mon ordinateur, puis je le fixe un moment, ne disant rien. Y’a surement rien de plus agaçant que quelqu’un qui fixe sans dire un fichu mot. Les secondes passent, puis les minutes. Ça m’amuse, même si mon visage ne démontre aucune émotion à cet instant même. « Alors... Ça va ? » demandais-je, brisant le silence, d’une voix neutre, sans enthousiasme. Ça sort complètement de nul part, comme question. Puisque évidemment, je n’en ai rien à chier de comment il va en ce moment même. Un léger sourire apparaît tranquillement sur mes lèvres, alors que je continue de le fixer, une lueur malicieuse venant peupler mes iris cependant. Pourtant, j’ai cet air blasé appliqué sur chacun des traits de mon visage. Il va me trouver étrange. Tant mieux. J’ai envie d’une réaction démesuré de sa part. Est-ce que cela va fonctionner ? J’attend, je ne le lâche pas du regard. Je suis patiente, je peux rester ainsi toute la nuit, s’il veut. Il n’est pas désagréable à regarder, je peux donc le mater en paix.

Mais c'était quoi ce bordel ?! Pas le moindre accès à youporn, sérieusement ? Ah vraiment, la production n'avait pas pensé à tout pour une fois. C'était fort regrettable. Et bien j'allais devoir m'en passer alors, hein. Mais ce serait difficile néanmoins. Tant que je me trouvais sur l'ordinateur, pourquoi ne pas mettre à jour ce qui me servait de blog ? Oui, ça c'était une idée. Car j'avais des fans, alors ceux-ci étaient encore en droit d'espérer une certaine activité de ma part. Et puis, je n'allais certainement pas tarder à avoir un site officiel, au moins. Le phénomène Andreas était en marche, je ne vous disais que ça. Tapotant sur le clavier et accèdant par la suite à mon blog sur lequel, étrangement, il n'y avait aucun nouveau commentaire, je ne pus m'empêcher de remarquer la présence d'une demoiselle près de moi. Une blonde qui était arrivée là sans que je ne sache réellement comment et qui, désormais, semblait me fixer du regard. Elle voulait ma photo ou bien ?... J'eus très envie de lui demander de daigner regarder ailleurs, mais l'ignorer était encore la meilleure chose à faire. À mon humble avis. Hélas, le silence ne dura pas bien longtemps au sein de cette salle. Car la dénommée... London, si ma mémoire ne me faisait pas défaut, prit la parole. « Alors... Ça va ? » Qu'elle arrête de me reluquer de la sorte bon sang de bon soir ! Que son regard se fixe sur, heu, n'importe quoi mais pas sur moi ! Je me sentais sali rien que par le fait d'être observé comme tel. Si si, je vous jure, c'était très dégradant. « BON. Qu'est c'que t'as au juste ? m'exclamais-je finalement, sur les nerfs. J'suis trop beau pour qu'tu puisses baisser les yeux, ou t'as juste décrété que le moment était bien choisi pour m'emmerder ? » Je bossais, mademoiselle, même si au premier abord ça ne sautait pas aux yeux. « Vas voir ailleurs si j'y suis, merde. » Blondasse. Non mais oh ! Elle allait se calmer hein ! Quoi ? Je prenais la mouche pour rien, vraiment ? Mais enfin, vous l'aviez vue comme moi, cette demoiselle se foutait éperdument de ma gueule. Pouvais-je cautionner une telle chose ? Clairement pas. Désormais c'était à mon tour de la fixer - et attention, ces yeux-là pourraient restés ouverts aussi longtemps qu'il le faudrait. D'ailleurs, de là à ce que de ces derniers ne sorte un missile ou un truc dans le genre, on en était vraiment pas loin. Gare à tes fesses, jeune fille.

« BON. Qu'est c'que t'as au juste ? J'suis trop beau pour qu'tu puisses baisser les yeux, ou t'as juste décrété que le moment était bien choisi pour m'emmerder ? » Hallelujah, il est énervé. Ça ne lui en prend pas beaucoup pour péter un plomb tout de même. C’est pas la fin du monde, je ne fais que le fixer. Et puis évidemment, tout de suite les conclusions sur lesquelles il est trop beau et bla, bla, bla. C’était tellement prévisible comme réaction en fait, que je ne bouge pas d’un centimètre, continuant mon observation. « Vas voir ailleurs si j'y suis, merde. » Pourquoi aller ailleurs quand la situation est parfaite en ce moment même. Il s'énerve vraiment pour un rien. Après tout, je n'ai rien fait de mal moi. Je le regarde, j'ai pas le droit ? Et voilà qu’il se met à me fixer à son tour. Il veut jouer à ce jeu, je n’ai aucun problème, c’est encore mieux que je l’aurais espéré. Je garde le silence un moment, avant de ne pouvoir tenir ma langue plus longtemps. « T’as raison. T’es tellement beau que je n’arrive plus à te lâcher du regard et j’ai envie de te supplier de me prendre passionnément là, maintenant sur cette chaise. » dis-je dans de façon calme et mystérieuse alors qu’évidemment, je n’ai toujours pas décroché mon regard bleuté du sien. Voilà qui est dit. Qu’il me baise ou qu’il se la ferme. Ou peut-être que je ne suis pas sérieuse en fait. À l’exception de mon sourire léger, rien ne laisse comprendre ce qui se passe dans ma tête à ce moment même. Andreas n’a pas l’air du gars qui a froid aux yeux. Peut-être qu’il devrait me le prouver en ce moment même. La première impression n’est pas souvent la bonne, pourtant elle est celle qui marque les gens. À lui de voir comment il veut se souvenir de notre premier tête à tête. « Alors... ça va ? » demandais-je à nouveau, répétant mot pour mot ce que je venais de lui dire quelque minutes plus tôt. C'est une question banale, il pourrait tout de même prendre le temps d'y répondre, non ?.

Au secours, les fous n'étaient pas tous enfermés ! Cette blonde me regardait ou plutôt me fixait depuis plusieurs secondes... et ses yeux étaient, ouuh, flippants. Elle n'avait d'ailleurs pas manqué de me mettre hors de moi, car s'il y avait bien quelque chose qui me révoltait au plus haut point, c'était qu'on me dévisage de la sorte. À croire que ma splendeur l'empêchait de baisser les yeux ou de les détourner de ma personne. « T’as raison. T’es tellement beau que je n’arrive plus à te lâcher du regard et j’ai envie de te supplier de me prendre passionnément là, maintenant sur cette chaise. » Elle était sérieuse ? Attention, ça n'était pas le genre de chose à balancer comme ça, en l'air. Ou alors elle me connaissait mal. S'il y avait bien un type ici capable de la prendre maintenant, sur cette chaise, c'était bien moi. Remarquez une chaise... mouais, il devait probablement y avoir plus pratique ou confortable dans cette pièce. « Il ne faut pas me le demander deux fois, tu sais... » Sur ces mots, je me dirigeai d'un pas déterminé et rapide ven sa direction, la soulevant de la chaise sur laquelle elle était assise pour, finalement, le tenir dans mes bras quelques instants. « Alors... ça va ? » Bordel, on avait autre chose à faire, elle et moi, que de savoir comment Andreas allait non ? « Mais je vais bien, je vais bien... » rétorquais-je en levant les yeux au ciel. Oups, mes bras n'allaient pas tarder à lâcher. Elle était plus lourde que je ne l'aurais imaginé. « T'as le choix : on fait ça par terre, sur ta table ou sur la banquette. » J'étais on ne peut plus sérieux. Si elle voulait baiser, alors nous allions baiser. Mais qu'elle se décide vite, quand même, car mes bras commençaient à s'endolorir quelque peu.

« Il ne faut pas me le demander deux fois, tu sais... » Ah oui ? Vraiment ? De toute façon, qu’il ne s’inquiète, ce n’était pas mon genre de le demander deux fois non plus. Mais en fait, je n’avais absolument rien demandé. Je n’avais qu’émit une simple hypothèse sur le fait qu’il était SI beau que j’avais envie de baiser avec lui. Sauf que, je n’avais jamais vraiment dit que c’était le fond de ma pensé. N’y avait-il pas vu le sarcasme sous ma dite phrase. Il ne faut pas toujours croire ce que je dis en fait. Mais voilà qu’il me soulève dans ses bras, et que je m’accroche à son cou, mes jambes se passant autour de sa taille. Bon, malgré tout, ce n’est pas moi qui va refuser une telle activité après tout. Je vois bien que ma petite question l’énerve, vu qu’il lève les yeux au ciel. En même temps, c’était bien le but, alors je ne vais certainement pas me sentir coupable. « T'as le choix : on fait ça par terre, sur ta table ou sur la banquette. » Je passe une main dans ses cheveux, alors que j’hausse les épaules, faisant preuve d’indifférence. « La banquette tout de même... Un peu de confort ne fera pas de tord. » dis-je avant de lentement m’avancer vers ses lèvres, afin d’y déposer un baiser fougueux et langoureux, glissant mon autre main derrière sa nuque afin d’attirer son visage encore plus près du mien. En moins de deux nous nous retrouvons sur la banquette, mes mains baladeuses allant sensuellement retirer le t-shirt du jeune homme pour pouvoir le couvrir de caresses, alors que nos lèvres de se séparent plus. Oui, la température de nos deux corps augmente à cet instant, alors que la suite des choses étaient inévitable. Nous allions baiser puis quitter la pièce, sans en faire un plat. Mais en fait... Je me recule légèrement, en faisant une légère moue. « C’est beaucoup trop facile... Je te dis baise moi, et tu le fais. Ça perd de son charme en fait. Je crois que ça m’emmerde... » Bon, je crois qu’il va me détester. Je suis chiante, c’est pas nouveau. Mais moi, j’y peux rien, si j’aime bien un peu m’amuser avant. Je passe un doigt sur son torse, descendant jusqu'au bas de son ventre, agicheuse. Je viens de le repousser, pourtant j'agis tout comme l'opposer. Ne cherchez pas, y'a rien à comprendre là dedans.

Je pensais avoir compris le message. En tout cas celui-ci avait été on ne peut plus clair. Si la demoiselle souhaitait baiser, alors nous allions baiser. C'était simple comme bonjour. Et ma foi je n'étais jamais contre une bonne partie de jambes en l'air, avec une petite blonde piquante et visiblement en chaleur. Je lui avais laissé le choix quant à l'endroit où nous serions amenés à le faire : banquette, table, sol... elle avait l'embarras du choix. Tandis qu'elle se trouvait toujours dans mes bras, l'une de ses mains ne tarda pas à se balader dans mes cheveux avant qu'elle ne soit amenée à me répondre, dans l'indifférence la plus totale. « La banquette tout de même... Un peu de confort ne fera pas de tord. » Cela semblait évident à ses yeux, et j'approuvais ce choix. Bientôt, ses lèvres vinrent se coller aux miennes avec fougue et entrain. Okay, c'est parti mon kiki. Je jetai alors la demoiselle sur la banquette avant de ne lui sauter littéralement dessus. Avec moi, ça ne trainait pas ce genre de choses. J'allais droit au but, comme au foot - tel un gagnant. Elle entreprit ensuite de retirer mon t-shirt, tandis que ses mains parcouraient mon torse et caressaient ce dernier. De mon côté, je vins soulever quelque peu sa robe, laissant mes mains s'aventurer sous celle-ci. Mais alors que les choses sérieuses semblaient être sur le point de débuter, elle détacha ses lèvres des miennes. Comme ça, d'un coup. « C’est beaucoup trop facile... Je te dis baise moi, et tu le fais. Ça perd de son charme en fait. Je crois que ça m’emmerde... » Ah oui, vraiment ? Alors pourquoi est-ce que son doigt se baladait de mon torse à mon bas de mon ventre ? Et c'était quoi ce regard racoleur ?... Pour le coup, elle n'était pas bien crédible. Elle n'avait qu'une envie : grimper aux rideaux. Et j'étais disposé à le lui permettre. « Arrête, tu vas m'couper tous mes effets... » J'étais chaud bouillant, comme la braise. Ça n'était vraiment pas le moment de me rembarrer, et de toute manière c'était trop tard pour faire marche arrière. J'avais commencé, je comptais bien terminer. Mes lèvres ne tardèrent pas à rejoindre à nouveau les siennes, avec passion, intensité et fureur. J'en déboutonnai déjà mon jean, histoire de ne pas perdre de temps. Le but c'était de baiser quand même, alors je ne voyais pas l'intérêt de faire ça avec douceur. Que ce soit bien clair, elle avait là une dernière occasion de me dire 'stop' avant que je n'envisage de retirer ce qui se trouvait sous sa robe - sa culotte, en somme. Et ça n'allait pas tarder... Je sentis la température monter dans la pièce... une vraie fournaise.

Il n’a pas l’air de me prendre au sérieux. Pourtant, je l’étais entièrement. Oui, j’ai une réputation de fille qui ouvre facilement les jambes. Enfin, peut-être pas encore ici, mais ça risque de ne pas bien tardé. Cela ne me dérange aucunement, je suis bien au courant, puisque je les ouvre moi-même. Si ça me dérangerait d’avoir une telle réputation, j’arrêterais automatiquement. Mais quand je lui dis que ça m’emmerde, ce n’est pas parce que je n’ai pas envie de m’envoyer en l’air là, maintenant, simplement que je suis le genre de fille qui aime séduire, charmer. J’aime tourner autour du pot, même si je connais déjà quel sera le résultat final. Puis, j’aime bien les hommes qui me résiste, ça donne un peu plus de piquant. Alors que là, y’a carrément aucune résistance. Rien du tout. Est-ce vraiment mauvais ? Je ne sais plus vraiment. J’hésite. « Arrête, tu vas m'couper tous mes effets... » Oh le pauvre, non mais j’ai envie de chialer pour lui maintenant. Non mais comme si ça me dérangeait vraiment de baisser la garde de son petit soldat. J’en ai rien à chier. Je fais une petite moue, alors qui s’attaque de nouveau à mes lèvres dans un baiser fougueux remplie d’envie. Il est entrain de détacher son pantalon là ? Il ne perd pas de temps, c’est ce qu’on peut dire. « Quand je disais que je m’emmerde, c’était sérieux. Mais bon... » Ouais, ça résume bien la situation. Pourquoi pas en fait. En plus, il a les mains baladeuses, il ne va certainement pas tarder à retirer mon sous-vêtement pour arriver à ses fins. Et puis pourquoi pas. C’est moi qui ait émit la suggestion en premier. Je ne peux plus vraiment reculer... Bien que cela serait terriblement drôle. Je serais bien sadique. Et puis non. Je répond donc à son baiser de la même façon, l’aidant à retirer son jeans, mes mains caressant avec insistance son bas-ventre, l’une d’elle se glissant sous son sous-vêtement à lui. Dites donc, c’est qu’il y a une certaine réaction là dessous. Esquissant un sourire, je détache mes lèvres dans siennes pour me pencher vers son cou, déposant une série de baiser sensuel contre celui-ci, alors que je sens définitivement la chaleur grimper en moi. Bon, il serait temps là. On a pas juste çà à faire non plus. Mes mains se glisse dans son dos, attirant son corps contre le miens alors que je suis prête à assouvir le désir qui nous consume à présent.

Nous n'avions pas toute la journée, quand même. D'une minute à l'autre, un bon samaritain nous convierait certainement à venir diner, voilà pourquoi j'avais décidé de ne pas perdre une seconde et d'entreprendre les choses sérieuses au plus vite avec mademoiselle. Seulement, j'ignorais que celle-ci était une chieuse sans nom. Alors que mes lèvres s'étaient à nouveau collées aux siennes, elle cru bon de mettre fin à ce baiser le temps de rétorquer « Quand je disais que je m’emmerde, c’était sérieux. Mais bon... » Mais bon... mais bon rien du tout ! Rah, si je la laissais mener le truc, on y serait encore demain. Merci hein, mais j'étais du genre à foncer. Pourquoi se retarder avec des choses inutiles ? Ce qu'on voulait, nous, c'était baiser. Pas faire l'amour, non, baiser. M'en fous, je continuais quoi qu'elle puisse en penser. Mais ça ne semblait pas lui déplaire tant que ça, en témoigne ce baiser qu'elle me rendit presque aussitôt après avoir reprit la parole. Au moins elle se taisait, au moins elle ne me faisait plus chier, au moins nous pouvions poursuivre. Je ne demandais que ça. Elle m'aida ensuite à retirer ce jean qui serait plus que jamais de trop dans une à deux minutes. Au passage, elle se permit de glisser l'une de ses mains sous mon boxer - de quoi se faire une idée de la marchandise. Comme elle pouvait le constater, y'en avait un qui était déjà clairement au garde-à-vous et qui souhaitait passer au plus vite à l'action. Doucement, petit moussaillon, n'allons pas plus vite que la musique. S'en suivirent des baisers un peu partout dans mon cou, qui ne me laissèrent d'ailleurs pas indifférent. Bon allez, c'est le moment là. On en pouvait plus elle et moi - on avait chaud, hyper chaud. Perso, j'avais aussi grandement envie de laisser s'exprimer ce désir qui se manifestait dans tout mon corps, en ébullition celui-ci. Un instant plus tard, je retirai son sous-vêtement et baissai le mien. Je soulevai bien vite les jambes de la blonde pour me caler entre celle-ci et, ainsi, effectuer un mouvement brusque, bestial. À présent nos corps étaient unis, et je ne manquai pas de joindre à nouveau mes lèvres aux siennes, au sein d'un baiser plein de fougue. L'ambiance était quasi volcanique, j'étais à deux doigts d'étouffer tant je me donnais, mais malgré tout j'en tirais un certain plaisir. C'était un peu le but, en même temps. Et à elle, ça lui plaisait au moins ? Histoire qu'elle n'ait plus à ronchonner de rien.