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 and we don’t care about our own faults, may26th 15h15

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Valeri

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MessageSujet: and we don’t care about our own faults, may26th 15h15   and we don’t care about our own faults, may26th 15h15 EmptyLun 27 Mai 2013 - 1:55

seth
L’après-prime. C’était rinçant, lessivant, fatiguant… surtout après ce que la production leur avait fait endurer. Devoir courir à travers tout ce nid, c’était une épreuve herculéenne, une épreuve dantesque. Oui, ça l’avait fatigué, ça l’avait lessivé, ça l’avait rincé. Il pouvait se dire mort, mais ce n’était qu’une façon de parler puisqu’il respirait encore. Ainsi, après un bon repas copieux, il s’était aventuré au de-là de leurs petits habitats. Loin de tous, et de tout. Le soleil régnait en roi dans le ciel, et la chaleur en était sa douce reine. Il faisait chaud, trop chaud. La chaleur, il n’avait jamais aimé cela. Peut-être parce qu’il était aussi blanc qu’un drap immaculé de blanc. Il ne bronzait pas, il cramait. Il finirait au bout de ces semaines à se transformer en écrevisse. Il allait devenir rouge, tout rouge. Enfin, soit. Il avait mis un tee-shirt pour se protéger du soleil, et ses lunettes de soleil. Une bière à la main, il allait et venait à travers les lieux ludiques proposés par la production. Il s’arrêta fini sur un grand air de jeu. De cet endroit qui avait longuement bercé l’enfance de chacun. Sauf celle de Valeri. Jamais, il n’avait mis dans un endroit pareil lorsqu’il était enfant. Jamais, sa mère ne l’avait emmené jouer avec les autres enfants, bien trop occupée à la ferme. Oui, il n’avait pas eu une enfance comme les autres. Son enfance n’avait pas été bercée par les mêmes mélodies candides que les autres. Il n’y avait rien de dramatique là-dedans, il s’en portait plutôt très bien. Il observa longuement les jeux qui se trouvaient sous ses yeux. Il y avait une balançoire, ou peut-être autre-chose, il n’était pas certain du mot. Puis un peu plus loin un toboggan, un tourniquet, et plein de jeux dont il ignorait les noms. Il était devenu en une fraction de seconde, cet enfant candide, ignorant de son environnement. Non. Valeri ne pouvait pas être ainsi. Alors, il secoua doucement la tête, portant à sa bouche le goulot de sa bière. Il en but une frêle gorgée qui a eu le mérite de le faire atterrir de ces douces rêveries. Il secoua doucement la tête, il n’allait quand même pas rester planter là, comme un glandu. Non, quand même pas. Il souffla, avant de laisser trainer ses pieds endoloris jusqu’à la balançoire, où il se laissa tomber, se laissa s’échouer. L’une de ces mains vint trouver un peu d’assurance dans la corde. Ce n’était pas qu’il avait peur de tomber, mais autant prendre appui sur quelque-chose. Valeri n’avait peur de rien, et pas de ces étrangetés qu’il n’avait jamais connu lorsqu’il était enfant. Son regard se porta à hauteur d’un garçon qui arriva en face de lui, alors qu’il but une nouvelle gorgée de sa bière. Il le considéra brièvement du regard, avant de le lâcher un « salut ! ». Simple politesse. Il ne savait pas vraiment qui était ce garçon. Ah si… il s’appelait Seth, il avait été nominé et venait d’être sauvé par le public. Oui, ça devait être lui. Ca devait être ce garçon-là. « Bon prime ? » souffla-t-il alors.
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MessageSujet: Re: and we don’t care about our own faults, may26th 15h15   and we don’t care about our own faults, may26th 15h15 EmptyLun 27 Mai 2013 - 14:57

Voilà, j'avais été sauvé par le public (comprenez par-là : ma mère (qui avait sans doute du hypothéquer sa baraque pour dépenser tout son fric dans ce système de votes que je ne comprenais qu'à moitié)), j'imagine que je devais être reconnaissant ou quelque chose comme ça, et que c'était le moment pour moi d'arrêter de me considérer comme le vilain petit canard de la bande et tout ça, sauf que je l'aimais bien, finalement, le rôle du vilain petit canard et j'avais pas spécialement envie de m'en détacher – j'avais déjà mis tellement de temps à m'y faire. Sur ce, je me retrouve sans partenaire. J'imagine que ça ne va pas changer grand-chose, après tout ce n'est pas comme si Roese et moi étions les meilleurs amis du monde, nous avions à peine échangés quelques mots et elle se faisait si discrète dans l'aventure que ça ne sera pas hyper dur pour moi de, hum, m'acclimater à sa soudaine absence. Puis voyons les choses du, euh, bon côté, j'aurai le lit pour moi tout seul, à l'avenir, et non seulement ça me fera carrément plus de place pour entreposer des tas de trucs qui pourraient m'être utiles pendant la nuit (principalement de la bouffe et de l'alcool) mais en plus de ça y'aura plus personne pour râler si par malheur je laisse tomber une ou deux miettes par-ci par-là ou si elle se retrouve avec une tache de chocolat sur son oreiller. À cette pensée, je fronce soudainement les sourcils, prenant conscient qu'en fait, Roese avait dû me trouver plutôt insupportable, mine de rien – non pas que j'étais méchant ou quoi que ce soit, mais il paraît que c'est pas tous les jours facile de vivre avec moi. Bon. J'espère juste que si elle a joué les candidates fantômes, c'est pas genre uniquement pour m'éviter et pour se barrer d'ici au plus vite. Quoique d'une certaine façon, si on retourne le problème sous, hum, un angle différent, tout ça peut constituer une sorte de vrai avantage tactique pour moi, si tout le monde se met à déserter le nid pour recouvrer un semblant de tranquillité et out le toutim. C'est avec ce genre de pensée en tête, délirant vaguement, que je m'éloigne du plateau et part trainasser dans les studios, vagabondant sans but précis si ce n'est celui d'apprécier à sa juste valeur ma propre compagnie. Je vais me chercher une bière, estimant que je l'ai pas volée après tout, et la siffle très rapidement mais garde la bouteille à la main pour l'utiliser comme cendrier un peu plus tard (j'avais un peu peur que si je flinguais certains décors en n'étant pas assez soigneux, l'émission me demande de les rembourser ou un truc dans le genre) ; je me grille alors une clope en me dirigeant vers le terrain de jeux. Je suis déjà venu dans le coin mais à ce moment-là je, hum, n'avais pas l'entière faculté de me moyens (ou quelque chose dans ce goût-là ?) et j'avais eu la vague impression de faire un mauvais trip, mais maintenant que je m'y rends en, euh, toute conscience des choses et tout, je réalise qu'il s'agit effectivement d'un endroit bizarre et que n'importe qui en pleine possession de ses moyens (c'est peut-être ça que je voulais il y a quelques secondes de cela) est à même de s'en rendre compte. « Salut ! » Je me retourne, un peu surpris, n'ayant pas vu le type déjà installé-là. « Oh, hum, salut mec ! je réponds avec un demi-sourire, poli comme il faut etc., avant de commenter : chouette balançoire. » Sur le moment, j'arrive pas à me souvenir de son nom, mais ça devrait me revenir. « Bon prime ? » Bonne question ; j'hausse les épaules, un peu incertain. « Euh, j'imagine. Je me suis plus ou moins assoupi pendant que tout le monde se tapait le marathon du siècle, j'ai embrassé trois jolies filles et Oliver, et j'ai perdu ma partenaire donc l'un dans l'autre je dirais que je suis plutôt, hum, mitigé. » je constate en faisant le bilan. Le reste du prime, je l'avais déjà plus ou moins oublié, finalement. « Et de ton côté ? » je retourne la question, avant de reprendre une taffe. Puis, instinctivement, je me rapproche d'une des balançoires et grimpe dessus avec un peu de difficulté. « Wow, ça fait environ 3000 ans que j'ai pas posé mon cul sur un de ces trucs, je suis même pas sûr de me rappeler comment ça marche. » Après mûre réflexion d'environ un quart de seconde, je crois qu'en fait c'était pas si compliqué – et que c'est sans doute un peu comme le vélo, ça s'oublie pas, pas vrai ?
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MessageSujet: Re: and we don’t care about our own faults, may26th 15h15   and we don’t care about our own faults, may26th 15h15 EmptyLun 27 Mai 2013 - 17:33

A en croire cette surprise se peindre sur son visage, il n’avait pas l’air de l’avoir vu, et d’avoir prêté attention à Valeri lorsqu’il entra dans l’air de jeu. Valeri ne savait pas s’il devait bien prendre cette réaction, ou au contraire… mal à la prendre. A vrai dire, il était tellement fatigué qu’il n’avait même pas envie de se prendre la tête avec la moindre de ces pensées. Qu’elles continuent à luter entre elles, ces pensées et ces idées. Lui, ça lui faisait plus aucun effet tout cela. Il lui fit par la suite une remarque sur la balançoire. Chouette balançoire, comme il venait de lui dire. Donc ça s’appelait bien comme ça ? Une balançoire. Valeri ne s’était donc pas trompé dans l’appellation de ce jeu. Il se contenta alors d’hocher la tête, comme pour approuver les propos tenus par son interlocuteur. Ça devait être Seth son prénom. Oui, c’était lui. Il était nominé, il s’en rappelle maintenant. Il lui demanda alors s’il avait passé un bon prime. Avec tous les événements qu’il y avait eu. Entre cette course folle qui ne semblait pas n’en finir, puis le choix des traitres, et ensuite ce dernier défi offert par Cupidon (celui des baisers), et ensuite le choix du public au sujet des nominés. Puis il y avait aussi le sondage, la rubrique de Sydney, la côte de popularité… enfin, ça, ce n’était pas si intéressant que cela. Il porta le goulot de sa bouteille de bière, tout en portant son attention sur son camarade d’un jour. Il n’allait quand même pas le laisser sans réponse, ce serait impoli de sa part. Ainsi, il lui raconta les quelques faits de son prime. De sa non-participation au marathon… ou plutôt à son assoupissement, puisque c’était ainsi qu’il avait tourné la chose. Il évoqua par la suite l’épisode des baisers. Il avait donc embrassé trois filles, trois jolies filles. Le « jolies » avait son importance, il n’avait pas embrassé n’importe quelles filles, mais bien des jolies filles, des filles jolies. Oui, un peu comme Valeri qui avait décidé de jeter son dévolu sur trois filles. Trois jolies filles, enfin celles qu’il connaissait un peu. Il mentionna aussi Oliver… Valeri fronça légèrement les sourcils. Oliver, c’était un garçon, n’est-ce pas ? « Attends… attends… souffla-t-il alors, en lui coupant la parole. T’as embrassé un mec ? ». Enfin, il pouvait faire ce qu’il voulait, tant qu’il ne venait pas l’embrasser lui. Se faire embrasser par un autre garçon ? Ce n’était pas dans les principes de Valeri. Il lui fit finalement un petit signe de tête, l’air de dire qu’il pouvait reprendre son discours. Il parlait à présent de sa partenaire, qu’il avait perdu. C’était laquelle la sienne ? « C’était celle qui s’est retrouvée enfermée dans les chiottes ? » lâcha-t-il un brin perplexe, tout en plissant les yeux. Ou peut-être que c’était l’autre… Enfin que ce soit l’une ou l’autre, il ne les connaissait pas et ne voyait même pas qui elles étaient. Des éléments décoratifs, certainement. Le garçon lui retourna alors la question. Bon prime ? Avait-il passé un bon prime ? Il se posa la question un instant à lui-même, avant de souffler. « Plutôt un assez bon prime. J’ai cru que j’allais mourir après ces épreuves dantesques, j’ai embrassé trois jolies filles aussi, mais pas de garçon… » conclut-il alors. Il avait appuyé ses mots sur la fin de ses dires. Il était important de souligner qu’il n’avait pas embrassé de garçon. Jamais, il n’embrasserait de garçon. Valeri but une dernière gorgée de sa bière. Parler, ça donnait soif quand même. Il finit par reposer la bouteille par terre, afin qu’il soit libre de ses deux mains pour pouvoir tenir bien comme il faut les deux cordes. Il reporta son attention alors sur son interlocuteur. Il parait que ça faisait trois mille ans qu’il n’avait pas mis « le cul » dessus, comme il l’avait si joliment dit. Il lui fit remarquer alors qu’il n’était incertain de savoir comment ça fonctionnait. « Oh tu sais, ce n’est pas sorcier ça ! » souffla alors Valeri, en se laissant doucement balancer.
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MessageSujet: Re: and we don’t care about our own faults, may26th 15h15   and we don’t care about our own faults, may26th 15h15 EmptySam 1 Juin 2013 - 21:42

« Attends… attends… T’as embrassé un mec ? » Je hoche la tête, un petit air contrit au visage. Fallait bien. On m'avait pas trop laissé le choix. Et puis au fond je pouvais jouer la carte de la victime mais embrasser Oliver ce n'était pas si mal que ça. Bien sûr, il me fallait alors faire abstraction du fait qu'il s'agissait d'un homme, mais comme j'étais plutôt de ceux qui ferment les yeux en embrassant, homme comme femme, (les gens qui ne ferment pas les yeux sont tellement flippants, sérieusement) ce n'était pas réellement important, et je pouvais tout à fait m'imaginer, quand mes lèvres entraient ("entraient" à l'imparfait, marquant l'habitude, puisqu'Oliver et ma petite personne nous étions embrassé deux fois jusque-là) en contact de celles d'Oliver, que ces dernières étaient celles d'Olivia, une sublime brésilienne avec le corps de Jennifer Lopez, et l'instant devenait directement genre paradisiaque, enfin presque. « En fait, techniquement, je me suis fait embrasser par un mec, mais ouais, ne, hum, chipotons pas, ça revient plus ou moins au même. J'imagine que je suis pas au bout de mes surprises, avec ce jeu. Je pensais pas expérimenter tant de, euh, nouvelles choses, en mettant les pieds ici. » je confie, en repensant notamment au masque de peau et divers autres soins de beauté que j'avais découverts. En fait, à y penser, y'avait comme un motif récurrent là-dedans, une sorte de ligne directrice, et si je continuais à ce rythme-là je risquais bien de devenir la plus grosse tante qu'on ait jamais vu(e ?). « C’était celle qui s’est retrouvée enfermée dans les chiottes ? » Je médite trois secondes la question, enfin, plutôt la réponse, finalement, ou bien peut-être plutôt quelque chose entre les deux, justement, en guise de transition et tout. « Hum, non. C'est l'autre. Roese. L'un dans l'autre c'est pas plus mal, au final, qu'elle soit plus là, ça m'évite la gêne d'écorcher son prénom. » Je hausse les épaules. Loin de moi l'idée de paraître sans cœur ni rien, mais je la connaissais pas vraiment, Roese, on avait un peu causé le premier jour, puis que dalle, alors j'allais pas pleurer son départ, c'est pas mon genre. « Plutôt un assez bon prime. J’ai cru que j’allais mourir après ces épreuves dantesques, j’ai embrassé trois jolies filles aussi, mais pas de garçon… » Dantesque. Il a l'air intelligent ce gars. Remarque moi aussi je connais des mots sympas comme ça, je devrais les utiliser plus souvent, on me prendrait ptêtre moins pour un gros débile. Sauf qu'après tout ça me dérange pas qu'on me prenne pour un gros débile, alors faut voir. « J'espère que Cupidon va pas nous faire faire des exercices de cardio à chaque prime, ça va vite me blaser. En même temps les trucs intellectuels c'est pas spécialement mon délire non plus. Faudrait que les épreuves soient sous forme de jeux de boisson, mais là j'imagine que c'est un peu trop rêver. Et puis, hey, sois pas jaloux, ton tour viendra. » j'ajoute, taquin, en réponse à son commentaire sur le fait qu'il n'avait pas embrassé de mec. Je conçois bien que ça doit sans doute pas être son truc. Les filles keaffent se rouler des pelles, en soirée ou pour le fun, mais les mecs, en général, préfèrent éviter. Question de préserver sa virilité, etc. etc. « Oh tu sais, ce n’est pas sorcier ça ! » Pas trop convaincu, j'esquisse une moue pas très rassurée puis me lance, pas trop vite quand même, et ça tangue, on sent bien que je suis pas complètement à l'aise là-dessus, mais déjà je tombe pas et je m'en sors - je crois - pas trop mal alors y'a pas de quoi se plaindre. « Ouais ça va, je crois que je gère. » Mais ça me rajeunissait pas tout ça.

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