Ismène était en train de se mettre du vernis à ses orteils. Devant le miroir, assise sur le rebord de la baignoire. Elle était appliquée quand le bruit de la porte qui s'ouvre lui fit relever sa tête et la déconcentra. Elle se tourne doucement et elle sourit timidement en voyant Sully non seulement s'approcher, mais mettre sa main dans la sienne, alors qu'elle venait de se lever. Ca lui fait bizarre, encore maintenant, de se dire qu'ils sont ensembles officiellement. Qu'elle peut l'embrasser ou lui tenir la main où elle veut, quand elle le veut, devant les autres. Elle n'aurait jamais cru ça possible en entrant dans le jeu, même si elle a toujours cru en l'amour en entrant ici. Il lui dit qu'il est désolé, pour dimanche... Elle fronce un peu les sourcils, ne comprenant pas où il voulait en venir. Enfin si elle savait très bien qu'il parlait de l'histoire avec Valeri. De son baiser avec lui et du fait qu'il lui ait demandé de ne rien dire. Elle était prête à lui dire que ce n'était rien, qu'au finale il n'avait rien fait de mal, mais il reprend. Il dit qu'il regrette d'avoir été désagréable. Que ça l'a blasé, mais qu'il n'aurai pas du lui parler ainsi. Elle hausse les épaules en lui caressant doucement le visage : « Pourtant j'ai quelque chose à me reprocher. J'aurai du te le dire, pas te le cacher... T'as réaction était tout simplement normale... » Qu'elle tente de le rassurer. Oh non elle ne peut pas lui en vouloir pour ça, jamais. Elle le regarde avec un sourire appuyé, qui surenchérir sur le fait, qu'effectivement, elle n'a rien à lui reprocher. « Et qu'est-ce qu'il peut dire sur toi ?... » Qu'elle chuchote à son attention, fronçant un peu les sourcils. Soucieuse de le voir affecté comme ça. Elle fait une petite moue, avant de venir l'embrasser au coin de ses lèvres. « …Tu te moques de ce que pense Valeri... L'important c'est que tu saches que ce n'est pas vrai... » Elle tente de le rassurer comme elle peut. Evidemment qu'il doit s'en moquer de ce que pense Valeri ou un autre, on s'en fiche de ce que pense les autres. Le plus important c'est elle et lui, c'est tout ! Tant qu'elle, elle ne le voit pas mal, c'est le plus important non ?

« Non... Si j'ai gardé le silence, c'est simplement parce qu'il me l'a demandé... » Pas parce qu'elle ai réellement cru qu'il le prendrait mal ou une chose comme ça. Non, si elle n'a rien dit, c'est simplement parce que Valeri lui a demandé et qu'elle n'a rien contre Valeri. Qu'elle serait bien incapable de se mettre à dos Valeri, même pour Sully... Elle est comme ça Ismène. « Je ne pouvais pas te le dire, parce qu'il m'a demandé de rien dire... S'il m'avait pas demandé, je te l'aurais dis... » Elle croit qu'elle ne s'explique pas bien là, que c'est flou et du coup elle s'en veut un peu. Parce qu'elle n'a pas l'habitude d'être en couple et que ça se fait déjà ressentir. Qu'elle aurait dû penser à Sully, avant tout. Qu'il était légitime de lui en vouloir... En tout cas, le voir peiné ainsi lui faisait mal à elle. Elle était en totale empathie avec lui... C'est ça par contre être en couple. Sentir son cœur se serrer quand l'autre n'est pas bien. « S'il pense tout ça, s'il te voit comme ça, c'est qu'il ne te connaît pas... Seulement, s'il réagit comme ça, c'est qu'il a peut être une raison... Peut-être que Lena lui manque... Mais je sais que ce n'est pas une raison... » Ismène presse un peu sa main dans la sienne, avec un petit sourire gêné. « Je m'en doute... Je vivrais mal le jeu si quelqu'un venait à mal s'entendre avec moi... Je ne sais pas pourquoi il s'entête à ne pas te voir comme moi je te vois... » Qu'elle tente de lui dire avec un joli sourire, collant deux secondes sa tête contre Sully. Mais elle persuadé qu'un jour ou l'autre, il verra à quel point il est une personne très intéressante et que c'est bien bête de croire des choses pareilles envers Sully. Ismène baisse les yeux et elle regardent leurs doigts entremêlés. Il conclu alors en lui disant qu'il ne veut pas qu'il soit tenté de la monter contre lui. Elle lève les yeux vers lui, sourcils froncés et petite moue sur les lèvres. « Je sais pas s'il tentera de me monter contre toi, mais jamais il ne réussira à le faire ! Sully, écoute, je sais que je peux être parfois naïve, mais tu es trop important à mes yeux pour douter de toi à cause des dires d'une seule personne ! » Qu'elle dit, avec ses sourcils froncés, mais aussi avec un léger sourire pour le rassurer. « Ou même de plusieurs personnes... » Elle rit légèrement. Elle finit par hausser les épaules : « Laisses faire les choses... Peut-être qu'il se rendra compte que c'est n'importe quoi. Que c'est ridicule. » Elle passe de nouveau sa main sur son visage. Elle pose aussi encore une fois un baiser sur ses lèvres. Elle regarde derrière elle, la baignoire, avant de reporter son regard sur lui et avec un petit sourire : « Est-ce que tu veux que je te fasse couler un bain ? Pour te vider la tête, te détendre... » Elle le presse un peu vers la baignoire. « Ca me fait de la peine de te voir comme ça... »

Ismène lui offre un joli sourire. Sully est compréhensif et peu de personnes sont dotés de cette qualité-là. Elles sont rares ces personnes et elle, elle a eut de la chance de tomber sur l'une d'entre elle. Mais elle ne peut s'empêcher de le regarder avec peine, un pincement au cœur de le voir comme ça. Elle le trouve triste, presque abattu. Il semble vraiment tenir à ce que Valeri change sa vision de lui, tellement qu'Ismène ait envie de tout faire pour qu'effectivement, Valeri le regarde d'une autre manière. De prendre les choses en main et de lui rendre son sourire et que ce dernier voit Sully comme elle le voit. « C'est terminé ça ! Tu vas voir, je vais lui montrer qui tu es et avec moi il va changer d'avis ! » Qu'elle dit soudainement, changeant son ton affecté en un ton déterminé. Elle veut faire ça pour lui. Et puis elle se dit aussi que, si un jour elle n'a pas le sourire, il en ferait de même. Même si Ismène sans sourire, ce n'est plus Ismène... Il lui demande ensuite s'il n'a vraiment aucun souci à se faire. Vivement elle lui répond : « Non ! » Elle perd un peu son sourire finalement... « Tu en doutes ? » Qu'elle lui demande, un poil inquiète. Parce que s'il n'a nullement l'intention de l'abandonner, elle, elle n'a pas l'attention de l'abandonner non plus. Il ne peut pas douter d'elle : il est la meilleure chose qu'il lui soit arrivé ici. Il est trop précieux pour elle, pour qu'elle ait envie de tout gâcher. Au contraire, elle est prête à forcé Valeri à l'apprécier juste pour lui ! Et puis elle ne veut pas non plus qu'il s'épuise pour cette histoire. Valeri peut-être très sympa, mais elle fera toujours passer Sully avant toute chose. Si Valeri n'arrive pas à voir sa vraie valeur, c'est dommage pour lui. Alors elle lui propose alors de prendre un bain. Elle pense que ça pourrait le détendre et qu'il pourra un peu penser à autre chose. Il confirme que ça pourrait lui faire du bien, alors elle sourit. C'est ce qu'elle souhaite : qu'il se fasse du bien, tout simplement. Doucement il lui prend la taille et ses lèvres se dépose sur son front. Elle sourit, elle ne peut s'en empêcher. Surtout, lorsqu'il lui demande finalement de prendre ce bain avec lui... « Si ça peut te rendre ton sourire... » Qu'elle souffle doucement, avec un beau sourire justement. Et jamais elle ne pense à une quelconque ambiguïté. C'est Sully qui lui propose et après tout, il est celui qu'elle aime, tout simplement. Elle ne voit pas pourquoi elle refuserait... Elle se dérobe de ses bras, pour venir tourner le robinet et ainsi faire couler l'eau. Pas trop froide, pas trop chaude. Elle s'attache ensuite les cheveux avec l'élastique qu'elle a au niveau du poignet, pour ne pas être embêtée. Mais c'est finalement à ce moment-là qu'elle comprend toute la chose, enfin l’ambiguïté qui peut résider dans sa demande prendre un bain avec lui. Elle n'aura jamais été aussi proche. Elle ne peut pas dire que cette idée lui déplaît, mais elle est un peu stressé du coup tout de même. Elle se tourne un peu vers lui, un petit sourire aux lèvres. Et puis elle fait tomber sa robe à ses pieds, après avoir soigneusement enlevé ses chaussures. Elle est en sous-vêtements devant lui et, elle a beau se dire que c'est comme un bikini, elle est tout de même un peu gênée. Elle a pas de quoi : elle n'a pas de kilos en trop, ni un corps difforme. Son cœur bat la chamade et c'est encore peu dire : elle en a mal à la poitrine et en tomberait bien dans les pommes, mais elle fait bonne figure. Elle entre doucement dans l'eau et elle s'allonge tout simplement en tournant sa tête vers lui : « Je suis prête ! » Qu'elle lâche, amusée, mais avec un regard empli d’appréhension.

« D'accord... » Qu'elle lui chuchote doucement, pensant qu'il avait sûrement raison. C'est à Valeri d'évoluer, pas à elle à jouer les gros bras, pourtant elle ne peut pas s'empêcher d'ajouter... « Je ferais n'importe quoi pour toi tu sais... » En chuchotant, pour qu'il soit quasiment le seul à l'entendre. Effectivement, elle est arrivée au point où elle est vraiment prête à tout pour lui. Même si aux yeux de certains, ça pourrait être précipité. Après, elle n'espère pas que c'est pareil pour Sully. Tout ce qu'elle veut, c'est qu'il ait confiance en elle. Qu'il ne doute pas d'elle, tout simplement. C'est bien simple : tout le monde a compris et depuis longtemps qu'Ismène est incapable de faire quelque chose de mal alors, encore moins à Sully... Pourtant il semble douter. Il doute, mais elle ne comprend pas de quoi il pourrait douter... Alors il lui dit qu'il n'y a pas un jour où il se demande ce qu'elle peut bien lui trouver. Ismène expulsa un souffle en entendant le fondement de sa crainte, avec d'adopter un large sourire. Elle secoue doucement sa tête de droite à gauche. Elle rit : « Si je commence à faire la liste, on en a pour deux jours... » Elle lui donne une petite tape sur son bras, amicale, comme les potes entre eux font. « Sérieusement, je ne saurais mettre des mots sur tout ce que je ressens pour toi, mais je ne suis pas prête à te lâcher, crois-moi ! » Et puis elle lui propose un bain. Il accepte. Elle ne cherche pas à réfléchir. Elle stresse un peu pour ce nouveau contact qui se créera entre eux, mais ce n'est pas grand chose. Rien même. Ismène le suit des yeux. Elle le regarde se déshabiller, puis elle le regarde s'avancer. Elle se bouge un peu pour lui laisser la place. C'est pas pratique parce qu'il est grand et elle, pas trop petite, mais ils trouvent rapidement une position adéquate. Elle allongée sur lui, sa tête arrivant quasiment à côté de celle de Sully. Elle est bien là. Elle vient seulement se poser, qu'elle resterait des lustres là, à se prélasser avec lui. Et puis elle commence à jouer avec les doigts de Sully, lâchant une sorte de rire. C'est vrai. Pour une simple histoire de barbe, qu'il voulait couper sans réellement le vouloir. Il faut croire que certaines rencontre tiennent à peu de choses. Que si Sully n'avait pas eut de barbe, peut-être bien qu'ils n'en seraient pas là. « Barbe dont on ne sait pas encore si c'est plutôt d'elle que je suis amoureuse... ! » Qu'elle rajoute en riant. Et peut-être que la tête d'Ismène qu'elle a très souvent en l'air, lui a permis de vraiment se rendre compte à quel point Sully était quelqu'un de drôle et gentil. Si elle n'avait pas perdu ses pantoufles, comme il le lui rappelle si bien, ils ne se seraient pas parlé. « Oui de pandas !!! » Qu'elle lâche, en tournant un peu sa tête vers lui. « Depuis, je ne les ai plus jamais perdu ! » Qu'elle dit, avec un petit sourire amusé. De toute manière si elle les perd, pense-t-elle, Super Sully viendra les retrouver !... Et puis finalement il lui fait une confidence qui la chamboule. Il lui dit que ce jour-là, elle a bouleversé sa vie. Qu'il a su qu'il la voudrait dans sa vie. Elle continue de regarder leurs doigts liés, lâchant un soupire de bonheur et d'aisance, mais elle n'ose pas tourner son visage vers lui de peur qu'il voit cette légère larme coulant sur le contour de sa joue. Une larme de joie évidemment, de bonheur. Elle ne dit rien, mais en fait elle c'est carrément depuis leurs baisers échangés au prime, leur du défi. Elle avait délibéré choisi d'embrasser Sully sans même le connaître, parce qu'elle se sentait attirée sans jamais osé le dire... Et maintenant elle se trouve dans ses bras et c'est contre son corps qu'elle se blotti. Elle ne sait pas s'il a vu sa larme – inédite ici parce que pleurer n'est pas Ismène – mais elle passe rapidement sa main mouillée sur son visage, pour que l'on ne puisse plus dissocier larme et goutte d'eau. Non pas qu'elle ait honte, mais parce qu'elle n'a pas l'habitude et puis, parce qu'elle se trouve soudainement trop sensible. Elle laisse passée alors quelques secondes de silence, avant de reprendre : « Je me demandais... Ca ne t'embête pas de ne pas connaître mon secret ? » Qu'elle lui demande doucement, tournant légèrement son corps vers le sien et plantant son regard doucement dans le sien. C'est vrai, elle connaît son secret à lui, mais lui ne connaît pas le sien à elle... Ca aurait pu être un obstacle.  

Sully ferait tout pour elle également. Elle n'est pas méchante, mais effectivement elle serait prête à tout risquer et elle se sent très heureuse de savoir que lui aussi. Ils sont tout simplement en symbioses et c'est merveilleux. Elle aime se savoir protégée de la sorte avec lui et c'est tout ce qui compte après tout. Être bien, se sentir protégée autant physiquement que moralement et se sentir aimée également. Oui, elle se sent merveilleusement aimé avec Sully. Elle a l'impression d'être l'être le plus merveilleux avec lui et c'est un rêve qu'elle n'aurait jamais cru possible. Vraiment. Elle sourit doucement lorsqu'il lui dit que c'est la plus belle façon d'être rassuré. Elle comprend qu'il aura sûrement des doutes plus tard et elle sera là, toujours, pour les effacer. Elle sera toujours là aussi pour le faire rire quand ça ne va pas, le calmer s'il est en colère. Enfin, elle veut être toujours là pour lui, dans la limite du raisonnable. Qu'elle soit présente, mais pas envahissante tout de même. Qu'elle soir présente comme en ce moment, dans la baignoire. Un moment calme, doux. Qu'elle l'écoute parler. Qu'ils partagent déjà ces bons moments. Elle parle alors de sa barbe, rigolant encore du fait qu'elle pourrait aimer plus celle-ci que Sully carrément. Effectivement, ça serait réducteur de l'aimer que pour elle. Alors elle acquiesce doucement, pourtant s'amusant à lui tirer cette fameuse petite barbe, alors qu'il fait mine d'être vexé. Elle ne peut pas mentir, elle trouve toujours que ça lui va bien et elle trouve ça tout doux. Pourtant, elle serait incapable de l'aimer que pour ça. Justement, il parle de la raser pour voir si c'est vraiment d'elle qu'elle était attirée. Alors elle secoue doucement sa tête de droite à gauche en levant les yeux au ciel. Il dit vraiment n'importe quoi. « Tu dis n'importe quoi ! » Qu'elle lui dit vraiment, parce que non, jamais Ismène n'irait l'aimer juste pour un détail physique. Surtout physique. Il parle aussi de ses pantoufles pandas, qui n'ont plus jamais disparu depuis. Il a la bonne explication, elle en est sûre : c'est vrai, elles ont décidé de se tenir à carreaux depuis... Ou elles n'osent plus bouger de peur de se retrouver dans cette même galère. En tout cas, elle rigole joyeusement, avant d'être bouleversée par ce que lui dit Sully. C'est très émouvant de l'entendre dire qu'elle est entrée ainsi dans sa vie. Qu'elle a bouleversé sa vie, qu'elle compte autant pour une personne. « Oui oui. » Qu'elle lui répond quand il lui demande si ça va, en tournant sa tête vers lui, un léger sourire aux lèvres. « Ca n'a jamais été aussi bien... » Qu'elle le rassure, sans réellement lui dire pourquoi cette larme a coulé sur sa joue. Il a sûrement compris qu'elle était agréable bouleversée... Mais c'est plutôt rassurant de voir qu'il s'en préoccupe. Qu'il se moque de son secret aurait été très vexant et synonyme qu'il s'en moque alors que non. Non, il est un peu préoccupé et c'est peut-être la meilleure des choses. Du coup elle ne peut pas s'empêcher de sourire, jouant toujours l'une des mains de Sully qu'elle s'amuse à immerger puis à lever dans les airs comme un oiseau. Et elle comme une enfant. Elle l'écoute parler, des traîtres et que ça le rassure qu'elle n'en est pas une... Elle lâche un rire. « J'aurai fait une très mauvaise traître... » Elle le regarde en rigolant et encore, elle pince ses lèvres pour ne pas rire de bon cœur. « Je crois qu'ils m'ont vu arrivé... J'aurai pas pu être discrète... Et puis j'aurai jamais pu nominer gens non plus, je n'aurai jamais assumé. Ca se serait vu su mon visage, t'sais, j'aurai toujours eu de petites grimaces et tout et puis, toujours la tête baissée. Enfin tu vois... » Mais contrairement à beaucoup, elle n'a rien contre les traîtres. Ce n'est pas de leur faute s'ils l'ont été, mais de la production. Ils ont joué, tout simplement... Mais après ce n'est que sa manière de voir à elle... Il lui pose alors une question, totalement légitime, à laquelle elle s'attendait. C'est pour ça qu'elle lâche un léger rire presque immédiatement. Est-ce que la révélation de son secret peut tout remettre en question entre eux ?... « Non... Non absolument pas ! » Qu'elle répond, ses lèvres pincées. Pas parce que ça peut-être le cas et elle n'ose le dire, mais parce que si ça peut causer quelque chose, c'est peut-être un peu de moqueries de la part de certains et encore, elle s'en moque. Elle dépose un baiser au creux de son cou, avant de caresser doucement sa nuque. « Ne t'inquiète surtout pas pour ça, rien ne changera... Absolument rien ! » Elle a l'impression dans dire un peu plus sur son secret, un peu trop, même si ce sont des détails anodins. Ce n'est qu'un détail. En tout cas, effectivement, il ne doit pas avoir peur pour ça. « Je posais la question, juste comme ça. C'est peut-être méchant, mais voir que tu t'inquiètes, ça me rassure ! » Qu'elle lui avoue au final, avec un beau sourire. Elle prend un peu de mousse, parce qu'elle soigneusement pris la peine de mettre un peu de moussant en faisant couler le bain. Elle prend un peu de mousse alors et elle en pose sur le bout du nez de Sully. En rigolant. « Mais j'ai un peu honte de mon secret tout de même... Non pas du secret en lui même, mais parce qu'il est peut-être plus léger que certains... » Et elle pense par exemple à celui d'Avalon.