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 IN A MANNER OF SPEAKING, OCTOBER 19TH

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Orson

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MessageSujet: IN A MANNER OF SPEAKING, OCTOBER 19TH   IN A MANNER OF SPEAKING, OCTOBER 19TH EmptyLun 14 Oct 2013 - 14:43


SATURDAY, 04:07PM
in a manner of speaking
starring orson & judith

En cette fin de matinée, la lumière du soleil se répandait en carrés pâles sur le sol et les particules de poussière flottaient, baignées d'air lumineux. Il voyait par la fenêtre de la cuisine le miroitement plat de l'étang qui s'incurvait bien au-delà de la ligne brouillée de l'horizon. Le jeune homme préparait activement un panier de pique-nique pour le déjeuner. Et Judith était de la partie, ayant accepté son invitation au préalable. Il revit une seconde fois le menu dans son intégralité, tout en vérifiant le contenu de son panier en bois d'osier. A sa grande satisfaction, il ne manquait rien. Couverts, entrées, vin, club sandwichs. Tout y était. C'est soulagé qu'il recouvrit le dessus du panier d'une nappe vichy. Il attrapa ce dernier et rencontra dans le hall l'américaine qui l'attendait avec un sourire accueillant. Il la salua d'une œillade. Dehors, ils marchèrent côte à côte. Un soleil radieux illuminait le ciel azuré tandis qu'ils foulèrent de leurs pieds la pelouse impeccable entretenu du jardin. L'anglais sortit de la poche de sa veste une paire de lunettes de soleil pour protéger ses yeux des rayons. Ils déambulèrent le long des terrasses d'herbes. Ils se trouvèrent un endroit où se poser sous un des arbustes. Orson étendit la nappe sur l'herbe pour qu'ils puissent s'y étendre sans se salir. Ils mangèrent leur déjeuner tranquillement et savourèrent le temps ensoleillé, accompagné de vin et de bonne nourriture. Ils restèrent longtemps, s'enfermant dans une bulle de confort et de détente. Ils en oublièrent le temps qui passait à un rythme plus lent que d'habitude. C'était le début d'après-midi. L'anglais lisait un ouvrage sur les préraphaélites, la jeune femme s'étant assoupie sur les cuisses de ce dernier. Il ne le remarqua que quand il décolla son regard céruléen d'un tableau de Rossetti. Il déposa son livre à plat sur la nappe et entreprit d'enlever sa veste qu'il glissa sous la joue de Judith s'en servant comme d'un oreiller. Un sourire plaisant ornait ses lèvres alors qu'il reprit la lecture de son livret. Soudain, elle se réveilla.
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MessageSujet: Re: IN A MANNER OF SPEAKING, OCTOBER 19TH   IN A MANNER OF SPEAKING, OCTOBER 19TH EmptyLun 14 Oct 2013 - 18:19

Puisque le temps décidait d'être clément il était décidé que nous allions pique niquer, proposition d'Orson que je n'aurais pu refuser. Je crois que j'avais besoin de cela d'un moment simple de tranquillité, sans prise de tête, de questionnement, de pleurs ou tout autres choses qui ont rythmé ma semaine. Je me prépare tranquillement choisissant un pull que je ne mettrais qu'en cas d'extrême fraîcheur. Je vérifie machinalement que ma bague se trouve toujours là où elle doit être. Après la frayeur du début de semaine je crois que je suis un peu parano sur les bords. J'ai l'impression qu'elle passe son temps à glisser quand en réalité elle ne bouge pas d'un iota. Je descends tranquillement les marches me rendant au hall, habillé légèrement. J'ai laissé le soin des préparatif à Orson, de toute manière je ne crois pas qu'il m'aurait laissé le choix. L'on se retrouve dans le hall, synchronisation parfaite. Je lui offre un sourire l'un des rare de ma semaine, mais je ne pourrais faire autrement puisque l'idée même de me retrouver en sa compagnie me réjouit sincèrement. Le silence accompagne nos pas en direction de l'endroit idéal pour ledit pique nique. Dès que nous arrivons sur l'herbe je m'appuie sur l'épaule d'Orson le forçant gentiment à s'arrêter le temps d’ôter mes sandales. La sensation des brins d'herbes parfaitement coupé qui se mêlent à mes doigts de pied est divine. L'endroit idéal étant trouvé nous nous installons, nous mangeons, discutons et puis nous prélassons. Je le laisse à son ouvrage alors que je m'installe tranquillement la tête sur ses cuisses m'amusant comme une enfant avec une fleur sauvage, irréductible petite fleur ayant trouvé un chemin près du tronc d'arbre. Je me sens bien, tellement bien que rapidement je m'endors dans cette même position, bras ballants autour de mon corps et tête bien installé sur ses cuisses. Cette sieste est bien mérité, j'en avait réellement besoin. Je ne sens que très peu ma tête se relever et se rabaisser sur un tissus des plus agréable. Je continue de dormir quelques minutes encore je crois, ou peut être seconde je n'en sais rien. Jusqu'à ce qu'un rayon de soleil malicieux vienne se déposé sur mes yeux clos qui bientôt se froncent, s’animent et s'ouvrent sur les branches d'un arbre européen. Je laisse pivoter ma tête et rencontre le visage d'Orson plongé dans sa lecture. Je me relève doucement et reconnais sa veste qui se trouvait sous ma tête endormis. Je souris. « Tu sais j'aurais pu dormir très très longtemps comme ça. » Je lui confie amusée. Il aurait dû me réveiller. Je viens me mettre à sa hauteur et tire sur son livre pour que je puisse en lire le contenu. « Est-ce qu'un jour tu as ressentit que l'art ne te suffisait plus ? Que même cette passion ne devenait plus une des raisons pour laquelle se lever le matin devenait facile ? » Je lui demande réellement curieuse. Parce que j'ai l'impression qu'il n'en a jamais assez, qu'il dévore tout ce qui touche à l'art sans s'en rassasier.
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MessageSujet: Re: IN A MANNER OF SPEAKING, OCTOBER 19TH   IN A MANNER OF SPEAKING, OCTOBER 19TH EmptyMar 15 Oct 2013 - 19:08

Alors qu'hier, il pleuvait des cordes. Le ciel leur accordait une journée des plus radieuses. Ainsi, il eut l'idée d'un pique-nique au grand air. Autant profiter de beau temps tant qu'on le peut. Ce serait du gâchis par ailleurs. Pour l'occasion, il invita Judith à déjeuner pour lui faire changer les idées car ces derniers temps, il avait remarqué sa mauvaise mine. Il espérait fortement que ledit pique-nique lui remonterait un tant soit peu le moral. Pendant qu'il s'activait à préparer le panier, il en profita pour y glisser un bocal de bâtons de réglisse rouge dedans. Il se souvenait que c'était ses préférés. Une fois que tout était prêt, il embarqua la corbeille en osier au passage et pénétra dans le hall où il croisa son invitée du jour. Elle était de toute beauté, qu'il s'empressa de lui faire remarquer en se dirigeant vers la sortie. Côte à côte, ils marchèrent sans dire mot.  Dès qu'il foulèrent l'herbe verdoyante de leurs pieds, Judith le stoppa dans sa marche. Il patienta. Le temps qu'elle se déchaussa. A l'arrivée, elle se retrouvait pieds nus à savourer le gazon entre ses orteils. Il vit le sourire satisfait qu'elle arborait le long du chemin. Un sourire qui le rendit un tantinet rêveur. Ils se posèrent dans un coin d'herbe légèrement en retrait. Sur la nappe avaient été disposés sandwichs et couverts. Ils se restaurèrent, mangeant à s'en remplir la panse. Les discussions fusaient. Ils digéraient en toute tranquillité. Le temps passa. L'heure de la sieste pour la jeune femme qui s'endormit sur ses cuisses tandis qu'il parcourait les pages d'un livre d'art. Tellement absorbé par sa lecture, il finit par lever le nez de son ouvrage et couvrit du regard une Judith dormant à poings fermés. Il en profita pour fourrer sa veste sous sa tête. L'instant d'après, elle rouvrit les yeux. Elle aurait pu dormir indéfiniment, lui confia-t-elle avec amusement. - Rendors-toi alors., qu'il ne tarda pas à lui répliquer, un rictus en coin tout en tournant une page de son ouvrage. Elle se redressa pour découvrir ce qu'il était en train de lire avec tant d'assiduité. Il croisa son regard quand elle lui demanda ses ressentis sur sa passion sur l'art. Pouvait-il vivre sans ? Il en était incapable. Il referma son livre et plongea ses prunelles dans les siennes. - Jamais. Je ne m'en lassera jamais. C'est plus fort que moi. Il y a tant d’œuvres à voir, à découvrir que je ne suis pas encore rassasié de tout ça. Il n'imaginait pas sa vie sans art. Il aimait les belles choses. Il était un esthète avant tout. Admirateur de beautés sous toutes ses formes et collectionneur à ses heures perdues. Il avait su très tôt qu'il en ferait son métier. Contrairement à son paternel qui le voyait dans la haute magistrature et autres. - Pourquoi cette question ? Il arqua un sourcil interrogateur. Ses doigts se glissèrent dans la chevelure de l'américaine pour retirer des pétales de fleurs qui s'y étaient coincées.
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MessageSujet: Re: IN A MANNER OF SPEAKING, OCTOBER 19TH   IN A MANNER OF SPEAKING, OCTOBER 19TH EmptyMar 15 Oct 2013 - 23:52

Bien sûr que j'allais accepter cette proposition, je ne me voyais pas dire non. Parce que j'étais sûre que j'allais passer un bon moment tranquille et surtout en très bonne compagnie. J’eus droit à des compliment sur ma tenue, à des sourires, des rires et une conversation des plus animé, sans oublier les délicieux sandwich qu'il nous a préparé. C'est donc plutôt facilement que je trouve le sommeil lorsque le moment en vient à la détente plutôt qu'à la conversation. Je n'ai pas très bien dormis toute cette semaine et cette petite sieste est des plus vivifiante. Mais forte heureusement je me réveille, parce que sinon j'aurais dormis encore très très longtemps et je me serais sentis encore plus fatigué. - Rendors-toi alors. Je fais non de la tête un fin sourire sur les lèvres. « Si j'entre dans le sommeil profond je vais probablement me mettre à ronfler. » Je lui confie un brin gêné par cette révélation. Les filles ne ronflent pas c'est bien connu. Pourtant si je ronfle et plutôt fort ce qui en étonne plu d'un compte tenu de ma taille fine. Je me rapproche de lui pour regarder son ouvrage. Sur l'art bien entendu, j'aurais du parier. Une question me vient à l'esprit et bien entendu je n'attends pas plus longtemps pour la lui poser. - Jamais. Je ne m'en lassera jamais. C'est plus fort que moi. Il y a tant d’œuvres à voir, à découvrir que je ne suis pas encore rassasié de tout ça. Je souris et lui offre un regard complice. Cette passion dévorante je trouve ça beau, fascinant et admiratif. Mais je ne sais pas si c'est naïf de pensé comme ça. Parce qu'avec le temps les choses s’essoufflent indéniablement. Ou alors c'est qu'on n'y met pas assez de coeur ? Je ne sais pas. Je décroche un instant jouant avec ma bague de fiançailles. Il me fait revenir sur terre en me demandant pourquoi je lui pose cette question. Ses doigts fins viennent retirer quelques pétales que j'ai du déposer dans mes cheveux par mégarde lorsque je me suis endormis. J'attrape sa main. « Tu as vraiment des mains de pianistes. » Je lui dis en la retournant pour la regarder. Je n'ai pas répondu à sa question à mon tour d'être mystérieuse. Je ne quitte pas son regard et finit par lâcher sa main. « C'est juste que j'ai l'impression qu'un jour ou l'autre ça va prendre fin, tu sais comme si toutes les meilleures choses dans une vie devaient prématurément prendre fin. Une passion... l'amour.. » Je mordille ma lèvre inférieur. « Une belle amitié. » J'ajoute pour tempérer mon propos. « C'est cruel de nous laisser miroiter un avenir heureux et puis de juste... je ne sais pas... comme si en plein milieu d'une pièce de théâtre dont tu connais pas la fin les lumières de la scène s'éteignent et que le rideau rouge se ferme... c'est cruel. » Je lui pique son livre et l'ouvre sur une page au hasard. J'en feuillette les pages avec délicatesse. Je suis plus musicienne que férue d'art malgré la profession de ma mère, mais je reste sensible à ce que je vois bien que je ne saurais l'expliquer. « J'ai entendue dire que tu faisais tourner la tête d'une fille en particulier ici. » Je dis taquine sans quitter le livre des yeux. « Zoey c'est ça ? » Je le regarde enfin rieuse, je suis certaine qu'il ne veut pas m'en parler, mais moi je vais lui tirer les vers du nez.
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MessageSujet: Re: IN A MANNER OF SPEAKING, OCTOBER 19TH   IN A MANNER OF SPEAKING, OCTOBER 19TH EmptyMer 16 Oct 2013 - 22:17

C'était paisible et réconfortant, un après-midi agréable comme celui-ci au soleil. Il lisait, elle dormait. Il ne voulait pas la réveiller. Il aurait du, lui confia-t-elle parce qu'elle ronfle quand elle dort trop profondément. - Ce serait très agréable à entendre, j'en suis sûre., qu'il finit par rajouter à la suite de son propos. Il s'esclaffa et reprit sa lecture, comme si de rien n'était. Maintenant qu'elle était réveillée, la discussion repartit sur tout autre chose. Ils vinrent à discuter de la passion de Orson pour l'art. Il lui donna ses impressions sans détour. Sans s'y attendre, elle s'empara de la main de l'anglais. Son regard s'attendrit. Des mains de pianiste, dit-elle. - Les tiennes sont plus jolies., qu'il répondit d'une voix emplie de chaleur. Sa main dans la sienne, il fut attendri par la douceur de sa peau. Elle lâcha sa main, bien trop à son goût. Il rabattit sagement sa main sur le côté.  Elle répondit enfin à sa question et lui expliqua que toutes les meilleures choses avaient une fin. Cela lui procurait alors un sentiment d’inachèvement qu'il comprenait parfaitement. Ses traits s'affaissaient au fur et à mesure qu'elle parlait.  Il ne savait que dire pour la rassurer. Il ramassa une fleur sauvage qu'il déposa dans les cheveux de l'américaine. - Le fait que tout soit périssable rend les choses de la vie d'autant plus précieuses. C'est ce qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue. Même si tout cela risque de s'arrêter un jour, il faut continuer à vivre malgré tout et d'avancer car on passera à côté de plein de choses. J'ai appris avec le temps que cela ne sert à rien de s'accrocher au passé. La vie est courte. Autant en profiter, tu ne trouves pas ? Il avait connu son lot de malheurs. Certaines cicatrices n'étaient pas prêtes de se refermer. Il pensait que le temps finirait par panser les blessures. Il avait appris à vivre avec, bien que cela continuait parfois à le ronger de l'intérieur. Pleurer sur son sort était à ses yeux la pire des faiblesses. Il se dévoilait très peu. Il était du genre renfermé. Il avait toujours éprouvé une certaine difficulté à s'ouvrir aux autres. Elle lui vola son ouvrage sous son nez. Il la laissa faire et l'observa en train de tourner les pages d'un regard rêveur. Elle lui parla de Zoey, le prenant un peu de court. Il afficha un visage serein, plongeant ses yeux dans les siens. Il acquiesça. - Ce sont les bruits qui courent, en effet. Il ne pouvait le démentir puisque certains images avaient circulé durant le prime. Il ne s'en cachait pas. Il n'avait pas du tout honte d'ailleurs. Les candidats n'hésitaient pas à s'envoyer en l'air. Il sortit de la poche de son pantalon son étui à cigarettes. Il en cala une à la commissure de ses lèvres. Il s'inclina légèrement vers elle et la gratifia d'un murmure complice : - Ma vie sentimentale t’intéresse aussi, on dirait ? Il le disait avec une certaine légèreté. Il savait qu'elle lui portait un intérêt particulier. Il n'aurait jamais imaginé qu'elle lui poserait ce genre de questions. Elle était fiancée. Il avait remarqué la bague à son doigt dès leur première rencontre. Cela l'avait toujours interloqué, mais il n'osait jamais aborder ce sujet avec elle. Il fermait les yeux sur cela volontairement.

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