Magnifique soleil. Températures chaudes. Je commence sérieusement à m’y habituer à ce climat. Et y prendre peut être un peu trop gout. Parce que le choc va être violant quand je vais revenir dans mon Québec natale. Ou c’est plus la doudoune qui est d’usage plutôt que le maillot de bain. C’est quand même agréable de pouvoir passer ses journées en short, tshirt, tong, et profiter du soleil. Bronzer. J’en avais définitivement besoin de ça, bronzer, moi qui était toute blanche. Bon il y a encore du travail à faire, c’est plus sur la durée moi. Il faut le temps que ça prenne. Heureusement je ne fais pas parti de ceux qui se prennent des coups de soleil direct et deviennent tout rouge. Je plains les roux. Blanc comme des cachets. Puis rouges comme des écrevisses. Cela me fait penser, y a des roux dans le jeu ? Beaucoup de blonds oui.  Mais des roux ? Je ne sais pas, je ne crois pas. Ah si la candidate qui s’est fait éliminée. Un rapport ? Allez savoir. Bref, vêtue d’un mini short, un haut de maillot de bain, et des lunettes de soleil sur le nez, je décide de me rendre à la plage. Je sais qu’il est un peu tard, et que le soleil va bientôt se coucher, mais j’aime bien cette ambiance, puis ça sera un beau spectacle à regarder. Pour me rendre à la plage, il faut passer par la foret. Où je rencontre un candidat, que je viens d’effrayer, apparemment. C’est fou ce que les hommes sont facilement impressionnables dans ce jeu. « Serais tu en train de me mettre dans le même panier que tous les animaux ? » Mais oui j’en ai bien l’impression. « Tu fais quoi ? T’es à la recherche de ton souper ? » Peut être qu’il chasse. A mains nues ouais.