J'avais peur de tout faire rater. Jusqu'à là je m'en étais brillamment sorti, mais ce n'était pas aisé que de réussir un divin petit-déjeuner lorsqu'on était dans une autre cuisine. Heureusement pour moi, il s'agissait d'une cuisine à l'américaine, si bien que j'avais l'habitude de ce genre d'installation, mais j'avais peur d'une seule chose : Rater mes pancakes. Je faisais les meilleurs pancakes de ma ville, même si je n'étais pas très bonne en cuisine, sur ce sujet là, j'étais imbattable, c'est donc avec une grande classe naturelle que j'en prépara une vingtaine. Puis devant l'énorme quantité de nourriture dont j'allais devoir faire face, je compris que je m'étais un peu trop précipité sur ce coup-là, puis alors que j'en piocha trois que je posa dans mon assiette, j'y ajouta le plus merveilleux des accompagnements : Du sirop d'érable. C'était mon petit péché mignon, mais c'était tellement bon, puis après avoir mangé tel une ogre mes trois pancakes, je regarda, soucieuse, l'assiette rempli par une quinzaine de pancakes. Faisant la moue, ne voulant pas les jeter, mais ne voulant pas les manger non plus, je réfléchissais longuement, jusqu'à ce qu'un garçon à lunette fit irruption dans la cuisine et là mon visage s'illumina, sourire malicieux au lèvre. Se levant du tabouret, je me positionna devant le garçon, histoire de lui bloquer la route. « Salut » fut la seule chose que je lui déclara, avant de finalement lui faire montrer l'assiette rempli de pancakes. « Si tu manges tout, tu remportes un lot génial à la fin. » lui dis-je, pas sûr qu'il accepte aussi facilement, mais j'avais encore beaucoup de ficelle à mon arc pour l'obliger à m'aider à finir toute cette nourriture que je n'avais aucune envie de gaspiller.

Il était tôt, j'avais peu dormi. Presque pas dormi pour dire vrai. Je n'aimais pas le contact physique pendant la nuit, enfin, avec des amies why not mais là, on me demandait carrément de partager mon plumard avec une inconnue. Je n'avais rien contre elle mais je n'étais pas prêt à cela. Prêt à beaucoup de chose dans ce jeu mais pas à cela et c'est pour cette raison que j 'avais très vite fuis mon lit et m'était retrouvé dans le labyrinthe en pleine nuit. C'est une expérience à vivre comme une autre. Après, je m'étais tout simplement dirigé vers l'un des canapé où j'avais achevé le peu qu'il me restait à dormir puisque très vite je fus réveillé par des bruits provenant de la cuisine et avec ça, une délicieuse odeur de pancakes. Guidé par mon estomac, je suivis l'odeur succulente qui me mena tout droit à la cuisine où je vis ... merde, je connais pas son nom. Mais la blonde se trouvait derrière les fourneaux « Salut »« Salut » lui avais-je répondu aussitôt, me demandant si je devais la supplier pour avoir à manger ou non. « Si tu manges tout, tu remportes un lot génial à la fin. » Bon, visiblement c'était gratos. Trop cool. « et c'est quoi ton lot trop génial ? » en réalité j'avais tellement faim que j'aurai pu avaler un hippopotame tout entier, seulement j'adorais titiller les gens. Ne pas accepter tout de suite faisait partie de ma petite fierté d'homme en fait. J'adorais me faire désirer.

L'arrivé du jeune garçon dans la cuisine était tombé à pic, je crois même que c'était son jour de chance, vu qu'il allait se régaler, enfin encore fallait-il qu'il est les même goûts que moi, car j'avais beau dire que je faisais les meilleures pancakes de chez moi, seule moi et ma fille y avons goûté et c'était donc son avis que j'avais pris en compte et elle m'avait dit se régaler. Je lui proposa gratuitement le reste de mes pancakes pour un lot qui serait géniale, encore fallait-il vraiment que je trouve le lot qui pourrait faire plaisir à ce garçon que je connaissais ni d'Eve ni d'Adam, enfin vu la chance que j'avais pour deviner ce qui pourrait faire plaisir au gens, peut être que là encore ma bonne étoile m'aiderait. Le regardant attentivement de bas en haut, je souris de plus belle. « Tu peux gagner une nouvelle paire de lunette ou encore un an d'abonnement gratuit à ma bande dessiné, c'est pas la classe ça ? Par contre, c'est un jeu dans un temps limité, il te reste dix secondes pour te décider. » déclarais-je, histoire qu'il n'est pas vraiment le temps de réfléchir, puis histoire de le pousser à dire oui tout de suite, je continuais de l'harceler. « neuf, huit, sept ... » comptais-je, d'un air malicieux, espérant que sa marche ou je devrais trouver une autre personne prêt à manger la seule nourriture que j'étais sûr de réussir.

Mon ventre allait bientôt grogner et celui-ci me trahirait. Plus je regardais les pancakes sur la table, plus je sentais la faim qui me rongeait. Au réveil, je suis un goinfre. Je mangeais mes céréales dans un saladier à mon adolescence parce que les bols étaient trop petits ... Alors voyez, je mange beaucoup. « Tu peux gagner une nouvelle paire de lunette ou encore un an d'abonnement gratuit à ma bande dessiné, c'est pas la classe ça ? Par contre, c'est un jeu dans un temps limité, il te reste dix secondes pour te décider. » Un sourire se dessina sur mon visage. « Je veux bien les lunettes ... par contre, je ne lis pas les B.D ... Je ferais peut-être un effort pour la tienne. Elle parle de quoi ta petite BD? » Je suis plus roman que BD. Je lis plus encore les petits journaux que les BD en fait. Contrairement à beaucoup de garçon, ça ne m'a jamais attiré plus que ça. J'ai bien entendu lu quelques pages de certaines, le petit Spirou par exemple. « neuf, huit, sept ... » Son petit compte à rebours commença et celui-ci m'amusait un peu. «six ... cinq, moi aussi je sais compter tu sais. »J'affichais un large sourire et décidai de m'asseoir à table, face à l’assiette remplie de pancakes. J'attrapais alors l'assiette et m'empiffrait le premier pancakes. J'étais affamé et mon geste lui montrait bien que j'acceptais la proposition qu'elle m'avait faite. J'attaquais directement le deuxième, j'étais pas du tout glamour à manger comme un cochon en fait. «Chai quoi ton chnom ? » Je ne cessais de manger, une troisième, une quatrième, une cinquième. C'était réellement délicieux. « Ch'adore, ch'est délichieux. »

Il était amusant ce garçon que j'avais en face de moi, enfin jusqu'à ce qu'il me dise qu'il ne lit pas de BD. Mon dieu, il ne savait pas du tout ce qu'il ratait, enfin après il fait ce qu'il veut, je n'allais pas me mettre à juger ses goûts, mais j'essayais de m'imaginer sans bande dessiné ou sans un épisode stars wars et franchement, c'était beaucoup trop dur de faire ça, mes BD étaient tout pour moi, comme un deuxième enfant, car il est clair que ma Daleesha passait avant tout, mais malgré tout, je ne pourrais jamais sacrifier par exemple mon exemplaire unique de capitain américa, signé par Jack Kirby lui-même, imaginez-vous que le type soit mort en 1994 à l'âge de soixante-seize ans, vous voyez l'âge de ma bande dessiné et son prix inestimable ? Enfin là n'était pas le sujet, il me demandait de quoi parlait ma BD et étant une vraie ''geek'' comme on me désignait si bien, je pouvais parler pendant des heures de ma passion. « C'est l'histoire d'explorateur humain qui s'échoue sur une planète inconnue. Si tu veux en savoir plus, ça fera deux dollars cinquante la BD. Je n'accepte que la monnaie américaine, je ne prends pas les chèques, ni les cartes bancaires, sauf s'il y a le mot de passe qui suit, bien entendue. » lui dis-je, en rigolant à ma propre blague, ne sachant pas vraiment s'il trouvait ça drôle ou non, en tout cas, moi je me faisais rire, c'était un bon début, n'est ce pas ? Puis lorsque j'imitais un compte à rebours, il fit de même en disant qu'il savait compter, ce qui me fit rire de nouveau, avant de le voir littéralement sauter sur les pancakes, voilà. J'avais trouvé le moyen de m'en débarrasser sans pour autant les jeter. Fière de moi, je l'écoutais parler la bouche pleine, ce qui pourtant ne me gênait pas, car on avait exactement les même manière, bien que ça passait plus difficilement auprès des gens lorsque c'était une fille qui avait ce genre de manière. « C'est Marley. Comme Bob, tu dois connaître ? » lui demandais-je, sur qu'il savait de qui je parlais, puisqu'on parlait juste de celui dont mes parents voyaient comme un dieu vivant -hélas pour lui, il était mort- puis ce fut à mon tour de lui demander son nom. « Et toi c'est ? » Puis lorsqu'il complimenta mes talents culinaires, je le gratifia à l'aide d'un grand sourire.

« C'est l'histoire d'explorateur humain qui s'échoue sur une planète inconnue. Si tu veux en savoir plus, ça fera deux dollars cinquante la BD. Je n'accepte que la monnaie américaine, je ne prends pas les chèques, ni les cartes bancaires, sauf s'il y a le mot de passe qui suit, bien entendue. » Bon okey ... ce n'était pas du tout ce que je lisais. Mais alors pas du tout. Moi j'étais vraiment dans le monde réel. Un peu d'imaginaire ne me dérangeait pas mais dès qu'on parlait de planète inconnue, j'abandonnais. « Mon petit frère t'aurais adoré, vraiment et il t'aurais volontiers donné l'argent que tu réclames mais bon, je pense que moi, je vais m'arrêter là dans ton petit résumé. » Je ne pu m'empêcher de rire un peu à sa petite blague. C'était l'humour auquel j’adhérais. M'étant jeter sur les pancakes, je suis un putain d'homme faible qu'on tient par l'estomac. Je pense que plus tard, quand je serai prêt, c'est une cuisinière que je demanderai en mariage. Elle me préparera de chouettes petits trucs qu'elle inventera rien que pour moi. Et puis elle pourra appeler ses plats par mon prénom pour me faire un petit hommage. « C'est Marley. Comme Bob, tu dois connaître ? » Un nouveau sourire fendit mon visage et je m'arrêtais enfin de manger un peu. Il devait rester six pancake dans l'assiette mais je me faisais confiance, j'arriverai à tout manger. « Ha ouais ... Bob, un pote à moi. Je le connais. » Je savais bien de quel Bob elle parlait. Enfin, il était difficile de passer à côté. Je pense que tout le monde a déjà entendu le nom de cette personne. Bob Marley. Cet idole que beaucoup admiraient. « Et toi c'est ? »« Je m'appelle Manech ... Comme ... Comme ...personne en fait. » Je pouvais réfléchir tant que je voulais, je ne connaissais personne qui portait le même prénom que moi. Cela s'expliquait peut-être par ma localisation géographique, mon prénom est basque et je viens d'Amérique. « Tu me feras encore à manger ? » Encore une fois, je plongeais dans mon assiette pour engloutir ce qui s'y trouvait.

Les goûts et les couleurs ne se discutent pas, c'était exactement cette phrase à laquelle je pensais lorsque je regardais le garçon face à moi. C'est clair que même si on venait juste de se rencontrer, le fait qu'il n'aime pas les BD, j'avais l'impression qu'on avait rien en commun, sauf la nourriture et les mauvaises manière, comme quoi, même les défauts peuvent réunir des gens, non ? Ainsi, il me parla de son petit frère qui m'aurait adoré et je continuais donc à sourire, contente de savoir qu'une personne pouvait déjà m'apprécier à l'extérieur. « Et ben, ça aurait été réciproque si je l'aurais rencontré. » lui dis-je, le plus simplement, continuant de le regarder manger, alors que moi, j'étais écœuré par le nombre de pancake que j'avais déjà plus manger, j'avais en face de moi un véritable ogre, c'était assez divertissant à regarder, puis arriva le temps des présentations où je lui donna mon nom, sans oublier de parler la personne qui était à l'origine de mon prénom, Bob, un pote à lui d'après ses dires, d'ailleurs comprenant qu'on avait le même sens de l'humour, je ne pus m'empêcher de sourire de plus belle. Puis il se présenta en temps que Manech, prénom inconnu ou tout dû moins que je n'avais jamais entendu, en disant comme personne, je compris que je ne devais pas être la seule à n'avoir jamais entendu ce prénom. « Ah oui, personne, un ami à moi également. » déclarais-je, sur le même ton, alors qu'il me demanda si je lui ferais encore à manger et j'avais l'impression d'être la mère et lui, le fils, ce qui était assez bizarre comme scène, sachant qu'il devait être plus jeune de deux ou trois ans seulement. « Pas de problème, enfin si tu n'as pas peur de finir empoissonné, je ne suis douée que pour les pancakes, après, je veux essayer pour te faire plaisir, mais il faudra pas venir te plaindre, quand tu seras vert comme un Vulkan. » lui déclarais-je, pour être sûr qu'il soit mis au courant.

Isaac, mon petit frère de seize ans est un véritable geek. Un accroc aux jeux vidéos, aux BD et à d'autres trucs bizarre. Les super-héros, les planète bizarre c'est son rayon alors je pense qu'il aurait été pote avec cette Bobette.« Et ben, ça aurait été réciproque si je l'aurais rencontré. » Je ne pu m'empêcher de sourire en repensant à ce gamin avec qui j'avais grandis. Je ne le voyais plus, moins, comme chacun de mes frères et soeurs mais il comptait toujours. Bien entendu, mon père n'aimait pas trop les passe-temps d'Isaac et il essaie de le limiter comme il peut. Tout comme il a essayé de me limiter à une époque ... « Hum ... Je lui donnerai ton nom pour qu'il puisse te joindre mais ne te prépare pas à pouvoir l'épouser, il n'a que seize ans. » A seize ans on a la vie devant soit. Si je pouvais retourner à cette époque là de ma vie, je pense que je le ferais. J'étais pas le gosse parfait pour mes parents mais si vous saviez à quel point j'aimais franchir certaines limites qu'ils m'avaient fixés. Après cette petite discussion, nous passions aux présentations afin d'en savoir un peu plus l'un sur l'autre. La chose, ou l'une des choses les plus importantes est sans aucun doute notre prénom. Elle m'avait bien fait comprendre le rapport entre son prénom et Bobby Marley. Moi par contre, je n'avais aucun élément de comparaison. Je pouvais juste dire; je m'appelle Manech et je ne sens pas le fennec . Autant se taire quand c'est pour dire des âneries pareil. Je lui avais donc simplement dit que je m'appelais Manech, comme personne à ma connaissance. « Ah oui, personne, un ami à moi également. » J'avais la bouche pleine de ce qu'elle avait préparé mais je ne pu m'empêcher de rire aux éclats. Je suis un porc. Son humour était topissime. Peut-être que je la lirais quand même sa BD en fin de compte. Mes fourchettes de pancakes s'enchaînaient les unes aux autres et j'appréciais grandement. Quand on me regarde, on ne dirait pas un seul instant que je peux engloutir tout ça, et pourtant. D'ailleurs, je comptais me trouver une cuisinière attitré pour cette aventure, moi , je ne vaux rien dans le domaine des tâches ménagères. « Pas de problème, enfin si tu n'as pas peur de finir empoissonné, je ne suis douée que pour les pancakes, après, je veux essayer pour te faire plaisir, mais il faudra pas venir te plaindre, quand tu seras vert comme un Vulkan. » « Je n'ai peur de rien moi, ma petite dame. Et puis, je ne sais pas ce que c'est un Vulkan. Un ogre ? Shrek ? »

Épouser quelqu'un ? Pas sûr que je le veuille non plus, ma mère avait attendue d'avoir quarante sept ans pour épouser mon père, avec qui elle était depuis ses dix-huit ans et si en plus son frère n'avait que seize ans, c'était encore plus un frein à un futur mariage. « Oh … Il a plus de chance d'épouser ma fille que moi. » lui dis-je en rigolant. C'est vrai que Daleesha n'avait que cinq ans, mais elle était déjà vive d'esprit et puis, ils avaient à peine onze ans de différence … Enfin pas sûr que j'accepte tout de suite non plus, ma fille avait le temps avant de finir dans les bras du premier type venu. Je rêve ou j'étais en train de parler comme une vraie mère poule ? C'était vraiment pas mon truc l'éducation, franchement, je suis sûr que Daleesha me ressemblerait à son âge, elle ferait des dizaines de conneries pas trop grave et comprendrait ses erreurs par elle-même, sans que j'ai besoin de crier comme le faisait des milliers de mère stressé dans ce monde. En tout cas, le frère de Manech devait être totalement cool tout de même. Lorsqu'il se mit à rire la bouche ouverte, je trouvais ça dégoutant et justement, c'était très drôle, c'est bien pour ça que je me mis à rire à sa suite, il me rappelait vraiment les personnes de ma famille, que ce soit ma mère ou mon père, on était tous de grand enfant et tout comme les gosses, on faisait des choses vraiment sale parfois, puis lorsque je lui parla de Vulkan, il me parla de Shrek. Ça n'avait vraiment rien à voir, mais la comparaison me fit rire, j'avoue que je n'y avais jamais vraiment pensé, mais ils ressemblaient assez à Shrek. « On verra si tu n'auras pas peur, une fois que tu auras goûté ma cuisine et puis pour ta gouverne un Vulkan, c'est un peu comme un Wookies, tu vois ? » Enfin j'avais carrément oublié que j'étais la seule à connaître par cœur les races de chaque extraterrestre dans les Stars Wars, tout comme dans les Star Trek.

« Oh … Il a plus de chance d'épouser ma fille que moi. » Mon dieu, elle avait une fille. J'adore les gosses. Je trouve ça tellement chouette les enfants. Plus tard, je me vois bien vivre au milieu d'une grande tribu de petit garçon. Oui, des petits mecs partout. Je ferais une équipe de football avec mes gosses. Et si jamais il y a une fille, voir deux c'est pas grave, j'aime bien aussi. « Purée ... si ta fille est en âge d'épouser mon frère ... alors soit tu es méga-vieille soit tu l'a eu vachement tôt... » Enfin, cela n'était qu'une brève réflexion. En fait, ça se trouve, je me plantais totalement. « Elle s'appelle comment ? » J'étais curieux de connaitre le prénom vers lequel elle s'était tournée. « Et pourquoi ce prénom si ce n'est pas trop indiscret. » Je dois avouer que je suis quelqu'un de curieux. Trop curieux sans doute. Mais j'adore savoir pourquoi les gens se nomment ainsi. Manech, parce que c'était un coup de coeur de mon père. Réponse simple à formulé quand on me le demande à moi aussi. Si je devais avoir un fils, je l’appellerai Lucien, comme mon père. Si j'en ai un second, ce sera Oskar, un petit hommage à cet grande personne que fût Oskar Schindler. Un homme de courage et de bravoure, un homme à imiter. Pour le reste, je ne sais pas. Tous les choix ne dépendent pas que de moi et des prénoms qui me plaisent il y en a un bon petit paquet. « On verra si tu n'auras pas peur, une fois que tu auras goûté ma cuisine et puis pour ta gouverne un Vulkan, c'est un peu comme un Wookies, tu vois ? » Bon, cette fille devait venir d'ailleurs. Oui, de mars ou de venus. Une autre planète que la terre en tout cas puisque je ne comprends rien à ce qu'elle dit en fait. « Tu parles chinois c'est ça ? » Je riais doucement face à tant d'incompréhension de ma part. Pourtant, je suis bon élève en temps normal.