Valentina

Franchement, de vous à moi, je ne pouvais qu'être éperdument fier de ce sculptural corps qui ne manquait, par ailleurs, pas de rendre folles chacune des demoiselles qui se trouvaient confrontées à la vue de celui-ci. En gros, j'étais super bien gaulé et je le savais. J'en jouais, également. Alors autant dire que me rendre à la piscine était toujours un moment que j'appréciais, et pas seulement parce que j'étais un nageur confirmé qui ne refusait jamais plusieurs longueurs, non... aussi et surtout parce qu'il me tardait toujours d'en mettre plein la vue aux autres, histoire de leur montrer quel résultat ils n'obtiendraient jamais. Un corps comme le mien, il n'y en avait qu'un. Pour eux tous, c'était perdu d'avance - ces gros jaloux. Seulement si il était évident que je me trouvais parfaitement à l'aise dans un tel corps et que me mettre nu ou ne serait-ce qu'en slip de bain ne me causait pas le moindre soucis, d'autres candidats m'avaient semblé être bien plus pudiques. Par exemple, hier dans les douches, une demoiselle avec qui j'avais vaguement conversé lors du prime de l'autre jour avait mis, allez, une dizaine de minutes pour se foutre qu'en maillot de bain, après s'être tortillée comme un vers derrière une serviette de bain un peu trop courte visiblement. Valentina - c'était le nom de la jeune femme - me faisait souvent penser à une bonne sœur. Ouais bah dites-vous bien qu'avec moi dans les parages, elle risquait d'avoir à mouiller la chemise... et tout le reste. D'ailleurs, en gros malin que j'étais, je n'avais pas hésité à convier la jeune sainte à me rejoindre à la piscine, prétextant avoir besoin de son avis concernant la température de l'eau. Eh oh, elle étudiait bien la biologie ou les sciences, un truc dans le genre ? Bon bah voilà, elle n'avait qu'à me parler de molécules, d'ions ou de tout le baratin. Ah, comment est-ce que je l'avais appris ? Une chose était à savoir sur moi : je finissais toujours par tout connaitre de la vie de ceux avec qui j'étais amené à vivre, tôt ou tard. Toujours était-il que j'attendais maintenant que la blonde se pointe pour commencer les choses sérieuses. Quelles choses sérieuses, me direz-vous ? Héhé, je préférais garder mon plan machiavélique pour moi, du moins pour le moment. Elle saurait de toute façon bien vite de quoi il en retournait. Enfin, si elle daignait venir, bien sur. En attendant je m'étais foutu en slip de bain, histoire de ne pas perdre de temps ; sur que lorsque la demoiselle ferait son entrée dans ce complexe, elle en resterait bouche-bée devant tant de classe. Même avec une plume dans le cul, j'aurais su rester élégant.

Elle essaye je vous assure qu'elle essaye de tout son cœur de se mêler aux autres. Mais elle sait pas pourquoi lorsqu'elle arrive dans le salon et qu'elle voit un petit groupe il suffit que l'un d'entre eux la regarde pour que ses jambes la guide en marche arrière. Elle s'en mord les lèvres mais elle n'a pas le courage de se mêler aux groupes. Elle peut faire face à une personne à la fois et encore c'est bien compliqué. Un groupe elle peut pas, pas encore. Alors elle se met à attendre, attendre que le salon se vide. Elle se cache dans sa chambre oui elle se cache et quand quelqu'un y pénètre elle va se cacher ailleurs jetant des coups d’œils dans le salon pour voir si ça se vide. C'est un peu avant quinze heure qu'elle a la joie de voir que c'est vide, un livre sur la biologie niveau doctorat entre les mains elle se dirige dans le salon. Prenant place dans un canapé. Elle a le temps de lire quelques pages du second chapitre sur la polymérase avant qu'un être vienne la déranger. Elle ne lève pas les yeux de son bouquin. La voix d'Andréas se fait entendre il lui demande de la rejoindre à la piscine pour lui donner son avis sur al température de l'eau ? Elle n'est pas stupide elle sait qu'il y a quelque chose de caché là dessous mais elle n'a pas le temps d'émettre ses doutes sur sa demande que le jeune homme est déjà en marche. Elle soupire. Ok, il veut un conseil sur l'eau et bien ça attendra la fin de son chapitre. Enfin c'est ce qu'elle se dit mais elle a beau rouvrir son bouquin elle n'arrive pas à s'y remettre. Que veut-il ? Elle pose son livre sur la table basse et se hisse sur ses jambes. Elle est vêtu d'une tenue simple cruellement simple. Elle hésite une dernière fois avant de se rendre vers le complexe de remise en forme. Elle avait fait une petite visite des environs et savait donc très bien où se trouvait la piscine elle c'était dit d'ailleurs que jamais au grand jamais elle n'irait se baigner là dedans à moins qu'on lui force la main en lui promettant une chose qu'elle désire. Mais c'est pas demain la veille que ça va arrivé. Elle arrive et tombe sur un Andreas très joli vêtu. Elle se cache les yeux pour ne pas regarder c'est extrêmement gênant et inapproprié qu'il aille dans l'eau à la rigueur. Il ne peut pas la forcer à subir son manque de pudeur. Elle s'approche légèrement. « Tu veux réellement que je te donne mon avis sur la température de l'eau ? Vraiment ? » Il a peur de quoi que son micro slip finisse grillé par la chaleur de l'eau. Cette pensé la fait sourire. Elle le regarde un peu perplexe mais soit. « Bon ok je vais te parler de l'eau. » Crédule elle s'approche de l'eau et se penche pour y mettre la main. Et bien l'eau est légèrement au dessus de la température ambiante ce qui est tout à fait confortable. « Tu n'as rien à craindre légèrement au dessus de la température ambiante tu vas être bien. » dit-elle un demi sourire sur le visage. Elle est prête à se relever mais sait-on jamais il veut peut être autre chose. Alors elle le regarde un air insistant sur le visage qui veut dire 'autre chose ?'. Crédule la pauvre, elle ne s’attend pas du tout à ce qui va lui arriver.

Je lui faisais de l'effet, à la p'tite, c'était une évidence. D'ailleurs en arrivant dans l'enceinte de la piscine et à la vue de mon slip de bain tout à fait moulant, la blonde ne se fit pas prier pour cacher ses yeux. Preuve que ce corps sculptural d'une immense beauté ne la laissait pas indifférente. Et qu'elle ne mette pas ça sur le coup de sa pudicité, hein, je ne pouvais croire qu'une demoiselle aussi filiforme pouvait craindre de se montrer dévêtue. Franchement, il n'y avait rien à cacher chez cette fille. Tout à montrer, en revanche. « Tu veux réellement que je te donne mon avis sur la température de l'eau ? Vraiment ? » Mon dieu ce qu'elle pouvait être naïve, la pauvre. J'aurais pu lui sortir que j'avais besoin d'elle à la piscine pour faire des macaronis au fromage, elle serait quand même venue. Sacrée Valentina ; on pouvait vraiment tout lui faire gober, s'en était effarant. « Mais oui, c'est un sujet qui me passionne vois-tu. » Oui, bien sur. J'allais même écrire une thèse là-dessus. "La température de l'eau selon Andreas" ; à moi la célébrité. « Bon ok je vais te parler de l'eau. » La demoiselle se pencha alors au dessus du bassin d'eau et y plongea sa main. « Tu n'as rien à craindre légèrement au dessus de la température ambiante tu vas être bien. » J'esquissais un sourire satisfait... et inquiétant, sans doute, pour elle. Car il semblait évident que j'allais profiter du fait qu'elle était encore à croupis pour mettre à exécution le plan que j'avais en tête depuis hier, après la séquence absolument hilarante des douches, dans lesquelles la blonde m'avait fait grandement pitié. Mais chut. « Parfait. Hum, tu sais qu'on ne devrait jamais se rendre à la piscine sans maillot. Vraiment, c'est pas bien malin de ta part ma jolie... tant pis pour toi. » J'aurais pu ajouter "je t'avais prévenu", mais non justement, je ne l'avais pas prévenue. Je m'avançai alors en direction du bord du bassin, où elle était toujours agenouillée, puis soulevai d'un coup la demoiselle, portant celle-ci dans mes bras puissants. Puis, sans réfléchir ni lui laisser le temps de réaliser la situation, j'entrepris un saut vertigineux dans l'eau, l'emmenant avec moi dans une chute spectaculaire. À nous deux, nous venions carrément de faire déborder le bassin. Nous revînmes à la surface, et je lâchai finalement prise laissant la demoiselle libre et apte à nager. Je ne pus m'empêcher de rire comme un phoque, fier d'être parvenu à entrainer la bonne sœur dans l'eau, toute habillée. Et puis, j'en allai bientôt de mon petit commentaire acidulé. « Oh mais que vois-je... ton t-shirt devient quelque peu... transparent. » Je ris de nouveau. Toutefois je me doutais bien du fait que tout ceci ne ferait pas forcément rire Valentina. Alors si en plus son t-shirt laissait entrevoir ses sous-vêtements... woulala, j'avais presque envie de sortir du bassin à toute vitesse avant de m'en manger une, moi.

« Mais oui, c'est un sujet qui me passionne vois-tu. »  Elle comprend bien qu'il se fout royalement de sa tête. Mais elle fait un effort parce qu'elle se dit que s'il est fait ce qu'il lui demande si elle tombe dans son jeu étrange elle va bien finir par l'amadouer bien que ça semble bien difficile d'amadouer un énergumène de ce genre. Alors elle joue le jeu et se penche près le surface liquide. Et met la main dans l'eau lui disant que c'est bon il ne risque rien. Pendant qu'elle lui parle elle peut voir un sourire satisfait sur son visage. Un sourire vraiment déstabilisant elle ne sait pas comment elle doit l’interpréter. Elle reste donc dans sa position attendant qu'il prenne la parole.« Parfait. Hum, tu sais qu'on ne devrait jamais se rendre à la piscine sans maillot. Vraiment, c'est pas bien malin de ta part ma jolie... tant pis pour toi. » Hein quoi qu'est ce qu'il veut dire par là ? Un moment d’inattention de sa part regardant son tee-shirt basique gris clair. Oui en effet ce n'est pas un maillot de bain. Elle relève la tête et le vois s'avancer vers lui elle a un léger mouvement de recule alors qu'il la soulève se ses bras musclés. « Qu'est ce que ? » commença-t-elle avant de se rendre compte de qui l’attendait. Pas le le temps de protester elle a à peine le temps de prendre une inspiration. Il saute dans l'eau. L'impulsion de leur deux corps provoque un débordement de l'eau. Il finit par la lâcher. Elle nage peut être un mètre voir deux plus loin de cet homme détestable. Elle est hors d'elle, il ne s'en rend pas compte à quel point elle est hors d'elle à ce moment là. Elle ne le supporte pas elle et tout ces gens qui la regarde d'un mauvais œil tentant de changer sa façon d'être. « Oh mais que vois-je... ton t-shirt devient quelque peu... transparent. » Elle pique un far et se cache la poitrine avec ses bras. Elle a le visage déformé part la colère, la tristesse et l'incompréhension. « C'è qualche cosa che non va nella tua testa? » dit-elle d'une voix forte. L'italienne ne elle prend le dessus. « Perché mi fai ciò ? » continua-t-elle occultant le faite qu'il ne devait certainement pas la comprendre. Elle s'avance vers lui déterminé cassant l'eau de ses bras vif. Le regard flamboyant de rage et humide d’incompréhension. « Pourquoi tu as fais ça ? Qu'est ce qui ne va pas dans ta tête ? » répéta-t-elle dans une langue qu'il pouvait comprendre. Elle aurait bien parlé sa langue, l'allemand mais elle n'a pas assez de notion dans cette langue pour le faire. « Tu es.. tu es STUPIDE ! » dit-elle fortement. Pour elle c'est certainement l'insulte ultime et elle s'en mort les doigts de lui avoir parlé ainsi. « Je suis désolé je ne voulais pas t'insulter. » dit-elle baissant la tête et le son de sa voix. Elle fait volte face et se hisse à l'aide de ses bras fin sur le rebord de la piscine. Elle est trempé maintenant, c'est malin. Elle ne peut pas resté dans ces vêtements elle va attraper froid. Elle n'a pas l'intention d'être malade la première semaine déjà que tout le monde pense que sa santé mentale est bancale... Il ne faudrait pas en rajouter. Elle soupire fortement. Elle n'a tout bonnement pas envie de passer une seconde d eplus dans ce château à l'heure actuel il vient de faire déborder le vase comme on dit, elle ne se sent pas à sa place et elle ne serait pas étonné si cette idée avait fermenté dans les cerveau d'un groupe machiavélique envoyant Andreas comme exécuteur de cette farce immonde. Il le sait très bien qu'elle est pudique, elle le sait depuis son dernier commentaire. Comment peut on être aussi peu respectueux des problèmes des autres ?

Ce que je pouvais être imprévisible... ou plutôt ce que la demoiselle pouvait être crédule. Comment avait-elle réellement pu croire à mon histoire tout à fait saugrenue de température d'eau, franchement ? Mais ça n'avait ni queue ni tête, aucun intérêt même. Toutes les raisons auraient été bonnes pour la faire venir dans l'enceinte de cette piscine, et même si j'avais crû un instant que mon bobard ne la duperait pas, il s'avéra qu'au final Valentina croyait absolument à tout et n'importe quoi. Une constatation qui me serait peut-être à nouveau utile, par la suite... En attendant j'avais profité du fait qu'elle s'était agenouillée sur le bord du bassin pour la soulever de toutes mes forces. « Qu'est ce que ? » Elle était vraiment légère, et j'eus même l'impression de porter une enfant. Bref. Ni une ni deux, j'effectuai un somptueux plongeon, nous nous retrouvions dans l'eau et très vite la jeune femme s'éloigna. Elle semblait... hors d'elle, oui carrément furieuse. Bah quoi, elle n'avait fait que se mouiller un peu. Cela lui posait-il un problème de faire trempette ? Non, en réalité c'était plus le fait que je l'y eue contrainte qui semblait la déranger. « C'è qualche cosa che non va nella tua testa? » fit-elle alors. Heu, ça sonnait comme une question, pas vrai ? Seulement je n'y comprenais rien, moi, à l'italien. Car c'était bien de l'italien, n'est-ce pas ? Zut, même ça je l'ignorais. Bon, Valentina... des "a" et des "e" en fin de mots... ça renvoyait quand même vachement au pays des spaghettis. « Perché mi fai ciò ? » Une nouvelle question, sans doute. Une question dans le vent, car totalement incomprise. À quoi bon la laisser s'exprimer dans une langue que je ne parvenais pas à comprendre ? Si elle souhaitait obtenir quelque réponse que ce soit, l'italien n'était pas vraiment la langue à parler, là tout de suite. « Tu t'égosilles pour rien étant donné que je n'ai pas compris un mot de tout ton baratin. Traduction, je te pries ? » Elle entreprit alors de se rapprocher de moi, rapidement et avec détermination. Oula, j'allais peut-être m'écarter un peu, moi. « Pourquoi tu as fais ça ? Qu'est ce qui ne va pas dans ta tête ? » Ah, là c'était tout de suite bien plus compréhensible. Je me réjouissais du fait qu'elle ait abandonné sa langue natale, le temps d'un instant, me permettant ainsi de saisir le sens de ses propos. « Tout va très bien chez moi. Je te ferai signaler que ça n'est que de l'eau et qu'il n'y a pas mort d'homme. » Pourquoi donc s'emballer pour si peu, je n'en voyais pas l'utilité tout à fait honnêtement. Et puis, même si je l'avais emportée avec moi dans l'eau de cette piscine, elle avait survécu. Et semblait savoir nager. Pas de quoi s'affoler, en somme. « Tu es.. tu es STUPIDE ! » lâcha-t-elle subitement, avant de n'être prise de remords un instant plus tard. « Je suis désolé je ne voulais pas t'insulter. » Qu'elle ne s'en fasse surtout pas pour ça, hein, j'en avais vu d'autres. Elle n'était pas la première qui se permettait de m'insulter, et techniquement pas la dernière. Je voulus répondre, mais elle se dirigea vers le bord de la piscine avant de se hisser sur celui-ci. Elle était trempée de la tête aux pieds, et visiblement à bout de nerfs. Un long soupire se fit entendre, tandis que je me rapprochai à mon tour du bord, en restant néanmoins dans l'eau pour ne pas me montrer plus encombrant encore, à venir m'assoir près d'elle. Non, cette eau était bonne et je m'y trouvais bien. « Qu'est-ce-que tu portes en dessous ? HEU. Je veux dire... t'as bien des sous-vêtements qui pourraient faire office de maillot de bain, non ? » Bon, je savais qu'elle n'était pas à l'aise lorsqu'elle se retrouvait dévêtue, seulement je la voyais mal rester sur le bord dans ces vêtements tous mouillés. À moins qu'elle ne souhaite attraper la mort. « J'me disais qu'entre toi et moi, ça pourrait franchement être explosif. Bah ouais, on sait tous ce que ça donne quand les Italiens et les Allemands s'unissent. » L'argument de la Seconde Guerre Mondiale, j'aurais peut-être pu éviter mais ça m'était venu comme ça. Rien ne nous empêchait donc d'être alliés, comme nos pays d'origine il y a une soixantaine d'années. Enfin, encore fallait-il que la jeune femme accepte de me voir autrement que comme un gros connard. Ce que j'étais sans doute, par ailleurs. J'en vins à lui tendre la main, comme pour la convier à retourner dans l'eau avec moi. Je me chargerais sans soucis de lui retirer ses vêtements une fois dans celle-ci. Après... libre à elle de la saisir, ou de m'offrir un magnifique vent.

Elle est italienne, elle parle fort quand elle est énervé et vite et surtout dans sa langue. Elle se fiche bien qu'il ne comprenne rien lui il ne se gêne pas pour faire des petits commentaire en allemand alors pourquoi pas elle ? « Tu t'égosilles pour rien étant donné que je n'ai pas compris un mot de tout ton baratin. Traduction, je te pries ? » Elle y arrive patience. Elle finit par lui dire ce qu'elle disait en italien mais en anglais comme elle l'avait prévu et certainement pas pour lui faire plaisir et donc répondre à sa demande non certainement pas. A l'heure qu'il est elle ne le supporte pas. Rien que sa vue l'énerve. Parce qu'il est tout ce qu'elle déteste et en même temps tout ce qu'elle ne sera jamais. Et ça l'énerve de ne pas pouvoir mettre un micro bikini et aller se baigner naturellement dans la piscine. Ça l'énerve de toujours devoir se cacher les yeux lorsqu'elle est en présence d'un homme dévêtue. Ça l'énerve d'être si coincé, si pudique. Elle aimerait de la folie, elle aimerait être folle, se mettre à courir un peu partout dans le château, à chanter, danser, hurler. Mais elle en est tout bonnement incapable. « Tout va très bien chez moi. Je te ferai signaler que ça n'est que de l'eau et qu'il n'y a pas mort d'homme. »  Encore une occasion pour lui de parler de sa petite personne. Il ne mesure pas à quel point ce geste la met mal à l'aise, la fatigue et l’énervé. La forcer à faire quelque chose qu'elle ne veut pas faire. Finir le tee-shirt mouillé laissant tout voir en transparence non. Il le sait qu'elle est pudique, elle le sait très bien qu'il l'a remarqué et qu'il profite de tout ça pour l'énervé. Alors elle l'insulte, il est SUTPIDE. Mais elle n'aime pas insulter les gens et c'est rarement qu'un tel mot sort de sa bouche alors malgré son comportement plus que déplorable avec la blonde. Elle s'excuse immédiatement. Il ne les mérite pas ces excuses et totalement excédé elle se hisse sur le rebord de la piscine se demandant ce qu'elle va bien pouvoir faire de ses vêtements mouillé. Elle ne va pas se bougé dans tout le château entièrement mouillé de la sorte elle finirait par ruiné les magnifiques parquet. Il se rapproche du bord de la piscine elle aimerait qu'il disparaisse là tout de suite. Lui et tout les énergumènes de ce genre. « Qu'est-ce-que tu portes en dessous ? HEU. Je veux dire... t'as bien des sous-vêtements qui pourraient faire office de maillot de bain, non ? » Elle note l'effort fait pour ne pas paraître pour un gros obsédé qui lui demande ce qu'elle a sous ses vêtements. Bien entendu qu'elle a des sous-vêtements mais il est hors de question qu'elle se mette dans une tenue pareille surtout devant cet homme de cromagnon primaire et sans aucune classe. « J'me disais qu'entre toi et moi, ça pourrait franchement être explosif. Bah ouais, on sait tous ce que ça donne quand les Italiens et les Allemands s'unissent. » Elle eu un léger rire incontrôlé. Mais se ravise rapidement gardant une expression neutre elle ne voudrait pas qu'il pense que sa présence lui semble supportable. En prime il lui tend sa main pour certainement qu'elle retourne dans l'eau avec lui. Hors de question tout simplement. « Bien sûr que j'ai des sous-vêtements. Et certainement pas je ne vais pas me mettre dans une telle tenue devant toi, devant eux – elle montre un des caméra d'un signe de la main – Je ne me met déjà pas en maillot de bain pour les mêmes raisons. Alors je vais rester là attendre que mes vêtements sèches. Et si je suis malade je t'en tiendrais pour responsable. Bien que je doute réellement que tu t'en préoccupe puisque clairement il n'y a que le grand Andreas qui t'intéresse. » dit-elle calmement, d'une voix totalement neutre. Elle va réellement être malade. Elle soupire. Elle se lève et le regard d'un regard autoritaire. « Tu te retourne j'enlève seulement mon jean. » Qu'il se retourne. Les caméra elle va essayer d'oublier leur présence. Son jean ôté et ses chaussette aussi en même temps elle les déposes non loin de la à même le sol bien aplati pour qu'ils sèchent rapidement. Elle retourne s’asseoir sur le rebord de la piscine laissant seulement ses jambes dans l'eau. Assise le faite qu'elle ne porte pas de pantalon passe parfaitement, elle restera donc dans cette position aussi longtemps qu'il le faudra.

J'aurais très bien pu avoir des remords après avoir contraint l'italienne à sauter avec moi dans l'eau de ce bassin, mais dans la mesure où je n'avais jamais eu le moindre regret de toute ma courte vie, ça n'était certainement pas cet après-midi que tout allait commencer. Non, j'assumais pleinement le fait de me comporter - très fréquemment - comme un véritable goujat. Je m'en portais très bien par ailleurs, vous en conviendrez. Est-ce que je paraissais malheureux de mener une telle existence ? Clairement pas. Ce que l'on pouvait penser de moi, tout à fait honnêtement, je m'en contre-fichais. Si on parlait d'Andreas, c'était encore ce qui m'importait le plus. Car oui, j'avais cette manie, parfois, de parler de moi à la troisième personne. Le signe d'un très grand narcissisme, selon certains. Valentina m'avait insulté, et contrairement à moi elle était de ceux qui venaient à s'excuser aussitôt. Franchement, ses excuses étaient bien superflues. Elle n'aurait pas pris le soin de me demander pardon, je m'en serais tout aussi bien porté. Et puis, sans doute cette insulte n'avait été débitée que pour exprimer ce qu'elle pensait réellement de moi, à savoir que je n'étais qu'un type tout à fait stupide. Ma foi, si c'était réellement comme tel qu'elle me voyait, alors tant pis. Je ne pouvais empêcher autrui de me détester, de me mépriser, ou encore de me jalouser. Chacun pouvait avoir sa propre opinion me concernant - celle-ci, par ailleurs, ne m'atteignait pas. Désormais sur le bord du bassin, je vis très rapidement la demoiselle grelotter. Elle semblait avoir très froid, et je ne pouvais que la comprendre au vu de ses vêtements totalement trempés. Rester comme ça, à l'air, n'était vraiment pas bon. Voilà pourquoi j'avais convié la demoiselle à revenir dans l'eau, demandant au passage à celle-ci si elle portait des sous-vêtements et si, ceux-là, pouvaient faire office de maillot de bain. Autant faire avec les moyens du bord, hein. « Bien sûr que j'ai des sous-vêtements. Et certainement pas je ne vais pas me mettre dans une telle tenue devant toi, devant eux - fit-elle en pointant de sa main la caméra - Je ne me met déjà pas en maillot de bain pour les mêmes raisons. Alors je vais rester là attendre que mes vêtements sèches. Et si je suis malade je t'en tiendrais pour responsable. Bien que je doute réellement que tu t'en préoccupe puisque clairement il n'y a que le grand Andreas qui t'intéresse. » Et allez, on prend les mêmes et on recommence. « Tu sais, on va finir par le savoir que je ne pense qu'à ma gueule, vu que tu ne cesses de le signaler. » J'avais parfaitement conscience de qui j'étais, mais ce qui pouvait paraitre comme étant des défauts aux yeux de tous n'étaient que qualités aux miens. Désolé, mais je ne risquais pas de me trouver le moindre truc qui cloche. Tout simplement parce que je me considérais comme étant un être irréprochable. Ma main se voulait toujours tendue en direction de la blonde - qu'elle se dépêche de prendre une décision finale, quand même, car mon bras commençait à s'engourdir sérieusement. « Tu te retourne j'enlève seulement mon jean. » Mon dieu, tant de pudicité... je n'avais juste jamais vu ça. « J'vois pas de quoi t'aurais à avoir honte, hein. T'es fine comme une liane, franchement bien foutue. Sérieux, y'a rien à cacher... » lui fis-je alors remarquer, avant de ne rétorquer un instant plus tard « Mais oui, d'accord, vas pour le jean. C'est mieux que rien. Et ne souhaitant pas te causer le moindre tord, je me retourne illico. » Obéissant, hein, avouez que je vous étonnerait presque ? J'eus bien envie de zieuter à droite ou à gauche, mais j'avais assez emmerdé la demoiselle pour aujourd'hui. Quand je n'entendis plus aucun bruit de tissu frottant sur sa peau comme semblant être retiré, j'entrepris de me retourner à nouveau. Elle était maintenant assise sur le bord, mais sans son jean. Quelles jambes ! Non mais quelles jambes !! Je ne pus m'empêcher de siffler, devant un tel spectacle. « Waou. (siffle) ♪ ♫ » Il fallait dire, aussi, qu'elle m'en mettait plein les yeux. Depuis le temps j'avais baissé la main, mais l'envie était toujours présente de voir la jeune femme me rejoindre à nouveau dans l'eau. « Bon, allez, tu vas nous attraper la crève en restant une minute de plus sur ce bord... » Sans même la laisser faire quoi que ce soit de plus, je me hissais sur la pointe des pieds - même si cela n'était pas forcément utile vu que j'étais bien assez grand comme ça - puis passai mes bras sous ceux de la jeune femme, la portant puis la déposant avec douceur dans l'eau. Pour le coup, je n'avais presque pas envie de la lâcher, dites donc. Mais je n'eus trop le choix. « Eeeet, voilà. Alors, on est pas mieux dans l'eau tout d'même ? » Bah si, clairement. Et qu'elle ne dise pas le contraire, surtout, car je ne la croirais pas. Je plongeai mon regard dans le sien avec intensité, un regard bleu azur qui faisait habituellement tomber les jeunes femmes comme des pommes, avant de ne passer une main dans mes cheveux mouillés. Pour le coup, je ne savais plus trop où poser le regard, sinon sur elle une fois encore.

« Tu sais, on va finir par le savoir que je ne pense qu'à ma gueule, vu que tu ne cesses de le signaler. » c'est quoi cette réaction ? Elle ne voulait en aucun cas le blesser c'était juste un constat et il est le premier à l'avouer et avec fierté alors pourquoi il fait le grand vexé là. Elle baisse légèrement la tête . Elle se maudit d'avance pour sa réaction, encore une fois elle courbe le dos ne pouvant supporter l'idée de faire du mal à quelqu'un. « Désolé. » dit-elle d'une petite voix avant de finir par se lever et de se décider à ôter son pantalon après avoir avertit le monsieur qu'il doit se retourner. Bien entendu il ne peut se passer d'un commentaire. « J'vois pas de quoi t'aurais à avoir honte, hein. T'es fine comme une liane, franchement bien foutue. Sérieux, y'a rien à cacher... » La n'est pas la question, elle ne montre pas son corps, elle ne le montre pas un point c'est tout. Elle n'est tout simplement pas à l'aise avec la nudité, la semi nudité et tout ce qui se rapporte à ça. Y a rien à cacher c'est certaine, elle est plate, mince voir maigre à certain endroit et dépourvu de toute volupté, vous trouvez cela beau vous ?« Mais oui, d'accord, vas pour le jean. C'est mieux que rien. Et ne souhaitant pas te causer le moindre tord, je me retourne illico. » Elle croirait presque qu'il se préoccupe réellement d'elle. Elle arque un sourcil à ce commentaire de sa part. Non elle se trompe il se préoccupe seulement de lui et là encore il est satisfait d'avoir réussit à ôter une couche de vêtement en plus. Il ne doit certainement pas perdre son objectif : qu'elle se retrouve en sous-vêtement. Elle oublie tout ça et finit par ôter son jean le déposant délicatement sur le sol pour qu'il sèche parfaitement. Elle retourne s’asseoir au bord de l'eau et c'est à ce moment là que le mec le plus irrespectueux de la terre se retourne. Andreas bien entendu qui d'autre ? Elle sent le regard du jeune homme se balader sur ses jambes sans aucune retenue. Voilà pourquoi elle ne veux pas se mettre dans ce genre de tenue, surtout en présence d'un homme aussi peu respectueux des complexe des autres, tout ce qu'il veut c'est se rincer l'oeil tout simplement. « Waou. » dit-il suivit d'un sifflement. Elle fronce les sourcils et trouve ce geste tout bonnement rustre détestable. Siffler une fille c'est tellement primaire il n'a aucune classe. Mais dans sa bouche c'est un compliment, enfin dans le monde de ce mec alors elle tente un léger sourire de remerciement mais ça ressemble plus à une crispation qu'autre chose. « Bon, allez, tu vas nous attraper la crève en restant une minute de plus sur ce bord... »  dit-il alors. Et sans lui demander son avis il la soulève posant ses mains en dessous ses bras la déposant avec cette fois délicatesse dans l'eau chaude. Elle sourit d'une manière plus sincère. Elle note les efforts qu'il fait pour ne pas la mettre de nouveau hors d'elle. Elle trouve ça vraiment plaisant. A elle de faire un effort non ? « Eeeet, voilà. Alors, on est pas mieux dans l'eau tout d'même ? » Elle n'eut pas réellement l’occasion de lui répondre parce que monsieur le grand séducteur la regarde avec intensité comme s'il s'attendait à une réaction de sa part. Elle, elle explose de rire parce qu'elle trouve ça tout bonnement ridicule et surtout tellement imbu de sa personne de penser qu'un simple regard allait la faire tomber dans ses bras. « Ça marche ton truc là du regard étrange avec les filles ? J'ai du mal à y croire... » dit-elle toujours légèrement hilare avant de reprendre son sérieux. Elle n'a pas pour but de le froisser. Il fait tant d'effort avec elle qu'elle se sent obligé d'en faire elle aussi. Alors sans prévenir usant de toute ses force et de tout son courage elle ôte son tee-shirt et le laisse s'échouer sur le sol carrelé. Elle évite tout contact visuel avec lui sachant que ça allait trop lui faire plaisir et elle ne voulait pas voir cela. « Pas de commentaire. S'il te plaît. » dit-elle neutre. Elle s’éloigne quelque peu de lui nageant tranquillement ne pouvant s'empêcher de jeter un œil aux caméra. Elle est clairement pas à l'aise, oublier, oublier les caméra. Au final il a eu ce qu'il souhaitait non ? Et elle qui avait hurler que jamais elle ne finirait ans cette piscine dans ce genre de tenue... Mais bon elle est aussi là pour ça, surtout pour ça, se dépasser.

Je jouais un peu les grand blasés là, mais n'avais-je franchement pas de bonnes raisons de l'être ? Valentina m'avait reproché ce que bon nombre de candidats, depuis le début de l'aventure, avaient déjà cru bon de me reprocher. Cela ne m'atteignait pas que l'on puisse dire que je ne pensais qu'à ma gueule - car il n'y avait rien de plus vrai, tout à fait honnêtement -, mais voilà je ne voyais pas le moindre intérêt au fait de me l'entendre rabâcher. « Désolé. » Et voilà, une fois encore l'italienne s'était sentie obligée de s'excuser car ayant cru que ses paroles m'avaient blessé, ce qui n'était bien entendu pas le cas. J'étais juste lassé ; pas de quoi, donc, se sentir coupable de quoi que ce soit. Elle finit par se lever et retirer son jean, me demandant au passage de me retourner pour ne pas avoir à supporter mon insistant regard sur ce corps qu'elle semblait vouloir cacher, à tout prix, et constamment. Pourtant, j'étais bien placé pour affirmer qu'elle n'avait pas à en avoir honte. Alors oui, je pouvais comprendre que la nudité la rendait éperdument mal à l'aise, mais elle allait de toute façon devoir vaincre cette peur-là, car dans une aventure comme celle-ci, il était juste impossible de se montrer pudique. Avec toutes ces caméras, ces regards posés sur vous,... Enfin je pus me retourner et assister à un bien joli spectacle : cette demoiselle était vraiment très bien foutue, et ses jambes m'émoustillaient au plus haut point. Je l'avais sifflée d'ailleurs, car c'était aussi de cette manière que j'exprimais le fait de trouver une jeune femme mignonne. Ça pouvait carrément passer pour de la vulgarité, de la non-élégance... C'était moi, ma façon de faire et de me comporter. Pensant que la grande blonde était restée suffisamment de temps au bord de ce bassin, je décrétai qu'il était maintenant l'heure, pour elle, de revenir dans cette eau. Ainsi donc je vins la porter jusque celle-ci, en douceur, et finis par l'y lâcher. S'en suivi un regard des plus intenses que je pris soin de lancer à l'italienne... et qui la fit juste éclater de rire. J'avais l'air d'un clown, ou ?... « Ça marche ton truc là du regard étrange avec les filles ? J'ai du mal à y croire... » Okay, elle se foutait très légèrement de ma gueule sur le moment. Grand bien lui fasse, si ça pouvait la décrisper et la détendre un peu. « Bien sur que ça marche. D'habitude aucune demoiselle n'y résiste et au lieu de les faire rire ça les fait plutôt tomber dans mes bras - toi, t'es vraiment étrange. » Comment se faisait-il que mon regard bleu azur n'ait juste aucun effet sur Valentina ? Enfin, mis à part le fait qu'il la rendait totalement hilare... Retrouvant ensuite au plus vite son sérieux, elle retira son t-shirt tandis que je n'en attendais pas tant de sa part. Eh bien voilà, en fin de compte elle avait terminé en sous-vêtements dans cette piscine. Je n'en étais pas particulièrement fier, car pour le coup ce t-shirt elle l'avait vraiment retiré seule et sans pression de ma part, mais me réjouissais pour la jeune femme - quelque part, elle se faisait violence et ça ne pouvait lui être que bénéfique. « Pas de commentaire. S'il te plaît. » Elle entreprit, un instant plus tard, de nager un peu plus loin. Je me retrouvais d'un coup seul près du bord du bassin, mais ça ne devait pas se passer comme ça. Là elle m'ignorait, me snobait presque, pourtant j'avais l'impression d'avoir effectué de considérables efforts pour ne pas trop la heurter, ni la rendre plus mal à l'aise encore. Voilà comment j'étais remercié - wahou quoi. Je me mis alors à nager à mon tour, en sa direction, et à toute vitesse. J'étais un nageur confirmé dont beaucoup jalousaient les performances dans l'eau et l'endurance. Désormais auprès d'elle de l'autre côté du bassin, je posai mon bras sur son épaule la poussant ainsi à s'arrêter. Je me plaçai ensuite en face d'elle, on fronçant les sourcils, comme pour jouer les mécontents. « Et voilà. Je n'ai pas fait le moindre commentaire. C'était bien la peine de me laisser en plan, hein... » Elle aurait très bien pu rester à côté de moi, un instant plus tôt, mais au lieu de ça elle n'avait fait que s'éloigner comme pour m'échapper ou pour me signifier que j'étais clairement indésirable. En général, ce genre de choses, je parvenais à les saisir de suite et on n'avait jamais à me le dire deux fois. Donc, si c'était réellement se débarrasser de moi qu'elle souhaitait, je pouvais aussi sortir de ce bassin hein. Un mot un seul, et je m'en allais. Je préférais encore ça au fait de nager au côté d'une demoiselle qui n'osait même pas me regarder dans les yeux.

Elle se moquait de lui ce n'était pas très gentil, mais s'il pouvait voir sa tête aussi.. Quoique il se trouverait certainement irrésistible. Valentina elle, elle n'est pas si superficiel. Ce 'est pas ce genre de chose qui peut la faire craquer. Ou en tout cas pas avec un type aussi détestable qu'Andreas. Qu'il lui montre la couleur de son âme et là peut être qu'elle sera toucher. « Bien sur que ça marche. D'habitude aucune demoiselle n'y résiste et au lieu de les faire rire ça les fait plutôt tomber dans mes bras - toi, t'es vraiment étrange. » Elle arque un sourcil. Et bien certes elle est étrange donc ou peut être que ses proies sont toutes des proies facile. Elle, loin d'être facile il a put le remarquer rien que pour lui enlever ses vêtements il a mit un temps fou. De toute manière elle sait très bien que son regard de fou là c'est un automatisme chez lui si bien qu'il ne s'est même pas rendu compte qu'elle est loin d'être un fille pour lui. Puisque ce n'est pas une femme de petite vertu. « Pauvre filles.. » dit-elle un sourire légèrement taquin sur le visage. Puis un peu soudainement elle décide d'enlever son tee-shirt notant les efforts qu'il fait, elle peut donc en faire à son tour. Elle lui interdit un commentaire et s’éloigne tranquillement du jeune homme. Pas pour le fuir, enfin si dans un sens parce qu'elle n'est as certaine de pouvoir supporter le regard du blond sur elle. Pas dans ce genre de tenue en tout cas. Rapidement il la rejoint il pose sa main sur l'épaule de la demoiselle pour la forcer à s’arrêter. Elle fronce ses sourcils. Qu'est ce qu'il veut ? Il semble.. en colère. « Et voilà. Je n'ai pas fait le moindre commentaire. C'était bien la peine de me laisser en plan, hein... » Sérieusement ? Il le prend comme ça, le faite qu'elle aille faire quelques longueurs. Elle sourit amusé puis rapidement son sourire s'efface pour laisser place à un léger mépris. « Je suis pas à l'aise. Je voulais pas que tes yeux magnifiques me scrutent encore. Un peu d'espace c'est tout ce que je voulais pour pas me sentir trop mal à l'aise. » dit-elle occultant le faite qu'elle venait de lui faire un compliment sur son regard qui était censé la laisser indifférente. « T'es pas croyable dès qu'on ne te regarde plus tu boudes. » Elle se hisse sur le rebord de la piscine lui laissant voir son corps non sans malaise bien entendu. Elle fronce de nouveau les sourcils. « Je préfère pas passer une seconde de plus avec toi tu demande bien trop d'attention. » Ego sur dimensionnée. Elle se hisse sur ses jambes et attrape une serviette elle l'enroule autour de son corps. Elle ramasse ses vêtements mouillés rapidement et se dirige vers la sortie. Elle se retourne une dernière fois vers lui. « T'as de gros problèmes Andreas, peut être bien aussi gros que les miens. La seule différence c'est que moi j'en ai conscience. » Peut-être qu'il se rendra compte que ce n'est pas bon d'être si égocentrique il finira par perdre tous les gens à qui il tient. Elle hausse les épaules et prend la sortie, se dirigeant vers la salle de bain dans un premier temps.

sujet terminé pour valentina.
Je voulais clôturer avant le prime j'espère que ça te convient.