slavin

Je découvre les lieux, j’essaie de me faire à l’idée que la partie est bel et bien commencé. Ce jeu, il me fait jubiler de l’intérieur. Ça ne s’explique même pas. En fait, je ne comprend pas pourquoi j’ai attendu tout ce temps pour participer à une émission de télé-réalité. C’est la chose à faire, lorsqu’on est beau et qu’on a une personnalité incroyable. Tsss. Bref, je descend au sous-sol, où j’ai brièvement fait la visite durant la première soirée, mais sans plus. J’entre dans une pièce qui, si je me souviens bien, laisse place au spa. Quel brillante idée de mettre un spa dans un émission de télévision. On voit tout de suite ce que la production a en tête. Je vais essayer de ne pas décevoir dans ce cas. Je suis gentille comme ça moi. Soupirant, je laisse mon regard traîner sur la pièce. C’est bien beau tout ça, mais toute seule, la pièce me semble d’aucun intérêt. Bah ouais quoi, je ne vais pas m’auto-masser et le sauna... peu pour moi. Il paraît que c’est bon pour la peau ou une connerie dans le genre, je trouve que ça donne plutôt l’air d’être une vieille fripée qui dégouline de sueur. Beurk. Ça m’écoeure. Je porte mon attention sur une petite table où se trouve une tonne de produits, huiles et autres. Je prend le premier truc qui me tombe sous la main puis d’un geste lent j’ouvre le contenant pour l’approcher de mon nez. Lavande. Mouais, pas trop pire. C’est alors que quelqu’un entre dans la pièce alors que je lui fais dos. Je me retourne instantanément vers l’homme, oui c’est un homme, je le savais avant même de me retourner, un sourire s'agrandissant sur mes fines lèvres. Parfait, de la compagnie. « Alors c’est toi ma première victime ? » dis-je sur un ton mystérieux, qui laissait planer le doute sur mes réelles intentions. De toutes façons, avais-je vraiment des intentions derrière la tête. Moi, toujours. Je penchai légèrement la tête, examinant sans aucune gène le jeune homme de la tête au pied. Pas mal, pas mal du tout même. « Bon alors tu bouges, sinon je vais trouver mieux à faire... » ajoutais-je d’un ton las en baissant mon regard vers le pot que je tenais dans mes mains, comme si les ingrédients m’intéressaient. « C’est écrit là-dessus que tu dois te mettre complètement nu, pour que le massage soit bien réussit. Mais bon, je peux comprendre que ça t’intimides, alors tu peux retirer seulement ton t-shirt, ça devrait faire l’affaire. » dis-je en relevant les yeux vers lui, haussant les sourcils en me demandant quelle serait sa réaction. C’est bien moi ça, je ne connais même pas son prénom et je lui demande déjà de retirer ses vêtements. Bon, je devrais peut-être retrouver ma politesse. Mouais. « Moi c’est London. Je me fous un peu de savoir comment tu t’appelles, mais vas-y donc, juste pour voir. Si j’aime pas, je vais t’appeler "chose". » dis-je en soupirant, impatiente qu’il retire son t-shirt. Allez, soit pas timide mon beau, je ne vais pas te mordre. Quoique...

J'ai déjà pu me faire une idée du lieu dans lequel j'allais vivre, pour un petit moment je l'espère. Et il offrait des tas de possibilités, dans l'ensemble j'étais plutôt satisfait. Même si la décoration avait tendance à me filer la gerbe, les pièces n'étaient pas si mal agencées. J'avais encore un peu de mal à trouver ce que je cherchais du premier coup. Ce soir par exemple, mon but premier n'avait pas été de me faire agresser verbalement par une jolie blonde, aussi charmante puisse-t-elle être. Physiquement charmante, parce que ses manières, laissent largement à désirer, un peu comme la décoration. Non au lieu de cela, j'avais prévu d'aller me poser dans la salle de musique pour écouter des morceaux pendant des heures. J'aurais dû me douter aussi que je ne trouverais pas une salle de musique en traversant une salle où se serait totalement loufoque, oui totalement. Les mots employés par l'inconnue me laissent songeur, si bien que je me stoppe. Mais pour sourire simplement, aucunement dans l'optique de fuir. « Ça dépend, ce que tu comptes faire de moi ! » Je réplique, du tac-o-tac, sur un ton égal. Cette réplique sonne davantage comme une invitation au jeu qu'à une menace de mort. Je me trompe peut être, mais j'ai peine à croire qu'une serial killeuse se trouve entre ces murs. Elle me mâte en plus de cela, de mieux en mieux. Mais madame est impatiente, et madame le fait savoir. Moi j'reste immobile et silencieux, puis elle se met à lire ce que le pot semble lui indiquer. « Alors soit ce pot vient d'un sex shop douteux et dans ce cas je refuse que tu me touches avec ça. Soit tu veux tout simplement me désaper et dans ce cas là, il suffit simplement de le dire ma belle ! » Sourire charmeur, je commence distraitement à déboutonner mon pantalon. Et puis voilà qu'elle se présente, d'une manière totalement charmante, oui elle déborde de gentillesse visiblement. « Slavin. » Je ne rajoute rien d'autre, j'suis sûr qu'elle se fout que j'sois enchanté ou non de la rencontrer en faite. Je bouge et enlève mon tee-shirt. « A poil t'as dit hum ? » Je lance, presque détache, je la regarde à peine, je me contente de me foutre à poil et de m'installer sur la table de la massage sur laquelle une serviette de toilette était disposée, face contre le matelas. « Bon, tu l'appliques cette crème. » Je réplique, sur un ton égal à celui qu'elle a utilisé pour me demandé de bouger, néanmoins, je ne peux m'empêcher de sourire.

« Ça dépend, ce que tu comptes faire de moi ! » J’hausse un sourcil, ne m’étant pas attendu à autant de répartie. Enfin quelqu’un qui n’a pas peur de mes propos. Enfin, il a bien dit que cela dépendait de ce que j’avais en tête. « Te tuer, c’est évident. » dis-je en soupirant, croisant mes bras contre ma poitrine, ne le lâchant absolument pas du regard. « Alors soit ce pot vient d'un sex shop douteux et dans ce cas je refuse que tu me touches avec ça. Soit tu veux tout simplement me désaper et dans ce cas là, il suffit simplement de le dire ma belle ! » Ah là tu parles. Mon sourire s’agrandit alors que j’adore la réponse qu’il vient de me donner. On sait jamais, j’aurais pu tomber sur un prude dont mes paroles l’auraient complètement scandalisées. Et puis oui, j’aurais pu être directe, mais ce n’est pas vraiment dans ma nature, je préfère tourner autour du pot un certain moment. « Merde... t’as le pouvoir de lire dans la pensée des gens ? Non mais je ne voulais pas paraître impolie, tu comprends. Je suis une jeune femme bien élevée. » dis-je, mon sarcasme ne pouvant évidemment pas passer inaperçu. J’y peux rien, c’est une sorte d’automatisme chez moi. Peut-être même un moyen de défense. Certains aiment, d’autres non. Pour le peu que je m’en soucis, au pire, juste à le dire si ça déplait chez certains. Alors comme ça il se prénom Slavin. C’est pas trop pire. J’hoche la tête en signe d’acceptation, finalement, je ne le surnommerai peut-être pas chose. C’est alors qu’il se met à détacher son pantalon. Il est sur sa lancé, ce n’est certainement pas moi qui va l’arrêter. Je le regarde faire, une certaine indifférence pouvant se lire sur mes traits, alors que je suis plutôt contente qu’il embarque dans mon jeu. Il est pas trop pire physiquement, j’ai déjà vu mieux, mais bon, je ne vais pas me plaindre tout de même. Je m’approche de la table à massage alors qu’il s’y installe, faisant preuve de la même impatience que moi, quelques minutes plus tôt. Je lève les yeux au ciel. Ça va, pas besoin de me presser. « J’espère que t’aimes la lavande. Parce que tu vas empester. » dis-je tout bas, alors que je mettais une quantité non négligeable d’huile parfumé. Un peu plus, un peu moins, ça change pas grand chose. Je dépose donc mes mains, qui sont plutôt froide d’ailleurs, contre le dos de Slavin entreprenant des faire des allées et retour contre sa peau, de façon lente et certainement sensuel. Je ne suis pas masseuse professionnelle, mais on peut dire que je me débrouille bien. Et j’aime ça en plus, donner des massages. J’espère qu’il apprécie ma gentillesse tout de même. « Bon relaxe un peu, t’es tendu comme une barre de fer. » dis-je en rigolant, exagérant à peine, euh... beaucoup. Il est pas tendu, je veux simplement être chiante.

Me tuer, évidemment j'aurais dû m'en douter. On emploi pas le mot victime à la légère, et puis qu'est-ce qu'elle aurait pu faire d'autres ? Me rouer de coups ? Non, j'suis plus baraqué qu'elle, je la stoppe en un temps record. Je souris, si elle croit qu'elle me fait peur. Elle ne peut pas être sérieuse avec toutes et caméras. Et puis si elle l'était ? Et bien tant pis, j'aurais vécu une belle vie. Non sérieusement. « Si ce n'est que ça alors, je reste ... » J'réponds totalement détaché comme si elle venait de me dire qu'elle se prénommait Marguerite. Sa répartie me fait sourire davantage. J'sais pas si c'est parce que la conversation n'a rien de conventionnel ou si j'aime son culot, mais ça me plait. « Merde, deux jours ici et tu as déjà découvert mon secret... Une femme bien élevé, t'en as tout l'air. » Enfin, bien élevé, j'sais pas, mais directe ça c'est sûr. Elle voulait me voir nu et ça allait bel et bien arriver. Je me douche bien à poil, qu'est-ce que ça peut bien faire de l'être sur cette table. Elle ne va tout de même pas me violer, et quand bien même. J'suis pas tout à fait sûr que ça dérange tant que ça de toute façon. Elle a l'air d'apprécier mon prénom, en tout cas si ce n'est pas le cas, elle ne le critique pas. Ouais moi aussi je l'aime. Elle n'essaye pas non plus de me raisonner lorsque j'enlève mon pantalon, mais n'est pas non plus en admiration devant moi. Pas grave, elle va me masser, elle n'est pas obligé de baver. « Non pas spécialement, mais si ce que j'dois endurer pour me voir offrir un massage, j'pense que j'peux supporter. » Et sinon il reste l'option douche après quoi l'odeur partira aussi rapidement qu'elle n'est arrivé. L'huile entre en contact avec ma peau, beaucoup d'huile, c'est froid. Mais ce n'est rien en comparaison d'avec ses mains qui sont totalement glacées. Je me crispe mais finalement ma crispation se dissipe avec le mouvent lancinant de ses mains sur ma peau. J'commence juste à me détendre, apprécier, sauf qu'elle me dit le contraire. « Je m'apprêtais à dire que t'étais bonne, mais pas à ce point là encore. » J'sais bien qu'elle me taquine, enfin je ne devine. Et moi aussi puisque j'viens de lui dire que si elle était plus appliqué, je serais sûrement plus "tendu" que je ne le suis à présent. « J'imagine que t'es pas le genre de nana à faire connaissance et encore moi faire la conversation avec un inconnu. » Par contre, ça ne la gêne pas de me toucher en revanche, elle a même l'air d'y prendre goût. Tout comme moi.

« Si ce n'est que ça alors, je reste ... » Voilà qui était une sage décision. Rester. Non pas que je me serais mise à pleurer toutes les larmes de mon corps s’il avait décider de partir, non mais faut pas rêver, mais bon, je ne vais être déçue de le voir rester en ma compagnie. « Merde, deux jours ici et tu as déjà découvert mon secret... Une femme bien élevé, t'en as tout l'air. » Ouais voilà, je suis trop forte, j’ai deviné son secret en un rien de temps. J’attend les applaudissements, ça serait encore plus apprécié. Je suis très exigeante en matière de reconnaissance, mais bon, nous n’en sommes pas encore là dans notre présentation. « Je suis douée, oui. Mais, si tel est ton secret, j’aimerais que ne l’utilise pas trop avec moi... j’aime bien conserver un certain mystère autour de moi. Ça casserait le mythe, si je devenais soudainement à découvert... » dis-je alors, souriant faiblement, le regardant retirer ses vêtement un à un. C’était surement une très mauvaise stratégie, de révéler à un parfait inconnu une facette de ma personnalité qui pouvait sembler inventé de toute pièce, mais qui au final, se révélait comme vrai. Je laisse planer le doute. Je suis directe tout en prenant quatre chemins. En même temps, il a surement remarqué lui même cet aspect, que je ne cache pas non plus. Je n’attend pas une seconde de plus pour appliquer l’huile à massage sur son dos, mes mains se mettant au travail d’une façon très précise, attentionnée, comme si c’était la chose à laquelle j’étais le plus douée au monde. Évidemment, je n’avais pu m’empêcher d’émettre un petit commentaire, incapable de ne pas me la jouer casse-pied pour deux minutes. « Je m'apprêtais à dire que t'étais bonne, mais pas à ce point là encore. » À bon, vraiment ? Me voilà terriblement déçue, c’est pas croyable. « Mes aspirations de masseuse professionnelle s’envole en cet instant. » dis-je faussement déçue, ne me faisant qu’encore plus sensuel dans mes mouvements, ne voulant ne serait-ce qu’une seconde regretter d’avoir affirmer que je ne suis pas bonne. Puisque j’en suis certaine, il apprécie le moment. Qui ne l’apprécierait pas. « J'imagine que t'es pas le genre de nana à faire connaissance et encore moins faire la conversation avec un inconnu. » Il a le don de me faire sourire celui-là. Tranquillement, alors que mes mains s’immobilisent un instant, je décide de me pencher à son oreille. « T’imagines très bien. » soufflais-je dans un murmure, recommençant doucement à masser chaque muscles de son dos avec attention. « C’est trop banal... Trop conventionnel, cette façon automatique de se présenter en disant notre nom, notre âge, nos occupations. Techniquement, qu’est-ce que ça va changer de connaître de tels détails ? Absolument rien. Mieux vaut apprendre à se connaître différemment... réellement. » affirmais-je finalement, remontant mes mains sur ses épaules pour, dans un geste très lent, les glisser contre sa peau le long de son dos descendant jusqu’à ses fesses. C’est trop tôt pour m’y aventurer ? C’est lui qui a décidé de ce déshabiller. Ce n’était surement pas pour jouer une partie de carte. Mais bon, ce n’est qu’un massage. Il ne faut rien insinuer dans mon geste autre chose qu’un simple massage.

« Promis, je ferais comme si je n'avais pas déjà lu en tout comme dans un livre ouvert dans ce cas ! » Je lui lance un clin d'oeil pour coller un peu plus avec ma petite mise en scène. Bien évidemment je bluffais, elle devait bien évidement sans douter, encore que comment pouvais-je le savoir. De la même manière, il m'était impossible d'affirmer lire comme dans un livre ouvert pour qualifier London. Bien sûr certains traits de caractère la concernant ne pouvaient m'échapper bien au contraire, tout comme elle avait sûrement pu identifier aussi facilement ce que j'avais décidé de lui dévoiler à mon sujet. Ainsi, ses mains s'activent sur mon dos, je sens bien qu'elle met du coeur à l'ouvrage, si bien que la taquinerie dont je fais preuve était tout bonnement inévitable. Je ne peux m'empêcher de rire comme un gosse contre la table. Aussi, je la sens se faire de plus en plus pressante, plus douce, et tellement plus sensuelle. Divin. « J'ai pas dit que t'étais mauvaise non plus ... » Je lance dans un murmure tandis que je profite totalement de ses mains, elle est douée, si douée qu'elle me donne des frissons. Mais moi, j'sais pas garder le silence, j'suis pire qu'une nana à ce sujet, j'parle, et j'parle, encore et encore, si bien que je lui pose une question, et là, le drame, elle s'arrête. Non continue belle enfant. Enfin ça c'est ce que crie mon corps, moi, je garde le silence. Je souris à sa remarque, celle qu'elle me souffle au creux de l'oreille. J'suis fort quand même. Et puis elle reprend, pour mon plus grand plaisir, et mine de rien l'odeur de l'huile passe totalement inaperçu. J'suis totalement d'accord avec elle. Le conventionnel m'ennuie, enfin je sens que le conventionnel avec elle particulièrement m'ennuie. « Totalement, quel intérêt de savoir l'âge que t'as alors que tout ce qui m'importe maintenant, c'est qu'on baise... Aucun... » Je murmure de ma voix monocorde, sans un seul regard dans sa direction, même mon visage a perdu son sourire, je me contente d'observer le mur face à moi. Sans attendre aucune réponse par ailleurs, qui sait si j'suis sérieux ou si j'continue de l’attiser ? Pas elle du moins. Mais elle continue de plus belle, et s'aventure sur mes fesses. Oh quand même. Je souris cette fois. Fais toi plaisir, je t'en prie.

« Promis, je ferais comme si je n'avais pas déjà lu en tout comme dans un livre ouvert dans ce cas ! » Comme c’est gentil de sa part de prendre en considération ma demande. Je ne pourrais demander mieux, vraiment. Je me sens profondément touché. Ok, j’arrête mes conneries et je continue mon massage dignement. Mais il semble que monsieur n’est pas satisfait, enfin, c’est ce qu’il me laisse croire dans son petit commentaire. « J'ai pas dit que t'étais mauvaise non plus ... » Il essaie surement de se rattraper à l’instant, ayant peut-être peur que je me dérobe. Non, je ne crois pas vraiment cependant. « Ça serait un bien gros mensonge après tout... » dis-je tout bonnement avec assurance. Je ne me pense pas supérieur et je sais très bien que je suis loin d’être une experte en la matière. Simplement, je sais lorsque je plais à quelqu’un, que se soit que légèrement. Et là, c’est le cas. Mais encore une fois, je suis peut-être complètement dans le champs, ce qui serait dommage, parce que sans rien connaître de lui, je sais déjà qu’il me plait bien aussi. Simplement en remarquant sa façon de réagir, d’intervenir avec moi. Et puis, comme je viens de lui mentionner, je préfère connaître les gens d’une façon différente. Le traditionnel m’énerve. Je déteste faire comme tout le monde, simplement pour entrer dans un cadre fixe que la société nous a imposer. Bref, je ne me casse pas la tête, c’est tout ce qu’il y a à retenir. « Totalement, quel intérêt de savoir l'âge que t'as alors que tout ce qui m'importe maintenant, c'est qu'on baise... Aucun... » Effectivement, je n’y vois aucun intérêt. Je dois avouer que j’ai de la difficulté à contenir mon sourire. Non pas parce que je vais lui sauter dessus à la seconde près qu’il vient de mentionner cette phrase, mais parce que j’adore cette façon qu’il a de répondre. Et ce détachement. C’est attirant. Encore plus que le fait de vouloir baiser. « Aucun... Sauf si j’avais en bas de 16 ans... Cela deviendrait problématique pour toi. Le détournement de mineur... ça ne fait pas une bonne réputation.» dis-je mine de rien, ne relevant pas du tout le fait qu’il m’avouait clairement vouloir s’envoyer en l’air. Je ne vois pas pourquoi je le ferais de toute façon. Alors que mes mains descendirent jusqu’à ses fesses, il venait tout de même, d’une façon indirecte, de me demander de procéder. Je ne vois pas pourquoi je me gênerais. Je m’y attarde un moment, descendant encore plus bas pour masser ses cuisses, mollets et de nouveau glisser mes mains, remontant vers son dos. « C’est bien beau tout ça... Mais y’a rien de gratuit avec moi. J’espère que t’en as conscience. » murmurais-je en guise de simple information, alors que je ne m’arrête pourtant pas dans mon activité. « Si je donne, j’attend de recevoir en retour. Je ne suis pas très généreuse. Voilà, maintenant tu connais quelque chose sur moi. C’est un cadeau... » Oui, je me sens gentille, c’est pour ça. Mais bon, au pire j’arrête de parler, et je lui fais comprendre qu’il peut retirer mes vêtements s’il en a envie. Mais ça serait beaucoup trop facile ainsi. Il n’y aurait plus de plaisir.