Citation :

marcus,
mardi 22 mai,
à 10h30.

Mon dieu, mon dieu elle a trop dormis il est maintenant 10h00 passé et elle n'est pas encore sous al douche. Mon dieu il va y avoir du monde dans la salle de bain. Elle a fait une fois l'expérience et depuis elle voulait faire en sorte de ne jamais la réitérer. Mais hier soir elle était tout simplement éreinté. Alors elle se lève en quatrième vitesse jurant en italien, les cheveux ébouriffée son corps longiligne masqué par un top blanc et un pantalon de pyjama. Rapidement elle se rend dans le dressing se faisant toute petite parce qu'elle n'est pas seule. Elle attrape les premières fringues qui lui arrive dans les mains et se dirige vers la salle de bain. Elle espère, elle espère de tout son cœur qu'elle sera seule. Sur la route elle s'engouffre dans les toilettes et passe son maillot de bain blanc qu'elle met pour se laver parce qu'elle est bien trop pudique pour le faire entièrement nue devant tout ces gens, ces caméra.. non hors de question. Une fois son maillot mit en dessous son pyjama elle se dirige de nouveau vers la salle de bain. Vide elle est vide. Un grand soupire de soulagement s'échappe de ses lèvres. Mais de courte durée. Elle est resté sur le pas de la porte et semblerait que la personne qui vient d'arriver ne l'est pas vu. Enfin elle l'espère que c'est ça, puisqu'il vient de la bousculer. Elle marmonne quelques mots avant de reconnaître, elle croit que son prénom c'est Marcus c'est celui qui l'a appelé la hippie durant le prime. « Bon-bonjour. » marmonne-t-elle s'écartant pour lui laisser le passage. Elle le regarde avec intérêt et méfiance à la fois. « Tu-tu, va prendre une douche ? » dit-elle juste pour se renseigner parce que si c'est le cas elle fait demi tour illico presto.

Quelqu'un fait du bruit dans la pièce , je grogne avant d'enfuir ma tête sous la couverture pour tenter de retrouver le sommeil que l'on veut m'ôter. Pour moi, c'est primordial de dormir le matin, d'être dans ce moment d'apaisement avec moi-même. Mais j'suis pas un privilégié de Morphée, quand j'suis réveillé comme c'est le cas en ce moment présent, j'ai du mal à me rendormir ensuite. Je déteste ça. Ma femme sait d'ailleurs qu'elle ne doit pas laisser mon fils entré dans la chambre tant que je dors et ce, même si Joseph a très envie de me voir. Cela me permet de commencer la journée de bonne humeur et aujourd'hui, c'est pas gagné. Je déteste ces gens. Je me lève donc à contre coeur, rageant contre ces cons qui ne savent pas la boucler et respecter leurs colocataires. Passant par le dressing, j'attrape un caleçon propre, une chemise et un jean. C'est tout ce dont j'ai besoin avant d'aller prendre ma douche. J'entre ensuite dans la salle de bain, bousculant une candidate au passage. Je m'en fou pas mal de savoir qui est cette personne. Si il voulait un Marcus heureux, fallait me laisser dormir. Je dépose mes affaires sur le coin du lavabo tandis que la blonde me salue. « Ouais, salut. » Elle devra se contenter de ça, elle peut même déjà être heureuse en fait. « Tu-tu, va prendre une douche ? » C'est seulement à ce moment là que je pose mes iris sur elle pour constater qu'il s'agit de la hippie du premier soir. Je ne lui ai pas reparlé depuis ce premier soir d'ailleurs. « Non, là je vais faire un monopoly et si j'ai le temps je jouerai du piano » Question idiote quand on voit que je ne porte qu'un caleçon et que j'ai une pile de vêtement sous le bras. J'allume l'eau de la douche, tout en étant encore à l'extérieur, simplement habitude que j'ai toujours eu et je m'en fous si cela gaspille l'eau de notre belle planète. Elle semblait gênée de ma présence, je décidais donc de rajouter ceci étant donné qu'elle portait elle aussi sa tenue de bain « Y a pas de malaise, tu peux te laver aussi. » Je levais les yeux aux ciels. « Je te regarde pas si tu veux» Sourire narquois « Toi, tu peux me regarder par contre, j'suis pas pudique. »

Pas une excuse, pas un regard désolé non. Rien qu'un visage fermé et clairement de mauvaise humeur. Elle a quand même droit à une spéciale attention de la part du grincheux. « Ouais, salut. » Que c'est aimable. Elle affiche une mine gêné et clairement mal à l'aise par cet accueil charmant mais elle se risque à lui poser une question tout à fait stupide vu l’accoutrement du jeune homme. Va-t-il se doucher ? Bien entendu qu'il va se doucher. Mais elle ne peut s’empêcher de le lui demander se mordant la langue juste après lorsqu'elle se rend compte de la stupidité de la question. « Non, là je vais faire un monopoly et si j'ai le temps je jouerai du piano » Elle soupire, il se moque d'elle bien entendu. Pourquoi dire les choses de manière gentille quand on peut se moquer de ses camarade, c'est tellement mieux non ? Non, pas vraiment, ou en tout cas pas dans le monde de Valentina, clairement pas dans son monde. Elle s’apprête donc à rebrousser chemin quand elle l'entend allumer la douche sans pour autant y entrer. Elle arque un sourcil pourquoi faire un geste de la sorte. Il reste là à coté de la douche, alors que la température est forcément à sa goût maintenant. Alors pourquoi gaspiller de l'eau de la sorte. Elle pose un regard réprobateur sur le jeune homme, il n'est pas très bine élevé se dit elle. « Y a pas de malaise, tu peux te laver aussi. » Elle n'écoute même pas, elle regarde cette eu se déverser sur le sol. Elle doute que ce château soit munie d'un système qui garde les eaux usées, pour d'autres utilisation comme arroser les nombreuses plante de ce jardin immense. Elle en doute sérieusement, alors là tout ce qu'elle voit c'est de l'H2O gâché tout bonnement gâché. « Je te regarde pas si tu veux» Elle n'écoute toujours pas. Son regard est navré. « Toi, tu peux me regarder par contre, j'suis pas pudique. » Furent les paroles qui la font revenir à la réalité. Elle secoue légèrement la tête puis reconstruit ce qui a pu se passer et ce qu'il a put dire se basant sur sa seule phrase qu'elle a intercepté. Pas difficile. Elle comprend qu'il l'invite à se doucher aussi qu'elle a pas à se sentir mal à l'aise et qu'il ne la regardera pas si c'est ce qu'elle souhaite. Elle regarde toujours cette eau sans avoir donné une seule réponse pour le moment. Elle décide d’ôter ses vêtements pour se retrouver dans un bikini blanc simple. Elle ne fait pas de manière pour l'instant parce ce que tout ce qui compte c'est cette eau gaspillé par ce gosse de riche impétueux. Elle le devance donc et se faufile sous la douche. « Si tu pouvais ne pas me regarder ce serait apprécié merci. » dit-elle machinalement. « Et si tu pouvais éviter de gaspiller de l'eau.. » dit-elle bien plus hésitante sur cette partie de sa phrase. Elle ne voudrait pas paraître moralisatrice alors elle ne dit rien de plus. L'eau chaude se déverse sur sa peau c'est très agréable mais elle ne peut pas en profiter pleinement sachant qu'elle n'est pas seule.

Elle restait muette face à toutes mes paroles, c'était pas plus mal puisque je préférais de loin une femme silencieuse qu'une pipelette qui jacasse comme une oie, inlassablement. Cependant, elle semblait ailleurs. M'écoutait-elle vraiment ou bien discutais-je dans le vide ? ça, j'appréciais moins. J'abaisse donc mon caleçon qui se retrouve à mes chevilles en moins de deux secondes. Si elle ne veut pas me voir dans mon plus simple appareil, il lui suffit de détourner le regard et de regarder autre chose. Elle se faufile sous la douche, j'en fais de même « Si tu pouvais ne pas me regarder ce serait apprécié merci. » Cela me faisait sourire, surtout lorsque l'on sait qu'elle porte un bikini et qu'elle ne dévoile rien de trop intime si je puis dire. Des femmes en bikinis, j'en ai vu un bon paquet, des centaines peut-être. Et cela n'a rien de tabou. D'ailleurs même le sexe n'est pas tabou pour moi, mais ça, je suppose que ça dépend de l'éducation que l'on a reçu. Je ne peux d'ailleurs pas m'empêcher de lui faire remarquer. « Tu sais, j'ai déjà vu des femmes en bikini sans pour autant leur sauter dessus » Tout de même, vient-elle de la même époque que moi ? Je suis nu et bien moins gêné qu'elle qui se trouve en maillot de bain. Bref, je me rince donc le corps afin qu'il soit mouillé, je ferme les yeux profitant de cet agréable moment. Sans aucun doute le plus agréable de toute ma matinée en fait. Je ne pourrais pas commencer une journée sans me laver, c'est un rituel que j'ai depuis l'enfance. Mais Valentina décide de m'interrompre finalement. « Et si tu pouvais éviter de gaspiller de l'eau.. » Je riais tant c'était prévisible de la part de la jeune femme. Je ne la connaissais pas et pourtant, je la voyais déjà membre acharnée de green peace ou une autre connerie du genre. « Pourquoi ça ne m'étonne pas venant de toi. » Elle devait sans doute me voir comme un fils de riche pourri gâté jusqu'à la moelle. Elle se trompait, elle était même à mille lieux de la vérité mais soit. J'attrapais donc mon savon, coupant l'eau au passage pour ne pas avoir une remontrance de plus et commençait à me savonner doucement. Une fois que l'entièreté de mon corps fût imbibée de savon, je commençais donc à me laver les cheveux. C'est seulement lorsque le tout fût terminé que je rallumais l'eau afin de me rincer. Comme promis, je n'avais pas laissé mes yeux traînés une seule fois sur la jeune femme. Enfin si, une fois peut-être... Je reste un homme. Je sortis de la douche, attrapant ma serviette afin de me sécher les cheveux et le reste ensuite pour finalement enroulée cette dernière autour de ma taille. C'est alors que je resongeais à greenpeace et tout ça. « Tu fais quoi dans la vie toi ? » Océanographe, sauveuse de baleines en danger ? Peut-être faisait-elle quelque chose de tout à fait différent de ce que j'attendais d'elle. Après tout, il faut se méfier des apparences.

Elle se décide à rentrer dans la cabine de douche alors que le jeune homme se met totalement nue. Ses joues deviennent roses, son regard fuyant. Elle l'interdit ou presque de la regarder parce que ça la gêne tout simplement. Mais lui il va trouver ça bizarre et même étrange alors que ça ne l'ai pas tant que ça. Elle a le droit de vouloir que le seule personne qui voit son corps dénudé soit quelqu'un d'important, un homme important non ? Et pas le premier de passage qui lui lance un regard de braise. Et surtout elle n'est pas habitué à aller à la plage ou à la piscine, à se trimbaler en maillot de bain devant des illustres inconnu, non vraiment pas. Elle passe tout son temps à des choses cent fois plus importantes et depuis qu'elle est ici elle a l'impression de ne servir à rien, d'être totalement inutile. « Tu sais, j'ai déjà vu des femmes en bikini sans pour autant leur sauter dessus » Il n'a pas comprit. Elle n'a pas peur qu'il lui saute dessus. Elle n’est pas assez vaniteuse pour pensé que la seule vue de son corps nue puisse provoquer une telle chose chez un homme. « Ce n'est pas pour ça que je ne veux pas voir tes yeux se déplacer sur mon corps. » dit-elle machinalement presque entre ses dents, comme si ça lui coûtait de lui adresser la parole. Pas vraiment c'est juste qu'elle n'est pas habitué à ce genre de 'personnes'. Encore une nouveauté. Elle lui demande aussi de ne pas gaspiller l'eau ce serait assez sympa de sa part qu'il pense un peu aux autres.  « Pourquoi ça ne m'étonne pas venant de toi. » Elle lui lance un regard noir, pensant qu'il ne la regardait pas mais il est grillé puisqu'elle vient de croiser son regard. Elle détourne le regard. Il se fait une fausse idée d'elle c'est certain. « Ah oui c'est vrai la hippie. » dit-elle dans un souffle avec une pointe d'insolence qui ne lui va pas du tout. Elle n'est pas insolente, elle ne sait pas être insolente mais elle a bien envie de s'y essayer parce qu'il est.. Hm, insupportable. Monsieur se lave ou en tout cas c'est ce qu'elle croit elle ne le regarde pas. Elle sourit lorsqu'elle entend l'eau se coupé, puis se rallumer. A croire qu'il écoute ce qu'elle dit. Elle se lave les cheveux alors que lui sort de la douche. « Tu fais quoi dans la vie toi ? » Elle sourit une autre fois. Il doit s'en faire des idées. Elle a pas envie de lui dire ce qu'elle fait, enfin.. elle en a marre de dire ce qu'elle fait. « Je travaille pour greenpeace. » dit-elle dans un sourire avant de finir par rire. C'est un blague à lui de deviner ou.. pas. « Je suis étudiante en biologie. » dit-elle rapidement histoire de se débarrasser de ce sujet de conversation. Elle rince sa chevelure blonde puis passe au lavage de son corps. Une fois tout le rituel terminé elle se tourne pour attraper une serviette mais l'unique qui était posé sur le porte serviette était maintenant autour de la taille de Marcus. Elle évite son regard et lui demande avec gentillesse, une gentillesse extrême. « Tu peux me passer une serviette s'il te plaît ? » Elle lui a pas demandé ce qu'il faisait dans la vie n'est-ce pas ? Tout simplement parce qu'elle le sait déjà.

« Ce n'est pas pour ça que je ne veux pas voir tes yeux se déplacer sur mon corps. » J'ai du mal à comprendre ce qu'une personne comme elle vient foutre dans un jeu comme celui-ci. Elle semble être en contradiction profonde avec tout ce qu'une télé-réalité peut représenter; elle est tellement pudique alors que les caméras nous exhibent aux yeux de tous. Nous sommes mis à nus devant des milliers de téléspectateur, on est plus à un regard près. « Tu sais que des tas de pervers te matent derrière leur écran. Dis bonjour à la caméra Valentina. »Dis-je tout en pointant le fameux objet de mon index. Personnellement, j'en avais rien à foutre. Mon corps me satisfaisait suffisamment que pour me foutre à poile dans la salle de bain. J'étais donc sous la douche, occupé à me laver. C'est important d'avoir une bonne hygiène de vie, je ne pourrais pas vivre aux côtés de quelqu'un qui ne se douche pas tous les jours au moins. Pire : Quelqu'un qui ne se brosse pas les dents. Bref, la candidate me fit remarquer qu'il fallait couper l'eau. Je n'avais pas envie de batailler inutilement sur un sujet comme celui-ci. « Ah oui c'est vrai la hippie. » qu'elle me lâcha lorsque je lui disais que ça ne m'étonnait pas qu'elle me demande un truc pareil. Oui, une hippie. Une fille qui ne vient pas de la même époque que moi, pas du même univers. Sans doute une autre galaxie même, rien ne m'étonnerait. « Ouais, te vexe pas pour si peu. Mais t'es ... » bizarre. Bizarre c'est le mot ! Elle est complètement bizarre pour moi. « différente. » J'optais finalement pour ce mot là qui ressemblait bien moins à une critique que l'autre. Je n'avais pas pour habitude de côtoyer des femmes pour qui l'environnement a une quelconque importance. Ni même de femmes qui se préoccupent du taux d'alcoolémie des autres. Soit, elle est différente des filles du vingt et unième siècle. J'avais entre temps eu terminé de me doucher et m'étais faufiler en dehors de la douche. Je m'essuyais et lui demandais en même temps ce qu'elle faisait dans la vie. Militante, c'était la première réponse qui me vint à l'esprit. « Je travaille pour greenpeace. » Vraiment j'ai visé juste !? Bingo. C'est à son sourire que je vois qu'elle se fout de moi. « Je suis étudiante en biologie. » Tout s'éclaire d'avantage désormais. Je décide cependant de ne pas continuer la conversation sur ce sujet, c'est tellement banal. Je me sèche donc et enroule ma serviette autour de ma taille. Je me pose ensuite face au miroir et m'y regarde lorsque j'entends Valentina qui me demande une serviette pour elle aussi. Je soupire fortement avant de me diriger vers le dressing où je chope une serviette propre. Une fois celui-ci entre mes mains, je lui tends en regardant dans le direction opposée. « Tiens. »

« Tu sais que des tas de pervers te matent derrière leur écran. Dis bonjour à la caméra Valentina. » Bien entendu qu'elle le sait elle n'est pas stupide. C'est bien pour ça qu'elle ne peut pas gérer un regard de plus déjà les caméra c'est beaucoup, beaucoup trop dans la plu part des cas alors que l'autre là la regarde aussi y a tout simplement pas moyen. « Ne me prend pas pour une idiote. » dit-elle calmement tout en continuant à se laver. Oui là clairement il la prenait pour une idiote et si y a bien quelque chose que Valentina n'est pas c'est : idiote. Elle sait bien qu'elle a beaucoup de problème elle n'est pas aveugle elle est tout à fait consciente de tout ça. Et ce n'est pas avec lui qu'elle en discutera. Puisque c'est une hippie selon lui, une hippie... Il n'avait tout simplement rien comprit. Elle n'a rien d'une hippie rien du tout. Elle est pas assez cool, pas assez détendue pour pouvoir être affublé d'un tel surnom totalement ridicule. « Ouais, te vexe pas pour si peu. Mais t'es ... » Quoi qu'est-ce qu'elle est ? Ça l'intéresse. Elle écoute avec attention s'attendant au pire. Comme bizarre, folle, étrange ce genre de choses. « différente. » Elle sourit. C'est absurde, bien entendu qu'elle est différente. « On est tous différent Marcus. » dit-elle d'une voix douce avant qu'il ne termine sa douche et décide de sortir de la cabine. Puis le sujet de la conversation dévie sur le métier de la petite blonde. Elle le voit bien l'imaginer militante pour greenpeace alors elle se permet de blaguer sur le sujet avant de lui dire furtivement ce qu'elle fait en réalité. Ensuite elle lui demande s'il peut lui passer une serviette et vu le grand soupire qui émane de ses lèvres elle imagine que ça ne doit pas lui faire grand plaisir. Mais il le fait quand même. « Tiens. » dit-il faisant l'effort de ne pas la regarder. Il a comprit, elle apprécie. Elle attrape la serviette et l'enroule autour de son mince corps. « Merci. » dit-elle dans un souffle sortant de la douche. Elle serre le tissus blanc sur son corps baladant son regard sur tout ce qui est près du sol. Elle sourit timidement attrapant ses affaires. « Je te laisse à ta contemplation à plus. » dit-elle d'une voix douce alors que le jeune homme semblait apprécié la moindre parcelle de son visage se regardant intensément dans le miroir de la salle de bain. Un dernier sourire et elle passe la porte. Maintenant va falloir aller s'habiller elle espère de tout cœur que le dressing est vide, personne à l'horizon mise à part cette foutue caméra. Elle espère mais on est rarement seul dans une pièce ici.

SUJET TERMINE POUR VALENTINA.