this one's on me
ft. Danica & Maxence

Que ce soir dit une bonne fois pour toute, j'étais ce genre de type qui n'oubliais presque jamais ce qu'on lui disait, aussi sachez-le dès à présent si vous me disiez un truc et que je faisais ensuite mine de l'avoir oublié, ce n'était rien de plus qu'un gros mensonge appelé oubli volontaire. Mais cela m'arrivait rarement, soyez rassuré. Pour l'heure ce que je n'avais pas oublié en revanche c'était ma discussion avec Danica lors du prime, et alors que je cherchais quoi faire en ce milieu de soirée, puisque je n'avais pas sommeil, je l'avais justement trouvée là. Au salon, à attendre je ne sais quoi assise sur le canapé et me tournant le dos, mais rien de plus intéressant que ce que je voulais lui proposer sans aucun doute. Posant une main sur son épaule pour la prévenir de ma présence je lui avais alors lancé d'un ton plein de mystère et juste à peine exagéré « Viens, remet tes chaussures on sort. J'ai un truc à te montrer. » Oui, rien de plus, après tout c'était elle qui m'avait aussi dit qu'elle préférait le mystère, alors lui dire directement où nous allions était un non-sens total à mon avis. Puisqu'elle me suivait je l'avais donc guidée jusqu'au dehors, où malgré l'heure il faisait encore bon, et sans jamais répondre autrement que part des Tu verras lorsqu'elle me demandait où je l'emmenais je m'étais finalement arrêtée avec elle devant le Jack Rabbit's Slim, bar en total décalage avec le paysage et que nous devions à notre regrettée Sido ... J'étais vraiment déçu, d'ailleurs, que l'hôtesse de l'air ait quitté l'aventure. Elle me plaisait bien et puis, c'était une compatriote. Mais pour l'heure il n'était question que de Danica, et tandis qu'elle me suivait à l'intérieur je m'étais empressé de passer derrière le bar où j'avais préparé deux verres et une bouteille de Tequilla que j'avais chipé dans le cellier « Puisqu'il parait que tu es plutôt de celles à qui on paye un verre, à défaut de te le payer je te l'offre. » Et oui. Remplissant donc les deux verres sans attendre plus longtemps, après avoir jeté un coup d'oeil circulaire à l'endroit parce que décidément ça en jetait vraiment, je m'apprêtais donc à lever le mien pour trinquer avec la jeune femme, lorsque j'avais eu une nouvelle idée. Décidément. « T'as déjà joué à je n'ai jamais ... ? Ne me dis pas non, tout le monde a déjà joué à ça au moins une fois. » Et c'était une façon beaucoup plus ludique de boire un verre à mon avis. Sans compter que cela permettait aussi d'apprendre des choses sur la personne en face, et dans un jeu comme celui-ci c'était donc une façon optimale de joindre l'utile à l'agréable.

De deux choses l'une, soit elle s'ennuyait vraiment à mourir ce soir soit il lui fallait vraiment le début d'un bout de mystère pour suffire à attirer son attention ... Probablement un petit mélange des deux je dirais. Toujours est-il que je n'avais pas vraiment eu besoin d'insister pour la pousser à lâcher sa tablette, et pourtant dieu sait comme en période d'ennui cette sale bête pouvait se montrer addictive, particulièrement les soirs où le sommeil tardait à venir. Après un « D'accord ... » teinté de curiosité elle avait donc fini par me suivre jusque dans la forêt, qu'à force de arpenter à toutes heures du jour et de la nuit nous connaissions tous un minimum, assez pour y traîner la nuit sans craindre s'y perdre en tout cas. Et puis la devanture du diner se remarquait de loin mine de rien, une espèce d'oasis étrange planté au beau milieu de la végétation. « J'ai peur de pas avoir la tenue adéquate pour le remake de Grease. » Certes, et je n'étais pas beaucoup mieux placé avec mon jean bleu clair et mon polo Eden Park mais enfin nous n'allions pas nous embarrasser de ce genre de détails « C'est à ça que sert l'imagination. » avais-je donc simplement répondu en lui adressant un clin d'oeil amusé. J'étais certain qu'avec un tout petit effort je pouvais l'imaginée en Sandy et elle m'imaginer en Danny ... Bien que je n'ai malheureusement ni la voix ni le déhanché de Travolta. De toute façon ce n'était pas pour chanter Summer Nights que je l'avais amenée ici mais bien pour lui offrir un verre, ou plusieurs nous verrions bien ou tout cela nous mènerait. « Tu sais parler aux femmes. » Sourire légèrement amusé, tandis que je remplissais nos verres. J'aimais à espérer qu'en effet je réussissais toujours à me démerder auprès de la gente féminine ... Mais ça va, dans l'ensemble on ne pouvait pas me dire que j'avais de quoi me plaindre. Je vais même vous dire que l'un des avantages de mon métier était aussi de recroiser souvent les mêmes têtes parmi les journalistes étrangères ... Se voir assez pour copiner, mais pas assez souvent pour que l'un des deux ne fasse la bêtise de prendre ça trop à coeur. Bref, ce n'était pas le sujet. Je lui proposais de jouer à je n'ai jamais, parce que ça passait le temps et parce que Danica provoquait chez moi cette sorte de curiosité que j'avais affreusement envie de satisfaire. « Attends, tu sais à qui tu parles ? J'étais la championne au lycée. Pas parce que je ne buvais jamais, mais plutôt parce que je tenais mieux l'alcool que toutes mes copines réunies. » J'esquisse un sourire amusé tout en refermant la bouteille avant de la reposer sur le comptoir, et de m'installer sur le tabouret à côté de celui de Danica. « Pourquoi ça ne m'étonne même pas ? » avais-je simplement demandé d'un ton amusé. Elle avait l'air de ce genre de filles qui n'avaient pas froid aux yeux, et à qui on pouvait parler sans craindre à chaque phrase de la voir s'offusquer pour presque rien ... Parce que ouais, c'était un truc récurent chez la plupart des nanas ça, si vous vouliez mon avis. « Je te laisse l'honneur de commencer. » J'aurais du me douter que puisque j'avais proposé je devrais m'y coller en premier. Réfléchissant un court instant j'avais fait tourner mon verre entre mes doigts « Bon allez, une facile pour commencer. » Disons que ce serait un échauffement « Je n'ai jamais menti en jouant à je n'ai jamais. » Parce que je ne voyais pas l'intérêt si on l'on n'était pas prêt à jouer le jeu jusqu'au bout. Reste que j'avais ici l'occasion de voir si oui ou non je pouvais espérer de la sincérité de la part de la jeune femme pour la suite ...

Je ne buvais somme toute que rarement. Enfin non, pas "rarement" mais disons de manière plutôt sporadique ... Il m'arrivait de traîner jusque tard le soir à la brasserie du paternel quand j'étais en congés et de vider quelques verres avec ces gens que je voyais si peu souvent. Il m'arrivait de m'aviner un peu trop copieusement lorsque je passais une soirée avec la mère de ma fille mais ce n'était jamais bien méchant et surtout je savais que je serais toujours le bienvenue sinon sur le lit au moins sur le canapé. Mais plus souvent sur le lit, au diable la raison. Il m'arrivait enfin de traîner dans un bar avec des collègues après une journée de reportage, de partager avec eux des alcools aux goûts parfois spéciaux et à l'aspect pas toujours ragoûtant (une bouteille avec une peau de serpent à l'intérieur ne faisait pas forcément envie au premier abord, si vous voulez) ... Mais voilà, tout cela restait sporadique. Et pour une raison très simple, c'est que croyez-le ou non on supportait bien moins facilement les gueules de bois à trente cinq ans qu'à vingt, malheureusement pour moi. « Je compte sur toi pour me porter quelque part dans un endroit confortable si je m'écroule à la fin. » préférait en tout cas me prévenir Danica, au cas où je décide de la laisser moisir ici si elle ne savait plus tenir assez debout pour remonter jusqu'à sa chambre. Pas la barque, pas près d'un point d'eau, bref j'avais retenu la leçon ; Qu'est-ce que vous croyiez, j'écoutais quand on me parlait. Et j'avais très bonne mémoire. « T'inquiète, je trouverais bien un lit où il reste une petite place pour toi. » Avec la ribambelle de candidats partit la place dans un plumard ne devait pas être très chère payée. Même moi, si quelqu'un demandait asile sur mon matelas probablement que je lui dirais oui, à la condition que la dite personne accepte le chat. Parce que c'était totalement non-négociable. La semaine prochaine nous verrions, si ma nomination d'office ne se soldait pas par une élimination et que le nouveau binôme qui m'était attribué refusait catégoriquement Tixy j'y réfléchirais peut-être à deux fois ... Mais jusqu'à dimanche y'avait pas moyen, c'était Tixy ou moi, ou c'était rien du tout. Bref, nous étions là pour jouer alors jouons. J'avais commencé par du simple, c'était comme de l'échauffement, en plus d'être un bon moyen de savoir à quelle dose de sincérité je pouvais espérer prétendre de sa part ensuite. « C'est pour faire durer le suspense ? » Hm, ce n'était pas le but premier mais elle pouvait le voir ainsi si cela lui faisait plaisir. « Je suis complètement nulle pour les mensonges, de toutes sortes. Donc non, je n'ai jamais menti à ça ni à quoi que ce soit. » A vrai dire je doutais que qui que ce soit puisse se vanter de n'avoir jamais menti une seule fois au cours de sa vie mais soit, j'allais la croire pour le cadre du jeu au moins. C'était à elle de proposer maintenant, en tout cas. « Je n'ai jamais ... fait de connerie à cause de l'alcool. » Si moi je lui proposais de quoi s'échauffer avant d'attaquer, elle faisait carrément en sorte d'étancher sa soif. La regardant boire sans rien dire j'avais attendu quelques instants en la fixant, puis finalement j'avais consenti à boire à mon tour « Tu essayes de me saouler, avoue. » avais-je ensuite demandé d'un ton amusé. Bon jamais de grosses conneries, non plus, bien que deux ou trois me reviennent en tête là comme ça, bien que je ne sois pas enclin à revenir dessus à voix haute. Y'avait bien celle d'après un feu de camp, ayant mené à la naissance d'une petite demoiselle neuf mois plus tard, mais autant vous dire que si sur le coup j'avais qualifié ça de connerie ce n'était certainement plus le cas maintenant. Ou alors c'était une connerie dont j'étais particulièrement fier. A mon tour. « Je n'ai jamais ... » J'avais marqué une pause, je cherchais. Oh, je sais. « ... fantasmé sur un candidat ou une candidate depuis que je suis ici. » Un petit sourire en coin, je l'avais observée quelques instants, scrutant sa réponse à venir ... Et finalement j'avais levé mon verre pour boire un coup. Non mais à qui j'aurais pu essayer de faire croire le contraire de toute façon, je n'étais pas plus aveugle qu'un autre et je restais un homme.

Clairement, ce n'était pas le genre d'activité que j'aurais proposé à n'importe qui, je ne voulais pas non plus que l'on m'accuse de saouler les jeunes filles ... Mais bon, Danica avait déjà prouvé qu'elle ne se laissait pas marcher sur les pieds et qu'elle était une grande fille, alors je n'avais pas vraiment eu d'hésitation. De toute façon c'était un accord plus ou moins tacite que nous avions pris pendant le dernier prime. Et puisque le suivant serait peut-être aussi mon dernier autant dire que j'avais du me dégourdir rapidement pour lui proposer. « Je sens qu'on va finir minables, ce soir. » Je lui offrais une légère moue en guise de réponse. Est-ce que ce n'était pas un peu le but recherché, de toute façon ? Fallait juste que je fasse assez attention pour pouvoir toujours être en état de nous reconduire jusqu'aux chambres. « En plus c'est de la triche, je l'ai hurlé pendant un prime. » Ah oui ? Ah oui, c'est vrai. J'avais oublié, pour le coup ... Bon, de toute façon c'était une question donnée, y'avait assez de diversité parmi les candidats pour que tout le monde trouve quelqu'un plus ou moins à son goût. A moins d'être affreusement difficile. J'avais bu aussi en tout cas, pour les mêmes raisons. «  J'en étais sûre ! J'irai dire à Amy qu'elle avait raison, la prochaine fois que je la croise. » Raison ? Raison à propos de quoi, j'avais loupé un épisode ? Fronçant légèrement les sourcils, un air suspicieux sur le visage « Tu vas préciser ta pensée ou bien tu vas me forcer à te demander des détails ? » Non parce que ça m'intéressait là, voyez. Bon, c'était à elle de proposer en tout cas, j'attendais donc sagement qu'elle trouve une idée. Idée qui ne tarda pas à venir et pour laquelle elle ne tarda pas à boire elle-même ... intéressant. Parce que sa question c'était « Je n'ai jamais ... dormi dans un autre lit que le mien. Enfin, dormi ou "dormi". » Ouais, dormi ou "dormi" j'avais saisi la nuance. Resserrant ma main sur mon verre, toujours posé sur le comptoir, j'avais hésité un instant et demandé sans réfléchir « Tu veux dire ici, ou en général ? » Genre c'était un moyen détourné de me demander si j'avais déjà laissé Mickael en plan pour aller dormir ailleurs depuis que j'étais là, ou bien une façon polie de me demander si j'étais plutôt du genre à ramener les nanas chez moi ou à préférer aller chez elle ... Sauf qu'en fait ma question était assez inutile. « Oublie, c'est pas important. » Non c'était pas important, parce que j'allais boire dans les deux cas en fin de compte. Ce que j'avais fait, sans me faire priver plus longtemps. Sans rien préciser de plus non plus, de toute façon ma brève escapade dans le lit de Titi avait été évoquée dans la rubrique on a vu d'Alix, alors. C'était à mon tour, fallait que j'apprenne à chercher ma question suivante un peu à l'avance pour ne pas avoir à réfléchir comme ça à chaque fois « Je n'ai jamais utilisé Cupidon comme excuse pour embrasser quelqu'un qui me plaisait. » Est-ce que je buvais ou pas ? Je me demandais, parce que je pouvais définitivement rayer le baiser de Jasmine de la liste, déjà, et que les farces de Cupidon datant de la première semaine ne comptaient pas vraiment vu que je ne connaissais pas encore assez les concernées pour savoir si elles me plaisaient ou non ... Avec le recul je pouvais répondre à cette question, mais pas sur le coup. Bon, alors je ne buvais pas, mais la réaction de Danica en revanche m'intéressait.

Elle ne pouvait pas juste me dire ça et espérer ensuite que je ne demande aucune explication, elle devait bien s'en douter, que je serais curieux. Et puis, ma curiosité allait généralement en s'accroissant quand je buvais, probablement parce que ma langue se déliait et que mes paroles dépassaient souvent ma pensée ; Ce qui expliquait aussi peut-être que je ne me saoule pas trop souvent, et pas avec n'importe qui. Mais là, pour l'instant j'étais encore loin d'être saoul, et tout ce qui m'intéressait c'était que Danica développe, maintenant qu'elle avait allumé la mèche. « Elle disait qu'il y avait du rapprochement dans l'air entre toi et Rowan, et moi, je disais que c'était plutôt avec la blonde - j'ai encore oublié son nom ... » Tiens donc. Elles ne voulaient pas que je prenne les paris non plus ? Bookmaker c'était peut-être une carrière à garder dans un coin de tête si j'avais envie de changer de carrière. « Titi. » que j'avais en tout cas corrigé machinalement, un léger sourire sur les lèvres. Pourquoi s'entêtait-elle encore à vouloir retenir le prénom complet de la jeune femme ? Moi j'avais abandonné, bien que je pensais m'être un peu amélioré sur la prononciation. Mais Titi c'était tellement plus simple. « Et en fait maintenant je suis sûre qu'on avait raison toutes les deux. Tu ne peux pas battre l'intuition féminine. » ajoute-t-elle finalement d'un ton presque catégorique. Ah bah oui, l'intuition féminine y'avait longtemps qu'on me l'avait pas sortie comme excuse celle-ci. C'était surtout une légende de bonne femme pour pouvoir se targuer d'avoir toujours raison si vous voulez mon avis « Si c'est ton intuition féminine qui te le dit alors, qui suis-je pour essayer de lutter. » Levant les yeux au ciel d'un air faussement blasé j'avais adressé un sourire en coin à la jeune femme avant de boire à nouveau. Là c'était parce que j'avais soif, tout à coup. Je n'avais en tout cas qui réfuté ni confirmé les dires de Danica, après tout j'avais demandé des explications mais je n'avais jamais promis d'avouer quoi que ce soit. Au lieu de ça j'avais préféré enquiller sur une nouvelle question, mais si je n'avais pas bu elle non plus, je venais de la piéger sans même chercher à le faire « Tu remportes la palme du concours de "j'ai réussi à sortir deux questions sur lesquelles Danica Geller n'a pas eu à boire". » Et je n'étais pas peu fier laissez moi vous le dire, mon air triomphal parlait d'ailleurs pour moi, mais cela semblait si difficile d'arriver à coincer la jeune femme sur quelque chose qu'elle n'avait pas fait que c'était presque comme gagner le Roland Garros du je n'ai jamais, quoi. « Allez, pour la peine je te propose une règle supplémentaire. Le premier des deux qui abandonne s'engage à répondre honnêtement à une question de l'autre, peu importe ce que c'est. » Mais j'étais confiant là, pour l'instant, nous pouvions nous en enfiler encore un moment avant de vraiment être à bout « Tu risques pas grand chose à accepter, au rythme où ça va on ne s'en souviendra plus demain matin, de toute manière. » Oui voilà, alors qu'est-ce qu'elle risquait si ce n'était rien du tout. De toute façon nous n'en étions pas encore là, nous avions encore de quoi faire, bien que j'ai versé une nouvelle rasade de boisson dans nos verres, dont le contenu baissait à vue d'oeil. C'était à son tour de proposer. « Je n'ai jamais ... eu de contact physique avec un ou une autre candidat ou candidate à des endroits pas très communs ! Par pas très communs, tu vois ce que je veux dire, pas besoin de préciser. » Oui non ça va, je crois que j'avais compris sans qu'elle n'ait besoin de me faire un dessin. Et puis je ne buvais même pas, j'étais resté sage jusqu'à présent. Restait à savoir jusqu'à quand je me contenterais de le rester. « Ah merde, je m'auto-sabote. » Oh et elle non plus ne buvais pas ? C'était bien la peine, pour un peu je la soupçonnerais presque de chercher délibérément à nous déshydrater. « Et là, on peut savoir où elle est passée ton intuition féminine ? » avais-je alors demandé d'un ton amusé et moqueur, tout en faisant tourner mon verre entre mes mains sur le comptoir. C'était donc à mon tour. « Bon, je n'ai jamais ... Je n'ai jamais dragué quelqu'un uniquement pour rendre quelqu'un d'autre jaloux. » Nous ressortions du seul cadre du jeu et des candidats ; Faut dire que je commençais à manquer d'inspiration concernant mes petits camarades. Et j'avais bu, bien sûr, parce que qu'est-ce qu'on pouvait en faire des choses connes quand on avait vingt piges et des poussières.