La jeune femme se leva, très tard cette fois, les cheveux en pétards, et l'air endormi. Un vrai cliché. La brunette mit un certain temps avant de décider de se lever, une demi-heure, elle repoussa lentement la couette et se leva sans entrain. Ambrosia rassembla ses cheveux, en un chignon négligé, elle se changea, troquant sa chemise de nuit pour un short et un débardeur, elle se dirigea d'un pas moue vers la salle de bain. A l'entrée de celle-ci, la jeune femme buta sur une bouteille de mousse à raser, laisser près de l'entrée, la jeune femme faillit tomber. La jeune femme attrappa celle-ci, et regarda autour d'elle. Elle ne voyait que Alix dans la salle de bain, comme présence masculine. « Hé Alix, c'est à toi ? » l'apostrapha t-elle, à l'autre bout de la pièce. Mais le jeune candidat semblait trop préocupé par autrechose pour se rendre compte qu'on l'appellait, par son reflet peut-être. Ambrosia se dirigea d'un pas décidé vers lui, elle déposa une bonne dose de mousse à raser dans sa main, puis elle tapota le dos d'Alix -qui était torse nu-, comme si elle agissait avec l'une de ses potes. Au moins, maintenant il l'écoutait. « Bon tu m'écoutes maintenant ? C'est à toi ? » demanda avec un sourire faussement innocent.

Dix heures du mat', autant vous dire que mon état tout sauf ce que l'on pouvait appeler de normal. Me grattant de la paume mon œil droit, je tâtonnais à moitié les murs pour tenter de me diriger jusque dans la salle de bain. Ma vision était floue, mon odorat peu développé, et mon ouïe encore moins. Un gout pâteux dans la bouge, j'entrais finalement dans la pièce tout en me plaçant face au miroir, essayant de distinguer tant bien que mal mon reflet, comme si une masse indescriptible se tenait à ma place. C'était assez délirant à voir, ou à ne pas voir puisque de toute évidence, je n'avais pas toutes mes capacités de visions. Finalement, une masse froide s'écrasa sur mon dos, et je mis bien quelques secondes avant de lâcher un gémissement plaintif. « Bon tu m'écoutes maintenant ? C'est à toi ? » lâcha une voix alors que j’émettais un bâillement, pathétique. Posant les yeux sur la jeune femme, puis sur la bombe, je venais soudainement de me rappeler de cette sensation glacée sur mon dos nu. Et puis qu'est ce que je faisais torse nu d'ailleurs ? « Hum non. » dis-je en la prenant entre mes mains avant de la faire sauter dans ma paume, comme pour la peser « Mais ce n'est pas malin de la laisser trainer, des accidents pourraient arriver ! » finalement je la pointais vers la jeune femme et d'un sourire malicieux appuyé sur son extrémité. La crème s'écrasa alors joliment sur son visage « Par exemple, ce genre d'accident. »

Alix n'était clairement pas réveillé, c'était pire qu'Ambrosia, et en général c'est dur à faire, mais le jeune candidat avait battu le reccord du temps de réaction le plus lent du monde. Et n'avait réagit que très mollement à la petite attaque de la jolie brune destinée à le réveiller. Bon apparament l'objet du la presque chute d'Ambre n'était pas à Alix, tant mieux car si cela l'avait été, elle lui aurait passé un de ces savons. « Ah d'accord. ». Le candidat lui reprit rapidement la bombe de mousse, la jeune femme pas tellement réactive non plus, ne protesta pas, auf quand elle se rendit compte qu'il s'en servit contre elle. « Tu vas me le payer Alix. » dit-elle en collant sa joue pleine de mousse contre celle d'Alix, une bien petite vengeance. La jeune femme chercha des yeux quelquechose à lui balancer. « Tu as de la chance qu'il n'y ait aucune de bande de cire qui traine, sinon tu y serais passé je crois.. » répondit elle.

La jeune femme ne tarda pas à réagir collant sa joue à la mienne comme si cela suffisait comme contre attaque « Tu vas me le payer Alix. » m'essuyant celle ci, je laissais tomber la crème dans l'évier tout en reposant mon regard sur la jeune femme « C'est tout ce que t'as dans le ventre petite ? » lâchais-je sur un ton faussement hautain alors que celle ci reprenait la parole « Tu as de la chance qu'il n'y ait aucune de bande de cire qui traine, sinon tu y serais passé je crois.. » un léger rire s'échappa de mes lèvres. Quoi ? J'étais si poilu que ça ? Je n'en croyais pas un mot, moi qui prenais soin de mon corps comme une poule couve un œuf. « Sérieux ? Regarde touche ce torse, pas un poil, t'aurais pas grand chose à enlever ici ! » dis-je en bombant la poitrine avant de rire. Ce n'était pas mon genre que de me vanter de mon physique, mais si il y avait une chose que l'on ne pouvait pas me reprocher, c'est d'être sale et poilu, ah non. « Et puis d'ailleurs c’est toi qui a commencé, miss tête de crème, ça t'apprendra à essayer de me défier, sache qu'Alix est le meilleur qui soit et ce en tous les domaines, tu ne rivaliseras jamais avec moi, haha. »

« C'est tout ce que t'as dans le ventre petite ? ». La petite brune souleva un sourcil, septique. « Ha ha ha. » fit-elle, en faisant semblant de rire, avant de s'arrêter brusquement, et de commencer à enlever la mousse qui était sur son visage. « Sérieux ? Regarde touche ce torse, pas un poil, t'aurais pas grand chose à enlever ici ! » Eh bien, Alix était très sur de lui, sur ce coup, faut dire qu'en même temps Ambrosia n'avait pas prit le temps de le regarder en détail pour savoir s'il avait raison, ou s'il se vantait pour rien tout simplement. « Non merci, je ne veux pas toucher mais qui a dit que je parlais de ton torse. » répondit-elle, avec un air faussement mesquin. « Je visais peut-être ton dos. » ajouta t-elle en croisant les bras, elle venait juste d'enlever toute la mousse qui avait été mise sur ses deux joues, une vraie galère. « Et puis d'ailleurs c’est toi qui a commencé, miss tête de crème, ça t'apprendra à essayer de me défier, sache qu'Alix est le meilleur qui soit et ce en tous les domaines, tu ne rivaliseras jamais avec moi, haha. ». Bon, il avait pas trod sur la première partie, mais il était hors-de-question que la jeune femme lui laisse croire qu'elle était d'accord avec lui, impossible. « Pardon ? C'était une simple amicale dans le dos, pour te faire réagir, car j'avais l'impression que tu allais t'endormir devant ton miroir, rien de plus, je ne vois pas quoi tu parles.. » contra t-elle, avec un air innocent -très bien travaillé-.

« Non merci, je ne veux pas toucher mais qui a dit que je parlais de ton torse. » dit la jeune femme avant d'ajouter « Je visais peut-être ton dos. » je me mis alors à rire. Non mais j'étais parfait, point, non mais oh ! Croisant ses bras, al jeune femme venait de retirer toutes la mousse sur son visage, et je me mis donc à en faire pareil pour mon dos, m'aidant de la glace située sur le mur d'en face. « Pardon ? C'était une simple amicale dans le dos, pour te faire réagir, car j'avais l'impression que tu allais t'endormir devant ton miroir, rien de plus, je ne vois pas quoi tu parles.. » hum hum « Ah ouais ok, en gros t'es entrain de dire que tu as fait tout ça par pure charité, rien que pour me venir en aide ? » dis-je amusé « Vous êtes bien trop bonne avec moi ma chère ! » lâchais-je alors, ironique avant de finir d'enlever la mousse de mon dos. Puis, attrapant mon débardeur, je l'enfilais rapidement avant de reprendre la parole « Et puis laisse mon dos tranquille, sale fétichiste des poils ! » dis-je amusé à l’égard de la jeune femme qui ne cessait de me charrier sur ça. « Au moins, les poils, c'est viril tu vois, haha. Enfin j'espère pour toi que tu n'en as pas tant que ça, à moins que tu ne sois une transsexuelles, maaaaais... » commençais-je avant de marquer une pause, puis de reprendre « Non parce que j'ai déjà vu des femmes incroyable. Elles en avaient tellement que ça aurait pu faire une sorte de carapace. Bon maintenant je vais me taire car c'est particulièrement dégoutant. »

« Ah ouais ok, en gros t'es entrain de dire que tu as fait tout ça par pure charité, rien que pour me venir en aide ? ». La jeune femme hocha la tête avec vivacité, et composa un air de sainte-nitouche, qui voulait dire qu'il avait absolument raison. « Vous êtes bien trop bonne avec moi ma chère ! ». « Je te le fais pas dire! » répondit-elle sur le même ton qu'Alix, c'était à dire ironique. PuisAlix enfila un débardeur, et la jeune femme prit le tube de mousse, et le reposa devant le lavabo bien en évidence, pour que la personne qui l'avait perdu le retrouve. « Quel cinéma ! Mais qu'es-ce qui ne faut pas entendre. » répondit-elle amusée, en levant les yeux au plafond le temps d'une minute. Lorsqu'Alix commença à parler des femmes avec des poils sur le dos. La jeune femme l'écouta en écarquillant les yeux. « Arg! De un, je n'ai pas de poils au dos, contrairement à certains, c'est bien clair j'espère, et de deux, tu m'as oficiellement dégoutée. » répondit-elle.