Franckie au confessionnal !

Moore, quel secret penses-tu avoir découvert ?

Je m'étais enfin décidé à buzzé le petit Franckie faut dire que je traquais son secret depuis le début de l’aventure. En faite j'avais buzzé aussi parce que je trouvais sa cool et que je l'avais pas encore fait parce qu'en réalité je n'avais pas d’énoncé réelle en tête. J'avais une idée et même plusieurs mais je n'avais pas réussis à les formuler correctement dans un énoncé précis. Je suis dans la cabane de Cupidon et j’attends que le petit Franckie arrive. Le voilà bien installé. Je lui souris tranquillement. Cupidon me demande de formulé le secret que je pense avoir découvert. Je plisse des yeux. « J'aimerais poser une petite question avant. » Cupidon ne dit rien alors j'y vais. « Quel est ton rapport à la religion ? Bon, mauvais, moyen ? » Je souris, un sourire de publicité. A lui de me répondre et je lui dirais enfin le secret que je pense avoir découvert.

J'avais été buzzé, encore. La première fois c'était Sixtine qui s'y était collée et cette fois, c'était son acolyte, Moore. Il faut dire que si je me souvenais bien, celle ci avait déjà deux indices sur moi en sa possession, ce qui n'était pas négligeable. J'avais pris place face à elle, attendant la suite lorsque celle ci me posa une première question « J'aimerais poser une petite question avant. » j'arque un sourcil « Quel est ton rapport à la religion ? Bon, mauvais, moyen ? » c'est bien ce que je pensais « Je suis croyant. Mon père est prêtre, la bible a été mon encyclopédie et ce toute mon enfance. Aujourd'hui encore... » je suppose que ça répondait à sa première question ?

« Je suis croyant. Mon père est prêtre, la bible a été mon encyclopédie et ce toute mon enfance. Aujourd'hui encore... » Parfait, c'est exactement ce que j'en avait conclu. Je souris tranquillement mais je suis toujours pas certaine de mon buzz déjà faut que j'organise mes pensées pour trouver le bonne intitulé. Rien de mieux que tout dire à voix haute non ? « Je pense que tu as passé la plus grande partie de ton enfance dans un pensionnat hautement religieux. Que tu vis et que tu as vécu au sein d'une famille très dure qui ne te laissais pas grande liberté. De ce faite je pense que tu as ce qu'on appelle je crois un traumatisme religieux. » J'avais lu ça quelque part dans une revue. «  Je pense que cet isolement, cet environnement dans lequel tu as vécu t'as rendu en colère et c'est donc vers la religion que tu t'es tourné bien que se soit naturel pour toi vu la profession de ton père. Mais je pense que ça n'a pas été évident dès le départ. Mais maintenant tu agis, tu penses comme un disciple de Jésus. Si je me trompe pas c'est ça le truc tu traumatisme religieux. » Voilà la bombe est lancé j'avais cherché trop loin peu être que c'était plus simple que ça au final ?

J'écoutais ce qu'elle avait à dire, et oui, cela se tenait, ou aurait pu se tenir. « Je pense que tu as passé la plus grande partie de ton enfance dans un pensionnat hautement religieux. Que tu vis et que tu as vécu au sein d'une famille très dure qui ne te laissais pas grande liberté. De ce faite je pense que tu as ce qu'on appelle je crois un traumatisme religieux. Je pense que cet isolement, cet environnement dans lequel tu as vécu t'as rendu en colère et c'est donc vers la religion que tu t'es tourné bien que se soit naturel pour toi vu la profession de ton père. Mais je pense que ça n'a pas été évident dès le départ. Mais maintenant tu agis, tu penses comme un disciple de Jésus. Si je me trompe pas c'est ça le truc tu traumatisme religieux. » Je secouais la tête de droite à gauche deux à trois fois « J'ai jamais quitté mon domicile familial. Enfin, je pense pas que je l'aurais supporté... Je crois que mon isolement vient du fait que je ne suis pas allé à l'école, comme tous les autres, mais que j'ai suivi des cours chez moi... Pendant un temps du moins. » j'essayais de me repasser ses paroles dans ma tête « Hum... Et mes parents sont loin d'être les plus stricts au monde. » un léger rire s'échappa de mes lèvres « Ton histoire de traumatisme était bien pensée, et je devrais certainement te dire le contraire mais... » une grimace se dessina sur mon visage « T'as déjà perdu quelques sous la semaine passée, je te conseille de ne pas valider ce buzz... » car après tout, je n'en avais pas grand chose à faire, moi, de l'argent.

J'écoutais la moindre de ses paroles. Attentivement j'essayais de déceler quelque chose à chaque mot prononcé j'essayais de faire mon Syssoï, mais je suis pas aussi doué que lui à ce jeu. « T'as déjà perdu quelques sous la semaine passée, je te conseille de ne pas valider ce buzz... » Je souris, le petit qu'il est mignon. Mais si il croit que tout ça est terminé non je vais en profiter pour lui poser un max de question puisque nous sommes là tout les deux. Tranquillement loin de tous. « Pourquoi t'as été scolarisé à domicile ? » Je l'avais été aussi mais la raison était évidente pour moi mais lui pourquoi ? Je suspecte le fait que ses parents l'ai surprotégé parce que c'était quelqu'un de fragile de précieux. « Des soucis de santé quand tu étais plus jeune ? » dis-je de manière totalement naturelle. Je ne savais pas encore si j'allais validé ce buzz mais j'allais en tout cas profiter de tout ça pour en apprendre plus sur lui.

« Pourquoi t'as été scolarisé à domicile ? Des soucis de santé quand tu étais plus jeune ? » j'haussais les épaules « Santé sociale ? » j'éclatais alors de rire. C'était un point de vue assez original, ouais, j'étais fier de ma blague... « Hum... Disons qu'au collège, les gamins ont tendance à jeter des pierres à ceux qui ne leur ressembles pas. » et j'avais vécu ça toute mon enfance « Aux freaks d'hermaphrodite, comme diraient certains. » un sourire narquois étira mes lèvres.

Moore, Cupidon commence à s'impatienter...

« Santé sociale ? » Je souris, légèrement. J'attends une réponse sincère à mes questions.  « Hum... Disons qu'au collège, les gamins ont tendance à jeter des pierres à ceux qui ne leur ressembles pas. » Je peux comprendre ça. « Aux freaks d'hermaphrodite, comme diraient certains. » Je souris un peu plus. Ah oui c'est vrai. Mais j'espère qu'il a noté que depuis longtemps j'ai arrêté de l'insulter de la sorte. « Les gens sont cons. » dis-je d'un ton détaché. « Je n'ai plus de questions. » dis-je simplement. Pour lui montrer qu'il pouvait partir. De toute manière je sens qu'il n'y répondra pas avec toute la sincérité que j'attends. « Tu peux y aller. »

Franckie, tu peux quitter le confessionnal !

Moore, tu as le choix, tu peux soit te rétracter, soit confirmer ton idée, et ainsi engager 5 000€ de ta cagnotte personnelle. Que choisis-tu ?