GIOANOUCHKACESARLUCYPENNYZIYANSIDKARLAACHANAALYCRISTOPHERRHEA
FAWNGOLSHIFTEHLINADASHRICHARDBASTIANLEONJOAQUIMMAZEJULIETTEULISESTIMEO
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

Partagez
 

 I may not say the words as such, I know I don't fit in that much, but I'm yours

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Cooper

Cooper
MESSAGES : 2441
AGE : 38
LOCALISATION : Limerick, Irlande
POINTS : 20

LOVER'S LIFE
CAGNOTTE: 0 €
RELATIONS:
PARTENAIRE: Esther

I may not say the words as such, I know I don't fit in that much, but I'm yours Empty
MessageSujet: I may not say the words as such, I know I don't fit in that much, but I'm yours   I may not say the words as such, I know I don't fit in that much, but I'm yours EmptyVen 20 Juil 2012 - 22:57

Trois mois que mon aventure FL s'était terminée. Je n'avais peut être pas remporté le jeu et l'argent comme je l'avais espéré, mais en définitive, je me considérais comme gagnant. Ce jeu m'avait permit de rencontrer la femme qui partageait à présent ma vie. Ma femme tout court à vrai dire. Bon sang, c'était tellement bizarre de dire ça. Ma femme. J'étais marié. Moi Cooper. Le type le plus instable émotionnellement de la planète. Marié. L'alliance que je portais à l'annulaire était là pour le prouver. C'était juste tellement surréaliste. Même après deux mois et demi j'avais encore du mal à réaliser. Fallait dire qu’on n’était pas vraiment passé par les étapes normales d'un mariage. Ou même d'une relation de couple en fait. On avait carrément tout fait à l'envers. On avait commencé par vivre ensemble h24 avant même de se connaître. A coucher ensemble. A se voir de temps en temps. Puis alors qu’on venait à peine de décider de se montrer exclusif l’un envers l’autre (sans même jamais se qualifier de petit ou petite amie), on avait fait un voyage à Las Vegas. D’où on en était revenu mariés. Autant vous dire que je me souviendrais toute ma vie de me mon premier voyage aux Etats Unis. Epique. Bon en revanche de mon mariage…pas tant que ça. Disons qu’il y avait énormément de zones de flou. Tiens, on aurait dû demander les bandes de vidéo surveillance pour avoir un souvenir, et combler les trous. Vous l’aurez compris, nous marier n’avait jamais fait parti de nos projets. Un truc que je n’aurais même jamais envisagé. Fallait dire que je n’avais forcément une très bonne opinion du mariage. Et maintenant voilà que je me retrouvais la corde au cou. On aurait pu choisir d’essayer d’annuler le mariage ou au pire divorcer, mais finalement on avait décidé de ne rien faire. Limite comme si ça ne s’était jamais passé. Puis finalement, ça s’était su…et on avait bien été obligé d’assumer. Prochaine étape : habiter ensemble. Pour un type casé, vivre encore chez son ex, ça le faisait moyen. Ça avait beau être pratique pour voir ma fille tous les jours, il fallait que ça change. Comme je ne désirais pas être séparé d’elle, c’était Evey qui avait dû faire l’effort d’habiter à Limerick. Et aujourd’hui était le grand jour. Où on emménageait dans notre nouvel appart’. J’étais à la fois excité, et légèrement inquiet par cette perspective. Tout allait tellement vite. Mais une chose était sure, je n’envisageais plus la vie sans Evey. Bref, toute la journée, on a été plongé dans les cartons, l’arrivée des meubles et tout le tralalala. Comparé à mademoiselle – pardon, madame – je n’avais pas tellement d’affaires. « Je crois que c’est le dernier carton. » dis je, en posant ce truc qui pesait trois tonnes au sol. Je jetai un regard autour de moi. Mine de rien ça avait de la gueule. Dire que c’était là que j’allais habiter. Mon chez moi. Pas un taudis dans un quartier craignos. « Ça n’à rien avoir avec ma cellule de prison. » fis je en plaisantant. C’était carrément spacieux. Moderne. On avait deux salles de bain, deux ! Vous ne vous rendez pas compte vous le changement que ça me faisait. . « Dire que c’est chez nous maintenant…On est vraiment en train de faire ça ? » J’avais un peu de mal à réaliser.
Evey

Evey
MESSAGES : 2727
AGE : 36
LOCALISATION : dublin, ireland.
EMPLOI : singer.
POINTS : 68

LOVER'S LIFE
CAGNOTTE:
RELATIONS:
PARTENAIRE:
http://ann-boleyn.tumblr.com/

I may not say the words as such, I know I don't fit in that much, but I'm yours Empty
MessageSujet: Re: I may not say the words as such, I know I don't fit in that much, but I'm yours   I may not say the words as such, I know I don't fit in that much, but I'm yours EmptyLun 6 Aoû 2012 - 20:48

Impossible d’avoir moindrement une vie privée, sur cette fichue planète. Surtout quand on est connu, et reconnu, surtout, partout où l’on va pour avoir participé à une téléréalité fort populaire. Nous avions tant fait d’efforts pour que cette… erreur de parcours reste sous le saut du silence, mais visiblement, l’information avait filtré quelque part. Je ne sais pas de quelle façon ils s’y étaient pris, mais voir les deux clowns qui animaient désormais Fake Lover dire en pleine heure de grande écoute que Cooper et moi étions mariés, ça m’avait fait rager comme jamais. Mon père n’était au courant, ni même Zhara… et voilà que maintenant, l’Irlande tout entière savait. Certes, je ne disais jamais non à un peu de publicité, mais pas de ce genre-là, voyez-vous. Résultat : alors que notre couple n’était même pas officiel à nos propres yeux, on se retrouvait désormais à devoir assumer notre nuit de folie à Vegas. À croire qu’il avait fallu un bon coup de pied du destin – hm – pour en venir à quelque chose de… sérieux, entre nous. Pour tout vous dire, je me serai bien passé de cette étape ‘mariage’ mais c’était chose faite désormais, et comme je n’en avais aucun souvenir, ce n’était pas plus mal. Et puis si cela pouvait enfin convaincre Cooper ne faire le grand saut, pourquoi pas. Un homme marié qui vit encore avec son ex, et puis quoi encore ! Est-ce que j’étais jalouse? Ah, mais oui, bien sûr, et j’étais désormais dans mes droits de l’afficher au grand jour, quand même. S’il y a bien une chose que je n’acceptais pas de partager, c’était bien lui. Exception faite de sa fille, hein. Et ça, je n’avais pas mon mot à dire sur le sujet. Il n’avait eu qu’une seule condition pour accepter l’inévitable. Vivre ensemble, ici, à Limerick. Ce n’était pas tant un terrible sacrifice, pour moi. De toute façon, je passais pratiquement plus de temps dans ce coin-ci d’Irlande que dans mon chez-moi, ces dernières semaines. Et bien que j’apprécie beaucoup ma belle-mère, et surtout son hospitalité, il était peut-être temps de trouver une solution à tout ça. Trouver un logement avait été un jeu d’enfant. Le déménagement, lui, risquait de jouer un tantinet plus sérieusement sur mes nerfs. Non, mais l’incompétence de ces hommes me donnait des sueurs froides, et je ne fus pas très tendre avec eux – surtout lorsqu’ils abimèrent l’un de mes meubles. Pas étonnant que je les congédiais sans ménagement quand ils eurent enfin terminé leur besogne. Ne restait plus que quelques boîtes à rentrer, et mon, hm, époux – allais-je un jour m’habituer, bonne question - s’en chargeait déjà. Je grimpais derrière lui les quelques marches qui nous séparaient de notre appartement, et une fois débarrassées de son chargement, je poussais un soupir soulagé. « Je crois que c’est le dernier carton. » Grand Dieu, merci! « C’est là que la véritable partie de plaisir débute... » Mon regard scrutait la pièce. Il y avait des boîtes un peu partout, les meubles n’étaient pas vraiment tous à leur place, c’était, en résumé, un véritable bordel. « Ça n’à rien avoir avec ma cellule de prison. » mentionna-t-il en blaguant, et je forçais mes lèvres à s’étirer d’un maigre sourire. Les soucis avec les déménageurs m’avaient mis de bien mauvaise humeur, mais le pauvre, il n’avait pas à subir ça, déjà qu’il le faisait d’ordinaire au quotidien, quand c’était contre lui que j’avais une dent. « Dire que c’est chez nous maintenant…On est vraiment en train de faire ça ? » J’haussais les épaules avant de me laisser tomber sur le sofa toujours couvert de sa toile de protection. « Tu ne rêves pas, chéri, on habite vraiment ensemble, maintenant. C’est trop tard pour revenir en arrière. Après tout, quand on s’est mariés, c’est pour le meilleur… et le pire. » Je lui tirais la langue, taquine, avant de passer mes bras derrière ma tête en fermant les yeux un moment. Une petite pause de cinq minutes, c’était possible, non? Parce qu’à voir le boulot monstre qui nous attendait, franchement, je me demandais si on en verrait le bout avant la tombée de la nuit.
Cooper

Cooper
MESSAGES : 2441
AGE : 38
LOCALISATION : Limerick, Irlande
POINTS : 20

LOVER'S LIFE
CAGNOTTE: 0 €
RELATIONS:
PARTENAIRE: Esther

I may not say the words as such, I know I don't fit in that much, but I'm yours Empty
MessageSujet: Re: I may not say the words as such, I know I don't fit in that much, but I'm yours   I may not say the words as such, I know I don't fit in that much, but I'm yours EmptyLun 20 Aoû 2012 - 18:56

Emménager ensemble. D’accord. Mais à la condition sinequanon, que ça soit sur Limerick. Que je puisse avoir ma fille avec moi. Hors de question de la laisser. Il me semblait que j’avais été assez absent dans sa vie par le passé. Sur ce point j’avais été très strict. Alors si Evey voulait habiter avec moi, elle n’avait eu d’autre choix que de faire ce sacrifice, quitter sa ville, et déménager à des centaines de kilomètres de chez elle. Loin de ses amis, et de sa famille. Dieu merci ça ne lui avait pas semblé poser tellement de problèmes. « C’est là que la véritable partie de plaisir débute... » Sur ses dires, je regardais autours de moi. En effet pas mal de boulot nous attendait. J’avais un peu de mal à réaliser que tout ça, c’était à nous. « Tu ne rêves pas, chéri, on habite vraiment ensemble, maintenant. C’est trop tard pour revenir en arrière. Après tout, quand on s’est mariés, c’est pour le meilleur… et le pire. » Trop tard ? Ho on pouvait toujours rappeler les déménageurs. Ou je pouvais lui laisser l’appart pour elle toute seule, et me barrer non ? Il n’était jamais trop tard pour quoi que ce soit. Bon évidemment, je n’étais pas sérieux. Je n’allais pas me rétracter maintenant. Si je n’avais pas fui après le mariage, il ne devait pas trop y avoir de raisons pour que je le fasse maintenant. Bien qu’à mes yeux, habiter avec elle, c’était un engagement beaucoup plus sérieux qu’un bout de papier qui nous déclarait mariés. Ça allait avoir un réel impact sur mon quotidien. Elle allait être le dernier visage que je verrais en me couchant, le premier en me levant. Nous allions devoir nous supporter tout le temps. Certes, on avait eu déjà un avant gout avec FL. Mais cela n’avait carrément rien avoir. Le château était immense, limite si on pouvait passer une journée sans croiser certains candidats. Chacun menait sa petite vie tranquille de son côté. Là, on n’avait pas vraiment d’endroit pour s’échapper. On allait devoir se partager les tâches de la vie quotidienne, s’engueuler pour une vaisselle…Les joies de la vie à deux en somme. Bien que dieu merci, Evey n’était pas du genre à gueuler pour une chaussette qui trainait. Remarquez je n’étais pas à l’abri d’une surprise…Peut être allait elle se révéler sous un nouveau jour. « Le pire ? Voyons, c’est toujours un bonheur d’être marié à toi mon amour. » Non non, ce n’était pas ironique, du tout. Bon allez, peut être très légèrement. En plus sortant de ma bouche, cette phrase sonnait très naturelle, bien sur. Evey s’étala alors sur notre nouveau canapé, qui portait encore ses plastiques de protection. « Tu fais quoi ? Ce n’est pas le moment de dormir. Il y a plein de boulot qui nous attend. » Non mais c’était quoi cette feignasse couchée sur le canap’ ? Il y avait beaucoup plus important. Je m’avançais vers elle, pour m’allonger à ses côtés. Je m’emparais de ses lèvres pour l’embrasser. « Il faut qu’on baptise cet appart’ » La voilà la chose très importante. Je suis drôle non ? Je m’en fichais bien de tout ce bordel. Ça pouvait attendre. De toute manière il sera toujours là dans une heure. Puis après tout ces efforts fournis – surtout venant de ma part, parce que bon, Evey à part gueuler sur les déménageurs hm – un peu de détente serait la bienvenue. Et moi je connaissais une très bonne méthode de relaxation.

Contenu sponsorisé

I may not say the words as such, I know I don't fit in that much, but I'm yours Empty
MessageSujet: Re: I may not say the words as such, I know I don't fit in that much, but I'm yours   I may not say the words as such, I know I don't fit in that much, but I'm yours Empty

 

I may not say the words as such, I know I don't fit in that much, but I'm yours

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» « dont worry ‘bout a thing » le 21/06 à 14h
» Prédis moi des choses, dont toi seul a le secret. [01.01 vers 21h30]
» Don’t say those words ∞ 07/02 - 15:38
» more than words, 23/04 - 14h17
» words on signs - 19/05, 03:35

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
FAKE LOVER :: L'AFTER :: Au delà du nid :: Le reste du monde :: Les appartements des ex-candidats-