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 I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30}

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Elliot

Elliot
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MessageSujet: I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30}   I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30} EmptyLun 29 Oct 2012 - 12:18

I PUT A SPELL ON YOU
STARRING ELLIOT AND ARES


Ma nervosité est palpable. Je trépigne d'impatience pour me retrouver seul avec lui. A l'abri des regards indiscrets. Loin de la tumulte, loin de tout. Comme si l'extérieur était un obstacle à notre idylle naissante. Bien que j'ai eu quelques réserves au début - lorsque le français a choisi de nous offrir une soirée en tête-à-tête dans la chambre secrète, j'éprouve tout de même une sorte d'excitation à l'idée de m'endormir contre lui, de le contempler au réveil et de l'embrasser avec fièvre. Telle une adolescente. C'en est presque risible, car mon adolescence m'a été arrachée. J'ai du mûrir et me prendre en main très vite d'où mon indépendance exacerbée et ma désinvolture exaspérante. J'ai tous les symptômes d'une vierge à la veille de son dépucelage. A la veille de sa première fois. Les mains moites, les battements saccadés du cœur et la respiration haletante. Néanmoins, il y a un sentiment d'exaltation qui soulève le cœur, qui le fait chavirer. Je me suis toujours refusée à ressentir ce genre de choses parce que je ne suis pas du type romantique. J'ai toujours pris du plaisir que dans la concupiscence, dans la baise qui sert à combler le vide de nos existences pathétiques. Depuis des années, j'enchaîne les conquêtes. Des conquêtes éphémères que j'oubliais le lendemain, que je rayais de ma vie comme si cela n'était qu'un instant fugace. Là, à cet instant, je me trouve submerger par un flot d'émotions que je ne maîtrise plus. Je lui ai donné rendez-vous aux alentours de vingt-et-une heures trente. Mais je suis en avance pour tout préparer. J'allume des grosses bougies que je dispose un peu partout dans la pièce. J'ai les mains qui tremblent. Je n'ai jamais été en rendez-vous. Je n'en connais pas les convenances donc je suis nerveuse. Je veux lui faire passer une soirée inoubliable en ma compagnie. Ce n'est pas nécessaire que cela soit parfait. Je déteste les clichés comme éparpillé des roses sur le lit ou que sais-je encore. De la simplicité, c'est tout ce que je souhaite. Un moment d'intimité dénué d'artifices. Juste lui et moi. Cela me suffit. Je ne veux que lui. Et lui seul. J'éteins les lumières pour faire rougeoyer les flammes des bougies, créant une atmosphère tamisée. J'entreprends de me déshabiller, me retrouvant en sous-vêtements. J'enfile un haut de kimono en soie tel un peignoir, légèrement entrouvert, laissant entrevoir le peu de tissus que je porte. Je balaie la pièce de mon regard océan pour vérifier que je n'ai rien oublié. Je lève la tête et je le vois à l’entrebâillement de la porte. Je mets en marche le tourne-disque. La musique se diffuse dans toute la pièce. Une musique sensuelle et syncopée. J'arbore alors un sourire mutin en m'approchant à pas de félin vers lui. J'entoure son cou de mes bras frêles, nos lèvres se frôlant avec délice. Je souris et lui murmure : - Enfin seuls. Je me blottis contre lui pour respirer son odeur avant de relever les yeux. Mon regard se veut pénétrant et lascif. Prise d'une impulsion soudaine, je scelle nos lèvres d'un baiser fiévreux alors que je commence à déboutonner sa chemise pour caresser son torse dénudé.
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MessageSujet: Re: I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30}   I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30} EmptyLun 29 Oct 2012 - 22:18


J'ai les yeux figés sur ma penderie depuis trente minutes environs. Je fixe mes vêtements, mon esprit est ailleurs. Déjà loin. Des mois, des années en arrières lorsque mes lèvres rencontraient lascivement celles de plusieurs femmes en une soirée. Lorsque l'ombre de nos deux corps, le mien et celui - la plupart du temps - d'une inconnue dansaient ensembles au rythme d'une musique effrénée. Je me revois sceller cet acte d'un long soupire lourd de sous entendus et m'endormir comme une souche pour ne me réveiller que le lendemain, l'esprit vidé. Et congédier cette femme que j'ai aimé le temps d'une nuit. Je me trouve ridicule. Un homme incorrigible, assimilé à un salaud, incapable de s'attacher, incapable de rester fidèle et de n'aimer qu'une seule femme. Je suis amoureux de leurs courbes. De leurs baisers fiévreux, des mains qu'elles posent sur mon corps. Des gestes qu'elles font et qui ne sont jamais les mêmes. J'aime la diversité, la nouveauté. J'aime me coucher aux côtés d'une de ces créatures sans savoir ce qu'elle fera de moi. J'aime faire l'amour, j'aime cet acte au sens le plus brute du terme. Et je pensais facilement retrouver ce sentiment de passion face à Elliot. En vain. Elle me transforme. J'ai envie d'elle autrement que comme d'un corps dansant, se cambrant au gré de mes caresses. Je la désire. Je veux la contempler. La regarder frissonner. L'aimer cette nuit à en crever. Que nos corps se scellent en une promesse. Que cette nuit ne soit pas la dernière. Je me prends à ne penser qu'à son corps. A ne plus désirer les autres. Et pourtant, cette année, Fake Lover regorge de femmes adorables aux courbes envieuse. J'enfile finalement une chemise. Un jean. Je me coiffe comme d'habitude. Avant de la rejoindre, je passe chercher un bouquet de roses. C'est cliché, vu et revu et pourtant, je n'en ai jamais offert. A personne. Au même titre que des bijoux ou que sais-je. Cet acte brise d'autant plus ma coquille de célibâtard endurcie. Je m'arrête dans l’entrebâillement de la porte et je la détaille. Mes yeux coulent sur elle avec envie. Mon ventre se noue d'un noeud brûlant. Je suis comme pétrifier. A la veille du jour fatidique de ma vie. J'appréhende et, en même temps, j'ai hâte. Hâte de mieux la découvrir. Toutes mes craintes s'envolent. Je ne regrette plus mon choix. L'ambiance est feutrée, les lueurs des bougies miroitent sur son kimono. Elle s'approche de moi, mon coeur s'emballe. Il est au bord de mes lèvres. Nos lèvres se scellent en un baiser fiévreux. Je soupire et frissonne de plaisir. Ma main vide empoigne sa nuque avec force afin que nos lèvres restent plaquées les unes contre les autres un long moment. Je brise finalement cette étreinte à regret et, les joues rosies, je tends mon bouquet de fleur tel un ados pré-pubère. « Je crois que c'est de cette façon qu'on officialise un rendez-vous. » Je suis tellement peu confiant, ridicule. Je ne lui laisse pas le temps de plus de cérémonie que déjà mes bras s'emparent de sa taille de guêpe. Je colle son corps au mien et embrasse son coup avec fièvre, laissant mes mains la caresser lascivement. Ses hanches, le bas de ses reins, le haut de ses cuisse, avant de les laisser entrer en contact avec sa peau et soulever ce kimono que je trouve désormais de trop.
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MessageSujet: Re: I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30}   I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30} EmptyMar 30 Oct 2012 - 10:36

Une ambiance feutrée, une musique caressante sont propices à l'union des corps et des âmes. Dans cette chambre, vont résonner les gémissements des plus graveleux, les murmures des amants s'y mêlant avec volupté. Nos lèvres s'effleurent, s'embrasent. Nos langues se meuvent langoureusement. Un baiser fougueux, ardent, le reflet de mon désir brûlant. Mes reins s'enflamment au fur et à mesure que nos corps se rapprochent et que nos lèvres remuent. Il m'empoigne avec force. Une vigueur, une brutalité qui me font frémir de satisfaction. La violence d'une telle étreinte me fait vibrer. Des pulsions que j'ai tant de fois refoulé remontent à la surface. Des pulsions que je déverse sur le jeune homme. Mes doigts redécouvrent les courbes délicates de son torse robuste. Le baiser est interrompu. Un sentiment de frustration m'envahit alors, mais retombe à la vue des roses qu'il tenait dans sa main. Mon cœur palpite, mon regard se voile d'une lueur larmoyante et attendrie. Je plonge mes prunelles azurées dans les siennes. Un sourire radieux s'épanouit sur mes lèvres lorsque je découvre son visage légèrement empourpré. - Je crois que c'est de cette façon qu'on officialise un rendez-vous., dit-il d'un air gêné. Je lui prends le bouquet qu'il me présente des mains. Personne ne m'a jamais offert de fleurs auparavant. J'interdisais mes coups d'un soir de m'en offrir car cela signifiait qu'ils voulaient plus que de la baise. Je leur refusais sec l'entrée à mon cœur. Je ne les laissais pas l'ébranler, le faire vaciller. Je rougis à mon tour, car son attention me touche énormément. Je n'ai pas le temps de le remercier qu'il m'attire à lui pour s'abreuver de mon cou gracile. Je ferme les yeux, ressentant les moindres effleurement sur mon corps bouillant de désir. Le bouquet glisse doucement de mes doigts et atterrit sur le sol. Ses caresses se font de plus en plus pressantes, m'arrachant des gémissements de plus en plus indécents. Ma respiration est chaotique. Il m'enlève le kimono d'un geste assuré. Mon cerveau est embrumé, mes pensées sont dissolues. Je ne parviens pas articuler des phrases. Les mots m'échappent pour décrire cet instant. Mon corps parle en mon nom, une de mes mains explore les tracés sinueuses de son buste alors que l'autre continue à déboutonner sa chemise. Je me recule et dévisage son torse sans retenue. J'y dépose mes lèvres, frôlant sa peau lascivement. Mes lèvres remontent et atterrissent sur sa mâchoire que je parsème de doux baisers. Mes lèvres effleurant de nouveau les siennes, je lui dis en un murmure suffocant : - Merci pour les roses. Je prends son visage dans mes mains. Mes yeux larmoient, une larme s'échappe et coule le long de ma joue. Submergée par des émotions abondantes, je perds le contrôle de mon enveloppe charnelle, mes sens se réveillant alors. Son cadeau m'a particulièrement touché car venant de lui, c'est une preuve de sa sincérité et de sa foi en notre relation. Un cadeau qui symbolise la passion à l'état pur d'où la violence des sentiments qui me prends aux tripes et qui exaltent mes sensations les plus vivaces. J'embrasse la commissure des ses lèvres et je lui souris d'un air amusé. - Quel est le programme de ce soir ? J'enfouis mon visage près de son cou et je le goûte avec délice, l'empêchant de se concentrer. Mes doigts viennent déboutonner son jean, puis pénètrent à l'intérieur de son caleçon. Ils effleurent son bas ventre sensuellement pendant que je savoure le goût de sa chair.
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MessageSujet: Re: I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30}   I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30} EmptyMar 30 Oct 2012 - 17:29

La situation m'échappe totalement. Moi, l'homme, le dominant, je me retrouve enclin à une nervosité palpable. Je base tous mes espoirs sur ce rendez-vous. Comme une première fois qui scellera à jamais le sort de notre relation. Cette soirée, je ne la vois pas comme une nuit de pure baise, de plaisir charnel. Je la vois comme de l'amour. Faire l'amour. Faire un sentiment, le fabriquer, le modeler pour qu'il puisse s'adapter à nos deux âmes et nous entraîne dans ses abysses. Pour que nous vivions, que nous tentions l'expérience. Je scelle d'abord ce rendez-vous d'un bouquet de roses rouge sang. Pénétrante, annonciatrices de sentiments. Je veux qu'elle se souvienne de ce rendez-vous comme de sa première fois. J'aimerais m'en souvenir de cette façon. Revivre cette adolescence trop vite oubliée, trop vite expédiée. Mes mains épousent ses formes, ma bouche la frôle, nos corps se rapprochent et la chaleur devient oppressante. Les boutons de ma chemise sautent un par un dans un soupir lascif. Mon torse est désormais nu, Elliot est débarrassée de ce kimono que je trouvais de trop – bien qu'agréable à regarder. Ses formes sont harmonieuse, sa peau me donne des sueurs froides. Je veux l’imprégner de mes baiser. Que chacune des parcelles de son corps ait été en contact avec mes lèvres. Je veux me nourrir d'elle. Les roses glissent à nos pieds, quelques pétales se détachent et un parfum envoûtant se dissipe dans la pièce. « Merci d'être là. » je réponds d'une voix rauque et fiévreuse tandis que ses lèvres reprennent leur course folle sur mon torse et remontent jusqu'à ma mâchoire. Je ne peux retenir les soupirs de plaisir qui s'échappent de mes lèvres. Elle me fait un effet fout. Plus que de raison. Plus que ce que je ne laisse paraître d'habitude. Elliot est différente. J'aimerais le lui dire, encore et encore, qu'elle s’imprègne de mes paroles, de mes sentiments, qu'elle ne les oublie pas. Qu'elle sache qu'après cette soirée son prénom ne s'effacera pas de ma mémoire en un simple bon souvenir. Qu'elle restera gravée et qu'elle recommencera encore et encore. Je la veux. Pour moi. Rien que pour moi. Elle me prend au tripes, réveille en moi des choses qui m'étaient inconnues et qui ne sont pas désagréables, au final. Je veux vivre ce que les autres qualifie d'amour, de relation. Je veux être stable. J'abaisse toute résistance face à elle. Je baisse les armes. Je passe une main dans ses long cheveux tandis que ses lèvres parcourent mon torse, que sa main découvre pour la seconde fois mon bas ventre. Je ferme les yeux, je les fronce et serre la mâchoire. Une voluptueuse sensation m'envahit. Je tente désespérément de la contenir. J'explose. Tout en moi n'est que fièvre et incendie. Dans un geste sec, mes mains empoignent ses hanches et la porte. Elle enroule ses jambes autour de ma taille. Mon regard est pénétrant, plein d'un désir qui m'était jusqu'alors inconnu. « J'ai envie de toi. » je lui murmure alors dans un soupire, tout contre ses lèvres avant de ne les sceller dans un baiser langoureux, bestial, même. Je mordille sa lèvre inférieure, je glisse jusqu'à son cou et mes jambes s’enclenchent jusqu'à ce qu'elles buttent aux pieds du lit. Nous tombons ensembles, j'atterri sur son corps et reprends ma course effrénée sur sa poitrine, son ventre, ses cuisses. Mes mains suivent le mouvement, dégrafe son soutien-gorge et n'hésite pas une seule seconde avant de baisser légèrement sa culotte afin que mes lèvres puissent embrasser avec fièvre son bas-ventre. Je remonte enfin jusqu'à ses lèvres, caresse sa joue d'une douceur infinie. Comme une première fois. Je me veux attendrissant, rassurant. « Si tu en as envie, bien sûr.. » la question est ridicule. Je suis un ados, je vis ma première fois et je lui demande si elle est prête. Je ne scille pas, pourtant et continue de plonger dans l'océan de son regard. J'aimerais m'y plonger encore et encore. Ne jamais le quitter. Qu'il devienne mon océan.
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MessageSujet: Re: I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30}   I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30} EmptyMar 30 Oct 2012 - 22:50

De ma première, je n'en ai aucun souvenir. Mon dépucelage a été rapide, dénué de romantisme. Dans une tente au fond du jardin lors d'une fête d'anniversaire bien arrosée. Aucun sentiment n'a été échangé. Le lendemain, j'ai oublié le garçon. Son nom m'échappe encore aujourd'hui. Son visage est oblitéré. Mais de ses coups de reins, j'en garde un souvenir amère car il n'y avait point d'émotions dans ses caresses, de volupté dans ses baisers. Tout ce qui l'intéressait était mon corps que je lui offrais en offrande. Une échange plutôt brève et froide. C'est à ce moment-là que j'ai pris conscience que l'amour n'était pas nécessaire. Que c'était surtout futile. La baise, c'est facile. L'amour n'est pas obligatoire. Le simple fait de prendre son pieds entre les draps d'un étranger devrait suffire. Jusqu'ici, cela m'a toujours suffi. J'étais insouciante, sauvage et provocatrice. Les hommes que j'emmenais dans ma couche n'était que des personnes de passage. Des hommes parmi tant d'autres dans lesquels je ne voyais que des instruments de plaisir et non, comme des êtres aimant. Certains ont tenté de ravir mon cœur, mais échouaient car à l'époque, je pensais qu'être en couple était une sorte de prison, ôtant toute indépendance. Cela signifiait également d'être toujours avec la même personne. J'avais peur de la routine, de la lassitude, de la dépendance par-dessus tout. Suivi de la vulnérabilité qui en découle. Et bien sûre, la souffrance. Cette souffrance lancinante lorsque les choses viennent à l'achèvement, lorsque rien ne va plus. Je me croyais insensible à l'amour et à toutes ses clichés à vomir sur la relation homme-femme. L'amour est criblé de clichés niais et désespérant, mais qui tendent tout de même vers l'universel. C'est ce qui rend l'amour tellement addictif d'une certaine manière, car tout en homme porte en eux l'espoir d'aimer un jour. Ce soir, je cesse de réfléchir, de raisonner tout ceci pour profiter de l'instant présent dans ses bras. Hey, i want to make love to your existence. Il me remercie d'être là. Avec lui. C'est à moi de le remercier car il m'a apporté tellement de choses en l'espace de quelques semaines. Je n'aurai jamais vécu ce genre d'expérience à l'extérieur. Dans ce lit d'amour, tout est accentué, exacerbé. Nos sentiments, nos émotions sont au paroxysme. Je ne contrôle plus rien. Ce sont nos pulsions qui prennent le relais. Mes caresses de plus en plus prononcées n'ont que pour but de le faire céder à son désir qui est en train de le consumer. Il ne résiste pas longtemps avant de me soulever brusquement dans ses bras. Un sourire mutin se dessinant sur mes lèvres, je plonge mon regard dans le sien où miroite un désir brûlant. J'enroule mes jambes autour de son bassin pour m'accrocher à lui. Je succombe, je frissonne. - J'ai envie de toi., dit-il entre deux souffles. Mon cœur martèle fortement contre ma poitrine. J'ai le souffle coupé lorsque ses lèvres fondent sur les miennes. Nous échangeons alors un baiser des plus lascifs. Je penche légèrement la tête en arrière pour offrir mon cou à ses baisers ardents. Drenched in the colors of your energy, then masturbate to the memories. Il me porte jusqu'au lit où nous y atterrissons dans un bruit étouffé par les draps. Ses lèvres repartent à l'assaut et savourent chaque parcelle de peau. Je ne fais rien. Sa force est telle que j'ai du mal à m'échapper de son emprise. Je le regarde me dépouiller de mes sous-vêtements en me mordant la lèvre inférieure. Je gémis lorsque ses lèvres viennent goûter aux plis de mon aine et remontent jusqu'à mes lèvres. Je suis nue sous lui. Je me mets à rougir quand son regard me détaille. Il dit d'une voix douce : - Si tu en as envie, bien sûr ... Un sourire carnassier s'épanouit sur ma bouche. Je glisse sous lui et mes lèvres embrassent son buste avec fièvre. Mes doigts s'aventurent à l'intérieur de son jean, caressant ses fesses. Je le ramène contre moi, mes jambes emprisonnant ses hanches. J'approche ma bouche de son oreille. - Alors, qu'est-ce que t'attends ?, demandai-je d'un ton provocateur. I wanna lose myself inside yourself. Until you find me, confine me, to the freedom, of your prison. Exist in the same space, same time. Combine. Until your thoughts slow grind with mine. Combine.
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MessageSujet: Re: I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30}   I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30} EmptyMer 31 Oct 2012 - 21:57

Mon cœur fait des bonds. Il ne tient plus en place. Mon bas ventre s'échauffe avec violence tandis que les mains expertes d'Elliot me caressent avec volupté. Elle m'arrache plusieurs soupirs de plaisir que je tente de masquer tant bien que mal en mordant avec rage ma lèvre inférieur. Tout mon corps n'est plus que fièvre, réagissant avec violence à chacune de ses caresses qui se font beaucoup plus pressantes. Je me redécouvre romantique et au fond, toute cette attente ne fait qu'attiser mon désir. J'ai simplement l'envie d'officialiser. Que ce rendez-vous à l'abris des regards ne scelle notre sort. Qu'elle et moi devenions un nous. Elle enroule ses jambes graciles autour de mon buste et je me sens vaciller. J'enlève précipitamment mes chaussures, pressé de l'attirer jusqu'au lit. Nous tombons dans un bruit sourd tandis que quelques mots jamais prononcés sortent de ma bouche. J'ai envie d'elle comme j'ai envie de l'aimer. J'ai eu envie de mes précédentes amantes mais ces mots étaient sortis de leur contexte. Que trop peu faibles comparé à l'assaut de sentiments qui s'est emparé de mon corps lorsque mes yeux se sont posé sur la peau laiteuse d'Elliot. Sur ce kimono en soie épousant parfaitement ses courbes. Sur ces sous-vêtements aguicheurs mettant ses attributs en valeur. Sa poitrine se colle contre mon torse nu, les battements ne nos cœurs se mélangent en une douce harmonie. J'en deviens impatient. Je la découvre lascivement, quoiqu'un peu trop rapidement à mon goût. J'aimerais goûter chaque parcelle de son corps avec gourmandise. Je m'empare de ses lèvres en un derniers baiser avant de prononcer quelques mots également silencieux jusqu'à présents. Digne d'un ados de dix sept ans à peine. Âge auquel j'ai perdu ma virginité, d'ailleurs. Sans prononcer ces mots. Dans ma chambre, en silence. D'une manière si peu conventionnelle que les détails m'échappent désormais. Comme toute pensée à cet instant. Tout s'envole, je ne suis plus moi. Elliot me transporte. - Alors, qu'est-ce que t'attends ? Il ne m'en faut pas plus pour que tout le désir que je contient jusqu'à présent n'explose. Je mord délicieusement ma lèvre inférieure tandis que ses lèvres glissent sur mon torse avec douceur. Je me relève, à califourchon sur elle et laisse ma chemise glisser le long de mes bras avant de la lancer sur la caméra qui espionne chacun de nos faits et gestes depuis plusieurs minutes déjà. Ce qu'il se passe entre elle et moi restera à jamais sceller dans un silence de plomb. Mon jean déjà déboutonné par ses soin fini par glisser le long de mes cuisses. Je l'enlève d'un geste précis et impatient avant de ne fondre sur elle en des baisers bestiaux. Nos langues se mêlent, s'entre mêlent en un slow langoureux. Je mords avec tendresse son cou, le lobe de son oreille. Je ne réponds plus de rien. Je ne suis plus qu'un désir ardent de l'emmener au plus haut avec moi. Mes mains se pressent sur le haut de son corps et descendent avec précipitation sur son aine en des caresses ardentes, presque violentes mais passionnées. Elle dit aimer la violence de l'amour, je modère le tout afin de rester le plus doux possible dans mes gestes, tout en satisfaisant ses envies. Je veux que cet acte reste graver en nous. Qu'elle se souvienne de mes mains expertes fondant sur elle avec envie. De mes lèvres charnues la couvrant de baisers passionnés. Elle est nue contre moi et je réduis encore la distance qui séparent nos corps en passant une de mes mains dans le creux de ses reins afin de la rapprocher encore d'avantage de moi. Mes yeux ne la quittent pas, épiant ses moindres soupires, ses moindres réactions. J'aimerais que ce moment ne s'arrête jamais. Que mes yeux voyagent sur son corps durant des millénaires. Que mes mains le parcourent dans ce même laps de temps.
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MessageSujet: Re: I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30}   I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30} EmptyJeu 1 Nov 2012 - 13:11

Il m'a plu dès l'instant où nos regards se sont effleurés, où nos corps se sont frôlés en une délicate étreinte. Ses yeux azurés me déshabillent, m'envoûtent. Ses bras saillants, musclés m'étreignent et me propulsent dans un élan fiévreux et haletant. Nos soupirs ricochent sur les murs, résonnant dans toute la pièce. Dès le premier soir de notre rencontre, il a réveillé la part sensible qui est en moi. Celle que j'ai refoulé tant d'années. Un coeur que je n'aurai jamais cru voir battre à tel point que c'en est douloureux. Les minutes défilent, il prends de plus en plus d'assurance. Un aplomb qui me surprend, qui me bouleverse. Mon corps m'échappe. Il lui appartient et en fait ce qu'il veut. Il le modèle avec virtuosité, le cajole affectueusement et le dévore tout entier. A chaque assaut de ses baisers et de ses caresses enivrants, je me sens défaillir. Je ne maîtrise plus mon corps. Désormais, il en est le maître. Chaque effleurement m'arrache un gémissement grisant, électrisant. Il prend les devants, j'en perds quasiment tous mes moyens. Il me domine de tout son long. J'éprouve un plaisir innommable lorsque nos corps vibrent à l'unisson, dans une symbiose déroutante. Il explore mon corps, le marquant d'empreintes indélébiles et incandescentes. Je ne peux plus retenir mes gémissements tellement l'excitation est à son comble. Mes lèvres voyagent sur son torse robuste, me délectant de chaque parcelle de sa peau et m'imprégnant doucereusement de sa chair. Ses soupirs me parviennent telle une invitation à une exploration plus approfondie. Sa chemise atterrit sur l'objectif de la caméra le voilant complètement. Ce moment n'appartient qu'à nous. A nous seuls. Il s'empresse de ôter le jean qu'il porte glissant hors du lit. Il plaque ses lèvres violemment sur les siennes. Mon palpitant chavire, vacille dans un langoureux vertige. Nos langues s'enlacent, nos souffles se mêlent. Mes lèvres sur les siennes, le désir hardent transperçait ma gorge d'une brûlante fièvre. Caressant voluptueusement sa nuque, je ressens chaque fibre de son être effervescent. Je ne l'ai pas autant désiré qu'à ce moment-ci. Je ne le désire pas, je le veux. Lui, tout entier. Il parsème mon cou de baisers sensuels. Mon corps se cambre, mes muscles se contractent. Il me ramène à lui, réduisant à néant l'écart entre nos deux enveloppes corporelles. Les battements de mon cœur se fracassent contre le paroi de ma poitrine. Chaque pulsation représente chacun de ses baisers déposés sur mon coeur. Le contact des ses lèvres contre ma peau me fait frémir. Ses prunelles me transpercent de toute part, me contemplent avec ferveur. Mes lèvres se posent tendrement sur son cou. Mes ongles voulant se planter dans sa chair, je m’efforce de garder ma bestialité à l’intérieur et pourtant elles s’enfoncent divinement dans la peau brûlante de son dos. Mes mains crispées sur sa peau, nos gémissements, sa voix qui me rend folle : nous allons connaître l’apogée. La fièvre qui nous anime, ne fait qu’augmenter, décuple mon exaltation. Je ferme les yeux au fur à et mesure que ses mains sont habiles, connaissant par cœur mes points érogènes. Une de mes mains vient accompagner la sienne dans l'exploration, la faisant descendre de plus en plus bas vers mon entrecuisse. Je guide ses doigts vers mon intimité. Je veux les sentir à l'intérieur de moi. Ils pénètrent dans ma vulve, m'arrachant un cri. J'étouffe mes gémissement en embrassant son cou, ses lèvres. Je tente de garder les yeux ouverts, mais je perds en lucidité. D'un coup du bassin, je le fais basculer sous moi. Je le domine à présent, je le chevauche. Un sourire mutin s'épanouit sur mes lèvres charnues. Mon corps ondule contre le sien. Mes lèvres effleurent son ventre, son nombril. Mes doigts palpent sa virilité, la titillent. Ma main libre se tend vers le tiroir et le tire. J'empoigne le paquet et je l'ouvre sous ses yeux brumeux. J'en sors un sachet de préservatif que je lui tends. Je me penche sur lui et mordille le lobe de son oreille. Je murmure d'une voix suave : - A toi de jouer. Je lui lance un regard complice et ris légèrement. Les préliminaires touchant à sa fin, nous allons passé au pallier suivant. Celui de l'union de nos corps, de nos âmes.
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MessageSujet: Re: I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30}   I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30} EmptyJeu 1 Nov 2012 - 13:57

Elliot me fait perdre pieds. Elle m'emporte dans un univers lointain et cotonneux où nous sommes seuls, dénudés, sans complexes et envieux. Son corps m'appelle, il me nargue et m'en demande toujours plus. Je crois défaillir à chacun des gestes que j'entreprends. Je me sens pousser des ailes lorsque nos cœur battent ensembles en une chamade rapide. Je ne veux faire plus qu'un avec elle. Je veux entrer en elle, faire partie d'elle. Plus rien ne compte maintenant que l'unique caméra de la pièce est cachée sous ma chemise. Je n'ai plus aucune réticence. Je me laisse aller à des caresses et des baisers tous plus bestiales et langoureux les uns que les autres. Je parsème son corps de mes lèvres brûlantes, je la parcours tout entière et ses soupire font monter en moi une fièvre impossible à canaliser. Je me sens revivre, pour la première fois. J'ai l'impression de découvrir ce qu'est réellement l'amour, cet acte sensé être magique et pas mécanique. Ses mains sont fébriles, ses ongles pénètres la chair de mon dos et je grogne dans un soupire de plaisir. Elle est entreprenante, me guide et j'adore ça. Mes doigts pénètrent en elle avec douceur tandis que mes lèvres joues avec la pointe de ses seins que je mordille tendrement. Son corps tout entier m'appartient. Je la fait mienne. Sa main me guide, je me sens imploser de l'intérieur. Je veux plus que ça. Mon bas ventre s'échauffe sous ses caresses. Je ferme les yeux, incapable de retenir quelques soupirs. Elle me chevauche et mon regard se veut pénétrant. Nous allons passer à l'étape supérieure, celle dont j'ai une envie folle. Envie de pénétrer en elle, de ne faire qu'un. De l'emmener jusqu'à l’apothéose, que ses cris résonnent en moi encore et encore. Elle me tend un préservatif, l'air mutin et complice. - A toi de jouer. Sa voix m'attendrit. Je la couve un moment avant d'entreprendre d'ouvrir le dit préservatif. Je l'enfile sans grande difficulté. Mes mains rejoignent ses hanches et les empoignent avec douceur. « Je suis tout à toi.. » je lui glisse avant de l'empoigner plus fermement. Je la soulève avec force, assez pour entrer en elle avec douceur. Ma mâchoire se serre instantanément, mon corps devient un feu ardent. J'ai la chair de poule, je frissonne de plaisir. Mes mains sont toujours accrochées à ses hanches et je l'attire contre moi afin que son bassin ondule sur mon intimité. Nous ne faisons plus qu'un et mon plaisir n'est que d'autant plus grand. Je m'accroche à elle comme je le peux pour ne pas défaillir. Je ne suis plus que fièvre et plaisir. Mes yeux ne la quittent pas une seul seconde, guettant la moindre réaction, le moindre changement. Mes mains se font plus pressentes, ses ondulations un peu plus rapides. J'en demande plus. Je veux l'entendre, je veux que sa voix rauque résonne dans la chambre et couvre la musique dont les notes se font lascives. J'enroule mes bras autour de ses hanches et je me lève du lit avec précipitation. Mes lèvres rejoignent les siennes et nos corps se baladent dans la chambre jusqu'au premier mûr sur lequel je la plaque avec violence. Je ne réponds plus de rien. Mon bassin s'actionne en mouvements rapides et brutaux. Mon souffle percute son cou, mes lèvres le frôle, ses jambes s'enroulent autour de mon bassin. Nous sommes des virtuoses de l'amour. Nous ne sommes qu'un.
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MessageSujet: Re: I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30}   I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30} EmptyVen 2 Nov 2012 - 12:58

Nos corps s'interpénètrent, s'emboîtent à la perfection. Ils vibrent à la même intensité. Une intensité électrisante et fiévreuse, nous mettant dans un état de quasi-transe. Les bougies éclairent nos peaux reluisantes, embaumant la pièce d'effluves stimulantes et enfiévrées. Son emprise sur moi est implacable. Je brûle de l'intérieur, d'une flamme qui me consume. Celle de la passion, mêlant la douleur au plaisir dans une symbiose exquise. Ses caresses sur mon intimité m'arrachent des gémissements de plus en plus bruyants. Je ne les retiens plus. Mon corps réagit à la moindre de ses effleurements, se tendant à l'extrême. Mon corps est attiré par le sien de façon magnétique. Mes yeux savourent les traits du visage de mon amant, durcis par un désir éprouvant. Nous changeons de position. J'inverse les rôles habilement, mes cuisses se posant de chaque côté de son bassin. Il est en émoi. Je flatte son membre viril pour provoquer chez lui du désir de plus en plus irrésistible. Je n'ai qu'une hâte c'est qu'il entre en moi. Je prends les devants en sortant un préservatif de sa boîte. Emportés dans notre élan, nous avons failli oublier de nous protéger. Il l'enfile rapidement. Ses mains empoignent délicatement mes hanches. - Je suis tout à toi.. Je passe ma langue sur mes lèvres. Son regard transperçant me dévisage envieux et lubrique. Il se glisse en mon sein sans trop de difficulté, m’arrachant un soupir étouffé, son visage vient se coller au mien. Il me somme de m'approcher encore plus avec ses mains impétueuses. Je m'allonge presque sur lui pour sentir sa verge à l'intérieur de mon intimité. Je sens le plaisir monter de mon pubis jusqu’à mon estomac, l’enserrer de son emprise agréable, certaine, violente. Je me contracte, laisse un gémissement offusqué franchir mes lèvres, mais n’en ouvre pas les yeux pour autant. Je plaque mes mains sur son poitrail, mes doigts se crispant comme mes ongles se plantent dans ses pectoraux, découpant sa peau, saignant sa chair, lui arrachant un cri de douleur émerveillée. J’ondule puissamment, ne lui laissant pas l’occasion d’agir. Doucement, je me laisse aller, gémit encore et encore, un peu plus à chaque fois, la force de mes cris allant crescendo. Et tout ça sur le rythme d’une musique saccadée, qui euphorise la situation. Soudain, il se redresse brusquement et m'emporte dans son élan débordant. Il m'offre un baiser langoureux, me faisant oublier les alentours. Il m'emmène dans un coin de la pièce. Mon dos atterrit avec violence contre un mur. Il pénètre en moi sans ménagement, m'arrachant un cri de surprise. Mes cuisses viennent entourer son bassin pour prolonger la pénétration. Ses coups de bassins se font plus forts, plus décidés, plus brusques. Je crie tant il me déchire, avant de gémir, de haleter tellement le plaisir se fait grand. Toujours harcelée de ses coups de reins fiévreux, je contemple son visage assombri par la bestialité. Il laisse ses pulsions s'exprimer. Il est en sueur, je le suis tout autant. Les gouttes perlent à nos fronts et font resplendir la pâleur de nos peaux veinées. Je viens mordre le lobe de son oreille. Il m’assène un autre coup d’une violence rare, je flancherais presque, mais mes mains s'accrochent à son dos musclé. Je suffoque. Je résiste comme jamais dans ma vie, et alors que mes lèvres frôlent son oreille, je lui glisse avec sensualité haletante : - Encore ... encore ... Ma main vient agripper son fessier pour accélérer la cadence. Tout d'un coup, mes muscles se contractent. Mon plaisir frôle le sien, l’enlace, nos orgasmes fusent au même moment, au même dixième de seconde, comme nos yeux se révulsent avec synchronisation, nos bouches s’entrouvrent avec instinct. Un long soupir s'échappe de ma bouche. Nos souffles sont anarchiques. J'ai les larmes aux yeux. Des larmes de joie. J'embrasse son torse et promène mes doigts dans ses cheveux en bataille. Je ris d'amusement et je scelle nos lèvres en un doux baiser. Un baiser d'amour. Mes pieds viennent toucher le sol. Je lui prends la main et je le ramène pris du lit. Nous nous y allongeons. Je le serre délicatement contre moi. Nos corps sont encore brûlants.
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MessageSujet: Re: I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30}   I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30} EmptyVen 2 Nov 2012 - 21:38

Nos souffles se mêlent. Mon coeur bat à tout rompre et menace d'exploser sous le poids de ce désir ardent qui me consume. Je ne suis plus maître de moi-même. Ma bestialité parle, elle s'exprime et Elliot en fait les frais. Mon visage se fige sous le plaisir que me procure l'acte que nous exerçons à l'unissons. Mes mains serrent de plus en plus fort la chaire laiteuse de ses hanches pour la forcer à accélérer les mouvements de son bassin sur mon membre. Les muscles de ma mâchoire sont serrés à bloc tandis que mon regard ne quitte pas le sien. Ses yeux sont clos, ses lèvres s'entre-ouvrent et laisse échapper des soupirs qui ne font qu'augmenter la température de mon corps. J'ai l'impression de brûler tant j'ai chaud. Mon corps n'est plus qu'un brasier ardent. Ses doigts se crispent sur mon torse tandis que son bassin continue à onduler fiévreusement. Je gémis lorsque ses ongles pénètrent ma chaire sans aucune douceur, que ses ongles me torturent et finalement, la douleur se transforme en un plaisir malsain. Je ne tiens plus et mes mains se referment sur ses hanches. Nos corps s'élèvent du lit, ses cuisses s'enroulent gracieusement autour de mon bassin. Je la plaque violemment contre le mûr le plus proche et pénètre de nouveau en elle sans douceur aucune. Mon visage est crispé, crispé de plaisir. Je tente de retenir les gémissement qui tendent à s'échapper de mes lèvres. Plus rien n'existe autour de moi, mes coups son rythmés par ses cris de plus en plus puissants. Mon bassin s'exécute sans que je ne le contrôle, prenant possession de son corps avec puissance. Mes coups sont secs, bestiaux, nous sommes deux bêtes et en même temps, il s'échappe de cet acte une harmonie, une douceur que je ressens et qui me réchauffe le coeur. Plus que de la baise. Moins que de l'amour. Un entre deux voluptueux qui nous enveloppe de façon charnelle. Mes derniers coups de bassins se veulent plus forts encore, cherchant à l'emmener au summum de la jouissance, cherchant à me péter les tympans de ses cris. Sa voix lascive et coupée de soubresauts me donne les forces nécessaires pour que nos corps vibrent une dernière fois ensembles. Que son orgasme soit intense. Que nos soupires s'unissent, que nos soufflent se mêlent en une dernière étreinte. Mon souffle est fort, haletant et court. Mon visage se niche dans son cou quelques secondes seulement. Elle joue avec mes cheveux et scellent nos lèvres dans un ultimes baiser. Ses yeux luisent, je caresse tendrement sa joue. Ses jambes se défont, son corps fond sous le mien. Sa main entre en contact avec la mienne, un contact doux et électrique à la fois. Elle m'emporte jusqu'au lit où tout à commencé, où j'ai certainement passé le plus beau moment de mon aventure et je m'allonge, tentant de recouvrer un pouls normal. Je me débarrasse rapidement du préservatif encore enfilé et me serre contre son corps encore fiévreux. Je passe une main dans sa chevelure, sur son front trempé de sueur. Aucun mot ne me vient. Aucun ne serait assez bien pour briser le silence qui s'est installé. « T'es belle.. » c'est affreusement ridicule et pourtant, mes yeux brillent en la contemplant. Elliot est une beauté singulière. Et elle m'a appartenu le temps d'un moment. Le temps d'une étreinte charnelle. Je ne sais pas où nous mènera ce que nous venons de vivre. Je n'ai pas la force d'y penser. Je veux profiter. Vivre ce que nous avons à vivre. Ce que la vie, le destin nous permettrons de construire. J'embrasse tendrement sa joue, mes doigts retracent le contour de sa poitrine. Je suis bien.

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MessageSujet: Re: I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30}   I PUT A SPELL ON YOU {31/10, 21:30} Empty

 

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