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 And that's the thing that they can't touch ๑ 09/11 | 22h30

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Raphaël

Raphaël
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CITATION : « ON N'EST JAMAIS AUSSI SEUL QUE LORSQU'ON EST SANS ESPOIR. SURTOUT LORSQU'ON N'A PLUS D'ESPOIR DE POUVOIR ROMPRE LE CERCLE DE LA SOLITUDE. »
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MessageSujet: And that's the thing that they can't touch ๑ 09/11 | 22h30   And that's the thing that they can't touch ๑ 09/11 | 22h30 EmptyMar 6 Nov 2012 - 1:26

And that's the thing that they can't touch
FEAT. DAGGA

Ces souterrains étaient pire qu'un labyrinthe. On s'y perdait bien trop facilement, et pour cause, tout se ressemblait dans le coin. Quand on empruntait un couloir, on croyait y être déjà passé, alors on avait tendance à faire demi-tour, pour finalement se dire qu'on aurait mieux fait de continuer notre route, vu qu'on se retrouvait maintenant encore plus perdu qu'auparavant. Ah non vraiment, ça n'était pas un endroit pour Raphaël. Lui qui était tout à fait capable de se perdre d'une pièce à l'autre était particulièrement susceptible de finir moisi dans un vieux coin humide, attendant qu'on retrouve son pauvre cadavre d'ici une trentaine d'années. Pourtant, il se trouvait bien là, avançant le long d'un couloir, le regard curieux, le corps fébrile. Il s'était rarement rendu ici, et la dernière fois que ce fut le cas, disons qu'il avait eu autre chose à penser qu'à combien de temps il lui faudrait pour mourir de faim et/ou de soif dans un tel endroit. C'était alors sa préoccupation du moment. Parce qu'en bon inconscient qu'il était, il s'était bien évidemment rendu ici sans prévenir personne de sa petite incursion dans les souterrains, sans eau, sans nourriture, sans polaire. Autant dire que sa petite mission personnelle relevait tout doucement du suicide. Parce que oui, bon sang, c'était bien de cela dont il s'agissait. Il semblait désireux de se prouver à lui même qu'il pouvait lui aussi faire preuve d'un tant soit peu de bravoure, de courage, même si là tout de suite, il était surtout sur le point de s'uriner dessus. Que voulez-vous, toutes ces choses, toutes ces émotions n'étaient décidément pas pour lui. Et Dagga, était-elle plus débrouillarde que lui ? Saurait-elle lui permettre de regagner une trappe ou que sait-on d'autre encore, histoire qu'il sorte d'ici avec le vingt-et-un décembre prochain ? Remarquez, si les Mayas ne nous prenaient pas pour des cons - et les illuminés non plus - il serait presque bien loti ici. Mais vraiment, il préférerait quand même recouvrer un semblant de liberté, et comptait maintenant secrètement sur la demoiselle pour l'aider. Son plan ? Ne pas se faire remarquer. Elle marchait non loin de lui, alors il n'avait qu'à la suivre le plus discrètement possible, sans se trahir, et peut être espérer regagner une quelconque sortie grâce à elle. Ainsi donc, il se posta à quelques pas derrière elle, dans un silence remarquable, mimant ses pas, tournant avec elle, tournant, tournant ... tournant en rond, en fait. Parce que si elle savait se repérer, disons qu'elle s'y prenait mal pour le montrer, hm. Autant dire qu'en fait, il était toujours aussi mal barré. Oui bon, elle aussi, c'est clair. Mais vu qu'elle venait de se retourner, le cramant comme un bleu, c'était quand même lui qui risquait le plus gros, dans cette histoire. Rougissant abondamment, il bafouilla quelques mots assez incompréhensifs. « Ça n'est pas ce que tu crois. » Parce que bon, un type qui suit une jolie jeune femme dans un endroit aussi glauque que celui-ci, il est vrai que ... ah mais non, elle le considérait comme une tapette. Ou peut être pas. Mais tout de même, ça lui était resté en mémoire. Ce terme, en fait, l'avait plus ou moins traumatisé. « En fait si, c'est exactement ce que tu crois. » Ah, tiens donc ? C'est nouveau, ça vient de sortir ? Probablement. S'approchant quelques peu de sa camarade, il poussa un soupire. Plutôt lourd, ce soupire. « Je suis peut être bien moins inoffensif que j'en ai l'air. » Ouais, et même que c'était son secret, en fait. Ah mais non, c'est vrai, il n'en avait plus. Crédibilité, -110%.
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MessageSujet: Re: And that's the thing that they can't touch ๑ 09/11 | 22h30   And that's the thing that they can't touch ๑ 09/11 | 22h30 EmptyMer 7 Nov 2012 - 23:23

Une fois, quand j’étais petite, je me suis perdue dans mon lit. J’avais la fâcheuse habitude de jouer sous les draps et couvertures, c’était tout un monde là-dessus, c’était mon territoire à moi, mon territoire de jeu, et mes yeux d’enfants me le faisaient voir comme quelque chose de vaste, immense. Ma mère avait trop bien bordé le tout, et j’avais fini par paniquer en craignant de ne jamais trouver la sortie et mourir d’asphyxie. Mais je m’en étais sortie. Je ne perds plus jamais dans mon lit, et je trouve ça triste. Je suis nostalgique du temps où tout me semblait prodigieusement grand. Depuis cette époque révolue, je ne me suis jamais vraiment perdue. C’est pas que j’ai spécialement le sens de l’orientation pourtant. Seulement les grands espaces me font un peu peur, alors je pars rarement à l’aventure sans rien pour me guider. Mais là, au sein du nid, j’ai bien envie de retenter le coup. J’ai bien envie de me perdre. De ressentir ce petit frisson, cette petite excitation, ce petit moment enivrant de doute quand on se demande si on va s’en sortir ou non. Comme lors de mon escapade sous ma couette, j’ai conscience que cet instant de panique sera superficiel ; au fond, je sais qu’il y a des gens qui veillent sur moi et qui me laisseront pas crever comme ça. Mais dans le feu de l’action, je fais abstraction de cette donnée. Dans le feu de l’action, je vis cette palpitante appréhension à fond. Mon dévolu s’était porté, en toute logique, sur le réseau des souterrains. Je n’y étais pas retourné depuis la visite on-ne-peut-plus sommaire que j’avais effectuée en compagnie de Malik, et si je devais quitter ce village sous peu, cela m’aurait fait mal au cœur de ne pas avoir poussé mon inspection plus en profondeur. Toute ma vie, j’avais rêvé d’avoir des endroits de ce genre à explorer – des catacombes, ç’aurait été encore plus fun mais je ne voulais pas trop en demander. Alors là, j’en profite. J’y vais à l’instinct. Je ne réfléchis pas une seule seconde. J’ai décidé de décompresser un peu cette semaine, alors c’est l’occasion rêvée. Et puis, alors que je me promène, je prends conscience d’une présence, non loin de moi, et je jurerais être suivie. Mais j’ignore s’il s’agit de ma paranoïa qui refait surface, ou si mon instinct est bon, sur ce coup là. À l’extérieur, dans la vie réelle, je ne peux pas faire trois pas hors de chez moi sans avoir l’impression d’être suivie, et je ne peux pas entrer dans un lieu publique sans être fermement convaincue qu’une bombe est placée quelque part. Alors j’ai appris à taire mes craintes, parce qu’elles me semblent relever du domaine de l’irrationnel. En l’occurrence, je ne sais pas trop quoi penser. Suivie, ici ? Ça serait fort. Et pourtant, je jurerais entendre quelque chose, sentir quelque chose… Si j’étais dans une rue, j’userais de me moyens habituels, en me plaçant par exemple d’une telle manière que mon ombre s’étale devant moi, aussi si quelqu’un m’agresse je suis prévenue en avisant son sombre avant qu’il ne me touche. Ou en m’aidant des reflets dans les vitres de voiture ou les vitrines, pour observer tous les gens qui m’entourent. Ou en entrant dans un magasin au hasard. Ou en feignant de refaire mes lacets. Tant d’actions qui sont de vrais mécanismes chez moi. Mais dans ce lieu particulier, rien de tout cela n’est possible. Alors, au bout d’un moment, n’y tenant plus, je fais volte-face, en m’attendant presque à tomber nez-à-nez avec le vide qui me rit au nez. Mais il y a bien quelqu’un. Il y a Raphaël. Et je ne m’explique pas sa présence là, juste derrière moi ; depuis combien de temps me suit-il ainsi ? « Ça n'est pas ce que tu crois. » Il rougit, je hausse un sourcil, ne comprenant pas. Je ne crois rien du tout. S’il avait un couteau dans les mains ou quelque chose comme ça, ok, je flipperais un peu, mais sinon quoi ? Il n’a pas tout à fait l’allure du violeur typique. « En fait si, c'est exactement ce que tu crois. » Je hausse un deuxième sourcil. Il n’a pas intérêt à me sortir un autre truc trop chelou, parce que j’ai pas de troisième sourcil à disposition pour manifester ma perplexité. Il s’approche et, par réflexe, je recule. Que me veut-il ? Est-ce qu’il a prévu de me passer à tabac, ou quelque chose comme ça ? Je ne sais pas si je pourrais trop lui en vouloir, je crois que je l’ai plus ou moins mérité. « Je suis peut être bien moins inoffensif que j'en ai l'air. » En même temps, il était difficile d’être plus inoffensif que ce qu’il en avait l’air. Cela étant, ses mots sèment le doute en moi. J’ai du mal à croire qu’il soit réellement à craindre – il était rouge comme une tomate il y a pas trois secondes et bafouillait comme un enfant prise en faute. Mais je m’attends toujours au pire des gens, et on m’a appris que derrière chaque sourire innocent se cachent des personnalités potentiellement dangereuses. « Et moi je suis peut-être bien plus vulnérable que j’en ai l’air. Que veux-tu, on cache tous bien notre jeu… » je rétorque d'une voix ferme et insouciante à la fois, en haussant les épaules. Un brin de sarcasme vient s’insinuer dans mes propos tandis que je feins la nonchalance. « Que comptes-tu donc me faire, Raphaël ? Dis-moi tout. Je suis impatience de connaître ton programme. » Un sourire faussement amusé vient masquer ma nervosité, je donne le change comme je peux en tâtant le terrain. Honnêtement, je serais pas complètement étonnée si un psychopathe fou dangereux se cachait derrière cette apparence lisse et polie.
Raphaël

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MessageSujet: Re: And that's the thing that they can't touch ๑ 09/11 | 22h30   And that's the thing that they can't touch ๑ 09/11 | 22h30 EmptyJeu 8 Nov 2012 - 19:31

A le voir comme ça, dans ces souterrains, à suivre Dagga comme si la dernière chose au monde qu'il souhaitait était qu'elle note sa présence - ce qui était bien vrai - Raphaël passerait presque pour un individu dangereux et un brin pervers. Heureusement qu'on lui connaissait plutôt une réputation de gars timide et inoffensif, parce qu'il est vrai qu'une telle attitude pouvait paraitre un peu soupçonneuse à première vue. Il va pourtant de soi que ses intentions n'étaient pas mauvaises. Non, clairement pas. Il ne prévoyait évidemment pas d'agresser Dagga, d'une quelconque manière, en profitant du fait qu'on ne s'attende justement pas à un tel comportement de sa part. Ce qu'il voulait, simplement, c'était regagner la sortie, la terre ferme. Il n'aurait jamais du s'embarquer ici. Il n'aurait jamais du, et pourtant, il l'avait fait. Et croyez bien qu'il s'en mordait présentement les doigts. Parce qu'évidemment, le suisse n'était pas fichu de retrouver son chemin au milieu de ces couloirs tous semblables les uns aux autres. C'était beaucoup trop compliqué, beaucoup trop angoissant pour lui. Et Dagga était présentement son seul espoir de sortir d'un tel endroit. Il ne voulait pas mourir ici, vous savez. Or, il s'imaginait déjà bien mal finir, s'il restait en ces lieux encore longtemps. Peut être alors que la jolie rousse lui permettrait de quitter ces souterrains et ainsi d'échapper au funeste sort qu'il savait lui être réservé. Peut être ne remarquerait-elle d'ailleurs même pas qu'il la suivait, ce qui serait d'autant plus plaisant. Parce qu'en réalité, Raphaël était mal à l'aise à l'idée qu'elle puisse le remarquer et utiliser cet endroit, cette atmosphère contre lui. Il en faudrait bien peu pour le faire paniquer, et il supposait qu'elle s'en rendrait bien vite compte. Alors le mieux était encore qu'elle ne réalise pas qu'elle était suivie, histoire qu'il puisse échapper à la moindre entrevue. Sauf que non, évidemment, les choses ne pouvaient pas être simples, cette fois encore. Il fallait décidément toujours que tout soit compliqué, qu'on ne lui facilite pas la tâche. Du coup, et tandis qu'il se croyait parfaitement discret, le suisse eut bientôt la mauvaise surprise de voir Dagga se retourner vers lui, comme ça, d'un seul coup. Et en moins de temps qu'il en faudrait à Horatio Kane pour retirer ses lunettes de soleil, voilà qu'il fut pris en flagrant délit de filature. Bon, il était peut être un tantinet dans la merde, désormais. Non parce qu'évidemment, il était gêné, affreusement gêné, et incroyablement rouge également, c'est certain. Et du coup, il partait logiquement du principe que sa camarade le noterait et qu'elle lui ferait sans tarder regretter de l'avoir suivie. Du coup, il tenta une navrante défense, comme s'il l'on pouvait véritablement penser qu'il avait eu pour intention de lui faire du mal ... Puis soudain, il décida de changer du tout au tout sa façon de s'adresser à elle. Soyons clairs, dans cette embarrassante situation, il y aurait - comme à chacun de leurs échanges - un dominant et un dominé. Et cette fois-ci, allez savoir pourquoi, Raphaël tenait à tenir le rôle du dominant. Il voulait gagner une certaine emprise sur elle, même extrêmement éphémère. Pour une fois, il voulait être celui qui impressionne, qui intimide. Pas tellement comme une vengeance - même si elle l'avait mis minable à plus d'une reprise - disons pour se prouver à lui même qu'il pouvait aussi agir autrement que comme un pauvre être manipulable et sur qui l'on pouvait avoir facilement beaucoup d'emprise. Du coup, il s'approcha d'elle, insinuant plus ou moins subtilement qu'il pourrait agir bien différemment de d'habitude, sans pour autant être très clair. Sa camarade sembla alors particulièrement intriguée. Tant mieux, c'était le but de la manoeuvre. L'effrayer ne l'intéressait pas. La faire réfléchir, par contre ... Le suisse laissa alors entendre qu'il n'était peut être pas aussi inoffensif qu'en apparences, ce à quoi sa camarade répondit par le fait qu'elle qu'elle n'était de son coté peut être plus vulnérable que ce qu'elle avait l'air. Un fin sourire gagna alors les lèvres du jeune homme; Un sourire qu'il tourna bien vite à la perversité. Il était ravi qu'elle entre dans son jeu, mais se devait de paraitre un tantinet menaçant, ou en tout cas suspect, ne serait-ce qu'histoire d'appuyer ses précédents propos. « Tu sais ce que l'on dit au sujet des apparences ... » Oui, elle savait. Et ici, il utilisait clairement un célèbre proverbe pour aller dans le sens de son optique. Il ne lui voulait aucun mal, soyons sérieux, mais souhaitait voir jusqu'où il pouvait aller, jusqu'où elle résisterait ... avant de le massacrer, hm. Il jouait avec le feu, prenait des risques, et tout cela l'excitait. Il voulait changer, évoluer, progresser. Et c'était à ses yeux un exercice intéressant pour tester ses propres limites. A la question de sa camarade, il fit de nouveau quelques pas vers elle, la faisant reculer, l'air à la fois détaché et déterminé. Son regard planté dans le sien, il se stoppa brusquement. « T'empêcher de sortir un jour de cet endroit.» Ah, vraiment ? Bizarre, on aurait juré qu'il comptait justement sur elle pour le quitter, hm. Mais après tout, peut être changeait-il tous ses plans, sous le coup du jeu. Parce que clairement, il était en train de jouer. « Tu ne quitteras jamais plus ces souterrains. S'il le faut, j'y resterai moi aussi. Tu seras prisonnière de cet endroit. Tu seras ma prisonnière. Je ne t'affamerai pas, tu seras alimentée et hydratée ... Simplement, tu ne pourras aller nul part, ni rien tenter, sinon ...» Ah oui tenez, sinon ? Parce que bon, c'était bien gentil de sortir ce programme des plus improbables, mais il fallait prévoir jusqu'au bout, hm. « Sinon je ferai à tes poignets, ainsi qu'à tous les os de ton corps, ce que j'ai fait à cette tasse, l'autre jour ...» Gnah, ça devenait n'importe quoi, là. Il la menaçait alors qu'il était sur le point de se mettre à pleurer, se sentant déjà coupable de lui adresser de tels mots, lui qui ne les pensait évidemment pas. Que Dieu lui pardonne de telles paroles.

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