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 but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03

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Bob

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MessageSujet: Re: but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03   but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03 - Page 2 EmptyMar 12 Mar 2013 - 20:22

Comment dire ? Tu étais quelqu’un de cultivé, en quelque sorte. Sûrement pas le plus intelligent du monde, mais tu savais beaucoup de choses, clairement. Tu ce qu’on te disait, ou t’apprenait, tu le retenais sans problème. Ta mémoire était assez grande pour ça. Et puis, cette punition sur Einstein t’avait marqué, clairement. Alors tu pouvais évidemment lui ressortir les principaux éléments de la biographie de cet homme. Etonnant, de la part d’un être qu’on croit idiot comme ses pieds, hm ? Oui, sûrement. Les gens te rabaissaient bien trop souvent, c’était un fait. Ton caractère de gamin ne voulait pas dire que tu ne connaissais rien, tout de même. Le niveau pour avoir le bac, tu l’avais. Tu as seulement décidé de ton plein gré de tout quitter pour se vouer à ta passion : le surf. Bref. T’es toujours immobile sur la glace, tu ne bougeais pas. T’avais bien trop peur, hm. Mickey, lui, ne fait pas de commentaire. C’était pourtant lui qui t’avait demandé ça. Bon. Il tombe. Genre.. pour de vrai. Une bien belle chute. Tu serais déjà tordu de rire si quelque chose comme ça n’avait pas pu t’arriver. Mais t’étais mal placé pour rire, puisque tu étais aussi nul que lui pour patiner. « Tu m'aides à me relever ? » Quoi ? Mais… Non. Si t’essayais de le lever, tu allais y rester. Déjà que tu ne pouvais pas tenir debout sans tanguer, qu’allais-tu devenir si tu devais soulever quelqu’un. Non, non, non. Pourtant, t’essaies tout de même de te diriger vers lui. Parce que t’étais quelqu’un de gentil, toi. A coup sûr, lui, il n’aurait rien fait, il serait parti en riant. Oui, oui, t’en étais sûr. Ce petit tas d’os était diabolique, hm. « J'ai dû me démettre quelque chose. » Tu hausses tes épaules. Il n’y avait pas de sang, ni rien. Ca ne devait pas être si grave que ça. Il s’en remettrait, le coco. Tu te penches, attrapes sa main, et en tirant, pouf, tu tombes. Le faisant tomber par la même occasion. Génial. T’étais sur le cul, dans tous les sens du terme. Tout ça, c’était de sa faute. T’étais bien parti pourtant. « Je suis sûr que t’as fait exprès. » Toi, bouder ? A peine. Mais quel gamin ce Bob.
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MessageSujet: Re: but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03   but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03 - Page 2 EmptyMar 12 Mar 2013 - 23:24

Stupéfiant, étourdissant, ahurissant. Mickey ne trouvait plus ses mots. Alors comme ça le chevelu avait avalé toute la biographie d'Albert Einstein durant la nuit ? Non parce que quand même, pour emmagasiner autant d'informations, il fallait y aller de bon cœur. Et qu'on se le dise il était loin de s'attendre à ça. Alors voilà, il demeura statique et figé pendant plusieurs secondes, littéralement scié par ce qu'il venait d'entendre. Ce n'était pas tant ce flot d'informations débité qui le surprenait, mais plutôt l'individu qui avait récité tout cela, visiblement de mémoire. Allez savoir où il avait appris toutes ces choses, dans quel contexte... Oh il n'en restait pas moins idiot aux yeux de Mickey ceci dit, car il avait peut-être prévu son coup à l'avance. Mais oui, c'est bel et bien Bob qui avait mis Einstein sur le tapis et ce, probablement pour attirer l'attention de l'anglais qui, bien évidemment, avait profité de l'occasion pour le questionner sur le sujet. Et là, il avait pu faire son petit déballage histoire d'épater la galerie. Alors tout ce que ça prouvait, au final, c'est qu'il pouvait mémoriser tout un tas de choses ce chevelu. Mais ça ne signifiait pas pour autant qu'il était doté d'une once d'intelligence, ou d'un minimum de savoir. Mickey lui avait collé l'étiquette d'imbécile, il se la coltinerait à vie, voilà tout. Néanmoins tout ceci avait visiblement eu raison de son équilibre, car l'instant d'après l'écrivain était à terre, les quatre fers en l'air comme la première fois qu'il avait foulé cette glace en somme. Après Emmeline, voilà que Bob assistait à sa chute. C'était très embarrassant, surtout qu'il ne s'était pas raté en tombant. Oui, il soupçonnait l'une de ses vertèbres de s'être fait la malle mais hm, il n'était encore sûr de rien. Il pouvait craindre le pire, ou ?... Dans l'immédiat ce qu'il désirait, c'était sauver son honneur et ne pas rester allongé sur cette glace plus longtemps, alors il demanda à Bob de l'aider à se relever, tout simplement. Celui-ci sembla hésiter quelques instants. Oh, quand même, il s'agissait de Mickey, autrement dit du type le moins en chair de tout le nid. S'il craignait de se démettre un bras, il pouvait se tranquilliser, et s'il craignait de tomber lui aussi, effectivement, c'était un risque. Finalement, il se cambra et vint saisir la main tendue de l'anglais. Sauf que, outch à nouveau, Bob offrit lui aussi une très belle glissade aux téléspectateurs. Et bien évidemment à Mickey qui, oh miracle, se redressa avec facilité après être du coup retombé en arrière lorsque les pieds du chevelu ripèrent sur le sol. Il avait vachement mal, hein, vachement. « Je suis sûr que t’as fait exprès. » Il ouvrit de grands yeux tous ronds, offusqué par un tel sous-entendu. Alors parce que monsieur ne tenait pas non plus debout, Mickey l'avait fait exprès ? Et bien oui, bien vu, tout ceci était planifié. Mais il n'allait pas l'avouer vous pensez bien, après quoi on dirait de lui qu'il n'était qu'un homme malveillant. « Qu'est ce que j'entends ? Moi, le faire exprès ? Jamais ! » Ça ne sonnait peut-être pas très crédible mais bon, faisons comme si. Enfin Mickey se doutait bien que Bob risquerait lui aussi la chute en lui prêtant main forte, lui qui avait eu jusqu'ici beaucoup de mal à se maintenir droit sur ses patins. Ah ces machins étaient vraiment dangereux. « Je crois que nous allons devoir ramper à même cette glace jusqu'au bord si nous ne voulons pas essuyer une énième chute en nous relevant. » Il les imaginait mal parvenir à se remettre debout avec aisance, alors qu'ils étaient aussi peu adroits l'un que l'autre.
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MessageSujet: Re: but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03   but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03 - Page 2 EmptyMer 13 Mar 2013 - 1:29

T’étais sûr les fesses, assis comme un crétin. Tout ça en essayant d’être gentil et de sauver Mickey. Tu savais que tu n’aurais pas dû le faire. Qu’il y avait un piège dedans. Forcément. Ce gars-là était maudit. Clairement. Tu ne voulais pas d’autres explications de toute manière. T’étais donc assis sur la glace, les bras croisés sur le torse, visiblement vexé d’être tombé en essayant d’aider quelqu’un. Tu l’avais mauvaise, oui. Parce que jusque-là, tout allait bien. Tout était de sa faute. Comme d’habitude.. « Qu'est ce que j'entends ? Moi, le faire exprès ? Jamais ! » Il servait à quoi, sont « Qu’est-ce que j’entends ? », hm ? A rien. Vous aviez tout deux très bien entendus la même chose, oui. Alors qu’il cesse de jouer l’imbécile sourd. Tu hoches la tête, vivement. « Si, tu l’as fait exprès ! Tu ne supportais pas de me voir encore debout alors que tu étais au sol, alors tu as tout planifié pour que je tombe avec toi ! » Quelle mauvaise foi, ce Bob. Mais c’était tellement plus facile de tout mettre sur le dos des autres. Oh oui, tellement plus facile. Alors oui, pour le moment, tout était de la faute de Mickey. C’était lui le démon démoniaque de l’histoire. Et sûrement que tous les monde serait d’accord avec toi. « Je crois que nous allons devoir ramper à même cette glace jusqu'au bord si nous ne voulons pas essuyer une énième chute en nous relevant. » Tu hoches la tête. Ca, t’avais cru le comprendre tout seul. Maintenant que tu étais à terre, hors de question d’essayer de te relever. Pas sur la glace, du moins. C’était beaucoup trop risqué. Tu soupires donc légèrement. « On a pas le choix de toute manière. » Tu hausses les épaules et essayes d’avancer à l’aider des tes fesses, tes pieds, et tes mains – qui n’avaient pas de gants. Et autant dire que c’était froid, tout ça. Oh, le soleil te manquait tellement.
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MessageSujet: Re: but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03   but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03 - Page 2 EmptyMer 13 Mar 2013 - 3:50

Alors bien sûr, c'était de la faute de Mickey si Bob se retrouvait, à côté de lui, étendu sur la glace. Non mais franchement, le rendre responsable de sa chute, c'était un peu facile vous ne trouvez pas ? L'anglais trouvait que si en tout cas, et clairement, ça ne l'étonnait pas venant du chevelu. Mais oui, il était un peu sa bête noire dans ce jeu, n'est-ce pas ? Celui qui lui avait fait écoper d'une nomination d'office, celui qui lui avait fait la morale plus d'une fois, notamment au sujet de missions qu'il avait confiées au jeune Mason... sans parler bien sûr de son imbécilité, qu'il avait à de multiples reprises pointée du doigt. Et donc, cela justifiait-il qu'il soit accusé de la sorte ? Bien sûr, Mickey savait qu'en demandant à Bob de l'aider à se relever, les chances pour qu'il tombe à son tour étaient élevées mais même s'il avait conscience de ce fait, il ne l'avait pas pour autant entrainé dans sa chute, c'était le cas de le dire d'ailleurs. « Si, tu l’as fait exprès ! Tu ne supportais pas de me voir encore debout alors que tu étais au sol, alors tu as tout planifié pour que je tombe avec toi ! » Que d'aberrations ! Que d'accusations infondées et injustes ! Il n'allait pas se laisser faire, oh non, c'était bien mal le connaitre. « Dis donc mon bonhomme, tu es tombé tout seul. Tu manques cruellement d'équilibre sur cette glace, comme moi, et donc tu as glissé. Il ne fallait pas saisir ma main dans ce cas, je ne t'y ai pas obligé non plus. Et puis rends-toi à l'évidence : le patin, ça n'est tout simplement pas fait pour nous. » N'est-ce pas ! Ah, Mickey ne prévoyait pas de s'y remettre de si tôt. Ou alors il se ferait accompagner de quelqu'un sachant tenir sur des patins plus de cinq minutes sans riper. Maintenant, il ne leur restait plus qu'une chose à faire : ramper jusqu'au bord, et surtout éviter de se relever. Car s'ils avaient glissé une fois, ils pouvaient bien glisser deux fois. Oui, tout laissait penser que cela pourrait se reproduire, et le mieux était donc de ne prendre aucun risque. « On a pas le choix de toute manière. » Effectivement. Bob se mit à ramper, et Mickey fit de même l'instant d'après. Il avait semble-t-il un peu moins de mal que le chevelu pour avancer et c'était bien normal, puisque lui avait enfilé des gants tout à l'heure. Pauvre Bob, il faisait presque pitié. « J'en connais un qui aurait dû mettre des gants. » Non, il ne le narguait pas, même si c'était probablement l'impression qu'il donnait. « Heureusement... » Il s'arrêta un moment pour fouiller dans la poche arrière de son jean. Que manigançait-il ? Et bien... « ... qu'en grand prévoyant que je suis, j'en emporte toujours une seconde paire. Attrape. » Ouais enfin, attraper... il les lui jeta car bien entendu, il n'était pas question de les lui donner de main à main. Non non, pas de contact. Vraiment, il n'y tenait pas. « Attention, pas de trou, et je veux les récupérer pour pouvoir les laver ensuite. » Ce n'était donc pas un don, mais un prêt. Il était déjà bien aimable de lui donner de quoi protéger ses grosses pattes poilues, et estimait que ça n'était pas lui demander la lune, quand même, de les lui rendre en bon état.
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MessageSujet: Re: but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03   but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03 - Page 2 EmptyMer 13 Mar 2013 - 10:53

Tu tenais debout. Oui, tu tenais debout. Tu y arrivais. Plus ou moins. Bon, en gros, tu n’avançais pas. Mais au moins, tu n’étais pas au sol. Comme maintenant. En ayant essayé de relever Mickey Mouse. Quel plaie, cet homme. Il te gâchait la vie jusqu’au bout. A croire qu’il avait tout planifié avant son entrée. M’enfin. Tu n’allais pas geindre pendant trois heures non plus. « Dis donc mon bonhomme, tu es tombé tout seul. Tu manques cruellement d'équilibre sur cette glace, comme moi, et donc tu as glissé. Il ne fallait pas saisir ma main dans ce cas, je ne t'y ai pas obligé non plus. Et puis rends-toi à l'évidence : le patin, ça n'est tout simplement pas fait pour nous. » Alors premièrement, tu n’étais pas son bonhomme, que ce soit clair. Et puis, tu n’avais pas eu besoin de lui pour arriver à conclure que le patin n’était pas fait pour toi. Par contre, c’était bien à cause de lui que tu étais tombé. « Si tu ne me l’avais pas demandé, je ne l’aurai pas fait, et je ne serai pas au sol là maintenant tout de suite. J’étais debout, tout à l’heure. Donc le problème vient de toi, voilà tout. » Ça paraissait clair, non ? Pour toi, ça l’était. « Oui merci, ça, j’avais cru le comprendre. » Parce que bon, ce n’était pas comme si tu te voilais la face et prétendais être un patineur professionnel. Il ne manquerait plus que ça. « J'en connais un qui aurait dû mettre des gants. » Oui et bien, tu n’avais pas de gants, toi. Tu n’en n’avais jamais acheté, tu en n’avais même jamais mis. « Heureusement... » Il fouille dans sa poche. Il va sortir un flingue. Vraiment ? Il était si fou que toi. Tes dernières heures avaient sonné. « ... qu'en grand prévoyant que je suis, j'en emporte toujours une seconde paire. Attrape. » Il sort des gants. Sérieusement. Tes sourcils se froncent, et tu attrapes ce qu’il te lance. « Attention, pas de trou, et je veux les récupérer pour pouvoir les laver ensuite. » Tu ne dis rien un instant, tu regardes ce qu’il a donné, tu l’examines correctement, retournant les gants pour voir s’il n’y avait pas des mini piranhas à l’intérieur. Mais tout semblait correct. Ce qui était assez étonnant. « Hm… Merci. » Tu enfiles donc ces gants. Et c’était franchement plus agréable que de toucher la glace avec tes propres mains. Tu continues donc à ramper comme un idiot sur la glace. Les spectateurs devaient vraiment se tordre de rire. Tant mieux, d’un côté. « Ca se recoud, un gant, de toute façon. » réponds-tu. Bon, évidemment, tu n’avais pas l’intention de les abimer, mais c’était seulement pour le chercher. Comme d’habitude. Et puis, pourquoi tenait-il à les laver ? Tu n’avais pas la peste. Et encore une énième personne de maniaque.
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MessageSujet: Re: but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03   but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03 - Page 2 EmptyMer 13 Mar 2013 - 16:37

Bon ils n'allaient pas non plus en parler pendant quatre ans. Bob avait glissé, s'était retrouvé les quatre fers en l'air exactement comme Mickey deux minutes plus tôt. S'il tenait tant à désigner un coupable dans cette affaire, et bien autant pointer du doigt la glace, sous ses pieds, et les patins, sur lesquels il ne parvenait pas à se maintenir droit. Mais Mickey n'y était pour rien. Alors qu'il cesse de rejeter la faute sur lui. Et puis, s'il ne voulait pas prendre le risque de chuter à son tour, il n'avait qu'à pas attraper la main que lui avait tendu l'anglais. Certes, cela aurait pu être considéré comme une non-assistance à génie en danger, mais personne n'avait mis le couteau sous la gorge du chevelu pour qu'il lui vienne en aide. En bref, il ne pouvait s'en prendre qu'à lui-même. « Si tu ne me l’avais pas demandé, je ne l’aurai pas fait, et je ne serai pas au sol là maintenant tout de suite. J’étais debout, tout à l’heure. Donc le problème vient de toi, voilà tout. » Et allez, voilà qu'il recommençait de plus belle. Il était à peine barbant ce jeune homme, à peine. « Pourquoi t'obstines-tu ? Et quelle importance ? Nous avons chuté l'un après l'autre, nous allons certainement nous retrouver dans l'un de ces bêtisiers diffusés sur je ne sais quelle chaine, et le ridicule ne nous a pas tué puisque tu parles encore et toujours pour ne rien dire. Au grand dam de mes tympans. » Et puis cette mésaventure leur permettait au moins d'être certains du fait que le patin, ce n'était pas pour eux. « Oui merci, ça, j’avais cru le comprendre. » Bon, ce n'était pas non plus la peine de le prendre sur ce ton. Maintenant il leur restait à regagner le bord de la patinoire et cela ne leur serait possible qu'en rampant sur la glace. Bob, contrairement à Mickey, n'avait vraisemblablement pas pensé à mettre des gants. Et résultat, il semblait avoir du mal à avancer puisqu'il était question de prendre à la fois appui sur les mains et les genoux, et de pousser avec les pieds. Mais fort heureusement pour le chevelu, Mickey avait tout prévu. Il avait toujours sur lui une seconde paire de gants, allez savoir pourquoi. Enfin lui, en l’occurrence, savait pourquoi mais ça ne regardait personne. Surtout pas Bob. Il avait maintenant des gants, et franchement cet élan de générosité était plutôt surprenant venant de Mickey qui, rappelons-le quand même, était non seulement sacrément égoïste sur les bords parfois, mais ne se souciait également pas du bien-être de son prochain la plupart du temps. En clair, c'était assez inexplicable. « Hm… Merci. » Il enfila les dits gants, une vision qui fit grincer les dents de l'anglais mais il allait survivre. Par ailleurs, il tenait quand même à les retrouver en état ensuite, et il ne s'agissait pas de les déformer car ils parfaitement adaptés à ses grandes mains et ses fins doigts. « Ca se recoud, un gant, de toute façon. » Il était bien entendu évident que Bob, présentement, ne lui apprenait rien. Oh la couture ne faisait pas peur à Mickey. C'était plutôt le fait de voir l'un de ses biens une nouvelle fois détérioré qui l'inquiétait déjà plus. « Je préfère penser que je n'aurai quand même pas à sortir ma boite à couture. » Non, Bob allait les lui rendre comme il les avait reçus. « Ah et puis occasionnellement, en plus des gants, pense à me rendre mon livre, également. » Quel livre ? Oh, allons. Celui que Bob lui avait dérobé il y peut-être deux semaines, dans sa valise. Il avait récemment eu la preuve que c'était bel et bien le chevelu qui avait fait le coup... et il n'était pas seul ce jour-là...
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MessageSujet: Re: but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03   but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03 - Page 2 EmptyMer 13 Mar 2013 - 20:06

« Pourquoi t'obstines-tu ? Et quelle importance ? Nous avons chuté l'un après l'autre, nous allons certainement nous retrouver dans l'un de ces bêtisiers diffusés sur je ne sais quelle chaine, et le ridicule ne nous a pas tué puisque tu parles encore et toujours pour ne rien dire. Au grand dam de mes tympans. » Gna gna gna. Sa voix était d’un insuportable… M’enfin. Il fallait faire avec, t’étais coincé sur la glace, incapable de te relever. Si seulement tu avais su patiner. Si seulement. Mais tu ne savais pas. Alors il fallait que tu fasses avec. Bien que ce soit clairement un handicap, puisque t’étais maintenant obligé de te déplacer en rampant pour espérer pouvoir partir de cet endroit infâme. Et finalement, Mickey te passe des gants. Son action t’étonne tellement que tu te demandes si ce n’était pas un cadeau empoisonné. Enfin, cadeau, cadeau, c’était de bien grand mots puisqu’il fallait que tu les lui rendes, ces gants. De toute manière, t’avais pas l’intention de les garder, ça ne te servirait à rien du tout. Pourquoi aurais-tu besoin de gants ? Ce n’était pas comme si tu patinais ou skiais tous les jours. Non, loin de là. Encore heureux, parce que ton niveau était franchement médiocre. Enfin, tu étais tellement nul qu’on ne pouvait même pas parler de niveau, en soi. Bref. Tu continues donc à ramper, lentement, espérant atteindre le sol, le vrai. « Je préfère penser que je n'aurai quand même pas à sortir ma boite à couture. » Sa boîte à couture… Il avait vraiment une boîte à couture ou tu avais mal entendu. Tu préférais franchement avoir mal entendu parce que ça.. ça, c’était plutôt bizarre. « T’avais vraiment que ça à faire dans ta vie que d’apprendre à coudre ? Sérieusement ? » lui demandes-tu, t’arrêtant un instant de ramper pour poser ton regard sur l’exécrable candidat. « Ah et puis occasionnellement, en plus des gants, pense à me rendre mon livre, également. » Tu ne peux pas t’empêcher de rire. Oh… ça. Tu l’avais complètement oublié. Tu ne savais même plus où vous aviez mis ce fameux livre, Mado et toi, ça commençait à dater. « Tu crois que c’est si facile ? On demande une rançon, mon petit. » Oui, t’étais très crédible en disant ça à quatre pattes sur la glace, vraiment. Tu avais l’air tout sauf sérieux. Mais malheureusement pour lui, tu l’étais.
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MessageSujet: Re: but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03   but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03 - Page 2 EmptyJeu 14 Mar 2013 - 2:13

Il était bien généreux de sa part de prêter à Bob des gants, vous en conviendrez. Ce bonhomme qui venait assurément d'une région ensoleillée n'en avait probablement jamais vus de sa vie et donc, on pouvait s'estimer heureux qu'il ait su les enfiler. Par contre, il n'était pas question de les garder ces gants. Il faudrait les lui rendre, et en bon état cela va de soi. Qu'il n'ait pas besoin de les recoudre ensuite. « T’avais vraiment que ça à faire dans ta vie que d’apprendre à coudre ? Sérieusement ? » Est-ce qu'il était en train de dire que la couture était une perte de temps ? En tout cas à l'entendre, c'était une chose qu'il n'avait pas assimilée ça, la couture. Hm, après tout il avait l'air d'un assisté, alors ça n'avait rien de grandement étonnant. Pas débrouillard pour un sou ce chevelu. « C'est peut-être ta petite maman qui raccommode tes pulls seulement moi, je n'ai jamais pu compter sur la mienne pour ça alors oui, j'ai appris à coudre. Et ? J'ai appris à faire tellement de choses qu'on pourrait plutôt se demander ce que je ne sais pas faire, au final. À part patiner bien sûr. » Il savait coudre, oui, mais pas que. Après tout, c'était un homme à tout faire et vivant seul, alors forcément, il se devait d'être parfaitement indépendant. Maintenant, il avait aussi appris plus de choses que Bob n'en apprendrait jamais et ça, c'était un fait. Et quitte à sauter du coq à l'âne, pourquoi ne pas reparler de ce fameux livre que le chevelu lui avait dérobé, il y a peut-être deux semaines ? On aurait pu penser qu'il avait oublié, ou tout du moins qu'il était passé à autre chose puisque c'était ce qu'il avait affirmé à Fitz... seulement non, il y repensait soudainement alors il n'était pas contre le fait de le récupérer un jour ou l'autre. Bob se mit à rire. Exaspérant. Il ne faisait que demander à récupérer ce qui lui appartenait et donc, lui revenait de droit. Et puis c'était un livre qu'il avait signé de sa plume donc bon, ça ne lui servirait à rien de le garder. Ce n'était assurément pas de son niveau, il ne comprendrait qu'un mot sur deux et encore.« Tu crois que c’est si facile ? On demande une rançon, mon petit. » Il n'était pas sérieux. Non, Mickey préférait croire qu'il se fichait gentiment de lui. Parce que clairement, il n'était pas en position de réclamer quoi que ce soit. Ni lui, ni sa partenaire puisqu'elle était bien évidemment impliquée dans cette affaire elle aussi. Mickey s'arrêta donc quelques instants, le fixant de ses prunelles vertes. « Oh vraiment ? Alors fais-moi rire, quelle est-elle cette rançon ? » Oui allez savoir pourquoi, il sentait déjà venir le truc franchement ridicule, les connaissait tous les deux ça ne devait pas voler bien haut de toute manière. « Oh je te préviens, je n'ai plus grand chose dans ma cagnotte après avoir été dépouillé... donc bon, financièrement je ne peux rien pour vous. » Il devait avoir quelque chose comme trois milles euros. Autant dire que ça n'était pas la grande richesse. Mais il prévoyait de renflouer celle-ci prochainement. Non parce que là quand même, c'était la misère. Il n'avait jamais été aussi pauvre.
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MessageSujet: Re: but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03   but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03 - Page 2 EmptyJeu 14 Mar 2013 - 15:01

Apprendre à coudre n’était pas la première chose que tu avais apprise dans la vie, non. Et tu n’apprendras sûrement jamais. Tu n’y voyais pas l’interêt. Que pouvais-tu bien coudre, de toute manière ? « C'est peut-être ta petite maman qui raccommode tes pulls seulement moi, je n'ai jamais pu compter sur la mienne pour ça alors oui, j'ai appris à coudre. Et ? J'ai appris à faire tellement de choses qu'on pourrait plutôt se demander ce que je ne sais pas faire, au final. À part patiner bien sûr. » Que récit poignant. Ou pas, en fait. Ta mère ne t’avait jamais raccommodé aucun pull, jamais. Elle était une femme d’affaire très occupé, elle n’avait pas que ça à faire. Tu passais en deuxième, toi. Toi et tes problèmes, toi et tes soucis. Ta chère maman ordonnait donc à ta nourrice de tout recoudre, mais tu refusais qu’elle fasse quoi que ce soit. T’aimais tellement celle qui s’occupait de toi, que tu ne voulais pas qu’elle fasse quoi que ce soit qui puisse la fatiguer, ou lui rajouter du boulot. Elle faisait déjà tant pour toi, ta nourrice. Jusqu’à ce que ton père la vire. La raison ? Ta mère était jalouse. C’était sûrement à partir de cet évènement que tu avais compris que tu détestais réellement tes parents. Ils n’ont jamais agi qu’en leur intérêt, il se fichait bien de ce que tu pouvais penser. Bien sûr, tu la voyais toujours, ta chère nourrice. Elle avait plus le rôle d’une mère que ta propre génitrice qui se fichait pas mal de toi. M’enfin. « Oh, pauvre petit Mickey, sa maman refusait de raccommoder tes pulls. T’as du si mal le vivre… » Tu lèves les yeux au ciel. Oui, même rampant sur la glace, tu pouvais être exaspéré. « Et je ne te permets pas de dire quoi que ce soit si tu ne sais pas ce qu’il en est. » Tu parlais de lui et de ta soi-disant mère qui raccommodait tes habits. Bien sûr. « Non mais c’est bien, tant mieux pour toi, tu ferais un parfait homme à tout faire. Génial. » Il viendra faire le ménage chez toi, tiens. « Oh vraiment ? Alors fais-moi rire, quelle est-elle cette rançon ? Oh je te préviens, je n'ai plus grand chose dans ma cagnotte après avoir été dépouillé... donc bon, financièrement je ne peux rien pour vous. » En fait, tu n’avais toujours pas réfléchis à cette rançon. Ni toi, ni Mado. Il fallait que tu réfléchisses un peu, que tu trouves quelque chose qui en vaille le coup. Tu souris. « Ton argent ne nous intéresse pas. » Tu secoues doucement la tête, et continues un peu à avancer. « Jusqu’où es-tu prêt à aller pour récupérer ton livre ? » Histoire que tu lui donnes quelque chose au-dessus de ses limites. Sinon ça ne serait pas drôle, voyons.
Mickey

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MessageSujet: Re: but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03   but if you never try, you will never know + 17h02, 15/03 - Page 2 EmptyJeu 14 Mar 2013 - 19:06

Quand on était aussi débrouillard que l'anglais, on apprenait à faire les choses par soi-même sans dépendre de qui que ce soit. Coudre, il savait faire depuis ses dix-sept ans, peut-être même ses seize ans. Il fallait bien, puisque jusque là sa mère n'avaient jamais daigné dégainer ses aiguilles pour raccommoder ses vêtements. Alors bon, aller étudier avec un pull trouvé sur le dos, ça la fichait mal. Déjà qu'on ne lui laissait pas tellement de répit dans la cour de récréation, si en plus il venait dans un accoutrement comme celui-ci, c'était un appel aux bousculades, ni plus ni moins. « Oh, pauvre petit Mickey, sa maman refusait de raccommoder tes pulls. T’as du si mal le vivre… » Lui, mal vivre quelque chose ? S'en était presque drôle, comment pouvait-on mal le connaitre à ce point... En sept semaines de jeu, Bob n'avait-il pas saisi que rien ne pouvait atteindre l'anglais ? « Non. Ce n'est pas comme si elle avait fait la moindre chose pour moi. Ah si, elle m'a gentiment expulsé de son utérus mais après ça... » Après ça, plus personne, vous l'aurez saisi. « Et je ne te permets pas de dire quoi que ce soit si tu ne sais pas ce qu’il en est. » Il en devenait presque agressif. Qu'il se calme, le coco. « On ne me permet rien à moi, je me permets tout. » rétorqua-t-il froidement. Il n'avait pas le droit d'évoquer la petite maman de Bob ? Dommage pour le chevelu, le droit il le prenait. « Non mais c’est bien, tant mieux pour toi, tu ferais un parfait homme à tout faire. Génial. » Mickey se stoppa net en entendant cela. Est-ce qu'il pouvait répéter, parce que là pour le coup l'anglais n'était pas certain d'avoir bien entendu. « Pardon ?! Je suis déjà un parfait homme à tout faire, pour ta gouverne. » Qu'on ne le sous estime pas, il ne manquerait plus que ça dites voir. Bon, apparemment Bob et Mado imposaient à l'anglais une rançon pour qu'il puisse, en échange, récupérer son livre. Comme s'ils étaient en position de marchander. Enfin soit, que voulait-ils ? « Ton argent ne nous intéresse pas. » Ce qui tombait très bien puisque de ce côté-là, ils n'auraient rien. « Jusqu’où es-tu prêt à aller pour récupérer ton livre ? » Ah non, ça ne fonctionnerait pas de cette manière, il ne le concevait pas. « Je ne suis pas né de la dernière pluie, ne me prends pas pour un imbécile. Tu as parlé de rançon, c'est donc à toi de l'imposer. Alors j'attends, qu'elle est-elle ? » Il ne se laisserait pas avoir comme un bleu, il n'en était pas question. La vérité, c'est que Bob n'avait probablement pas la moindre idée là tout de suite, et donc il tentait de gagner du temps comme il le pouvait. Novice qu'il était.

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