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 I don't believe that anybody, feels the way I do about you now ~ 10/04 | 22h10

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Mado

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MessageSujet: Re: I don't believe that anybody, feels the way I do about you now ~ 10/04 | 22h10   I don't believe that anybody, feels the way I do about you now ~ 10/04 | 22h10 - Page 2 EmptyVen 12 Avr 2013 - 18:07

Ça n'amusait pas Mado d'avoir ce genre de conversations avec Fitz. Non, ça ne l'amusait pas du tout. Parce qu'elle ne recherchait absolument pas le conflit, elle qui était simplement désireuse d'avoir des explications, histoire de comprendre. Et maintenant qu'ils avaient longuement discuté d'Emmeline et de son comportement - un comportement que Mado n'excuserait ni aujourd'hui, ni demain, ni jamais - elle était à la fois rassurée de savoir que ce genre de choses ne risquaient normalement pas de se reproduire, et blasée que Fitz n'ait même pas tellement semblé comprendre ce qui la dérangeait, dans tout ça. Non, elle ne lui faisait pas une crise de jalousie à proprement parlé, puisqu'elle ne lui reprochait pas d'être ami avec Emmeline, bien qu'elle sache que celle-ci avait déjà tenté de se rapprocher de deux jeunes hommes auparavant. Ce sur quoi elle trouva à redire, c'est l'attitude complètement passive de son petit-ami lorsque la rouquine n'avait pas agi convenablement. Elle avait beau savoir que Fitz était du genre conciliant - trop conciliant, ça elle avait déjà pu le remarquer par le passé - elle aurait tout de même aimé qu'il fasse comprendre à Emmeline qu'elle était bien mignonne, mais que si elle ne voulait pas se prendre un tabouret en pleine tronche la prochaine fois qu'elle croiserait une certaine Mado, elle ferait bien d'éviter ce genre de choses. Manifestement, c'était un truc entre eux, de plaisanter facilement sans que ça n'engage à rien, mais Fitz ne pouvait pas attendre de Mado qu'elle rentre dans leur délire et voit autre chose qu'une femme ayant grimpée sur l'homme avec qui elle était en couple à l'heure d'aujourd'hui. Elle estimait qu'il y avait bien des manières de plaisanter, bien des manières de faire honneur à leur petit jeu, et qu'il n'était donc pas utile de tomber dans ce genre d'extrêmes. Fitz avait beau lui avoir dit qu'il avait effectivement trouvé qu'Emmeline était allée un peu loin, ça ne changeait rien au fait qu'il ait tenté de la défendre et ait par la même occasion donné à Mado l'impression de n'être qu'une hystérique qui ne lui faisait absolument pas confiance. C'est faux, et le problème n'était pas là. Mais s'il préférait le prendre comme ça, tant pis, puisque de toute évidence, ils n'étaient pas sur la même longueur d'ondes à ce sujet. Il ne restait donc à Mado qu'à espérer que ce genre d'incidents ne se reproduiraient plus, parce qu'elle aurait gentiment l'impression qu'on se foutait de sa tronche, quand même. Soit. La suite ne fut pas des plus réjouissantes non plus, mais elle fut tout de même moins prise de tête. Il était à nouveau question du fait que Mado trouve le moyen de se dénigrer pour le moins fréquemment, et en n'y allant pas toujours avec le dos de la cuiller. Et à cela, il y avait une explication. Une explication qui n'était pour autant pas liée à son passé et à ce qu'elle y avait vécu, mais à son présent, ce à quoi elle était confrontée au quotidien. Le fait est qu'être mère d'un enfant qu'elle était incapable d'aimer comme tel était une souffrance perpétuelle. Elle culpabilisait atrocement de ne pas être en mesure de lui donner l'amour qu'il mériterait, de devoir incessamment compter sur Ezra pour parer à tout ça, et se reprochait tellement de choses qu'elle en était malheureuse depuis quatre ans. Et clairement, elle n'en pouvait plus de vivre en se reprochant d'être une mauvaise mère. C'était ce qu'elle pensait d'elle, oui, mais elle voulait justement que ça évolue. Ayant discuté de toutes ces choses avec Emilien, Mado avait compris qu'il lui fallait faire des efforts, faire un pas vers Aaron, histoire d'essayer de changer les choses, de les faire évoluer. Peut être qu'elle avait doucement baissé les bras, et c'était dommage, parce qu'elle voulait que leur famille en soit véritablement une, et être une vraie mère pour cet enfant, pas seulement une femme là pour le nourrir et lui acheter des biens matériels. Ainsi, oui, Mado tâcherait de se donner les moyens d'y parvenir, pour qu'elle puisse au moins se dire qu'elle avait essayé, au final. La jeune femme appréciait en tout cas que Fitz prenne la peine de s'intéresser à ce qu'elle vivait quotidiennement, car il avait beau penser qu'il n'était pas particulièrement légitime lorsqu'il parlait d'amour maternel, qu'importe, ses conseils faisaient plaisir à la française. « Non, ne dis pas ça. Tu restes compréhensif et tu ne me juges pas, et j'apprécie Fitz, vraiment. Et puis, tu m'encourages, et ça me fait le plus grand bien » qu'elle souffla alors, en lui souriant avec tendresse. Ceux qui avaient remarqué que quelque chose n'allait pas dans la relation que Mado partageait avec son Aaron ne s'étaient souvent pas gênés pour trouver à en redire, pour la juger et la critiquer. Il est vrai qu'ici, on s'était abstenu de le faire. Mais Fitz, c'était encore autre chose, car il semblait la comprendre, même sans avoir d'enfant, même en pensant que ses conseils ne servaient à rien. Bien sûr qu'ils servaient à quelque chose : à lui donner d'autant plus envie de se battre pour son fils et de se donner les moyens de parvenir à son objectif , celui d'apprendre à le connaitre, et ainsi à l'aimer comme son enfant. Peut être n'y arriverait-il jamais, mais c'était une chose à laquelle elle s'interdisait de penser désormais. Elle avait été bien trop défaitiste par le passé pour l'être encore aujourd'hui. Pour le moment, en tout cas, la jeune femme appréciait de partager un peu de tendresse avec son camarade, qui lui avait naturellement manqué ces deux derniers jours. Visiblement, le manque fut commun, et elle s'en était un peu doutée, bien que son intention n'avait jamais été de le frustrer, ou de se frustrer elle. A noter que Fitz la jouait grand traumatisé, hein. A croire que ce fut inhumain de dormir loin d'elle. Alala. Elle allait donc devoir l'aider à dépasser ce traumatisme. Oui, ça semblait évident. Enfin, de là à dire qu'elle devait se rattraper, tout de même ! « Oh et bien, je suppose que je me dois de prendre soin de toi pour me faire pardonner » articula-t-elle alors, mutine. De toute façon, elle avait l'intention de dormir avec lui, ici, ce soir. Mais pas que. Et en cela, elle risquait de se rattraper, effectivement. De prendre soin de lui, aussi, oui. Ainsi, ils échangèrent quelques baisers, quelques caresses, avant que Mado se mette à parler Monopoly. Une référence loin d'être sans équivoque. Car bientôt, la française l'embrassa de plus belle, décidant cette fois-ci d'innover, en le faisant reculer, jusqu'à l'adosser au mur. Là, elle le débarrassa de son t-shirt et entreprit d'embrasser sa peau, puis de la caresser simplement afin d'unir leurs lèvres à nouveau. Autant dire qu'elle cherchait à lui montrer qu'elle en avait bel et bien envie, là, maintenant, elle qui tâchait d'assumer ses envies, tout simplement. Mado sentit alors les mains du jeune homme contre son dos, avec douceur, tandis qu'elle était bientôt dépourvue de son haut elle aussi. Se laissant faire, elle l'aida lorsqu'il entreprit de lui retirer son jean, dont elle n'avait effectivement plus besoin. Et tandis qu'elle soupira bientôt à chaque baiser qu'il déposa contre son cou, elle entreprit à son tour de le débarrasser de son pantalon. Là, elle caressa fébrilement son bas-ventre, du bout de ses doigts, avant de regoûter à ses lèvres, puis de se détacher de lui, en s'éloignant progressivement, jusqu'à venir s'assoir sur la table qui se trouvait non loin de là. Elle le regarda, assez fixement, tâchant de voir si cette initiative-ci lui conviendrait également et s'il viendrait la rejoindre.
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MessageSujet: Re: I don't believe that anybody, feels the way I do about you now ~ 10/04 | 22h10   I don't believe that anybody, feels the way I do about you now ~ 10/04 | 22h10 - Page 2 EmptySam 13 Avr 2013 - 0:48

Le sujet Emmeline à présent enterré bien comme il faut, Fitz et Mado pouvaient passer à autre chose. C'est en tout cas ce qui souhaitait Fitz, passer à autre chose, enfin, pour pouvoir profiter de la présence de la jeune femme sans tous ces parasites qui ne faisaient que rendre la situation, leur couple donc, plus difficile à vivre. Pour autant, cela ne voulait pas dire que tout était devenu simple d'un seul coup car même sans intervenant extérieur, la relation des deux candidats restaient compliquée à gérer. Fitz ne le regrettait pas, malgré ce que Mado devait croire. Être un poids pour lui, quelqu'un qu'il ne mérite pas, ce genre de choses, ce qu'elle croit, ce qu'elle lui dit à chaque fois. Sans parler de son passé, de sa vie, de son absence de petit ami et du fait que donc, il est le premier, en quelque sorte. Ça n'a pas l'air comme ça mais être le premier, ça met toujours un peu la pression et encore plus quand il s'agit de Mado et qu'on sait tous ce qui a pu lui arriver par le passé. Pour autant, Fitz se trompait sur toute la ligne quand il croyait que ses peurs venaient de ce qu'elle avait pu vivre autrefois. La raison y était liée, certes mais il n'avait pas pensé à ça, à son fils, à cet amour qu'elle n'arrive pas à lui offrir, ce qui la fait tant culpabiliser. Non, Fitz ne peut pas vraiment imaginer car il n'a pas d'enfant et surtout, il ne vivra jamais ça mais il tente de comprendre, espérant pouvoir lui être d'une quelconque aide, si tant est que ce soit ce qu'elle recherche. Ses paroles sont certainement un peu maladroites, ses gestes également mais après tout, c'est difficile de se positionner face à tout ça, face aux horreurs que la jeune femme a connu et aux conséquences qu'elles ont engendrées. Alors il fait ce qu'il peut, vraiment et elle le rassure, chose à laquelle il sourit. Elle a beau être chiante, oui, il veut l'aider, tentant de faire ce qu'il peut avec les maigres moyens mis à sa disposition ici. A l'extérieur, les choses seront plus simples et ça, ils n'ont plus à attendre bien longtemps avant de s'en rendre compte. Sauf qu'avant ça, ils ont deux semaines à tirer et pour le moment, Fitz n'a pas envie de se prendre la tête à nouveau avec Mado. Tout ça le gonfle assez, cette dynamique entre eux, celle qui voit s'alterner crises et retrouvailles, inlassablement et donc, là, tout de suite, il a juste envie d'être avec elle, tout simplement. Il l'enlace, puis l'embrasse, la laissant réagir à sa guise alors qu'il lui demande de le consoler, tant le traumatisme avait été horrible à supporter, oh oui vraiment. Elle dit vouloir dormir avec lui et Fitz joue un peu avant qu'elle ne se mette à parler de Monopoly ce qui n'est pas sans équivoque. Il se laisse faire, reculant bien docilement et la laissait le délester de son tee-shirt alors qu'elle dit vouloir prendre finalement soin de lui. Les mains de Fitz glissent contre ses hanches, la délestant elle aussi de son tee-shirt, caressant sa peau avant de s'attarder sur son jean qu'il déboutonne soigneusement. Les caresses et les baisers attisaient les sens de l'écossais pendant que Mado l'aidait afin qu'elle se retrouve en sous-vêtements face à lui, embrassant son cou avec fièvre. Rapidement, il est ensuite lui aussi délesté de son pantalon puis Mado effleurait le bas de son ventre ne se doutant peut-être pas de l'effet de ce contact. Et puis, elle s'éloigne, allant s'asseoir sur la table. La table donc ? Hum, ok. Fitz, s'avance, posant à nouveau ses mains sur la peau de la jeune femme, commençant à embrasser ses lèvres puis son cou, descendant plus bas encore, déposant ses lèvres sur la poitrine de la jeune femme, ses mains la libérant de l'entrave de son soutien-gorge. Il s'approche, laissant les jambes de Mado l'encercler, ses mains caressant ses cuisses lentement, ses lèvres affairées sur sa peau, ses épaules, son cou. Les bras de l'écossais l'entourent ensuite et il décide de la soulever parce que la table, là tout de suite, ça ne lui paraît pas tellement confortable et peut-être aussi un peu étrange, ici, dans le nid. Il la porte donc jusqu'au lit où il la dépose avant de s'allonger à ses côtés et de capturer ses lèvres à nouveau, pour un baiser empli de désir.
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MessageSujet: Re: I don't believe that anybody, feels the way I do about you now ~ 10/04 | 22h10   I don't believe that anybody, feels the way I do about you now ~ 10/04 | 22h10 - Page 2 EmptySam 13 Avr 2013 - 2:42

S'ils s'étaient rendus dans cette chambre, à l'écart du nid, c'était principalement pour discuter, pour continuer la discussion qu'ils avaient commencé à avoir lors du prime, et qui leur avait valu de rester éloignés l'un de l'autre pendant deux jours. C'était pour cesser de l'éviter que Mado avait tenu à ce qu'ils se retrouvent ici, parce qu'elle n'était plus contrariée comme elle avait pu l'être dimanche soir et qu'elle voulait que les choses s'arrangent. Être en froid avec Fitz était une chose qu'elle ne supportait pas, qui la rendait malheureuse, et si elle avait été trop orgueilleuse pour faire un pas vers lui au tout début de la semaine, ça n'était plus le cas aujourd'hui. Ainsi, ils s'étaient retrouvés ici, et avaient discuté, assez longuement. Leurs points de vue ne se rejoignaient pas, et des divergences d'opinion persistaient, mais ça importait bien peu, dans la mesure où ils étaient parvenus à calmer le jeu et à reconnaitre leurs torts respectifs. Il était hors de question de rester plus ou moins fâchés à cause de ça, quoi que puisse penser Mado du comportement d'une certaine rousse. Alors ils enchainèrent sur un sujet un peu moins pénible mais loin d'être évident pour autant. Si Mado avait tant tendance à se dénigrer au quotidien, ça n'était pas parce que son père lui avait fait un enfant, mais parce qu'elle était incapable d'aimer l'enfant en question. C'était son plus grand regret, sa plus grande pleine également, de se considérer comme une mauvaise mère. On entendait parler d'instinct maternel un peu partout, et l'on voyait tant de mères modèles prêtent à tout par amour pour leur enfant. Mado, elle, ne pouvait ainsi que se trouver monstrueuse de ne pas parvenir à aimer Aaron, chose qui pouvait pourtant sembler si naturelle pour une mère à l'égard de son fils. Mais chez elle, ça ne l'était pas, et elle avait beau ressentir une certaine affection pour cet enfant qu'elle côtoyait depuis quatre ans, ça n'était pas encore de l'amour. Mais peut être qu'un jour c'en serait. Car peut être qu'un jour les choses évolueront et qu'elle parviendrait à l'aimer comme son fils. Peut être qu'elle avait encore besoin de temps, elle qui avait fini par devenir fataliste et par doucement baisser les bras. Cette aventure et la révélation de son secret lui avaient alors donné envie de se battre à nouveau, et surtout d'espérer. Espérer être capable d'aimer Aaron, oui. Ce n'était pas une chose impossible, elle le savait. Ce n'était pas parce qu'elle ne l'aimait pas aujourd'hui que ce ne serait jamais le cas, et ça elle ne se l'était pas suffisamment dit. Bien décidée à faire bouger les choses, elle s'armerait de patience mais n'hésiterait également pas à faire un pas vers Aaron, histoire de se rapprocher de lui, doucement mais surement. Quant à Fitz, il avait beau ne pas avoir d'enfant, ses propos n'en étaient pas moins encourageants. Comme Emilien la semaine passée, il lui donnait envie de se battre et d'y croire. Fitz avait toujours été d'une extrême gentillesse vis à vis de Mado, et dans cette situation, il se montrait une fois encore d'une grande compréhension. Elle lui en était naturellement reconnaissante, et savoir qu'il ne la jugeait pas, et même qu'il l'encourageait à y croire, ne pouvait que lui faire beaucoup de bien. La suite, également, ne manqua pas de lui plaire. Car oui, dans un endroit comme celui-ci, et maintenant qu'ils avaient enterré deux conversations, il était tout aussi approprié de se rapprocher. Ils en avaient besoin, car l'éloignement des deux derniers jours les avait esseulé, mais aussi frustré. Ainsi, pouvoir s'enlacer et s'embrasser à nouveau était plus que plaisant. Il fut question de monopoly, ce qui n'avait naturellement rien d'innocent. Pour autant, ils n'en étaient plus au temps où ils se contentaient de faire ce genre de sous-entendus, et si c'était clairement un petit clin d’œil à l'époque où les choses n'étaient pas aussi concrètes, il était fort probable qu'ils n'en restent pas à quelques baisers. Car tandis qu'elle l'avait fait reculer jusque contre le mur, Mado n'avait pas tardé de dépourvoir son camarade son t-shirt, pour embrasser sa peau et se sentir toute proche de lui. Un sort qu'il lui réserva également, puisqu'elle fut à son tour dépourvue de son haut. Il était alors plus qu'agréable de sentir leurs peaux s'effleurer puis de profiter du contact des lèvres du jeune homme butiner sa peau. Bientôt, la française fut débarrassée de son jean, ce qui fut, dans la foulée, également le cas de son camarade. Du bout des doigts, la jeune femme effleura le bas ventre de son camarade, puis s'éloigna, doucement, reculant jusqu'à la table qui se trouvait non loin de là et sur laquelle elle s'assit bientôt. Elle ne savait pas tellement pourquoi, mais elle avait envie d'innover un peu. L'idée n'était pas de le faire ici, sur ce meuble - ne serait-ce que parce qu'il ne serait pas facile d'accéder au moyen de contraception qui les attendait dans un certain tiroir - mais rien ne leur coûterait d'en passer par là, d'exploiter la table après avoir exploité le mur, même seulement pour quelques instants, et sans nécessairement précipiter l'acte, ce qui n'était pas dans les intentions de la française. Elle attendit simplement d'être rejointe par Fitz, qui l'embrassa, d'abord sur les lèvres, puis dans le cou, ce qui la fit soupirer et attisa son envie de lui. Il la débarrassa de son soutien-gorge et les jambes de la française se refermèrent autour du bassin du jeune homme, qu'elle voulait sentir tout contre elle. Les caresses qu'il prodiguait à sa peau la faisaient frissonner à chaque instant, tandis que ses mains à elle caressaient son dos, ses bras, son torse, et que ses lèvres embrassaient chaque parcelle de peau qui leur était accessible. Finalement, il la souleva et elle se laissa pleinement faire lorsqu'il la déposa sur le lit, puis qu'il l'embrassa à nouveau. Inévitablement, elle repensait à leur première fois, et ça ne manqua pas de l'émouvoir quelques peu, ce qui l'incita alors à profiter du fait que leurs lèvres ne restèrent pas unies bien longtemps pour se redresser légèrement et l'enlacer, se blottissant ainsi contre lui, ne serait-ce que parce qu'être là, ce soir, avec lui, contrastait nettement avec leur éloignement des derniers jours. Elle était décidément ravie de pouvoir à nouveau profiter de sa délicieuse présence, ce qu'elle exprima alors à travers cette tendre étreinte. Finalement, elle se laissa retomber contre le matelas et lui sourit, avant de regoûrer à ses lèvres puis de faire dévier les siennes contre sa mâchoire, tandis que ses mains jouaient avec l'élastique du boxer de son camarade. Des mains qui ne tardèrent alors pas à l'en dépourvoir, attendant de lui qu'il l'aide un peu, histoire qu'elle n'y passe pas la nuit. Lorsqu'il fut nu, elle ne lui laissa pas le temps de faire de même avec le dernier sous-vêtement qu'elle portait et dont elle se débarrassa elle-même dans la foulée. Elle avait envie de lui, et sentir leurs corps nus l'un contre l'autre ne fit qu'intensifier son désir. Alors elle récupéra ses lèvres, longuement, passionnément, délicieusement.
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MessageSujet: Re: I don't believe that anybody, feels the way I do about you now ~ 10/04 | 22h10   I don't believe that anybody, feels the way I do about you now ~ 10/04 | 22h10 - Page 2 EmptySam 13 Avr 2013 - 21:04

Fitz préférait largement ce genre de rencontre avec Mado, celles où ils pouvaient être ensemble, sans se crier dessus, sans devoir s'expliquer sur quoique ce soit et maintenant que tout ça avait été fait, l'écossais était plus serein. Il n'aimait pas ça, se prendre la tête, sur tout, tout le temps avec Mado mais malheureusement, plus le temps passait et plus ses situations se multipliaient. Même avant, même quand il n'était pas en couple, elle existait et si Fitz avait mis tout cela sur le compte d'une sorte d'insécurité flagrante, de l'envie de l'avoir pour elle toute seule ce qui, à présent, était le cas. Pour autant, elle n'était pas si sereine que ça et chaque chose engendrait des conséquences assez hallucinantes. Elle boudait à la simple vision de lui et Everleigh dans la même pièce, elle prenait mal tout et n'importe quoi et c'était à se demander si Fitz pourrait un jour s'approcher d'une femme sans que Mado ne se sente en danger. Il ne savait plus quoi dire, quoi faire, impuissant devant une situation qu'il n'avait jamais connu et face à laquelle il ne savait se comporter. Après tout, que pouvait-il faire de plus ? Il avait toujours été lui-même dans ce nid, peut-être un peu trop d'ialleurs et il se reprochait certaines choses, c'est sûr. Mais pas d'être avec Mado en ce moment, pas d'être en couple avec elle et de passer du temps avec elle. Les circonstances les avaient amenées jusque là mais que faire de plus pour qu'elle se sente méritante et qu'elle arrête de tout prendre aussi mal. Il ne faisait rien de mal, il essayait d'être patient, de prendre en compte son passé, ses peurs, ses doutes, tout ça, il essayait d'être compréhensif et de la ménager mais même ça, ça ne semblait pas suffire. Alors quoi d'autres ? Aucune idée. Aucune idée alors Fitz essayait de détendre l'atmosphère, comme à son habitude, lançant quelques sous-entendus auxquels Mado était heureusement sensible. Une étreinte, quelques baisers et rapidement, Fitz perdit son tee-shirt, bien vide suivi par Mado. Là, adossé à ce mur que Mado l'avait obligé à trouver, il laissait ses mains parcourir sa peau et ses lèvres se faire capturer par celles de la jeune femme. Rapidement, ils se retrouvèrent en sous-vêtements, Mado se mettant à effleurer du bout des doigts le bas de son ventre ce qui eut pour le moins un effet intéressant. Puis Mado se détacha, allant s'asseoir sur la table présente dans la pièce où Fitz alla la rejoindre assez naturellement. Il reprit possession de ses lèvres, spontanément, faisant jouer leurs langues avec fièvre et finalement, c'est sa peau qui profita de baisers, sur son cou, son épaule et le haut de sa poitrine. Une poitrine qui s'offrait alors à lui et qu'il libéra en détachant l'attache du soutien-gorge de la jeune femme, l'en débarrassant avec hâte. Les jambes de Mado s'enroulèrent autour du bassin du candidat alors que Fitz caressait son dos nu et que la jeune femme faisait de même, parsemant sa peau de baisers, le faisant frissonner à chaque contact, à chaque souffle chaud sur sa peau. L'endroit n'étant pas franchement confortable, il l'attrapa, avec délicatesse, la portant jusqu'au lit où il la déposa, venant s'allonger à ses côtés, sous la couette. Elle s'approcha de lui, il l'embrassa et elle l'enlaça à nouveau, s'étant quelque peu relevée, collant sa peau nue et chaude contre celle de l'écossais dont les doigts glissaient contre son dos. Elle s'allongea à nouveau, commençant à reprendre ses lèvres, ses doigts prenant leurs aises avec le boxer du jeune homme qui ne tarda pas à glisser le long de ses jambes, Fitz aidait Mado à le débarrasser de ce morceau de tissu. Il n'eut alors même pas le temps de baisser ses mains vers le dernier sous-vêtement de la jeune femme car elle s'en sépara elle-même, avec une certaine hâte non dissimulée. Se retrouvant tous les deux nus, Fitz laissa Mado prendre ses lèvres une énième fois, lui offrant un baiser des plus passionnés que l'écossais accueillit avec une certaine délectation. Lorsque leurs lèvres se détachèrent, il se retourna rapidement, récupérant ce dont il avait besoin, pour bientôt, puis laissa ses mains caresser son dos, puis la chute de ses reins et ses fesses. Il se rapprocha d'elle, leurs intimités rentrant en contact, donnant la preuve indéniable que Fitz était loin d'être insensible aux charmes de la jeune femme, quand elle ne boudait pas, ou qu'elle ne lui faisait pas de crise... Il embrassa son cou, ses mains caressant à présent sa poitrine mais laissant rapidement la place à ses lèvres, déposant des baisers sur la peau brûlante de la jeune femme. Il attrapa alors le sachet mis à côté de son oreiller histoire de se protéger avant de finir par ne faire plus qu'un avec la jeune femme, sentant le désir l'envahir et apposant ses lèvres sur celles de la jeune femme, encore et encore.
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MessageSujet: Re: I don't believe that anybody, feels the way I do about you now ~ 10/04 | 22h10   I don't believe that anybody, feels the way I do about you now ~ 10/04 | 22h10 - Page 2 EmptyDim 14 Avr 2013 - 2:15

Mado avait bien conscience de n'être pas quelqu'un de facile à vivre, et d'avoir une personnalité difficilement supportable. Elle avait un tempérament très affirmé, un caractère bien particulier, mais ça n'était peut être pas ce qui avait tendance à lui laisser penser que Fitz se lasserait bien vite d'elle. Le manque de confiance qu'elle avait en elle la poussait inévitablement à se méfier des autres femmes, et elle savait bien évidemment que son camarade pouvait en avoir un peu marre, à la longue, qu'elle paraisse aussi jalouse. Pour autant, elle ne doutait pas de lui et avait même une pleine confiance en Fitz. C'était en les autres femmes qu'elle n'avait pas confiance, ou tout du moins, celles de ce nid. Comme à l'époque où Carmen était encore en jeu et où elle s'était méfiée de ses tendances allumeuses et du fait qu'elle tourne assidument autour de son frère, il est vrai qu'elle avait aujourd'hui tendance à se méfier de celles qui, jusqu'à présent, s'étaient rapprochées d'un certain nombre de candidats. Elle ne voulait juger personne et était même disposée à respecter les valeurs de chacun, mais le problème, c'est que Fitz était un très beau garçon et qu'elle avait bien conscience du fait qu'il puisse plaire, et pas qu'un peu. Ici, il s'était passé des choses qu'elle n'avait pas toujours apprécié, qui ne respectaient pas ses principes et qui la poussaient à douter, oui. Dehors, peut être qu'il serait plus facile pour elle de prendre un certain recul et de ne plus faire preuve d'autant de méfiance. Mais d'une manière générale, elle trouvait Fitz un peu trop conciliant, peut être un peu naïf sur les bords aussi, et il est vrai que pour quelqu'un comme elle, qui se méfiait à tout va et voyait facilement les défauts des autres - avec autant de facilité que les siens, disons - ça n'était pas quelque chose d'évident non plus. En lui, elle avait véritablement confiance, mais pour avoir grandi au sein d'un climat familial des plus malsains, des plus pervers, elle savait que tout le monde n'était pas aussi vertueux qu'il l'était. L'épisode Emmeline le lui avait prouvé car, quoi qu'on en dise, quelles que soient les excuses qu'on veuille lui trouver, elle n'aurait pas du agir comme ça en se doutant qu'il n'était pas tout à fait libre, que c'eut été officiel ou non à ce moment-là. Peut être que Fitz ne supporterait pas longtemps tout ce qu'être avec quelqu'un comme elle impliquait, et elle pourrait le comprendre, évidemment. En attendant, elle appréciait véritablement de le retrouver, de l'enlacer, de l'embrasser, car elle n'avait pas agréablement vécu les deux jours qu'ils avaient passé loin de l'autre. C'était de sa faute, et même si elle avait eu besoin de se calmer loin de lui, elle s'en voulait, autant de l'avoir frustré lui que de s'être frustrée elle-même. Alors chaque contact physique qu'ils partageaient présentement lui faisait énormément de bien, et lui donnait inévitablement envie de plus. Parce que oui, à mesure qu'ils se dénudaient respectivement, il semblait clair qu'ils iraient jusqu'au bout cette fois encore, ce dont Mado avait envie, bien sûr, tant elle s'était sentie en confiance avec Fitz la dernière fois, tant elle avait aimé partager toutes ces choses avec lui, et tant elle avait envie de les partager ce soir également. Ainsi ils se retrouvèrent en sous-vêtements, puis la jeune femme alla s'assoir sur la table de la pièce, où elle fut rejointe par son camarade, et où ils reprirent leurs échanges, en s'embrassant, en se caressant, un ensemble de choses qui la firent soupirer et intensifièrent l'envie qu'elle avait qu'il lui fasse l'amour ce soir. Elle sentit ses lèvres se poser contre sa peau, puis fut débarrassée d'un soutien-gorge bien superflu, libérant une poitrine qui ne demandait qu'à profiter de ces bienfaits à son tour, ce qui fut le cas. Et tandis que cette étape venait de faire monter la température d'un cran encore, Fitz finit par la soulever et par la conduire jusqu'au lit, sur lequel il la déposa, et où il prit place également. Là, ils s'embrassèrent de plus belle, se retrouvant l'un contre l'autre, dans une situation identique à celle d'il y a deux semaines, mais où le symbolisme n'était plus exactement le même, car même si ça n'était plus leur première fois, c'était plus officiel depuis que leur relation l'était elle-même devenue. La couette les recouvrant d'ors et déjà, ils étaient d'emblée plus à l'aise que la dernière fois, et Mado ne pensait ainsi à rien d'autre qu'à ce qu'ils vivaient à cet instant. Ainsi, elle l'enlaça, avec beaucoup de douceur, parce que pour elle ça restait quelque chose de spécial, absolument pas quelque chose qu'elle ferait n'importe où et avec n'importe qui. Ça restait un moment particulier, leur moment. Et maintenant qu'elle était blottie contre lui, elle ne voulait plus penser à leur discussion de tout à l'heure, à sa paranoïa, à leurs quelques différents ... Cette étreinte, c'était une façon comme une autre de lui faire comprendre qu'elle était décidément bien avec lui, mais également qu'elle s'en voulait que lui puisse ne pas être pleinement épanoui avec elle, vu qu'elle commençait à avoir l'impression de lui nuire plus qu'autre chose. Mais elle ne voulait véritablement pas penser à toutes ces choses, et simplement profiter de lui et de sa présence. Elle se laissa finalement retomber contre le matelas puis regoûta à ses lèvres, délicieusement, ses mains ne tardant alors pas à débarrasser le jeune homme de son boxer, assez naturellement, ayant bien évidemment besoin de son aide pour qu'il en soit complètement dépourvu. Puis, lorsque ce fut chose faite, Mado s’affaira à retirer la seule chose qui l'empêchait également d'être nue, sans doute parce qu'elle voulait s'en débarrasser afin de profiter de la proximité de leurs corps intégralement dénudés. Elle l'embrassa à nouveau, en un baiser témoignant sans mal de son désir, tandis que Fitz saisit ce dont il aurait besoin pour tout à l'heure, pour le moment où les choses se concrétiseraient véritablement. Sentant ses mains caresser son corps, de son dos à son fessier, Mado lâcha quelques soupires, qui ne manquèrent pas de s'intensifier lorsque leurs corps se rapprochèrent d'autant plus et qu'elle sentit certaines choses, au niveau de l'intimité du jeune homme, une intimité que son corps se sentait prêt à accueillir. Bientôt, elle put sentir les lèvres de son camarade déposer des baisers contre son cou et sa poitrine, la faisant frissonner encore davantage. Et puis sans plus tarder, leurs corps communièrent et une intense vague de plaisir ne mit pas longtemps à s'emparer de la jeune femme, dont les lèvres regoutèrent à celles de son amant, et qui tâcha d'accompagner au mieux ses mouvements de bassin. Soupirant d'une façon bien plus bruyante, elle finit par laisser échapper quelques gémissements entrecoupés par une respiration devenue saccadée. Ses mains longèrent son dos avec douceur, puis remontèrent, pour bientôt se perdre dans ses cheveux, tandis que ses jambes, fermement maintenues autour de son bassin, tâchaient de presser son corps tout contre le sien. Gémissant de plus en plus distinctement, elle tacha d'étouffer ses bruits contre les lèvres tentatrices de son camarade, qu'elle embrassa passionnément, tant elle était bien, dans ce lit, avec lui. Ce qu'elle ressentait à cet instant contrastait avec sa frustration des derniers jours, et elle était alors d'autant plus désolée d'agir comme elle le faisait avec lui, elle qui voudrait tant que les choses soient plus faciles, et qu'elle soit elle-même plus facile à vivre.

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