« Je préfère encore que tu me frappes que tu me tues, hein, enfin c'est juste une question de point de vue j'imagine. C'est plus la classe d'être un meurtrier recherché par la police que d'être un salopard de lâche qui frappe une femme. » Vu comme ça, elle n’avait pas tort. Sauf que tu n’avais pas l’intention de la frapper, ni de la tuer. Alors tu ne prends même pas la peine de répondre. Et puis elle déclare ne pas avoir peur de toi. Chose qui ne te plaît pas trop, il faut l’avouer. Tu te contentes donc de lui faire comprendre dans un regard. Tu pourrais très bien partir d’ici, mais tu voulais ton striptease, toi. Sauf qu’elle veut que tu te déshabilles en échange. Chose à laquelle tu ne t’attendais pas, et qui t’emballes déjà moins. « Bien sûr et quand tu auras eu ce que tu veux, tu te tireras et tu me laisseras en plan... » Elle doit lire dans tes pensées, quelque chose comme ça. Parce qu’il faut avouer que ça t’avait traversé l’esprit, de faire ça. Parce que bon, t’avais aucune raison de rester après avoir eu ce que tu voulais. Mais Marilyn est plus intelligente que ce que tu pouvais penser. Bref. A ses paroles, un léger sourire se dessine sur tes lèvres. « Et alors ? c’est pas une mauvaise idée… » Tu n’allais pas nier y avoir pensé, tout de même. Elle se lève ensuite, et tu ne la lâches pas du regard. « Je te préviens que si t'as encore ton t-shirt quand j'ai retiré ma chemise, je garde ma jupe et je te laisse ici... Seul et frustré. » Elle savait se montrer convaincante. Et ce n’était pas à cause de son ton menaçant, mais à cause de ce striptease que tu attends depuis le début. S’il fallait faire ça pour l’avoir, alors.. tu te forcerais à le faire. Même si bon, ce n’était pas la mort pour toi de te déshabiller, non plus. Tu ne réponds même pas, parce que tu admires la belle commencer le striptease. Il faut dire qu’elle ne se débrouille pas si mal que ça. Elle se débrouille même très bien, puisqu’on peut dire qu’elle t’a hypnotisé, la Marilyn. T’arrête seulement de profiter du spectacle lorsqu’elle t’adresse la parole. « A toi John ... » Ah bah, elle n’a pas oublié, entre temps. Dommage. Bon. Tu enlèves alors ton t-shirt, et le laisse tomber par terre. Désormais torse nu, la demoiselle avait une vue incomparable sur le tatouage présent sur ton torse, et si elle te voyait de dos, elle pourrait voir celui à l’arrière de ton bras. Restait qu’à voir si t’en arrivais à un point où elle pourrait voir ton 3ème tatouage. Qui se trouvait sur une de tes fesses. Après avoir enlevé le haut, tu reposes ton regard sur Marilyn. « J’espère que la vue te plaît. » fais-tu remarquer avec un léger sourire malicieux. Sens caché de la phrase ? Elle pouvait continuer le striptease, maintenant.

Bon alors, il va se déshabiller lui aussi ? Sinon il peut toujours rêver pour que je fasse son striptease, déjà il peut s'estimer heureux que j'ai décidé de céder. Faut pas qu'il se fasse de fausses idées à mon compte, je m'ennuie juste et ça peut être drôle. Ce sont que des fringues de toute façon, et j'ai toujours eu tendance à ne pas en voir énormément sur moi quand un homme est dans les parages, encore que ça arrive aussi lorsqu'il s'agit de femmes du coup. « Et alors ? c’est pas une mauvaise idée… » J'imagine que mon regard traduit assez bien le fond de ma pensée pour que je sois pas obligée de prendre la peine de répondre à cette remarque. De toute façon ce n'est pas utile, on a plus ou moins conclu à un accord, un vêtement enlevé pour moi équivaut à un vêtement enlevé pour lui. C'est pas trop cher payé sachant que moi je vais remuer mes fesses et danser contre ce barre alors que lui n'aura qu'à se dévêtir. Il ne détache pas son regard, je le sens et cette sensation est plus qu'agréable. Je danse, je me remue de façon sensuelle. Je prends le temps de le faire languir avant de retirer mon premier vêtement, qu'il en ait pour son argent, même si dans les faits, il ne paye pas réellement ça doit être le lieu qui accentue mon envie de bien faire, ou peut être le fait que je n'aime pas faire les choses à moitié. Ouais sans doute. Bon, mon haut retiré, je n'oublie pas de le lui signaler de retirer son t-shirt, il s'exécute, il a plutôt intérêt de toute façon s'il voulait avoir une suite. Je profite de la vue qui m'est offerte. Pas mal, même mieux que pas mal. Je souris mais garde le silence. « J’espère que la vue te plaît. » Ah bah oui, ça c'est certain. « Joli tatouage ! » Bon il parait que j'ai d'autres choses à retirer alors je reprends les mouvements de bassin que j'ondule. Et je m'agrippe à la barre, bah oui quand même, autant s'en servir, je fais des trucs sympa, je me retrouve même parfois à la tête en bas, bah oui, c'est bien aussi. Bon, et si je retrouvais la terre ferme pour retirer ma jupe, ce serait pas mal d'autant que j'avais déjà légèrement ouvert la fermeture éclaire. Je la descends, je fais glisser le tissus qui s'écrase sur le sol et fais volte-face pour le regarder dans les yeux. « Pantalon... » Je murmure tout en faisant distraitement glisser la bretelle de mon soutien gorge le long de mon épaule. Ce n'est pas du tout distrait, c'est calculé ça va de soit.

Bon et bien tu devais abandonner l’idée de partir lorsqu’elle aura fini son striptease. Ça aurait été trop beau. Alors vous avez fait un deal. Un vêtement chacun à chaque fois. Et puis tu ne lui fais pas assez confiance pour te déshabiller en premier. Bref. Elle commence le striptease, et t’en viens à te demander si ce n’est pas son métier, parce qu’elle est franchement douée pour ça. Le spectacle est à la hauteur, ouais. Puis c’est à ton tour d’enlever quelque chose. Ton t-shirt. Tu le fais rapidement, sans t’en soucier spécialement, parce que t’as seule envie est de la voir continuer le strip. « Joli tatouage ! » Il n’avait rien de joli, ton tatouage. Pas à ton goût. Il était normal. Mais tu te contentes de te taire, et de lui dire en quelque sorte qu’il est temps pour elle de continuer. Pas que tu sois impatient de voir la suite, mais un peu tout de même. Hm. Il faut dire que ce genre de chose avec la barre, un homme serait incapable de le faire. Alors tu profites du spectacle, ainsi que de la belle vue qui s’offre à toi. Très ; très belle vue. Et c’est encore mieux quand elle enlève sa jupe. Elle était clairement bien foutue, cette Marilyn. Ce que tu avais sous les yeux te plaisait. « Pantalon... » Ah oui. T’oubliais presque. T’étais beaucoup trop obnubilé par ce qui se passait devant toi. Puis, elle te trouble un peu avec ce qu’elle était en train de faire avec la bretelle de son soutien-gorge. Qu’elle l’enlève. Tu t’apprêtes à enlever ton jean, lorsque la musique de Cupidon se fait entendre. Ah bah tiens. « Je crois qu’il en a décidé autrement. » fais-tu remarquer. Le « il » était pour Cupidon, bien évidemment. Alors toujours torse nu, tu te diriges vers elle, sur la scène. On n’avait pas besoin de te prier pour que t’aille l’embrasser, surtout lorsqu’elle se trouvait dans une tenue comme celle-là…Bref, tu ne lui demandes pas son avis, et tu la plaques contre la barre de pole dance. Enfin, pas trop brusquement, parce que tu ne voulais pas non plus risquer de la paralyser en se prenant violemment la barre dans le dos. Disons seulement que tu l’avais coincé entre toi et la barre, et que Marilyn n’avait désormais pas d’autre choix que d’avoir son corps plus ou moins collé au tien. Ton regard est planté dans le sien, et tu finis par l’embrasser assez sauvagement, et fougueusement, il faut dire. Bah ouais, elle t’avait donné envie de l’embrasser comme ça, tant pis pour elle. Une de tes mains se retrouve sur le haut d’une de ses fesses, tandis que l’autre joue avec une bretelle de son soutien-gorge. Soutien-gorge que tu allais sûrement finir par lui enlever. Du moins, t’avais envie de le faire. C’est pour ça que tu lui souffles quelque chose. Quelque chose du genre : « Autant finir le travail moi-même.. »

Il est tellement concentré sur ma petite danse qu'il ne dit rien, non mais genre rien quoi. En même temps le Johnny il n'a pas l'air loquasse de base. Ouais on commence à être intime alors j'ai décidé de lui donner un petit surnom, Johnny, ça lui va bien en plus je trouve. C'est pas son prénom ? On s'en fout non ? De toute façon c'est dans ma tête alors ouais, on s'en fout. Cela dit, je m'applique, on dirait presque j'y prends goût ce stip, bah en même temps ce n'est pas comme s'il avait eu besoin de user de tous les stratagèmes pour me convaincre, j'ai été plutôt docile, l'idée du deal c'est simplement pour qu'il ne pense pas qu'li peut tout exiger de moi sans rien donner. Et puis bon, c'est pas s'il était dégueulasse du coup c'est toujours ça de pris comme on dit. J'ai retiré ma jupe si bien que je me trouve en sous-vêtement, uniquement, talons aiguilles aux pieds, comme les vrais pros, c'est plus sensuel, je rappelle à John de faire tomber le pantalon. Logique me direz-vous, il commence sauf qu'une musique débarque de nulle part. Je sais de quelle musique il s'agit mais je suis légèrement frustrée pour le coup. J'avais fait un jeu dans ma tête, de quelle couleur est le caleçon de John même si avec l'élastique ça ne laissait pas beaucoup de place à l'imagination. « Je crois qu’il en a décidé autrement. » Je fais la moue. Enfin entendons nous bien, je n'ai rien contre le fait de l'embrasser, juste contre le fait qu'il n'ait pas retiré son jeans avant. « L'un n'empêchait pas l'autre. » Sauf qu'il me surprend et qu'il bondit presque sur scène, tiens donc, il est si pressé que ça de ne pas perdre d'argent. Il me plaque même contre la barre, surprise un son sort de ma bouche. On est collé l'un contre l'autre et c'est loin d'être désagréable, nos yeux ne semblent pas vouloir se quitter et là il m'embrasse. J'allais le faire d'ailleurs s'il ne s'était pas décidé. Et évidemment, je réponds à ce baiser avec la même intensité. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'on est plus qu'obéissant. Je ne peux pas m'empêcher devenir jouer avec sa langue juste parce qu'li a dit qu'il ne voulait pas que je prenne quoi que ce soit dans sa bouche. Et techniquement je ne prends rien mais j'entre tout de même en territoire interdit. Bref. Pendant qu'on s'embrassait y'a une une de mes mains qui s'est glissé contre son torse tandis que l'autre est posée plus ou moins sur son épaule. Lui semble s'être pris de passion pour la bretelle de mon soutien gorge puisqu'il joue avec, j'imagine que l'envie de le retirer le titille légèrement. « Autant finir le travail moi-même.. » J'ai effectivement la confirmation. Je souris. Je devrais lui dire non puisqu'il a toujours son pantalon mais à ce sujet. « T'as raison, on est jamais mieux servi que par soit même. » Et à ces mots, je m'occupe de lui retirer ce jeans qui m'a tellement énervé l'espace d'un instant, enfin il s'écrase sur le sol, à lui de lever les pieds. Mes mains vont directement caresser ses fesses, j'ai toujours eu un faible pour les fesses des hommes. « Et maintenant ? » Je souffle contre ses lèvres avant de venir mordiller légèrement sa lèvre inférieure. J'ai un truc avec sa bouche moi c'est pas possible. Toujours entrain de l'embêter.

Cupidon intervient alors que tu t’apprêtais à enlever ton jean. C’était un signe, sûrement. « L'un n'empêchait pas l'autre. » Oh bah, il faut croire que si, puisque tu ne l’enlèves pas, ce fameux pantalon. « Hm, il faut croire que si. » Tant pis si elle n’était pas contente, hein. Tu te retrouves bien vite en face d’elle, et tu la coinces entre la barre et toi pour l’embrasser. C’était sûrement la seule règle de Cupidon que tu accepterais dans cette aventure, il faut croire. Et malgré ce que tu as pu dire quelques instants plus tôt à propos de ta bouche, vos langues s’entremêlent avec frénésie. Ta main sur le haut de ses fesses commence à jouer avec l’élastique de sa petite culotte, tandis que tu lui fais part de ton envie de la déshabiller toi-même. « T'as raison, on est jamais mieux servi que par soit même. » Exactement. Un léger sourire se dessine sur tes lèvres tandis qu’elle enlève ton jean. Tu lèves les pieds histoire de pouvoir dégager ton pantalon un peu plus loin, restant toujours aussi près de Marilyn. Elle caresse tes fesses et c’est loin d’être désagréable. « Et maintenant ? » Et maintenant, tu n’en avais pas fini avec elle. Tu voulais le voir par terre, ce soutien-gorge. Marilyn te mordille la lèvre, et bizarrement tu la laisses faire. Du moins, pas très longtemps, puisque prends parole. « Et maintenant, je ne sais pas, mais il vaut mieux te débarrasser de tout ce qui est de trop. » Ouais, tu faisais ça pour son bien, évidemment. Tu ne tardes pas à dégrafer ce soutien-gorge que tu lui enlèves, l’envoyant valser un peu plus loin. Et puis ta main vient caresser sa voluptueuse poitrine. Tu n’allais pas te priver, ils étaient là, sous tes yeux, ces seins. Ton autre main qui était sur ses fesses glisse sur l’arrière de sa cuisse, te permettant de remonter sa jambe au niveau de ta taille. Tu es toujours contre elle, ton regard ne la quitte pas vraiment. « Et maintenant ? » que tu souffles en reprenant sa propre phrase. Et puis, tu l’embrasses, encore. Autant se faire plaisir.

« Hm, il faut croire que si. » C'est vrai que c'est un mec et qu'il ne peut pas faire deux choses en même temps. N'empêche qu'il m'a contrarié, enfin contrarié c'est peut être un grand mot, j'vais pas piquer une crise ou même bouder tant pis c'est rien. De toute façon, son baiser plus que torride a tendance à rattraper tout le reste. Ouais tout le reste. Ca change du baiser que j'ai échangé avec mon partenaire deux jours plus tôt. C'est le genre de situation qui donne envie d'arracher les vêtements du mec avec qui t'es, sauf que le mec en question n'a plus beaucoup de vêtements sur le dos puisque son jeans s'est rapidement retrouvé en bas de ses pieds. C'était tellement évident qu'il n'allait pas le garder longtemps, il m'a empêché de le faire plus tôt et cette fois bizarrement, il ne proteste pas. Comme je l'encourage vivement à me débarrasser de mon soutien gorge. « Et maintenant, je ne sais pas, mais il vaut mieux te débarrasser de tout ce qui est de trop. » Oh bah qu'il ne se gêne pas. Je cesse de le toucher pour lui faciliter la tâche. C'est plus simple pour ce qu'il s'apprête à faire, caresser mes seins. Je suis sûr qu'il en a envie depuis longtemps, et comme c'est loin d'être désagréable je le laisse faire. Je sens ma jambe remonter contre la sienne. Du coup je l'enroule autour de sa taille. « Et maintenant ? » Je souris. Maintenant et bien des tas de choses me traversent l'esprit là toute suite. Des choses agréables, d'autres beaucoup moins. Mais je n'ai pas le temps de répondre que déjà il m'embrasse. Encore ? Va falloir arrêter à un moment là non ? Non. Bon d'accord. Je capitule. Je lui rends ce baiser. Je réfléchirais plus tard. Je me détache cependant, repose ma jambe sur le sol. J'attrape l'élastique de son caleçon et sans quitter ses iris je le baisse. « Un vêtement en moins pour moi, un vêtement en moins pour toi. » C'est le deal. Je souris. Il est nu, pas moi. Je m'approche pour lui voler un nouveau baiser, tout aussi fougueux que les précédents mais plus cours, j'ai encore un truc à dire. « Et maintenant je suppose que comme tu as eu ce que tu voulais, je devrais partir. » Je hausse les épaules sans cesser de le regarder. Il a voulu son striptease, il l'a eut. Même un petit extra. Bon j'ai quand même mes mains posées sur ses fesses dorénavant nues.