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 mistreated, misplaced, misunderstood, mistaken, always second guessing (12/06, 19h06)

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Opaline

Opaline
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MessageSujet: Re: mistreated, misplaced, misunderstood, mistaken, always second guessing (12/06, 19h06)   mistreated, misplaced, misunderstood, mistaken, always second guessing (12/06, 19h06) - Page 2 EmptySam 15 Juin 2013 - 16:23

Je ne comprends pas. Voilà. C'est aussi simple que ça. Je n'arrive pas à comprendre comment il se peut se soucier de moi. Ou pourquoi il en a quelque chose à faire. Ça me paraît irréel, illogique. Je ne sais pas. Peut-être que je ne veux pas comprendre. Parce que comprendre serait admettre que c'est vrai. Non ? J'en sais rien. Depuis que je le connais, Sully, il passe son temps – le peu de temps qu'on passe ensemble – à vouloir me faire croire que j'importe, qu'il en a quelque chose à faire. C'est perturbant, bien sûr que ça l'est. Il insiste tellement. Je ne sais pas si son insistance est dû au fait qu'il veut vraiment que je le crois. Ou juste au fait qu'il veut absolument que ça rentre dans ma tête. Parce que j'ai l'habitude qu'on veuille intégrer plein de trucs différents dans mon esprit. Perturbant.   Je ne m'attends pas à ce qu'il réponde quoi que ce soit, Sully. Il n'est pas obligé de répondre. Je ne vois pas ce qu'il pourrait dire de plus, de toute façon. Je ne comprends pas, c'est tout. Peut-être que je veux juste lui dire que ça n'a pas de sens pour moi. Quelque chose comme ça. J'en sais rien. Je l'écoute quand il reprend la parole. Je l'écoute même avec une grande attention. Il n'y a pas grand chose à comprendre, qu'il dit. C'est juste comme ça, faut croire. Je ne cherche pas toujours des explications à tout, c'est vrai, parfois, je me fiche de savoir pourquoi. Mais pas là. Sûrement parce que c'est nouveau. Totalement nouveau. C'est la première fois que quelqu'un tient autant à me faire croire qu'on se soucie de moi. C'est tellement différent de ce que je connais. Je suppose que c'est normal de s'interroger. Je crois que n'importe qui ferait la même chose à ma place. Sauf que personne d'autre n'est à ma place. Que je suis la seule dans ce cas-là, à cette place. Je passe une énième fois mes mains sur mes joues. Je n'aime pas pleurer, il ne faut pas croire que j'aime ça. Je déteste ça. Mais je ne peux pas m'en empêcher. J'essaye pourtant. J'essaye vraiment d'arrêter. Mais rien n'y fait. C'est mon seul moyen de m'exprimer. Je lève mes grands yeux vers lui, je renifle. Je ressens un frisson aussi. Je ne sais pas si c'est parce que je suis trempée ou juste parce que je pleure. Ou parce que la situation ne me plaît pas. J'en sais rien, c'est peut-être un peu de tout ça. Il continue. Il dit qu'il m'apprécie. M'apprécier, maintenant ? Mais il me connaît même pas. C'est vrai. Comment il peut apprécier quelqu'un qu'il ne connaît pas. C'est stupide. C'est... faux. C'est pas vrai, il ne peut pas m'apprécier. Les gens ne m'aiment pas, d'habitude. C'est vrai, tout le monde me déteste. Parce que je suis agaçante, naïve, manipulable. Parce que je suis une pleurnicheuse. Parce que j'ai plus de défauts que de qualités. C'est pas vrai, ça, qu'il m'apprécie. Non, ce n'est pas vrai. Je me mords l'intérieur de la joue, je ferme les yeux. C'est pas vrai, ça. Ça ne peut pas être vrai. Je ne veux pas le croire. Comme si ce n'était déjà pas assez qu'il ''se soucie de moi'', qu'il ''s'inquiète pour moi''. Faut qu'il en rajoute en plus. Je cache mon minois dans mes mains pendant un instant, le temps de parvenir à ne pas aggraver mes pleurs, de les contrôler un minimum. Ça marche un petit peu. Mais je n'espère pas plus, de toute façon. Il veut être là pour moi. Parce qu'il le précise une nouvelle fois, je ne vais pas bien. D'accord. Ça fait beaucoup d'un coup, ça. Je laisse ma respiration faire ce qu'elle veut, je m'en fiche. Je n'arriverai pas à la calmer alors peu importe. J'essaye d'être silencieuse. Parce qu'une fille qui pleure à chaudes larmes, c'est jamais très agréable à entendre. Sully, il dit ensuite qu'il voudrait me prendre dans ses bras. Du moins, il n'ose pas le proposer. Me prendre dans ses bras. Pourquoi faire. Pour un... câlin ? Non, trop bizarre. Je le regarde, déboussolée, perturbée. Un câlin. Pourquoi il voudrait m'en faire un. Je secoue doucement la tête pour éloigner toutes ces pensées.  Je passe une main dans mes cheveux mouillés, je me perds dans la contemplation du paysage en face de moi. Puis je reporte mon regard vers lui, je le regarde quelques secondes de plus que j'en ai l'habitude. « Tu me dis la vérité ? » je lui demande d'une voix basse. Oui, je veux savoir. Je veux qu'il affirme dire la vérité, je veux qu'il me l'assure. Je sais que ça serait facile de mentir, là, maintenant. De mentir et de toucher son but du bout des doigts. Peu importe quel est son but, en fait. « Tu me diras la vérité ?   » j'ajoute entre deux larmes. A l'avenir. Dans un futur plus ou moins proche. Je veux qu'il me dise la vérité. À chaque fois. Pas de petits mensonges. Peu importe la raison, aucun mensonge. S'il se soucie vraiment de moi alors il acceptera. Et il ne me mentira pas. Jamais. Et je sais, quelque part, que c'est une requête naïve. Je sais qu'il ne pourra jamais constamment me dire la vérité. Qu'il ne le fera pas. Je suppose que c'est aussi ce que je veux. Enfin, pas vraiment. Je préférerais qu'il dise la vérité, que je ne perde pas mon temps à le croire. Pas que je le crois. Je sais que je vais finir par le croire. Parce que je suis naïve. Et que je veux toujours m'accrocher à cette idée que ça peut être différent. C'est vrai, au fond, c'est toujours ça qui se passe. C'est pareil avec tout le monde. Même avec ceux qui m'ont déjà fait du mal, encore et encore. Quand ils me disent qu'ils ne m'en feront pas, je les crois bêtement. Je garde cette petite touche d'espoir, ces quelques illusions, en espérant que c'est vrai, cette fois. Ils me montrent toujours que c'est con de les croire. Complètement con. Alors maintenant, je ne veux plus croire tous ces mensonges qu'on me dit. Je préfère ne plus en croire un seul mot, ne même plus les entendre, ces mensonges. Je sais que j'ai tort de croire ce qu'on me dit. C'est vrai, on me l'a déjà prouvé plus d'une fois. Il ne faut pas que j'écoute, que je prenne ces paroles en compte. Il ne faut pas. Parce que quand il me prouvera que j'ai eu tort, une nouvelle fois, j'aurais plus que mes yeux pour pleurer. Et je me sentirai encore un coup comme une conne. À avoir bêtement cru un énième mensonge. Il ne faut pas croire, ça fait mal de voir de nouveaux espoirs se casser la gueule. Alors je n'y crois plus. J'essaye de ne plus y croire. Je fais abstraction de cette minuscule, vraiment minuscule partie de moi qui veut que j'accorde ma confiance. Parce que je ne vois pas pourquoi Sully serait l'exception.

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MessageSujet: Re: mistreated, misplaced, misunderstood, mistaken, always second guessing (12/06, 19h06)   mistreated, misplaced, misunderstood, mistaken, always second guessing (12/06, 19h06) - Page 2 EmptyDim 16 Juin 2013 - 8:56

Sully n'était clairement pas dans la tête d'Opaline, et n'avait à vrai dire aucunement l'intention de le prétendre, mais il est clair qu'il avait tout de même une nette idée de ce qu'elle pouvait bien être entrain de penser, comme à chaque fois qu'il était avec elle en soit, bien qu'il ait au départ eut beaucoup de mal à se mettre à sa place. Dans l'immédiat, il estimait donc qu'elle se persuadait qu'il ne disait se soucier d'elle et de son état que par désir de la manipuler et de lui faire croire n'importe quoi. Car oui, elle devait très certainement se dire qu'il cherchait à la berner, à lui faire gober des choses entièrement fausses, simplement parce que ça pourrait lui plaire de profiter de son apparente faiblesse pour essayer de lui faire avaler des bêtises. Alors que non, si Sully faisait tout ça, s'il prenait la peine de rester près d'elle, qu'il continuait de se convaincre que des progrès étaient possible et qu'il s'entêtait à lui dire qu'elle importait à ses yeux, c'était uniquement parce qu'il n'avait pas pu faire autrement que de s'attacher à cette jeune femme manifestement fragile et on ne peut plus attachante. Il se doutait bien que beaucoup de gens la trouvaient bizarre, que c'était sans doute pour ça qu'elle avait cherché à savoir si c'était aussi comme ça qu'il la voyait, mais de son coté, Sully la voyait surtout comme quelqu'un qui avait besoin d'aide et qu'il avait irrésistiblement envie d'aider. Il savait que rien ne l'y forçait, qu'ils ne partageaient en soit même pas une relation qui rendrait légitime qu'il ait à ce point envie d'être à ses cotés et de tout faire pour lui faciliter l'existence - il avait des aspirations assez idéalistes, il faut croire - mais il ne pouvait pas s'empêcher de trouver Opaline incroyablement touchante. Oui, elle ne lui avait quasiment rien dit d'elle, ni rien dit en général d'ailleurs, et on ne pouvait pas dire qu'ils étaient proches ou que le contact était facile entre ces deux-là, mais tout ça n'avait manifestement pas empêché Sully d'apprendre à apprécier Opaline, peut être moins facilement que s'ils avaient pu partager de véritables discussions, mais tout de même suffisamment pour qu'il ressente dorénavant le besoin de lui faire savoir qu'elle importait véritablement à ses yeux et qu'il se sentait mal de la voir dans cet état. Pour avoir discuté du cas Opaline avec Lena, il savait que tout le monde n'était pas apte à la voir comme il la voyait lui, qu'elle pouvait renvoyer une image qui ne donnait peut être pas envie à tout le monde faire un pas vers elle et que le fait qu'elle soit si butée n'arrangeait pas les choses, mais Sully avait véritablement envie de croire que la demoiselle pouvait s'en sortir. Il avait peut être tendance à croire en beaucoup de choses, pas toujours franchement réalisables d'ailleurs, mais il estimait que si elle finissait par comprendre qu'il serait dans son intérêt de se laisser apprivoiser par des personnes qui lui voulaient le plus grand bien, elle irait déjà un peu mieux. A ce sujet d'ailleurs, il faudrait également qu'elle ait conscience du fait de ne pas aller aussi bien qu'elle semblait aimer le penser, car ce serait aussi un bon début pour ce qu'elle serait peut être capable de faire par la suite, si tant est qu'elle s'en donne les moyens bien sûr. En attendant, il va de soi que Sully pouvait comprendre que sa camarade ne comprenne pas ce qu'il en était exactement, car il avait bien compris que celle-ci n'était tout simplement pas habituée à ce qu'on porte un minimum d'intérêt à son état, ou à elle plus généralement, qu'en soit personne ne s'était jamais tellement demandé si elle allait bien, et qu'ainsi elle était pour le moins perturbée que cela semble tenir autant à cœur à Sully. Tout ça, vraiment, il tâchait de le comprendre. Encore une fois, parce qu'il essayait de se mettre à sa place, depuis le premier jour, plus aisément depuis quelques temps, et qu'il avait fini par se rendre compte que cette jeune femme avait évolué auprès de personnes pour le moins malsaines - même en mettant de coté les choses qu'elle avait pu dire à la révélation, et dont il n'avait honnêtement pas nécessairement envie de penser dans l'immédiat - car pour être à ce point déphasée et si peu habituée à ce qu'on lui témoigne un minimum d'intérêt, c'est bien qu'on avait du agir d'une façon très particulière à l'égard d'Opaline et cela renforçait justement l'attachement qu'il avait pour elle, le fait qu'il la trouve touchante et qu'il s'identifie, sans trop savoir pourquoi en soit, à la détresse qu'elle semblait vivre quotidiennement. Il tâcha alors de lui préciser qu'il s'était simplement mis à l'apprécier et que c'était pour cette raison-ci qu'il se disait intéressé par son état, qu'il se disait inquiet pour elle, qu'il prétendait qu'elle importait à ses yeux. Ils n'étaient ni amis, ni confidents, pourtant, il l'affectionnait véritablement. La réciproque n'était assurément pas vraie et il va de soi qu'il n'irait jamais espérer qu'Opaline puisse l'apprécier en retour - vu qu'elle devait principalement être exaspérée par sa façon d'être, en soit - mais tout ça ne l'empêchait pas d'avoir véritablement envie d'être là pour elle, d'être à ses cotés, de tâcher de l'aider de par ses petits moyens, et simplement parce qu'on l'avait élevé de manière à ce qu'il développe un certain altruisme et qu'il aspire à vouloir venir en aide à ceux qui en avaient possiblement besoin, et plus encore à ceux qu'il appréciait. Il appréciait donc Opaline, oui, et il est vrai qu'il se doutait bien qu'elle devait en être pour le moins surprise, autant parce qu'elle n'avait pas du s'attendre à ce qu'il le lui avoue, que parce qu'on avait du rarement lui donner l'impression de l'apprécier, justement. Donc oui, il se doutait qu'elle aurait du mal à saisir d'où ça sortait, comment il pouvait au juste prétendre l'apprécier, vu qu'il est vrai qu'ils ne se connaissaient en soit pas tellement. Mais Sully, lui, n'avait finalement pas besoin de véritablement connaitre quelqu'un pour s'attacher à lui. Dans le cas d'Opaline, en tout cas, c'était tout ce qu'elle dégageait et tout ce qu'elle ne disait justement pas qui lui avait permis de s'attacher à elle, tant il avait été touché par cette jeune femme, tant elle l'avait ému en soit. Et c'est parce qu'il était parti dans l'optique de tout lui avouer qu'il alla jusqu'à lui faire savoir qu'il aurait pu lui proposer un câlin s'il ne savait pas qu'elle aurait naturellement été contre l'idée, sans doute parce qu'elle ne devait pas être adepte des contacts physiques, même ceux censés rassurer. Il la vit secouer la tête, et il compris évidemment sans mal qu'il avait donc bien fait de s'abstenir de le lui proposer, et qu'en soit il aurait peut être même mieux fait de ne pas l'évoquer du tout. Leurs regards se croisèrent alors, et Sully fut pour le moins surpris par la question d'Opaline, qui pourtant était assez légitime, si l'on tient compte du fait qu'elle devait douter de tout le monde, et plus précisément de l'honnêteté des gens. Elle cherchait donc à savoir s'il lui disait la vérité. Il va alors de soit qu'il ne se permettrait jamais de la mener en bateau, de la manipuler, d'abuser de sa faiblesse pour s'imposer à elle comme un bon samaritain alors que ses intentions seraient en fait des plus blâmables. Non, il ne pourrait jamais se jouer d'elle. Il en était tout bonnement incapable. Il fut alors tenté de lui répondre, mais elle reprit assez rapidement la parole, elle qui pleurait toujours. Elle voulait maintenant savoir s'il lui dirait la vérité, à l'avenir, manifestement. « Je te dis la vérité, et je te la dirai toujours. Que ce soit aujourd'hui, que ce soit demain, oui, je te la dirai toujours » qu'il souffla alors, espérant qu'elle serait convaincue, parce qu'il aspirait à ce qu'elle comprenne qu'il ne pourrait en soit jamais lui mentir. Quelle que soit la raison, non, il ne lui mentirait pas. D'ailleurs, il fit en sorte qu'elle n'en doute vraiment pas. « Je te le promets, Opaline » qu'il reprit alors, espérant qu'elle aurait peut être un peu plus foi en ses propos s'il s'agissait désormais d'une promesse. Lui, il était un homme de parole. Il n'était pas parfait, même loin de là, mais il ne revenait jamais sur ses promesses. Il ne savait pas si elle le croirait pour autant, si elle ne continuerait pas de se méfier de lui, mais il était de toute façon en accord avec ses dires. Car il lui disait la vérité depuis le début, qu'il l'avait fait tout au long de cette conversation et qu'il comptait encore le fait à l'avenir, chaque fois qu'ils passeraient du temps ensemble. « Je te demande de me faire un peu confiance. Juste un peu. » Oui, qu'importe qu'elle ne lui fasse jamais totalement confiance, il aimerait simplement que la jeune femme ne doute pas complètement de lui. Qu'elle se permette de penser qu'il pouvait être sincère, parce qu'il l'était, qu'il l'avait toujours été et qu'il le serait toujours. C'est pour ça qu'il le lui avait promis. Parce qu'il aimait croire qu'elle comprendrait qu'il ne reviendrait pas sur cette promesse. Parce qu'il aimait croire, au fond, qu'elle commençait un tout petit peu à savoir comment il fonctionnait. Qu'elle commençait un tout petit peu à le connaitre, en soit.

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