JorahMESSAGES : 867 AGE : 40 LOCALISATION : BAKOU, AZ / LONDON, UK. JUKE BOX : CATS ON TREES, SIRENS CALL - AVICII, HEY BROTHER - LONDON GRAMMAR, DARLING ARE YOU GONNA LEAVE ME - DAFT PUNK, INSTANT CRUSH - EMINEM, SURVIVAL. POINTS : 19
LOVER'S LIFE CAGNOTTE: 29 250 € RELATIONS: PARTENAIRE: (DANICA) (APOLLINE) (BENJAMIN)
| Sujet: I reached the wrong ends by the wrong means. Dim 16 Fév 2014 - 19:46 | |
| “ I reached the wrong ends by the wrong means ” w/sido L'odeur du tabac ne l'avait jamais insupporté. Peut être parce qu'il fumait lui-même depuis très jeune, et qu'en dépit du fait que sa mère lui ait souvent fait la morale à ce sujet, il n'avait jamais tellement envisagé d'arrêter. Quoi que, ces temps-ci, ça le travaillait. Pas parce qu'il craignait de finir avec un trou à la place de la gorge ou parce qu'il aspirait à avoir meilleure mine, mais parce qu'à long terme, il lui faudrait sûrement se débarrasser de cette vilaine habitude, à qui son existence faisait pour le moment la part belle. C'est donc plus machinalement qu'autre chose qu'il avait emprunté le chemin du balcon, et qu'il s'y était installé, accoudé à la rambarde en pierres et les yeux posés sur cette vue sans grand intérêt. Une clope bien vite installée entre les lèvres, il l'alluma, laissant l'une de ses boots frapper le sol et reproduire un rythme qui lui traversa l'esprit à ce moment là, lorsqu'il lui sembla entendre quelqu'un rejoindre à son tour le balcon. « Je crois qu'il a laissé ses clés à l'intérieur de sa voiture » lança-t-il instinctivement, après avoir coulé un regard vers la jeune femme qui se tenait maintenant à ses côtés, et en désignant d'un signe de tête le type qui se tenait au beau milieu du parking, plusieurs mètres plus bas. « C'est forcément pour ça qu'il s'attaque à la portière avec un cintre » qu'il ajouta dans un haussement d'épaules, se grattant la tempe à l'aide de son index et expirant la fumée de sa nouvelle taf. Captant le regard de la jeune femme, il le soutint le temps d'esquisser un sourire avant d'en revenir à cette histoire de cintre, qui d'un coup le laissait plus perplexe. « Cela dit, moi je me balade rarement avec ça dans la poche de mon jean. » Un cintre, donc. C'est vrai que ça ne faisait pas nécessairement partie des indispensables qu'il ne quittait jamais. Mais de là à en conclure que c'était louche, supposons qu'il y avait quand même une marge. « Moi c'est Jorah » enchaîna-t-il finalement, des fois qu'elle veuille mettre un nom sur des commentaires vaseux. |
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