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| | Et si on parlait de franchise? [08/01 à 09h00} | |
| Auteur | Message |
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AlcéoMESSAGES : 862 LOCALISATION : une île perdue irlandaise? EMPLOI : ; ) JUKE BOX : Animal I Have Become. Three days Grace POINTS : 954
LOVER'S LIFE CAGNOTTE: RELATIONS: PARTENAIRE:
| Sujet: Et si on parlait de franchise? [08/01 à 09h00} Sam 8 Jan 2011 - 14:03 | |
| Léone
- Spoiler:
La peur m'avait marqué ce matin là, quand convoqué, j'avais appris l'accident qui avait touché mon parent le plus proche. Un sentiment qui s'était intensifié au fur et à mesure de ma prise de conscience. Il m'était en effet inconcevable que je puisse le perdre de nouveau, tant et si bien que mon exigence fut sans appel. Un allée simple pour sortir de la maison irlandaise. Je ne m'attendais pas à revenir, du moins pas dans l'immédiat. Son était m'était bien plus vital qu'un simple jeu dans lequel je pouvais jouer du mot... jouer. La production ne se fit guère priée, mon statut d'ancien et de maître me donnant les accès nécessaires pour quitter le jeu, et rejoindre par là même le monde réel. Loin du silence. Loin des histoires à l'eau de rose. Tout n'était que brouhahas, questions, flash. Mais loin d'être impressionné, je ne songeais qu'à lui. Je n'étais que silence, dans la peau du parfait « je m'en foutiste » que je savais endossée avec une aisance tranquille. Je ne tardais pas à rejoindre l'hôpital, où cet idiot ne m'accueillit non pas d'un comas, celui là même dans lequel je me l'étais imaginé, mais à l'aide d'un sourire amusé et railleur, d'une bonne poignée de main et de quelques questions typiques familiales. Son accident de moto relaté n'avait eu pour effet qu'une simple jambe cassée, dont il avait l'air de s'accommoder avec calme. Chouchouté comme il l'était, ce n'était d'ailleurs guère étonnant. Conscient qu'il avait utilisé ce prétexte pour me faire sortir en catastrophe, j'hésitais longuement entre étranglement, lapidations, coups portés sur les points vitaux. Mais je m'étais rapidement abandonné au bonheur de retrouver les miens, de retrouver le petit Daniele qui je devais l'avouer m'avait bien manqué, garçonnet qui d'ailleurs, entreprit de me suivre partout avec fascination et questions, sous le regard de sa mère, tantôt attendrit envers lui, tantôt foudroyant à mon égard. Regard auquel je répondais d'un sourire avenant et charmeur car après tout, elle ne pouvait que fondre. Du moins, si elle parvenait à mettre de côté sa colère envers moi. Je n'étais guère pressé, je savourais. Quoi de mieux qu'une légère pause, qui d'ailleurs tombait à point. En effet, je me retrouvais en plein inconnu, et j'avais besoin d'une épaule masculine sur laquelle m'appuyer. Du moins par langage codé. Loin de moi l'idée d'admettre que BJ pouvait réellement me plaire. Loin de moi la simple idée de devoir m'embarquer dans des discussions compliquées au sujet des femmes. Je tenais juste à avoir quelques éclaircissement anodins afin de la comprendre, d'entrevoir, de me comprendre, et bien entendu, de m'adapter. Mais ce ne fut guère réponses claires que je reçus de mon entourage, mais bien des railleries, humoristes, voir sèches parfois. Summer et moi étions en effet un peu comme chat et chien, nos caractères actuels ne s'entendant guère. Mais on faisait bon grès mal grès devant Daniele, se titillant, se cherchant. Au fond on s'adorait, et avec le temps, nous avions appris à avoir une relation solide. Je ne quittais guère l'hôpital. Entre ces quatre murs, je savourais la présence de cette famille qui durant ma vie, m'avait tant manqué. Je ne l'échangerais en effet, contre rien au monde. Mais la curiosité était bien un défaut dont je ne saurais me défaire, et la télé restait de ce fait allumée. Je ne perdais rien des gestes des habitants, m'amusant à tout voir, à tout savoir, afin d'utiliser par la suite quelques éléments d'informations à retourner contre eux. Je me rendais compte en effet, que je n'avais pas assez joué. Dommage. Je perdais des secondes, minutes, heures, jours, semaines. Je ne perdais par ailleurs aucun de ses gestes à elle jusqu'à ce soir là. Je ne laissais rien paraître. Je ne laissais rien entrevoir. Inutile, on se comprenait. Mais il n'en parla guère, et je fis de même. Je n'avais pas besoin. Je savais simplement.
Debout devant la porte du sas, je la regardais pensif, avec une intensité tranquille. J'étais serein à l'idée de regagner la maison, quoique... pas tout à fait. Une impatience malsaine m'étreignait, un désir sadique et irrépressible. Je poussais la porte du Sas, rabattant d'un mouvement de poignée la lanière de mon sac de sport sur l'épaule, tirant légèrement sur la fermeture éclair de ma veste kakis, veste large sur un pantalon du même genre. Mes rangers battirent la terre entre humide, tandis que je m'engageais dans le jardin, quelques rayons parsemant la pâle couleur du végétal ci et là. Je n'avais pas tenu à faire mon retour pendant le prime, préférant rentrer en journée, en tenue décontractée. J'aimais ne pas être attendu. Surtout dans des moments tel que celui-là. Je ne saurais d'ailleurs réellement décrire l'état dans lequel je me retrouvais. Je ne saurais utiliser de mots pour définir l'intense désinvolture qui m'habitait, tandis que l'adrénaline sommeillait dans mes muscles chauds. J'entrevis quelques habitants auxquels je fis quelques signes de tête, sans pour autant m'arrêter. J'avais un sac à déposer, ainsi que quelques personnes à rencontrer. Des gens qui m'avaient manqué. Étonnamment. Quoique.... Je déposais mon bagage au sol en voyant l'une d'elle s'approcher. Ce grand brun que j'avais appris à connaître, à apprécier. Que je considérais comme un ami, si ami il existait dans pareil jeu. Ami donc à un certain degrés. Il avait d'ailleurs fait preuve d'une grande marque d'amitié cette semaine. Je ne le saluais pas. Pas immédiatement. Je déposais simplement mon sac sur un sourire, avant de me redresser. Mon point s'écrasa alors sur son visage, tandis que je maîtrisais à peine ma force, le regardant s'écrouler. Mes doigts glissèrent sur mes yeux, mes lunettes sombres bientôt déposée sur mon front, un plaisir non réprimé envahissant mes prunelles. « Tu passais si mal à la télévision » Mon ton de voix était froid et méprisant. C'était ce que je ressentais à cet instant pour lui, et je n'étais pas certain d'en changer dans l'immédiat. M'approchant de lui, je mis la branche de mes lunettes entre mes dents avant de le fixer tranquillement. Apparente tranquillité. Je n'attendais qu'une chose: qu'il me le rende. Mon envie directe était de le défigurer. Assez pour que son image soit floutée sur l'écran d'une télévision.
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| LeoneMESSAGES : 672 AGE : 37 LOCALISATION : New York City EMPLOI : Agent Marketing CITATION : « Poor is the man whose pleasures depend on the permission of another » JUKE BOX : Mike Tompkins • Honesty POINTS : 706
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| Sujet: Re: Et si on parlait de franchise? [08/01 à 09h00} Sam 8 Jan 2011 - 14:48 | |
| Leone n’aurait jamais imaginé le Maître de maison si égocentrique. Tout ne tournait pas autour de lui, encore moins les actions du New Yorkais. De plus Betty-Jayne n’appartenait à personne. Il avait du mal à comprendre quelle était réellement la cause du chagrin d’Alcéo, lui qui était coureur de jupons comme pas deux. Etait-il jaloux ? Défendait-il l’honneur de la jolie demoiselle en se déshonorant lui-même ? Il n’était d’ailleurs pas censé avoir adopté un enfant ?
Le réveil s’avérait donc brutal. Quitte à choisir l’agent marketing aurait préféré rester au lit, d’un autre côté il aurait été déçu de manquer ce spectacle. L’Alcéo impulsif et victime de ses émotions était presque attendrissant. Ainsi, il écopa d’un coup de poing. Apparemment il passait tellement mal à la télévision…
« J’ai pourtant cru que mon charisme m’ouvrirait toutes les portes… » Répliqua-t-il provocateur à souhait. Portes signifiaient ici lèvres du vagin de Betty-Jayne.
Chancelant, Leone se redressa tant bien que mal. Non il ne comptait pas se battre, il ne s’abaisserait pas à un tel niveau. Sa répartie blessait davantage qu’une vulgaire violence physique. Déterminé, il se rapprocha dangereusement d’Alcéo, suffisamment pour lui murmurer à l’oreille :
« Tes coups casseront mes os mais jamais tu ne me blesseras. Seul celui qui inflige ta peine peut l’ôter. Frappe-moi, montre-moi à quel point je te fais souffrir… »
Leone se contenta ensuite de le défier avec assurance de son regard azur déconcertant.
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| Sujet: Re: Et si on parlait de franchise? [08/01 à 09h00} Sam 8 Jan 2011 - 15:13 | |
| Pathétique. Méprisable. Tout ce qui faisait de Léone un personnage intéressant venait de s'envoler en fumée. Il n'était pas le premier à se faire avoir sur le temps, les masques tombant les uns après les autres. Il venait de perdre en un acte, tout ce qui faisait de lui une personne forte voir appréciable. Je le découvrais lâche, non pas vis à vis de moi, mais vis à vis d'elle, je le découvrais d'un hypocrite sans nom, tandis que sa grande morale et ses éthiques venaient de se dissiper. Il n'avait rien pour lui. Comme je le pressentais, il ne répondit pas, ce qui aurait été certes d'une stupidité affligeante, bien qu'un combat physique aurait été préférable pour lui. Ses mots, surtout avec moi, ne lui seraient d'aucunes utilités car il oubliait que le propre de l'art martial japonais, était de savoir quand porter et quand se maîtriser. Je n'étais pas devenu champion pour rien, malgré mon caractère impulsif, et malgré sa pauvre tentative, j'étais d'un calme serein. Mordillant ma branche, je la retirais avec un air faussement réfléchit. « Charisme.... Le prestige, le pouvoir de séduction... J'ai cru le voir également en toi, jusqu'à ce que tu t'abaisses à prendre par surprise une jeune femme de condition physique inférieure, à la pénétrer contre son grès simplement pour assurer ton ascendance. Ce n'est pas du charisme. C'est du viol. » Le dernier terme avait été cinglant, franc et glacial. Il m'avait sans aucun doute oublié durant ce geste d'une connerie assourdissante, oubliant que BJ par l'intermédiaire de Summer, était devenu membre de ma famille et par ailleurs de mon clan. Entre autre. Il se rapprocha, se glissant à me frôler près de moi pour tenter, par de vagues termes insignifiant, de me pousser à une violence sauvage. Il me sous estimait. Je ne bougeais pas d'un cil, tandis qu'avec un calme que j'avais acquis avec mal durant mon apprentissage, je lui répondais, retournant contre lui sa méthode, glissant dans un murmure réfrigéré la réponse assénée. « Ta seule fierté est de blesser. Ne pense pas voir en moi un adversaire aussi fragile. Tu as perdu tout ce qui faisait de toi quelqu'un de respectable. Et puisque d'un duel tu ne désires regagner ton honneur, je ne peux m'abaisser à frapper un être aussi méprisable.» Plongeant dans son regard, retirant mes lunettes sur un sourire sadique, je rajoutais. « Ce qui est fort dommage. J'aurais pris plaisir à te rendre coup par coup la souffrance que tu lui as infligé. »
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| Sujet: Re: Et si on parlait de franchise? [08/01 à 09h00} Sam 8 Jan 2011 - 15:58 | |
| Déception, Alcéo refusait de le cogner à nouveau. Leone n’écoutait que d’une oreille distraite ses longues tirades dénuées de sens. Son ego, à l’image de son honneur, demeuraient intouchés et ce n’étaient sûrement pas les insultes du maître de Maison qui seraient susceptibles de l’atteindre. Il pouvait le comparer au pire des violeurs, le jeune Américain ne lui accorderait pas plus d’importance.
« A mes yeux tu portes le discrédit, tu n’as aucune crédibilité, toi qui séduit tout ce qui remue des seins et qui frappe pour se faire entendre. Rappelle-moi comment tu as adopté ton fils ? » Abandonnant la provocation au profit de la sincérité, il reprit : « Je suis venu ici pour jouer le jeu ; que t’en souffres je peux le concevoir, j’en souffre aussi. Je ne m’excuserai pas, je n’ai rien à me reprocher. »
L’agent marketing avait agi ainsi avec Betty-Jayne dans l’unique but de se protéger. En effet, il avait volontairement préféré saboter sa relation avec elle, ne tenant pas à subir les ravages d’une amitié construite dans une émission de téléréalité où régnaient mensonge et trahison. Certes il aurait pu repousser la jolie blonde bien avant qu’elle se lie à lui, là était sa seule erreur.
« Je te rends ta maison. Devoir endurer tes sautes d’humeur ne figurait pas dans mon contrat. Fake Lover c’est terminé pour moi. »
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| Sujet: Re: Et si on parlait de franchise? [08/01 à 09h00} Sam 8 Jan 2011 - 16:16 | |
| Comment pouvait-on se protéger derrière un tel argument? Lui qui disait tout assumer, lui qui parlait de tout porter sur ses épaules n'était pas même capable de reconnaître son erreur. « Je ne vois pas en quoi j'ai charmé toutes les femmes de la maison. Mais s'il te plaît de le croire, je n'ai rien contre. Je préfère charmer, que de forcer. Rien n'est comparable. Tu as touché à ma famille et tu pensais que j'allais le laisser passer? » Il était étonnant de voir jusqu'où pouvait aller la lâcheté des autres. Que Léone s'abaisse à utiliser Daniele pour m'atteindre était méprisable, surtout qu'il ne pouvait comprendre qu'il utilisait une arme inutile. Son ignorance le conduisait à une tentative ratée. Secouant faiblement la tête, je l'observais complétement incrédule. Il fuyait. C'était clairement ça, mais s'il pensait que ce geste m'atteignait, il ne faisait que renforcer mon opinion vis à vis de lui. « La fuite.... ça te va bien. Et ça ne m'étonne guère. Si pour toi assumer signifie partir plutôt que de t'excuser, je trouve ça déplorable. » Me baissant pour ramasser mon sac, je revins sur lui, le mépris clairement visible dans mes iris. Il s'en moquerait. Tout comme je me moquais de sa réaction. Il avait clairement des remords, puisqu'il fuyait le jeu, mais il était incapable de l'admettre. Ce qu'il admettait devant le grand public. Il n'était pas fin, et visiblement, il était peu intelligent. « Il est triste de ne rien comprendre et de s'abriter derrière de vagues provocations. Tu as une grande gueule. Visiblement devant les faibles seulement. » La lanière de mon sac accrocha mon épaule et je le fixais intensément implcable. « BJ est l'équivalent d'une sœur désormais dans cette famille qui est la nôtre et à laquelle tu n'as visiblement rien compris. Si pour toi défendre sa famille est l'équivalent de saute d'humeur, on ne se comprendra jamais. »
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| Sujet: Re: Et si on parlait de franchise? [08/01 à 09h00} Sam 8 Jan 2011 - 16:51 | |
| « Défendre ta famille ? Là tu endosses plutôt le costume du grand jaloux. Ne mens pas à toi-même. Et n’essaye pas de me comprendre c’est peine perdue, contente-toi de m’en vouloir. Tu as prouvé que tu savais cogner, laisse-moi te prouver à mon tour que je vaux bien mieux. »
Généralement, Leone n’avait rien à prouver à personne et ne se souciait pas de l’avis d’autrui. Néanmoins aujourd’hui il tenait à montrer qu’il était suffisamment intègre pour abandonner sa place dans l’émission. De plus, il était désormais impossible pour les deux hommes de vivre sous le même toit. Sans rien ajouter, il s’avança vers l’intérieur de la maison pour rejoindre la salle de bain. Son nez ensanglanté lui faisait terriblement mal. Il prendrait ensuite rendez-vous dans la cabane en bois afin de parler des modalités de son départ avec Cupidon.
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| Sujet: Re: Et si on parlait de franchise? [08/01 à 09h00} Sam 8 Jan 2011 - 17:50 | |
| « Je préfère encore jouer les jaloux que les bourreaux. » Je ponctuais ma phrase d'un sourire, cynique et ironique. Je ne parvenais plus à comprendre cet homme, si comprendre il fallait pour entrevoir le costume endossé. Non. Il n'avait aucune excuse, et ne savait comment se dépêtré de la merde dans laquelle il s'était fourré. J'en connais qui devait être fier de lui, son piédestal s'était clairement effondré. Il perdait tout, et continuait dans cette voie, sans se rendre compte qu'il ne détruisait pas seulement l'image que j'avais de lui, mais que les gens avaient de lui. Qu'il reste donc dans son erreur. Je m'en moquais. J'avais dit ce que j'avais à dire, fait ce que j'avais à faire. J'avais une jeune femme à voir en priorité.
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