Titi a oublié ses chaussures – roses évidemment et léopard s’il vous plait – dans la chambre. Alors elle sautille joyeusement et elle gravit rapidement les marches, les unes après les autres, en direction de cette chambre numéro deux. Avant elle était dans la trois avec Joanès, mais ça n’a duré qu’une semaine. C’est pas beaucoup, mais elle est mieux dans la deux. Elle ne saurait pas dire pourquoi… Dans tout les cas, lorsqu’elle débarque tout doucement dans la chambre, elle voit un garçon de dos. Pour le coup, elle ne vit pas immédiatement qui cela pouvait être, alors, aussi agile que Tixy, Titi s’approcha de lui. Elle grimpe sur le lit, pour arriver à sa hauteur puisqu’il était debout et finalement elle grimpa sur son dos. Ses jambes autour de sa taille. Ses bras autour de son cou. « Je t’ai attrapé, tu bouges plus… » Qu’elle lui souffle dans l’une de ses oreilles, un sourire amusé sur le visage. Avant de le pencher pour voir de qui il s’agissait. Benjamin. Elle rigole. Elle aime bien Benjamin. Elle croit qu’il la prend parfois pour une folle, mais elle sent qu’il l’aime bien aussi. En plus, elle lui a fait goûter son super cocktail de la mort. Ce n’était pas de l’arnaque quand même. Elle pose son menton contre son épaule, toujours ce sourire aux lèvres, tandis qu’elle exagère des caresses contre son torse. Elle en profite, elle le fait tout le temps en même temps. « Alors comme ça on a gagné l’award du plus pervers… » Qu’elle dit, amusée de plus bel. Elle rigole encore. Elle le trouve bête cet award et pour les award bête, elle en a gagné elle. « J’avais pas remarqué que t’était un pervers… » Elle fait une moue. Elle aime bien les pervers elle, en plus, elle pense qu’elle l’est un peu aussi, mais ce n’est pas de sa faute. Elle aime bien les contacts humains, elle est comme ça. « En plus tu l’as pas fait beaucoup… Enfin à ce que j’en sais… » Titi est au fait de tout les potins, c’est vrai. Elle essaye en tout cas, mais pas pour être commère. Non au contraire, elle ne veut pas être méchante ou fouineuse, à mettre son nez partout, tout le temps. « Parce que pour moi, un pervers ça le fait au moins tout les deux jours, un truc comme ça… » Evidemment, elle parle de faire l’amour et pas d’un gilet en laine.

On reprend les bonnes vieilles habitudes beaucoup plus rapidement qu’on le croirait parfois. C’est ce qui m’est arrivé aujourd’hui, alors que j’ai fait la grasse matinée sans m’en rendre compte. Pourtant, pour une fois, je me suis couché passablement tôt, je n’ai pas fait de cauchemar et je n’ai pas descendu une bouteille de whisky à moi seul la veille. J’ai tout simplement dormi longtemps. Ce qui fait du bien, faire le plein d’énergie, c’est loin d’être désagréable. Et voilà que je suis dans la chambre, après avoir prit une longue douche, venant tout juste d’enfiler une paire de short et un t-shirt. Surpris, je réagis rapidement lorsqu’une personne, une fille, se jette sur mon dos, passant mes mains sous ses cuisses pour ne pas qu’elle tombe vers l’arrière et m’entraîne dans sa chute. Je pense d’abord qu’il s’agit d’Apolline, puisque c’est clairement le genre de la jeune femme que de me sauter dessus, mais la voix qui se fait entendre ne lui correspond pas. « Je t’ai attrapé, tu bouges plus… » Titi, la seule et l’unique. Un sourire s’étire sur mes lèvres alors que je pivote lentement la tête pour poser mon regard sur la candidate. « T’as triché, je ne t’avais pas vu arriver. » Parce que oui, si c’était un jeu, elle ne pouvait pas décider de le commencer avant même que je ne sois au courant. Et c’est moi où elle est assez tactile dans son approche. Je ne suis pas entrain de me plaindre, j’ai déjà vu plus désagréable quoi. « Alors comme ça on a gagné l’award du plus pervers… » Décidemment, c’est le sujet de la semaine. J’ai bien l’impression que tout le monde me fait la remarque. Et puis, qui a voté pour moi, si personne ne me voit comme un pervers ? C’est étrange tout de même. « J’avais pas remarqué que t’était un pervers… » Et en voilà une de plus qui ne me mettait pas dans cette catégorie. Ça reste un mystère à mes yeux tout de même. Amusé, je glisse mes mains qui sont sous ses cuisses pour les remonter doucement sous les fesses de la blonde tout en la maintenant contre mon dos. « Et maintenant, est-ce que tu le remarque un peu plus ? » J’en profite un peu, je l’avoue, mais c’est elle qui a abordé le sujet après tout. « En plus tu l’as pas fait beaucoup… Enfin à ce que j’en sais… » Je ne savais pas qu’être un pervers signifiait le nombre de conquête que nous avions accumulé. Elle a une drôle de logique, la petite. En même temps, c’est Titi, elle a toujours une logique quelque peu différente des autres, sans méchanceté. « Parce que pour moi, un pervers ça le fait au moins tous les deux jours, un truc comme ça… » Ah ouais, je ne savais pas qu’il y avait aussi un quota au niveau du nombre de jour. Je rigole en l’entendant, accrochant mon regard à celui de la belle, mon visage à quelques centimètres du sien. « Je ne savais pas que c’était un concours… » je dis à la blague. « Mais non, je ne le fais pas tous les deux jours. Malheureusement, j’aurais envie de dire. Ça serait trop parfait sinon. » Bah quoi, y’a aucun homme qui serait contre de faire l’amour minimum à tous les deux jours. Faudrait être fou.

« Gnagnagna… Tu fais ta fille là… » Qu’elle lui dit, en passant sa langue. C’est vrai quoi, elle n’a pas triché parce que c’est pas un vrai jeu et il aurait pu l’entendre, mais c’est vrai qu’elle est trop agile pour lui. Comme une vraie chatte. Du coup oui, il se plaint comme une vraie petite fille, mais là n’est pas la question. Non, elle trouve ça marrant que ce soit Benjamin qui ait gagné la récompense du plus pervers. Bon, pour tout avouer, elle a voté pour lui, mais simplement parce qu’elle n’avait aucune idée. Aussi parce qu’elle ne pouvait pas voter pour elle-même, alors elle a voté pour celui qui a fait des choses ici. Mais non, il n’a pas une tête de pervers, au contraire. Et tandis qu’elle le lui dit, elle lâche un nouveau rire, franc et joyeux, lorsqu’elle sent ses mains se glisser vers ses fesses. Il ne se gêne même pas pour le faire, comme s’il était normal de le faire. Bon, en vérité, il a raison. « Nan, pas vraiment… Tu sais, toucher des fesses, ça ne fait pas de toi un pervers. Enfin, moi je trouve pas ça dérangeant que tu le fasses… » Elle a l’habitude, ça ne la choque pas le moins du monde. Dès la première semaine de jeu, Faust lui a bien touché ses seins, alors Benjamin qui lui touche les fesses au bout de quinze mille ans. Parce que ses seins et ses fesses, c’est la même chose en fait. Et puis en plus, ils ont dansé collé-serré la semaine passée. Alors ce n’est pas grand-chose. Par contre, faire l’amour, pour elle, ça le rend un peu pervers. Enfin, on reconnait un pervers au nombre de ses conquêtes et finalement, l’homme n’en a pas eu temps que ça ici, au sein du jeu. Pourtant, elle ne voit pas ça comme un concours. « Si c’est un concours… Bah on est ex-aequo je crois ! » Elle dodeline de la tête. Elle a entendu parler de deux conquêtes pour lui. Si c’est le cas, et bien elle en a eu autant que lui ici. Elle n’en a pas honte, elle est plus libérée voire sexuellement débridée qu’elle en a l’air sous ses airs de petites filles, ou de petite écervelée blonde. Dans tout les cas, elle sourit joyeusement car il n’est pas contre le fait de faire l’amour deux fois par jour. « Oui, je pense pareil… Ca doit être bien… » Qu’elle dit, en soufflant. C’est plus compliqué que ça en à l’air de trouver de quoi faire l’amour tout les deux jours, même pour une femme. Tous les hommes ne pensent visiblement pas à ça et c’est difficile de le dire en tout mot. Bien qu’elle n’ai jamais eu de mal à se faire du bien. « Enfin, peut être pas tout les deux jours quand même, mais au moins trois fois par semaine… » Elle sourit toujours, resserrant un peu sa prise sur le jeune homme, avant de venir appliquer ses lèvres contre les siennes, rapidement. Elle le fait comme ça, parce que la situation l’encourage et parce que son visage est trop proche du sien. S’il proteste, elle a l’excuse du baiser russe. Elle l’a déjà fait plusieurs fois. Un simplement bonjour, comme ça, amical. « En fait j’ai mis ton prénom pour le plus pervers… Même si t’as pas une tête de vicieux… » Qu’elle dit en chuchotant légèrement, tout proche de son oreille.

« Gnagnagna… Tu fais ta fille là… » De quoi je fais la fille, en quoi je fais la fille ? Et c’est péjoratif envers les filles en fait, ce qu’elle insinue. Dans un sens, je doute que Titi disait cela avec une mauvaise intention. J’ouvre donc la bouche grandement, comme si j’étais subitement choqué de ce qu’elle me disait, avant de lui tirer la langue comme un gamin de quatre ans. Sauf que bon, le gamin, il a une réputation de pervers par ici. Enfin, pas selon Titi cependant. Je tente donc de lui montrer le contraire en glissant mes mains contre ses fesses, ce qui semble réellement l’amusée plus qu’autre chose. Son rire est contagieux, me donnant encore plus le sourire. « Nan, pas vraiment… Tu sais, toucher des fesses, ça ne fait pas de toi un pervers. Enfin, moi je trouve pas ça dérangeant que tu le fasses… » De ce niveau, on dirait que rien dérange Titi réellement. Mais bon, si ça ne la dérange pas, dans ce cas… « Je vais les laisser là alors. » je réponds, tout innocent. Quoi, elle même a dit que y’avait aucun mal à le faire ? Elle parle de conquête et je lui fais savoir que je ne savais pas qu’il s’agissait d’un concours en fait, cette histoire. Je ne suis franchement pas sérieux, mais ça m’amuse d’embarquer dans les délires de Titi. « Si c’est un concours… Bah on est ex-aequo je crois ! » Je hoche la tête, enregistrant l’information avant de tourner la tête en direction de la candidate. « Ah ouais, deux ? Je savais même pas. » Non en fait, je ne sais même pas avec qui elle a couché, bien que j’avais entendu dire qu’elle était plutôt libéré à ce niveau. De toute façon, selon Titi, pour être un pervers, il faut faire l’amour à tous les deux jours. Pour ma part, je ne me plaindrais pas d’une telle situation, bien qu’il est évident que ce n’est pas ce qui se passe ici en ce moment. « Oui, je pense pareil… Ca doit être bien… Enfin, peut être pas tout les deux jours quand même, mais au moins trois fois par semaine… » Trois fois par semaine, c’est normal selon moi. Bien que bon, en réalité, ce n’est pas toujours ce qui se produit. Il paraît que lorsqu’on est longtemps en couple, on vient à moins s’adonner à ce genre d’activité. Je trouve ça triste si vous voulez mon avis. « Trois fois par semaine, je ne te trouve pas très exigeante. » je souffle à mon tour, alors que nos visages se sont légèrement rapprochés. Justement, Titi me surprend en venant me voler un baiser. Le sourire en coin, je fixe ses lèvres à peine qu’elle vient de les distancer des miennes. « En fait j’ai mis ton prénom pour le plus pervers… Même si t’as pas une tête de vicieux… » J’en étais sur. C’est impossible que j’aie obtenu le titre sans que personne n’ait voté pour moi. « Dans ce cas. » Je pivote sur moi-même, me penchant vers l’arrière et retirant mes mains de sous les fesses de la blonde pour la laisser lourdement tomber sur le lit derrière nous. « Oh, je suis sur que tu le penses un peu, même si tu prétends le contraire. » Qu’elle assume son vote un peu. Au moins, elle a prit la décision de me le dire. En fait, je m’en fous complètement du vote qu’elle m’a donné. Ça m’amuse plus qu’autre chose. Je me penche finalement au dessus de la candidate, les deux mains de chaque côté de sa tête, un vrai sourire pervers cette fois-ci sur mes lèvres. « Et maintenant, est-ce que tu le remarques plus ? » Je prends bien soin de répéter la même phrase d’il y a à peine quelques secondes, mes lèvres venant frôler les siennes dans un mouvement parfaitement contrôlé.

Titi n’est pas du genre à s’énerver si on lui touche les fesses. Elle serait du genre à penser qu’au moins, c’est la preuve qu’elle est désirable. Qu’elle est belle. Qu’on veut la toucher. En plus, elle se sent mieux maintenue sur son dos, ainsi. Que demander de plus ? De parler de son statut de pervers. Parce qu’elle aime bien parler de ça et que ça l’amuse. D’ailleurs, elle ne gêne pas pour lui dire implicitement le nombre de ses conquêtes. Il semble étonné par ça. Il lui précise même qu’il ne le savait pas. Elle rigole, en se mordillant la lèvre inférieure. « Ca c’est parce que je suis discrète… » Qu’elle dit avec un clin d’œil. En vérité, elle ne l’est pas du tout parce qu’elle en parle librement, sans aucune honte. Après tout, elle l’a fait devant des caméras, donc elle ne va pas devenir soudainement pudique. En plus, elle pensait que tout le monde le savait. Parce que même si avec Faust, ça a été fait dans la maisonnette perchée, avec Ollie, ça a été fait à la sauvage, dans la salle de bain ; n’importe qui aurait pu les interrompre. Bon, après, elle se dit que deux fois par semaine, c’est peut-être un peu trop. Elle ne sait pas vraiment qu’elle est la fréquence normale. Elle n’a jamais été en couple et elle l’a toujours fait comme ça, sans vraiment réfléchir. Il lui ait déjà arrivé de le faire trois soir d’affilé et plus après pendant une semaine. C’est comme ça. Du coup, elle hausse ses épaules. « Je crois qu’une fois par semaine, ça m’irait aussi, parce que je suis trop en ab-sti-nence ici… » Qu’elle lâche, en soufflant. Et un gros problème se pose : à force d’en parler ou d’y penser, elle se donne elle-même encore plus envie de faire des choses. C’est bien de se toucher de temps en temps, mais pas le faire avec une vraie personne, c’est chiant. Du coup, elle tente des choses et elle le fait sans honte parce qu’elle ne réfléchit pas. Elle n’a peur de rien. Elle embrasse alors Benjamin et tout s’enchaîne assez rapidement. Il sourit, elle avoue avoir voté pour lui, il se penche en arrière et elle tombe à la renverse sur le lit. Titi lâche un nouveau rire, elle ne peut vraiment pas s’en empêcher. Est-ce qu’elle le pense vraiment un tout petit peu ? « Tu ne le saura jamais… » Qu’elle dit doucement, en cachant sa bouche pour masquer son sourire. Non, il ne saura jamais ce qu’elle en pense de tout ça. Même si le fait de voter pour lui, lui donne quand même un indice. Doucement, il se penche au-dessus d’elle. Sans un mot, elle le regarde avec ses deux grands yeux bleus. Elle se demande ce qu’il comptait exactement faire, mais elle sait déjà que ça allait lui plaire. Pourtant, elle a un plus petit sourire. Elle est pendue à ses lèvres. Finalement, il lui demande à nouveau si elle le remarque plus. Qu’il est pervers, évidemment. Elle se mordille un peu la lèvre. Il le fait exprès de se pencher aussi proche d’elle et le pire, c’est qu’elle se prend au jeu. Elle approche aussi les siennes, de lèvres, sans pour autant les toucher. « Si tu y tient, vraiment un tout petit peu alors… » Qu’elle susurre. Juste un petit peu alors pour lui faire plaisir, parce qu’il n’a rien fait de bien pervers. C’est pervers de s’allonger sur elle ? Elle ne trouve pas. Et toujours sans rien dire, elle vient lui mordiller la lèvre inférieure, à Benjamin. Sensuellement. Il n’a qu’à pas mettre ses lèvres aussi proches des siennes après tout. Elle sourit. Elle lui parle toujours aussi doucement. « Et moi… Tu crois que j’en suis une ?... » Elle lui demande, tout en déposant ses mains sur le haut de son dos. Doucement, elle les laisse glisser le long de celui-ci, jusqu’à ses fesses. Après tout, il l’a fait avant elle, il ne va pas s’en plaindre. Elle lui touche les fesses sans honte, en profitant en maximum. Elle le presse aussi un peu contre elle, pour coller son bassin au sien. « Alors… » Elle sourit, amusée.

Titi est discrète en ce qui concerne ses conquêtes dans le nid. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai un certain doute sur cette affirmation. Ce n’est pas parce que je ne peux pas nommer sur le bout de mes doigts avec qui elle a couché qu’automatiquement cela fait d’elle quelqu’un de discret à ce sujet. C’est juste moi qui ne porte pas toujours attention à tout ce qui se passe autour de moi. J’ai une mémoire sélective. Sinon, pour ce qui est du nombre de fois minimum que l’on devrait faire l’amour par semaine, je suis bien d’accord avec trois fois moi, je n’y vois aucun problème. « Je crois qu’une fois par semaine, ça m’irait aussi, parce que je suis trop en ab-sti-nence ici… » Quoi ?? Une fois par semaine ? Elle vient de baisser ses standards d’un seul coup, là. Je secoue la tête bien que je comprends qu’ici, il est vrai que ce n’est pas comme à l’extérieur. Et ça va, je suis aussi capable de survivre sans m’envoyer en l’air, je rassure tout le monde, je ne suis pas un obsédé non plus. « Une fois par semaine, c’est très peu. Ça fait couple marié depuis 30 ans si tu veux mon avis. » je commente en faisant une petite moue. Bon, on ne va pas s’attarder sur le sujet durant mille ans, parce que moi je veux savoir si Titi me croit réellement pervers, et en sachant qu’elle a voté pour moi, je commence à croire qu’elle me ment un peu la petite blonde. En quelque seconde, la voilà étendu sur le lit à rigoler comme un  enfant alors que je me suis penché au dessus d’elle attendant une certaine réponse. « Tu ne le saura jamais… » Ouuuuhh, ce qu’elle est mystérieuse. Je retiens un sourire, alors que je me la joue un peu plus sérieux et surtout, un peu plus pervers, afin de lui reposer la même question d’il y a quelques minutes. Mes lèvres frôlant les siennes, j’ai comme l’impression que cela vient de prendre une nouvelle tournure. Je ne suis pas entrain de me plaindre non plus. « Si tu y tient, vraiment un tout petit peu alors… » Un faible sourire s’étire sur mes lèvres alors qu’elle vient mordiller celle inférieur ce qui, je l’avoue, à un certain pour éveiller mes sens, sans pour autant que je devienne trop enthousiasme. « Et moi… Tu crois que j’en suis une ?... » Au début de l’aventure, j’aurais bien dit que Yityish incarnait l’innocence même. Aujourd’hui, un peu moins. De toute façon, juste à voir comment elle vient de déposer ses mains contre mes fesses, me pressant avec une certaine insistance contre elle. Elle est bien embarquée dans le petit jeu maintenant. Et je ne pense pas que je suis sur le point d’arrêter, même si moralement, je sais pas, mais je crois que ce serait probablement la chose à faire. « Un tout petit peu, je dirais… » que je souffle contre ses lèvres, en reprenant ses paroles. Ma main vient subtilement se faufiler sous le haut de la demoiselle tout en faisant moi-même un peu plus pression sur son bassin, me décidant finalement à venir l’embrasser fougueusement, considérant que je me suis assez contenu pour le moment. Nos langues faisant connaissance durant un moment, je me sens un peu plus aventurier, mettant fin au baiser pour simplement glisser mes lèvres contre le cou de la blonde, descendant encore un peu plus bas, ayant déjà prit la peine de relever le chandail qu’elle porte pour déposer une série de baiser sur son ventre, ma se faufilant déjà à l’intérieur de ses cuisses. Si je suis trop entreprenant pour la candidate qu’elle me le dise, je m’arrêterai, non sans une certaine frustration, mais je m’arrêterai. Mais quelque chose me dit qu’elle n’est pas contre le moment que nous sommes entrain de vivre.

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