SaoirseMESSAGES : 427 EMPLOI : commissaire CITATION : « JE VEUX BIEN ETRE REINE MAIS PAS L'OMBRE DE ROI» JUKE BOX : WAKEY!WAKEY! ♪ THE OH SONG POINTS : 443
LOVER'S LIFE CAGNOTTE: 10 000 € RELATIONS: PARTENAIRE: xander
| Sujet: When we kiss. FIRE 04.11.10 - 01H21 Sam 4 Déc 2010 - 1:10 | |
| libre Un prime, de nombreux rebondissements et un ascenseur émotionnel assez impressionnant. J’étais passée de l’allégresse à la déception en quelques secondes. Je n’allais pas cacher que l’élimination de Rafael me faisait plaisir et son retour était plus que frustrant. Malgré l’injustice de sa soit disante élimination, celle de Maxime l’était au final bien plus. Mais le malheur des uns fait le bonheur des autres, c’est bien connu, ainsi j’étais forte aise de pouvoir rester une semaine de plus dans la maison, au moins. A moins que le téléphone rose ne fasse encore des siennes. Mais j’espérais clairement être la prochaine à pouvoir le décrocher. Si certains avaient des remords quant aux éliminations ce n’était pas mon cas. Ce que j’avais du mal à comprendre c’était surtout l’entrée de na nouvelle fille alors que Maxime sortait. C’était étrange, comme si Cupidon et tout les gens qui s’en occupaient derrière n’en avait que faire de nous torturer. Quoi que c’était sûrement leur but après tout. Nous pousser au delà de nos limites. Soit, je relèverais aisément le défi. Une bouteille de vodka à la main, elle ne prit pas la peine de se changer et se dirigea vers le balcon. Assise sur un fauteuil, en tailleur, j’analysais un à un le prime qui venait de se dérouler, la vodka aidant simplement à me détendre. La grande blague restait quand même Alice et Nolan le grand couple de la semaine. Non que je m’attendais à recevoir ce prix mais il fallait le dire que pour gagner un buzz il fallait fourrer sa langue dans la bouche de chaque hommes présents dans la maison, je m’y serais mise bien avant. Ou plutôt j’aurais simplement commencé puisque je n’avais encore embrassé personne. Étonnant d’ailleurs. Il y avait bien faillit avoir Camille mais ce n’était pas arrivé. A côté de certaines filles je devais presque passer pour une sainte nitouche, navrant. C’est sans doute pourquoi en voyant la fenêtre s’ouvrir et quelqu’un pénétrer sur le balcon, je me suis levée sans réfléchir pour lui arracher un baiser. La bouteille à la main, je lui passais pour ensuite me rasseoir, sans dire un mot. |
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