feat. samuel

Hivana dans la bibliothèque.. ouais je m'en étonne moi-même. Depuis le début de l'aventure ça m'était déjà arrivé deux fois. La première fois j'avais attrapé un livre que je n'ai.. jamais lu.. enfin si, la quatrième de couverture et les deux premiers chapitres. Et la deuxième fois, je me retrouvais ici après que Vadim m'ait balancé un bouquin à la figure, m'ordonnant d'aller le remettre à sa place. Sur le coup, je l'avais ramassé pensant que le Russe venait de relire le guide de la sexualité, vous savez le gros bouquin pour les enfants avec les illustrations et tout, allons savoir si il avait finalement fini par s'intéresser à ce qu'il lâchait dans les utérus qu'il pénétrait. Mais, en voyant le livre, le titre et le nombre de pages. J'en concluais que ça devait certainement être un truc qu'il avait ramassé quelque part au hasard. Bonne poire, pour le coup, j'avais alors rejoins la bibliothèque, reposant le livre là où je trouvais un trou à combler, tout ça avant de me retourner et de rentrer dans un candidat, dans Samuel précisément, je reconnaissais la forme de son corps, bien que cette fois-ci il n'était plus aussi découvert que sur le balcon. Je me reculais d'un pas. « Décidément il semblerait que nous soyons destinés à nous rentrer dedans à chaque fois. » souriais-je en replaçant une mèche de cheveux derrière mon oreille, faussement gênée.

Il était aux alentours de 17h et je me faisais chier comme un rat mort depuis que je m'étais levé. En effet, aujourd'hui, aucune activité n'avait été proposé aux habitants du nid d'amour. De plus, j'avais une énorme crampe à la jambe qui m'empêchait de pratiquer toute sorte d'activité physique. Moi qui adorait ça, quelle aubaine ! J'avais donc décidé de discuter voyages avec Shannon autour d'un café, mais, en plein milieu de la conversation, il m'avait été impossible de me souvenir du nom d'un pays Asiatique, peu connu, que j'avais visité. Après de longues minutes de recherche intellectuelle qui se soldèrent par un échec, j'avais décidé de venir me renseigner à la bibliothèque. Je détestais par dessus tout ne plus me rappeler de quelque chose. Surtout que j'avais le nom du pays au bout de la langue. Bref, cinq minutes plus tard, après avoir enfin trouvé, je reposa l'encyclopédie empruntée, d'un air satisfait et sorti de la rangée de livres. C'est alors qu'une candidate me rentra dedans. Décidément, le destin était contre moi aujourd'hui. Quoi que.. peut-être plus pour longtemps car la jeune fille n'était autre qu'Hivana, la jolie brunette avec qui j'avais partagé un baiser fougueux l'autre soir sur le balcon. Malheureusement pour nous, notre rapprochement avait été écourté lorsqu'on avait entendu deux candidats arrivés vers nous. On avait décidé d'un commun accord de s'en arrêter là et de reporter nos affaires à une autre fois pour ne pas faire scandale. « Moi qui pensais que le destin m'en voulait aujourd'hui, je me suis peut-être trompé finalement. » déclarais-je avec un sourire en coin à la jeune femme. Allait-on reprendre là où on s'en était arrêté ?

J'avais déjà rencontré le jeune homme sur le balcon intérieur de l'hôtel, là où nous avions partagé un baiser particulièrement fougueux. Plusieurs baisers d'ailleurs, tous aussi fougueux les uns que les autres. Ce soir-là j'avais également pu profiter de son sublime corps musclé sur lequel je ne m'étais pas empêchée de baver et ceux de manière vraiment indiscrète. La situation aurait pu devenir plus intéressante, elle aurait pu dériver sur bien plus que de simples échanges de lèvres, si seulement d'autres candidats n'étaient pas arrivés au moment où les choses commençaient à bouger.. La remarque de Samuel me fit sourire, j'enchaînais d'ailleurs juste après. « Je suis aussi forte que ça ? Pour égayer une journée en un fragment de secondes ? » le questionnais-je, intriguée. Je regrettais seulement qu'il ne soit plus aussi peu vêtu qu'il l'était la semaine précédente.. et il y avait de fortes chances pour que je finisse par le lui dire à un moment ou un autre. « Dommage que tu ne sois plus en caleçon.. » Je laissais mes yeux se poser sur lui encore une fois, le déshabillant complètement du regard.

En cet instant j'eus une sorte d'illumination. Je m'étais totalement trompé. Le destin n'était pas contre moi aujourd'hui ; il avait tout simplement tout planifié de A à Z. Le fait qu'on n'ait pas eu droit à une activité collective pour la journée, le fait de me préserver physiquement de toute activité et que je ne retrouve pas le nom du pays tant cherché, n'était pas un simple hasard. Monsieur le destin avait simplement prévu qu'aujourd'hui je retrouve Hivana, en pleine forme, pour faire ce qu'on avait pas eu le temps de faire auparavant. Celui-ci étant ma seule religion, je décida de mettre tous les moyens en œuvre afin de lui rendre honneur. C'est pourquoi je n'hésita pas à faire du rentre-dedans à la jolie brune. « On dirait bien ! » répondis-je avec un air coquin et en collant mon corps contre celui d'Hivana. Pour ma part j'étais plus que partant pour reprendre là où on s'en était arrêté, faire cela dans une bibliothèque c'était une grande première et je trouvais ça plutôt excitant. Sachant qu'il n'y aurait pas tellement de risque qu'on se fasse choper, cela me paraissait être un bon plan. « Ça peut s'arranger. » murmurais-je alors sensuellement au lobe de la brune. Je lui lança un regard qui voulait en dire long et attrapa sa main avant de la guider délicatement à l'intérieur de mon pantalon et de mon caleçon.

Le jeune homme attrapa délicatement ma main et, sans la moindre gêne, la glissa dans son caleçon. Je suivais mes doigts du regard, avant qu'ils ne disparaissent sous le tissus et que je ne relève les yeux vers le visage de Samuel, le regardant en souriant. « Oh, je constate que monsieur est vraiment, vraiment, bien bâti.. » lâchais-je en tâtant le matériel. Je ne me gênais pas pour commencer à jouer délicatement de ma main sur l'entrejambe du candidat, passant mon bras encore libre au dessus de son épaule, et allant à la rencontre de ses lèvres. Cette fois-ci, pour être sûre que personne ne nous dérange, je me débrouillais pour pousser une chaise contre la porte, bloquant ainsi la poignée et empêchant alors aux autres d'entrer dans la pièce. Je ne voulais pas être interrompue une seconde fois. Ma main, toujours dans le caleçon du jeune homme, augmentait le nombre de ses vas-et-viens sur l'entrejambe de Samuel, accélérant le rythme tandis que je capturais toujours les lèvres de ce dernier grâce aux miennes.

Cette fois-ci l'on avait décidé de ne pas perdre de temps. Même pas une minute après s'être retrouvés, nous avions repris là où on s'en était arrêté auparavant. Pour être sûr de ne pas être interrompu à nouveau, on avait, ou plutôt elle avait, pris soin de fermer la porte de la bibliothèque en la bloquant. Comme ça si quelqu'un voulait entrer, il ne pourrait pas voir nos ébats sexuels.

Après avoir chauffé la jolie brune, j'avais décidé d'être direct et de l'amener vers mes parties génitales. Celle-ci ne fit pas sa timide puisque, dans un premiers temps elle tâta la marchandise en exprimant son contentement face à l'épaisseur de la chose, puis dans un second temps elle commença une série de va et viens à travers les bouts de tissus qui me restait sur le corps. « Tu avais peur d'être déçu ?! » lui répondis-je ironiquement en interrompant le temps d'une seconde notre baiser passionné. Elle me répondis à son tour, puis notre partie de jambe en l'air reprit de plus belle. Cette fois, je déboutonna mon pantalon, puis lui laissa faire le reste, lui insinuant que la masturbation serait bien plus pratique sans bout de tissus. Pour ma part, tout en continuant d'entremêler ma langue avec la sienne, je passa ma main froide dans son dos, lui enleva d'abord son haut sauvagement, puis ensuite son soutiens-gorge pour venir déposer mes lèvres sur son cou et ses seins, avant de reprendre notre baiser.

HJ : je crois que le titre du sujet mérite un "hot"

Je n'allais pas le nier, Samuel était vraiment bien monté et j'imagine que les hommes qui le croisait dans la rue devaient se sentir vraiment pas terrible à côté. Je n'insinue pas non plus que tous les autres mâles sont affreux, seulement, je n'avais pas encore trouver de réel concurrent au candidat pour l'instant. Je pensais au nombre de filles qui rêveraient d'être à ma place en ce moment même, désolée mesdames c'est mon tour aujourd'hui ! Je sourirais, continuant mes mouvements sur l'entrejambe du jeune homme, accélérant le rythme au fur et à mesure que le temps s'écoulait. « Je dois avouer que je t'avais un tantinet sous-estimé. » Je fis voeux de silence juste après ça. Dévorant Samuel du regard, et profitant du fait qu'il se déshabille pour passer ma main libre sur les moindres parties de son corps, allant de ses cuisses tout en remontant jusqu'au haut de son torse, avant de l'agripper en lui offrant un énième baiser. Mes vêtements ne mirent pas longtemps à prendre le même chemin que ceux de l'habitant du nid, allant s'échouer sur le sol. Il ne m'avait retirer que le haut, ainsi que mon soutiens-gorge, pour l'instant, et je l'aidais d'une de mes deux mains, celle qui n'était pas occupée à faire des vas-et-viens sur ce qui faisait de lui un homme précisément, en allant faire glisser mon jean le long de mes longues jambes. Une seule barrière s'imposait encore entre nous, ma bonne vieille petite culotte, motivée, je l'attrapais et lui fis subir le même sort que le restant de ma tenue, enfin entièrement dénudée. La situation, surtout nos deux corps nus, annonçait que cette fois-ci, il n'y aurait aucuns moyens de nous distraire et de nous empêcher de faire ce qui aurait déjà du se produire la semaine passée.

Les mouvements de vas et viens que procurait Hivana sur mon pénis étaient de plus en plus intenses. Au début, si ceux-ci ne m'avaient pas tellement fait effets, ils augmentaient à présent grandement mon désir envers la jeune femme. Cela pouvait probablement s'expliquer par le fait que les bouts de tissus tout juste retirés de mon corps n'empêchait plus la vitesse et l'intensité de la masturbation. « Tu ne vas pas être déçu ! » déclarais-je fermement et sûr de moi après que la jeune fille ait retiré l'ensemble de ses vêtements et des miens. Sans attendre, je m'étais emparé du frêle corps de la brunette afin de la déposer sauvagement sur le premier bureau venu dans une position semi-allongée. J'avais au préalable balançais par terre, d'un coup sec, les deux-trois livres s'y trouvant. Je me pencha alors sur la jeune femme, que je venais brusquement de poser sur le bureau, et laissa se balader une de mes mains délicatement sur son organisme tout en mêlant ma langue pour la énième fois à la sienne. Pendant que ma main droite soutenait sa tête à la manière d'un coussin, ma main gauche glissait, elle, petit à petit, vers son anatomie intime. Je caressa ainsi du bout de mes doigts son vagin en espérant la faire frissonner de plaisir. Au bout d'un moment, je glissa mon majeur à l'intérieur de celui-ci, d'un mouvement brusque. La jeune femme émit alors un cri de plaisir. Sans perdre une seconde, je commença les vas et viens à l'intérieur de son clitoris, en y allant franco avec mon doigt.