Notre première rencontre que je qualifiais comme officielle puisque nous nous étions déjà croisés quelques fois sans prêter attention l’un à l’autre par le passé remontait à un bon mois maintenant voir plus en réalité puisque nous en étions à la fin de la deuxième semaine d’aventure si mes souvenirs étaient exacts. Ce fameux soir Lhoas se trouvait devant les falaises et par pur gentillesse j’étais venu lui demander s’il désirait manger avec nous puisque j’avais préparé le repas du soir. A force de persuasion je m’étais retrouvé à ses côtés bras dessus bras dessous sans savoir comment est-ce que toute cette situation avait commencée, la suite tout le monde la connaissait. Le flirt puis les sentiments et puis ma première fois avec un homme suivi d’une bonne semaine de froid et maintenant… Nous entamions une partie bien plus sérieuse de notre relation et j’avais hâte de voir que cela donnerait, il était mon premier petit copain, ma première relation avec quelqu’un de manière exclusive. Le fait que je lui fasse savoir que j’avais finir par l’épuiser sexuellement semblait ne pas le convaincre puisqu’il demandait en quelque sorte une preuve en déposant ses mains contre tout mon corps et plus particulièrement sur mon boxer sur lequel il s’installait à califourchon. Il parvenait à m’exciter très rapidement ce qui était plutôt rare tellement j’avais le contrôle sur mes émotions sexuelles généralement. Pour dire vrai je ne pouvais pas me forcer à voir d’horribles images pour ne pas me mettre en érection. « C'est ce qu'on va voir » Ses baisers me font frémir, sans plus attendre je retrouve ses lèvres le faisant basculer pour se retrouver en dessous de moi. « Même si c’est un endroit bien indiscret je ne peux répondre à tes besoins mon cher. » Ma langue vient se balader sur son torse alors que je déboutonne son pantalon qui tombe à ses pieds bien rapidement.

Tandis que Lhoas allait à l'encontre du torse du jeune homme avec sa langue, après s'être mis à califourchon sur son corps seulement habillé d'un caleçon, Baptiste lui assura qu'il pouvait le satisfaire ici-même, même si l'endroit n'était pas très à l'abri des regards. « Même si c’est un endroit bien indiscret je ne peux répondre à tes besoins mon cher. » À vrai dire, faire l'amour en public ne dérangeait pas le moins pudique de la maison - voire même exhibo d'ailleurs - non loin de là. Le jeune mignon petit bonhomme parcourut alors le torse de Lhoas à l'aide de sa langue, pour le plus grand plaisir de ce dernier. Il s'attaqua bien vite au pantalon de Lhoas, qui finit bien vite à terre, Lhoas se retrouvant désormais lui aussi en caleçon. La scène étant donc Baptiste au dessus désormais, en caleçon, et Lhoas en dessous, se retrouvant lui aussi en caleçon. Et leurs langues divaguant sur le torse de l'autre. Une main baladeuse - celle de Lhoas - s'aventura dans le caleçon de Baptiste pour aller lui caresser les deux morceaux de chair bien tentatrices qui faisaient le prolongement du dos du jeune garçon. Si quelqu'un arrivait, qu'il regarde, qu'il filme, qu'il se marre, qu'il les rejoigne, peu importe, Lhoas ne s'arrêterait pas. « J'ai toujours rêvé de faire ça en public » confessa-t-il.

Faire l’amour en public n’avait bizarrement jamais été mon fantasme secret, non comme Cupidon l’avait révélé dans la soirée de la Saint Valentin j’avais toujours trouvé ça sexy de faire l’amour avec deux personnes dans un ascenseur. Allez savoir pourquoi mais il faut dire que je n’avais jamais été un mec qui avait des fantasmes simple, j’aimais les choses difficiles à réaliser parce qu’il fallait se mettre en danger et c’était tout de suite plus orgasmique. Pourtant baiser, là, devant les caméras et à la vue de n’importe quel candidat ne me dérangeais pas plus que cela pour dire vrai, Lhoas m’excitait beaucoup trop pour que je puisse penser pendant ne serais-ce qu’une seule seconde cette idée pourrait être mauvaise, très mauvaise. Les mains du jeune homme viennent s’aventurer contre mes fesses qu’il a déjà explorées une fois par le passé. Aujourd’hui je suis d’humeur à représenter sa première fois avec un homme, sans prévenir je lui tire son boxer me penchant pour venir m’approprier son pénis que j’enfonce dans ma bouche pour l’humidifier et lui faire du bien. « J'ai toujours rêvé de faire ça en public » Je le regarde avec un petit sourire. « Ton rêve va devenir réalité aujourd’hui. »

Baptiste était un vrai coquin et il avait tendance à souvent aller droit au but. C'est pourquoi, sans plus attendre, il plongea sa main dans le caleçon de celui qui se tenait désormais en dessous de lui, et prit son engin à pleine bouche, souhaitant lui faire plaisir. Lhoas ne put retenir un gémissement de bonheur. Nan mais en fait, ils allaient vraiment se retrouver à poil sur un transat en plein milieu du parc ? Et faire l'amour alors que tout le monde pouvait les voir ? Visiblement ouais. Bon ce n'est pas Lhoas que ça dérangerait. Peut-être ses petites demi-soeurs seraient-elles un peu choquées, mais il y aurait toujours moyen de s'expliquer. Lhoas envoya bien vite valser le caleçon de son amant qui s'affairait à lui faire du bien, et ils se retrouvèrent bientot tous deux nus sur le transat, sous le soleil chauffant rayonnant sur le parc. Sans trop tarder, Lhoas entreprit de communier avec Baptiste, ce qui arracha un cri de plaisir au jeune homme.

Faire l’amour dans un lieu public n’avait jamais été mon délire mais aujourd’hui j’étais tellement excité que j’étais même prêt à m’occuper du cas de Lhoas sur les marches d’un commissariat de police. Je ne pensais même pas aux caméras qui n’allaient pas rater une miette de nos ébats et je m’en fichais puisque de toute manière ils ne pourraient pas les diffuser à une heure de grande écoute. Je ne pouvais plus patienter, sans attendre je venais m'asseoir à califourchon sur les jambes de mon chéri me retrouvant bien vite en contact avec son petit soldat qui entrait bien vite en moi. Les premières secondes étaient quelque peu douloureuses avant que je ne succombe au plaisir gémissant sans aucune discrétion, je prenais un appui sur le corps de mon amant sautillant contre lui en appréciant tout ce qu'il se produisait en ce moment.