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 sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures.

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Gabrielle

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MessageSujet: sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures.   sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures. EmptyLun 12 Mar 2012 - 18:07

G A B R I E L L E & S Y S S O Ï.

Syssoï était parti, et Gabrielle se sentait clairement abandonnée, c'était le mot. Elle avait appris par un de leur compagnon que le français s'en était allé. Elle avait accusé le choc comme elle pouvait, il le lui avait même pas dis au revoir. La rousse se demandait encore si ce n'était pas une mauvaise blague, parce que là, elle venait de perdre son repère. Son partenaire, et bien plus encore. Gabrielle a du mal à s'n remettre, elle ne sait pas quoi dire, elle n'a pas envie d'aller vers les autres aujourd'hui, elle n'a pas envie de voir les mines réjouites de certains qui pensent qu'un grand adversaire est parti, et qe c'est temps mieux. Elle a envie de les gifler. On lui a adressé un nouveau partenaire, Sonny, elle ne le connait même pas. Elle a du lui adresser genre même pas trois mois tout le long de l'aventure, et il est hors de question qu'elle dorme avec lui, personne ne remplacerait Syssoï. Elle s'en fiche, elle resterait dans leur lit, qu'elle soit seule ou non. Tous le monde s'est réunit dans le salon, Cupidon ayant une annonce de la plus haute importance à faire, apparemment. Gabrielle ne fait même pas le déplacement, elle n'a pas envie de bouger, elle veut rester là, habillée et allongée sous sa couette. Elle ne remut pas un cil quand elle voit la masse de candidat qui se dirige vers le salon, rien à faire. Evidemment la rouquine ignorait totalement que c'était le retour de Syssoï qui était annoncé, sinon elle serait déjà entrain de courir pour s'y rendre, ça coulait de source. La chambre est désormais vite, tant mieux, elle va pouvoir se changer, et dormir tôt, demain serait un autre jour. Elle avait hâte de s'endormir, pour ne plus pouvoir pensé, et ne pas rêver si possible. Gabrielle s'extirpe des draps, se met face à la porte. Elle s'enlève son haut, et enfile un large tee-shirt, et retire son jean. La porte s'ouvre, et elle entend des bruits de pas dans son dos. Elle ne prend pas la peine de se retourner. Elle passe une main dans ces cheveux. « Je te préviens tout de suite que je ne change pas de lit, et que je veux dormir seule. » murmure t-elle en pensant qu'il s'agit de Sonny. Elle reste toujours dos à l'intrus. Elle est loin de se douter qu'il s'agit de Syssoï.
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Syssoï
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MessageSujet: Re: sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures.   sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures. EmptyLun 12 Mar 2012 - 21:59

Je suis parti. Pas longtemps, même pas 24h, mais j’ai quitté le nid, oui. Je me doute que beaucoup doivent se demander pourquoi j’ai pris cette décision, et bien qu’ils continuent à se la poser, au moins ça leur occasionne le minimum syndical d’activité neurale, et pour certains, c’est pas du luxe. J’ai d’explication à fournir à personne, à part celles que j’ai déjà fournie à la Prod, une Prod qui m’a offert ce qu’on offre jamais, en général : le temps de la réflexion. Juste du temps pour moi, loin de tout le monde, sans pression, sans animosité, sans tentative de retournage de cerveau, sans regard de chien battu, juste du temps avec moi et seulement moi, afin de prendre une décision que je prendrais pour moi, et pas pour faire plaisir à quelqu’un, ou pour épargner quelqu’un. Et ma décision a été de réintégrer l’aventure, une décision qui ne tient qu’à moi, parce qu’il aurait été con d’y mettre un terme juste à cause d’un inconfort émotionnel et d’une remise en question de tout mon système interne. Je dois apprendre encore, je dois comprendre encore, et pas me barrer juste parce que je ne comprends pas ce qui m’arrive. De toute manière, dès que j’eus passé les portes, le phénomène de manque c’était fait ressentir, plus fort, plus violent que la fois précédente. J’ai pris sur moi, estimant que ça passerait, sauf que ce ne fut pas le cas. J’ai pris ma décision de revenir ce matin, mais on ne m’a réintégré que ce soir, pour privilégier le suspens, certainement, et je sais que ce retour ne se fera pas sans heurts. Certains étaient ravis de me voir partir, pas de bol. Mais qu’ils se rassurent, je suis nominé, ils vont pouvoir se lâcher en hurlant au favoritisme. Pour d’autres, je le sais, mon départ a fait l’effet d’une bombe H, aussi inattendue qu’Hiroshima, aussi mal venue qu’Hiroshima. J’aurais pas du partir comme ça, j’aurais du dire aurevoir, claquer des bises, serrer des mains, mais aurais-je pu partir alors ? Et puis merde, je suis un connard, j’ai prévenu dès le début. Pourquoi je me sens coupable, là ? Encore une mutation génétique indésirable. Faut que je m’y fasse. Comme il faut que je me fasse à cette trouille enfantine qui s’empare de moi tandis que je presse le pas en direction de la chambre. On m’a dit qu’elle était là-bas, il faut que je la vois. J’en mène pas large, mais j’ai pour habitude de toujours assumer les conséquences de mes actes, et si je dois m’en prendre plein la gueule, alors je m’en prendrais plein la gueule. Elle est là, dos à moi, dans son tee-shirt trop grand que je reconnais comme m’appartenant. Elle ne se retourne même pas pour m’offrir son murmure empli d’autoritarisme. Elle ne changera pas de lit, et elle dormira seule. Pendant une fraction de seconde, j’imagine qu’elle m’en veut au point de m’infliger ça, et puis je comprends qu’elle parle à son ex-nouveau partenaire, et j’avoue ne pas savoir du tout de qui il s’agit. Tant pis. J’enfonce les mains dans mes poches, et j’annonce « Va falloir revoir tes exigences à la baisse, fillette, la moitié du lit me revient même en cas de divorce. », avant de la dépasser pour rejoindre ce lit qui restera mien encore pour minimum une semaine. C’est toujours ça de prit.
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MessageSujet: Re: sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures.   sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures. EmptyMar 13 Mar 2012 - 8:43

Parce que y en avaient dans cette maison qui croyaient qu'elle allait changer de partenaire comme ça. Pour elle, c'était Syssoï, ou rien. Et aujourd'hui, c'était rien, puisse que son partenaire avait décidé de partir. Et puis, argument supplémentaire, elle ne connaissait pas Sonny, ni d'Adam, ni d'Eve, c'était tout bonnement hors-de question. Certaines personnes pensaient que la rousse faisait la difficile. Eh bien oui, elle n'avait rien à perdre. Gabrielle se change rapidement, enfilant au passage un des tee-shirt de Syssoï, de toute façon il n'était plus là pour le lui repprocher, tant pis pour lui. La rousse est prête à se glisser dans les draps, et à rejoindre immédiatement Morphée. Non pas qu'elle avait spécialement envie de dormir, mais aujourd'hui, elle ne voulait pas trop parler. Ce qui était assez dérangeant venant de Gabrielle, perturbant même. Cela ne lui ressemblait pas du tout.

Elle pense que c'est Sonny. Elle soupire d'avance. « Va falloir revoir tes exigences à la baisse, fillette, la moitié du lit me revient même en cas de divorce. » Gabrielle se rend compte qu'il ne s'agit aucunement de Sonny. Cette voix lui est familère, elle la reconnait immédiatement il s'agit de Syssoï. Mais qu'est-ce qu'il fait là ? La rousse avait loupé un épisode ou ? Ah, c'était surement ça la fameuse annonce de Cupidon, cela ne pouvait être que cela, elle ne voit pas autrechose. « On s'occupera du partage plus tard. » répond t-elle alors tandis qu'elle voit enfin Syssoï, qui la dépasse et se trouve désormais au niveau de la tête de leur lit. Gabrielle l'observe en silence, elle ne demande ce qu'il s'est passé pour qu'il revienne, ou même pour qu'il parte tout simplement. La rousse se relève, marche sur leur lit, et va rejoindre Syssoï, en se postant à côté de lui. Elle descend du lit, et perd tout d'un coup soixante centimètres de hauteur. La française le regarde, le détaille, avant d'entourer ses petits bras autour de son torse, et se serrer contre lui. Elle se fichait qu'il n'aime pas les contact ou pas, elle avait juste besoin de se rassurer désormais. « Tu aurais pu me dire au revoir lorsque tu comptais partir. » murmure t-elle. C'était evidemment un reproche, parce qu'apprenne par les autres candidats que Syssoï s'était fait la malle n'avait pas été agréable pour la rouquine. Elle lui en voulait, un peu.
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MessageSujet: Re: sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures.   sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures. EmptyMar 13 Mar 2012 - 18:18

« On s'occupera du partage plus tard. » Ca ressemble vraiment à une procédure de divorce qu’elle remettrait au lendemain. Je m’attendais à plus de cris et de gifles, je m’étais presque fait une raison à l’idée de revoir la Gaby diabolique, celle que j’avais croisé dans le cellier. Mais ce calme-là, je ne m’y attendais pas. Il me fout limite mal à l’aise, je préfèrerais qu’elle me hurle dessus pour avoir fomenté l’ignoble projet de l’avoir abandonné là, à la solde de ces autres. J’aurais pas du, c’est un fait, mais je n’ai pensé qu’à moi sur le moment. Et si je dois m’en vouloir de quelque chose, ce n’est pas d’avoir pris cette décision par égoïsme, c’est d’être revenu dessus par altruisme. Ça ne me ressemble pas, et ça aussi ça me fout mal à l’aise. Et comme à chaque fois que je suis mal à l’aise, je sors une main de ma poche pour aller me gratter la nuque, et tente une blague vaseuse. « Je te préviens, j’obtiendrais la garde de Franckie. » Oui, je reste dans le champ lexical du divorce, et oui, j’avais prévenu que ma blague serait pourrie. Je me sens con, alors plutôt que d’opter pour une série de grognements et un boudage en bonne et due forme, je tente de faire face à mes responsabilités sans artifices ou presque. Elle s’est approchée de moi, grimpant sur le lit pour faire au plus court, avant de sauter à mes côtés et retrouver sa taille de naine. Elle a fait tellement vite que j’anticipe sa réaction en fermant un oeil du côté où j’imagine que la claque va tomber. Sauf que rien ne vient. Enfin pas à cette hauteur là. C’est autour de mon torse que ça se passe, là où elle a glissé ses bras, m’encerclant d’un seul coup, avant d’y poser sa tête. Je suis tellement surpris que mes deux bras restent en lévitation de chaque côté de mon corps, tandis que mon visage se baisse comme pour vérifier ce qu’elle est entrain de fabriquer. M’attaquer les entrailles à pleine bouche tel un piranha cannibale ? Tentative de meurtre par strangulation de mon abdomen comme un catcheur nain ? « Tu aurais pu me dire au revoir lorsque tu comptais partir. » Ha non, elle me fait juste un... Câlin. Mes bras hésitent, mes mains aussi, pour finalement venir entourer son corps à leur tour, lui rendant son étreinte, tandis que mon menton vient se poser sur le sommet de son crâne. « J’ai pas eu le temps de dire aurevoir, à personne, c’était le but. Alix s’est chargé d’annoncer mon départ. » Je me montre honnête, à quoi bon prétendre le contraire, j’ai pas voulu dire aurevoir, sinon on m’aurait dissuadé de partir. Mes bras se referment un peu plus autour d’elle, mes cadenassent sa peau, ou plutôt le tissu que j’ai sous les doigts et que je sais m’appartenir. « Je pourrais récupérer mon tee-shirt aussi ? T’as vraiment pas choisi le plus beau. » La burka version russe c’est pas ce que j’ai vu de plus sympa sur elle niveau pyjama, mais loin de moi l’envie de la contrarier, hein.
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MessageSujet: Re: sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures.   sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures. EmptyMar 13 Mar 2012 - 20:20

Evidemment que la partie gauche du lit lui appartenait, c'est pour cela que la rousse avait précisé à un Sonny imaginaire, qu'elle dormait seule. De toute façon, elle avait fait exprès d'éviter son ancien partenaire. Enfin techniquement elle n'en savait rien, puisse que Syssoï était revenu, elle restait avec Sonny ou tout redevenait comme avant ? Parce que la production ne l'avait pas précisé, donc Cupidon non plus. C'était bien vague toute cette histoire. En tout cas, si elle restait avec Sonny, Syssoï resterait toujours son partenaire...de coeur dira t-on. Syssoï lui réponds. « Je te préviens, j’obtiendrais la garde de Franckie. » Pauvre gosse. Il préfèrerait surement être avec la douce Gabrielle. Très drôle. La jeune femme esquisse tout de même un fin sourire. « Je garde Elvis dans ce cas. Et c'est toi qui leur expliquera la raison de leur séparation. » répond t-elle en plantant ses prunelles azures dans les siennes. Puis elle traverse le lit, enfonçant ses pieds dans le matelat, parce qu'elle a la flemme de faire le tour, et parce que c'est son lit et qu'elle a le droit de le martyriser comme elle le souhaite. Tout le même. Elle donne un coup dans la couverture pour se frayer un passage jusqu'à Syssoï, et saute délicatement sur le sol. Gabrielle doit lever la tête pour lui parler, terriblement gênant tout ça. Il s'attend à ce qu'elle le claque, parce qu'elle voit qu'il ferme un oeil, c'est limite s'il ne lui tend pas la joue. Gabrielle soupire, comme si elle était du genre violente avec lui, bon, si on excluait le faire qu'elle l'avait enfermé dans le cellier, et tout l'épisode qui allait avec bien sûr. La rousse préfère le serrer dans ses bras plutôt qu'autrechose. «J’ai pas eu le temps de dire aurevoir, à personne, c’était le but. Alix s’est chargé d’annoncer mon départ.» Une moue boudeuse s'installe sur le joli minois de la rousse. Ainsi donc, c'était fait exprès. « T'es nul.. » murmure t-elle avec un air légèrement boudeur, parce que ouai, là, soudainement elle lui en voulait maintenant. Elle sent les bras de Syssoï qui se referme sur sa fine silhouette. La rousse ne bouge pas. « Je pourrais récupérer mon tee-shirt aussi ? T’as vraiment pas choisi le plus beau. » Gabrielle secoue la tête négativement. « Je veux dormir avec. » répond t-elle parce qu'elle comptait bien garder ce vêtement sur elle, pour la nuit du moins. « Et puis je vais dormir avec, pas faire un défilé de mode. » ajoute t-elle en souriant.
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MessageSujet: Re: sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures.   sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures. EmptyMer 14 Mar 2012 - 2:51

« Je garde Elvis dans ce cas. Et c'est toi qui leur expliquera la raison de leur séparation. » Ouai, bah d’un coup, j’suis plus trop sûr que ce soit une excellente idée. Au fil de notre discussion et des réponses qui fusent, je me suis pris au jeu, et j’ai un peu oublié que ce n’était que ça, un jeu. Alors je me prends à imaginer une conversation avec Franckie et Elvis... J’ébauche une grimace de désaccord. « Heu... Je suis pas sûr que ce soit une bonne idée. La dernière fois que j’ai voulu parler sérieusement avec Franckie, je lui ai prédit la mort de toute sa famille et de son chien... » Ma grimace s’accentue. Sans compter la fois où j’ai joué les entremetteuse auprès d’Elvis, et que je me suis retrouvé à lui parler de Dieu, des Siths, et de fin du monde. Non, décidément, je suis vraiment pas doué pour ce genre de trucs, le genre de trucs où il faut parler. En quelques secondes, la rousse se retrouve d’un même côté du lit que moi, sautant à terre pour se retrouver au plus proche même si, brusquement, elle n’est plus à ma hauteur. Ça ne me dérange pas, j’ai l’habitude. Elle se colle à moi, et après l’instant de surprise passée, je réponds à son étreinte. Je ne me force pas, je fais ça naturellement, enfin aussi naturel que ça puisse l’être chez moi. Je m’attendais à des représailles violentes, une gifle, un silence stressant, culpabilisant, mais ce qu’elle fait est bien pire. Car son corps me fait comprendre qu’elle a besoin de moi, alors que ses lèvres, qui m’accusent d’être nul, m’expriment toute la déception qu’elle nourrit à mon encontre. Et je ne peux lui en vouloir pour ça. Je me fais l’effet d’une girouette, incapable de rester, incapable de partir, juste paumé à la frontière, dépendant dans mon indépendance. Un bordel sans nom. Et je ne parviens même pas à m’excuser, tout ce que je suis capable de faire, c’est lui offrir une répartie merdique au sujet du tee-shirt qu’elle porte. Le mien. Elle veut dormir avec... Hum.. Oui, bah je vais pas l’en priver, même si j’imagine mal ce qu’elle trouve d’attrayant dans ce bout de tissu trop grand qui me sert, initialement pour les entrainements de danse. Il est déjà large pour moi, facilitant ainsi les mouvements, alors sur elle ça fait option toile de tente. On pourrait planquer dix Gaby là-dedans. « Sauf que c’est pas l’heure de dormir. » Il n’est que 21h, et je parie qu’elle n’a même pas prit le temps de manger avant d’aller végéter au lit, sa colère et sa déception en bandoulière. Je me détache d’elle, et me penche sur le lit pour attraper son jean abandonné au sol, de l’autre côté. Je le ramène, et le lui tend, ceinture écartée, afin qu’elle puisse y glisser une jambe après l’autre. « Allez, enfile ça, et après je vais te chercher à manger. » Aucun refus ne sera toléré. Elle le sait. Si elle veut qu'on parle, elle devra se plier à certaines de mes exigences, dont celle-ci. Et ça aussi, elle le sait.
Gabrielle

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MessageSujet: Re: sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures.   sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures. EmptyMer 14 Mar 2012 - 14:45

Il grimace, et Gabrielle attend qu'il s'explique, et c'est ce qu'il ne tarde pas à faire. « Heu... Je suis pas sûr que ce soit une bonne idée. La dernière fois que j’ai voulu parler sérieusement avec Franckie, je lui ai prédit la mort de toute sa famille et de son chien... » Elle se marre, le pire, c'est qu'il est très sérieux. Il a osé dire ça à un gosse, à Franckie, pauvre petit. Le français avait du le traumatisé, c'est sûr. « T'as vraiment dis ça ? » lui demande t-elle. « J'suis sûre que si on raconte ce genre de détails, c'est moi qui ai la garde. » annonce la belle en dodelinant de la tête. « Sauf que c’est pas l’heure de dormir. » Ouaip, pas faux. Mais la rousse n'a pas voulu se meler aux autres ce soir, quoi de mieux que de dormir tôt pour être sûr que personne ne vient te taper la discussion, surement sur un truc pas tellement interessant. « Si vingt et un heure, c'est une heure raisonnable quand même. » tente t-elle de se défendre, bon, okay, elle se couchait à vingt et un heure quand elle avait dix ans, c'est pas grave, on lui en veux pas. « Allez, enfile ça, et après je vais te chercher à manger. » dit-il en attrappant son jean qui se trouvait quand même de l'autre côté du lit, il était vachement grand pour faire, remarque la rousse, soudainement. Comme si elle prennait enfin conscience de la taille de son imposant partenaire, Gabrielle lève la tête vers lui, pour apercevoir ces yeux. La rousse est vraiment petite ou..? Cela devait être l'inverse. « Mais j'ai pas faim, reste. » riposte t-elle gentillement avant de penser à l'idée de s'habiller. La rousse soulève l'une de ses jambes, et la glisse dans son jean, et elle manque de perdre l'équilibre. Elle se rattrappe instinctivement à l'avant-bras de Syssoï, c'était ça ou la chute assurée. La rousse a, à cet instant même, l'impression d'être une gamine, qu'on aide à s'habiller, parce que c'est carrément le cas. Elle glisse son autre jambe, et ses mains prennent le relais, replaçant celles de Syssoï, qu'elle chasse délicatement de son vêtements. Ses doigts attrappent sa ceinture, et elle remonte son jean jusqu'à son bassin, pour le boutonner. Elle se demande même pourquoi il veut qu'elle s'habille, elle était très bien en tee-shirt. La rousse attrappe le haut bien trop large pour elle par un pan, et le noue asticieusement sur un côté de sa taille, ce qui fait qu'il est juste ample pour elle, le problème est réglé.
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MessageSujet: Re: sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures.   sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures. EmptyJeu 15 Mar 2012 - 2:50

« J'suis sûre que si on raconte ce genre de détails, c'est moi qui ai la garde. » Merde, j’avais pas pensé à ça. Du coup, je beug, bouche entrouverte, prunelles qui scrutent le plafond.. Je cherche un truc à répondre qui me permettra de faire pencher le juge en ma faveur. Si c’est une femme, il suffirait que je lui lâche un sourire et mon numéro de téléphone, mais, j’veux pas prendre de risque. « Techniquement, c’est aussi moi qui lui ai appris comment descendre les escaliers sur les fesses et à se laver les cheveux sans se brûler les yeux avec la mousse. Ça me fait marquer des points, non ? » Je reporte mon regard sur elle, mais elle est déjà à la limite de mes bras. La véritable discussion, la sérieuse, peut commencer, et je flippe d’avance. Finalement, contrairement à ce que j’imaginais, elle ne me demande aucune explication. Elle m’en veut, clairement elle m’en veut, mais elle n’exige pas que je m’explique avant de me pardonner. Elle semble avoir trop besoin de ma présence pour prendre le risque de me voir disparaître à nouveau. D’ailleurs, sa manière de rester accrochés à moi comme on s’accrocherait à un tronc solide en pleine tornade, n’en est qu’une preuve supplémentaire. C’est moi qui m’éloigne, finalement, mais juste pour attraper son jean et l’aider à le remettre. C’est con, comme demande, à bien y penser, qu’est-ce que je m’en fous qu’elle ait les jambes à l’air ou pas ? D’autant que j’apprécie beaucoup ses jambes que j’observe allègrement tandis qu’elle les glisse, l’une après l’autre, en s’appuyant sur moi. Mais je veux qu’elle renonce à dormir si tôt, et pour joindre le geste à la parole, se rhabiller me semble alors l’acte à faire pour signer cette promesse tacite. Je veux qu’elle mange aussi. Je me doute qu’elle n’a pas prit le temps de le faire, ni ce soir, ni même ce midi à en croire les braillements de son ventre. Elle prétend ne pas avoir faim, vouloir que je reste, mais je m’y refuse. « J’en aurais pas pour longtemps, t’en fais pas. Et moi j’ai faim. Tu préfères qu’on descende à la cuisine avec tous le monde qui doit y être à cette heure là ? » Je sais que non, je sais que je viens de sortir l’argument irréfutable. Malgré tout, je ne bouge pas, je l’observe s’habiller, virer mes mains pour les remplacer par les siennes. Je me demande si ça lui rappelle la scène du cellier aussi, même si à ce moment-là je m’employais à la déshabiller, et non à l’habiller ? Je secoue la tête pour en chasser les images, et souris à sa manière de s’approprier mon tee-shirt. Comme à mon habitude, je dépose mes lèvres sur son front, l’implore de ne pas bouger d’ici, puis m’éclipse par la porte. Moins de dix minutes plus tard, je suis de retour avec un paquet de tortillas chips et un bol de sauce salsa. C’est pas super diététique, mais j’ai fait au plus pressé. Elle est toujours là, sur le lit, attendant sagement. Je la rejoins, m’installe à ses côtés, et lui tend le tout comme un con, pas super à l’aise. La chambre est vide, c’est le moment où jamais de parler. Je vais pas y couper, je le sais, mais je ne peux m’empêcher d’appréhender, comme un gosse. J’suis un gosse.
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MessageSujet: Re: sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures.   sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures. EmptyJeu 15 Mar 2012 - 21:26

Syssoï cherche une réponse, Gabrielle le lit sur son visage, pendant une seconde. « Techniquement, c’est aussi moi qui lui ai appris comment descendre les escaliers sur les fesses et à se laver les cheveux sans se brûler les yeux avec la mousse. Ça me fait marquer des points, non ? » Elle fait une moue dégoutée, elle n'a pas mieux. Attendez, elle cherche. Techniquement, Gabrielle était quand même plus saine pour éduquer un gosse tel que Franckie, douce et patiente, c'est ce qu'il fallait avec lui. « Ouai, mais parler de la mort à un gosse, ça t'a grillé. T'as perdu la bataille » murmure t-elle en souriant. Clairement, elle s'imagine bien gagner la garde de Franckie devant un juge, bon allez, garde partagé, Syssoï pourrait le voir le week-end. Elle préfère ne pas se lancer tout de suite dans une longue discussion, parce qu'elle sent que ça va tout gâcher. Elle va tout gâcher, encore une fois. Elle obéit simplement à Syssoï parce qu'elle se voit mal roupéter pour enfiler un jean, alors que ça ne lui prend que deux secondes de sa vie puisse que le candidat l'aide. La rousse s'est faite au changement de programme de sa soirée, en quelques secondes, elle n'irait apparamment par dormir, puisse que Syssoï ne le voulait pas, enfin pas tout de suite, et puis, elle n'était pas tellement fatiguée. « J’en aurais pas pour longtemps, t’en fais pas. Et moi j’ai faim. Tu préfères qu’on descende à la cuisine avec tous le monde qui doit y être à cette heure là ?» Gabrielle l'observe, plisse légèrement les yeux, et sa moue devient boudeuse, il a sorti l'argument de choc, ce n'est pas du jeu. Parce qu'il sait que si elle est venue ici, c'est justement pour éviter les candidats et qu'elle ne souhaite absolument pas descendre, et voir tout le monde, elle n'est clairement pas d'humeur. « Reviens-vite. » lui murmure t-elle vaincue alors qu'il dépose ses lèvres sur sa tempe et prend ensuite la sortie. La rousse s'assoit tranquillement sur son lit, en tailleur. Elle n'attend pas très longtemps, il fait vite et revient avec de la bouffe. Il lui tend les chips et le bol, euh, ce n'était pas lui qui était sensé avoir faim ? La rousse pose le bol en équilibre sur le genou de Syssoï, il a interêt à pas bouger. Elle ouvre le paquet de chips, en galérant un peu, très bruyante cette rousse. « Pourquoi t'as voulu partir ? Réponds franchement. » lui demande t-elle en posant le paquet de chips sur la couverture de leur lit.
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Syssoï
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MessageSujet: Re: sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures.   sept jours pour l'éternité. le 12 mars, à 21 heures. EmptyVen 16 Mar 2012 - 1:44

Ca fait tellement longtemps qu’elle réclame une discussion. Je suis toujours parvenu, avec plus ou moins de réussite, surtout moins que plus d’ailleurs, à éviter toute confrontation. Sauf qu’aujourd’hui, c’est plus possible, je suis allé trop loin pour pouvoir opposer un silence tenace face à ses interrogations. Je suis pas sûr d’être prêt à évoquer les raisons de mon trouble, ni avec elle, ni avec personne en fait, mais j’aurais du y réfléchir avant de chercher à prendre la fuite, et d’attirer toutes les questions en autofocus sur moi. Même si je sais pas faire, même si j’ai pas du tout envie de faire, elle mérite que j’essaye de le faire. Mais avant ça, je gagne du temps, j’instigue une conversation autour de la garde des pseudo-enfants qu’on a jamais eu et qui ne sont plus des enfants, puis je l’oblige à se rhabiller, avant de descendre chercher à manger sous prétexte que j’ai faim. J’ai faim, oui, comme toujours, mais pas au point de faire passer le ravitaillement en priorité avant tout le reste. Ceci dit, je veux qu’elle, elle mange. Son estomac gémit son agonie, et je la soupçonne de n’avoir rien avalé depuis le matin, voir la veille. J’ai fait au plus rapide, aussi je n’ai trouvé que des similis de chips mexicaines, et la sauce salsa qui va avec. J’ai du battre un record de vitesse en faisant l’aller retour, et avec le recul je me dis que j’aurais peut être mieux fait de prendre mon temps afin de reculer l’inévitable. Cinq minutes de plus m’auraient peut être permis d’apprendre à parler convenablement, non ? J’ai tendu le tout à Gabrielle avant de m’installer sur le lit, à ses côtés. Je me retrouve rapidement encombré de toute cette bouffe, retour à l’envoyeur, alors qu’elle passe aux choses sérieuses en attaquant directement dans le vif du sujet. « Pourquoi t'as voulu partir ? Réponds franchement. » Comme si je pouvais lui mentir. Je lui jette un regard en biais, avant de récupérer le paquet de chips et d’entamer un tri compulsif afin de trouver LA chips qui sera un triangle isocèle parfait... Ok, en vrai, je gagne du temps, j’essaye de remettre mes idées en ordre. « J’ai pris peur. » Je finis par répondre en me contentant d’une chips parfaitement imparfaite, que je trempe dans le bol de sauce. « Tu me connais sûrement mieux que personne ici, enfin presque personne... » Je poursuis, le nez dans le bol, afin d’échapper à son regard. « T’as vu le changement, non ? Je me suis trop laissé atteindre. Et au moment de la prise de conscience, j’ai imaginé que la fuite me permettrait de retourner à ce que j’étais. » Je sais pas si elle comprend ce que j’essaye de dire, je ne suis pas sûr de me comprendre moi-même, mais je m’efforce de remettre les choses dans le bon sens, même si ça reste brouillon.

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